Tentative de coup d’État et conjuration médiatique, mais Marine Le Pen ne se laisse pas déstabiliser… (02/02/2017)

Marine Le Pen, candidate FN à la présidence de la République, le 26 janvier à Paris.

Étonnant lynchage politico-médiatique! La gauche de Mélenchon à Macron en passant des écologistes à Benoît Hamon, et de Manuel Valls à François Hollande, tout ce monde est blanc comme neige. Tout ces innocents autoproclamés, mais plutôt véritable Gestapo, se transforment en procureurs de la République par une conjuration médiatique sans précédent, sans que la Justice n’y trouve rien à redire, sans qu’aucune enquête judiciaire ne soit diligentée contre une telle chasse aux sorcières.

Syndrôme Trump, syndrome Brexit ? 

Partout en Occident lorsque les forces mondialistes de gauche, haïes par les peuples, sont mises en minorité, elles tentent des coups d’Etat à la Soros: Printemps démocratique aux USA. C’est le cas en France où la Gauche imigrationniste du grand capital, en complète déconfiture après une gouvernance de 5 ans qui a mis le pays à genoux dans tous les domaines, tente un coup d’Etat médiatique tant en direction de François Fillon  que de Marine Le Pen, espérant sans doute confisquer le second tour au profit des seuls candidats de gauche qui tous ont exercé des responsabilités désastreuses dans le bilan de la présidence Hollande.

Printemps socialiste : Marine Le Pen ne se laisse pas déstabiliser 

Le scandale ne s’arrête pas là puisque le cas de Marine Le Pen aujourd’hui bruyamment amalgamé à celui de Fillon, n’a en réalité aucune comparaison, puisque les prétendus emplois fictifs étaient en réalité occupés, preuves à l’appui. Il faut dire que c’est Christiane Taubira qui a monté l’affaire avec l’appui de Schultz

Et pendant ce temps-là, bien sûr, les programmes des candidats Le Pen et Fillon sont passés à la trappe puisqu’ils ne sont l’un et l’autre occupés qu’à se défendre, et ne sont interrogés, comme condamnés d’avance, que sur les accusations journalistiques qui tournent en boucle 24h/24, présentées comme vraies, qui occupent les chaînes en continu, alors que les accusés ne disposent que de rares interviews pour tenter de se disculper.

Fillon: « coup d’État institutionnel »

François Fillon estime aujourd’hui que l’affaire autour des emplois présumés fictifs de son épouse est « un coup d’État institutionnel venu du pouvoir et de la gauche », en soulignant que « le seul pouvoir, c’est celui de la justice ».

Quand on sait déjà combien le pouvoir judiciaire est déficient en France, alors qu’espérer du pouvoir médiatique au profit de la gauche cosmopolite, guerrière et imigrationniste ?

Après Fillon, Thierry Solère, porte-parole de Fillon, dénonce à son tour un coup d’État d’une gauche qui entend confisquer le pouvoir:

« on assiste à un coup d’Etat institutionnel », « Vous avez vu pour la première fois un homme politique qui, à 90 jours d’une élection présidentielle, est mis en cause ».

Que fait la Justice pour défendre le droit des présumés innocents ?

Mais qui va inculper les journalistes qui 24h/24, sur toutes les chaines, relayant tous les Canards de la presse comme s’ils étaient l’Evangile, enfreignent gravement la loi en rendant verdicts et condamnations à mort électorales sans passage par la case Justice ? Car ces accusations toutes dirigées contre les candidats de droite à la présidentielle, ne reposent que sur des opinions de journaleux aux articles manifestement dirigés, appuyés par des sondages d’instituts qui somment les électeurs de croire sans aucune preuve à leur probité. Comme jamais personne ne pourra vérifier les sondages, ils peuvent faire dire aux Français tout ce qui arrange leurs affaires. Les sondages ont déjà prouvé leur incompétence et leur parti-pris au-delà du nécessaire.

Non, la France aujourd’hui n’est plus un État de Droit!

emmiliedefresne@medias-presse.info

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08:51 Écrit par pat | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer |  Facebook | | | | |