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  • Nicolas Sarkozy en garde à vue, une première pour un ex-chef de l'Etat

    Nicolas Sarkozy a été placé en garde à vue mardi à l'office anti-corruption de la PJ, une première pour un ancien chef de l'Etat, visé par une enquête ouverte notamment pour trafic d'influence présumé.

    L'ancien chef de l'Etat est arrivé peu avant 08H00 dans une voiture noire aux vitres teintées, qui s'est engouffrée sous les objectifs des caméras dans le parking de la direction centrale de la police judiciaire à Nanterre (DCPJ), dans la banlieue ouest de Paris, à quelques encablures de son ancien fief de Neuilly-sur-Seine.

    Cette garde à vue intervient au moment où les rumeurs sur la volonté de Nicolas Sarkozy de renouer avec la vie politique, et notamment de prendre à l'automne la tête de l'UMP, se font de plus en plus précises.

    L'avocat historique de Nicolas Sarkozy, Me Thierry Herzog, est, lui, en garde à vue depuis lundi, ainsi que deux hauts magistrats, Gilbert Azibert et Patrick Sassoust. Les enquêteurs vont pouvoir confronter les versions des quatre hommes.

    Les enquêteurs cherchent à établir si l'ancien chef de l'Etat (2007-2012) a cherché à obtenir des informations auprès d'un magistrat de haut rang, Gilbert Azibert, sur une décision de justice le concernant, en échange de la promesse d'un poste de prestige à Monaco.

    La Cour de cassation devait se prononcer sur la saisie des agendas présidentiels de Nicolas Sarkozy, à laquelle ce dernier s'opposait. Ces agendas étaient susceptibles d'intéresser les juges enquêtant sur d'autres dossiers, notamment l'affaire de l'arbitrage Tapie.

    Dans l'affaire Bettencourt, Nicolas Sarkozy avait été mis en examen par des juges bordelais avant de bénéficier d'un non lieu.

    Dans le dossier qui lui vaut d'être placé en garde à vue, les policiers de l'office anti-corruption (Oclciff) vont pouvoir entendre Nicolas Sarkozy pendant une durée pouvant aller jusqu'à 24 heures, éventuellement renouvelable une fois.

    A l'issue de cette mesure coercitive, le chef de l'Etat peut être relâché sans poursuites ou présenté à un juge d'instruction qui peut le mettre en examen.

    Autre soupçon qui pèse sur l'ancien chef de l'Etat: avoir été informé de manière illicite de son placement sur écoute par des juges enquêtant sur les accusations, pour l'heure non étayées, d'un financement par la Libye de Mouammar Kadhaafi de sa campagne victorieuse de 2007.

    Obstacles judiciaires

    L'affaire naît au printemps 2013. Plusieurs proches de Nicolas Sarkozy ont été placés sur écoute dans l'enquête libyenne: Claude Guéant, Brice Hortefeux, mais aussi Michel Gaudin, ancien patron de la police nationale et ex-préfet de police de Paris.

    Ce dernier, qui a suivi l'ancien chef de l'Etat après la défaite de 2012 pour devenir son directeur de cabinet, entretient plusieurs conversations qui interpellent les enquêteurs. Il semble notamment vouloir, en vain, se renseigner sur l'enquête libyenne auprès du patron du renseignement intérieur, Patrick Calvar.

    Les juges décident de placer à son tour l'ex-président de la République sur écoute, notamment le téléphone qu'il utilise sous l'identité d'emprunt de Paul Bismuth pour converser avec Me Herzog.

    Or, des échanges entre les deux hommes peuvent laisser croire qu'ils ont cherché à obtenir des informations auprès de Gilbert Azibert.

    Les obstacles judiciaires se multiplient sur la route d'un retour de Nicolas Sarkozy en politique.

    Outre les dossiers du financement libyen et du trafic d'influence, le parquet de Paris a confié à des juges financiers une enquête pour "faux et usage de faux", "abus de confiance" et "tentative d'escroquerie", cette fois sur le financement de la campagne de 2012 de Nicolas Sarkozy. Ses meetings semblent avoir été en grande partie financés par l'UMP afin de masquer un dépassement du plafond autorisé.

    Dans l'affaire de l'arbitrage Tapie, Claude Guéant a été placé en garde à vue, tout comme dans le dossier des primes qu'il a perçues quand il était directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy à l'Intérieur. Michel Gaudin a également été placé en garde à vue dans cette affaire des primes.

    Les policiers s'interrogent également sur la régularité des contrats conclus entre l'Elysée et neuf instituts de sondage sous le quinquennat Sarkozy.

    Source http://www.publicsenat.fr/lcp/politique/nicolas-sarkozy-garde-vue-une-premi-re-un-ex-chef-letat-599975?estat_svc=s=298098196837&svc_mode=A&svc_campaign=politique&svc_partner=yahoo&svc_position=Nicolas+Sarkozy+en+garde+%C3%A0+vue,+une+premi%C3%A8re+pour+un+ex-chef+de+l%27Etat

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EupukpyEkAtPTkYkCd.shtml

  • Comment une table ronde de banquiers devint le conseil des relations étrangères le plus influent du monde

    Lyndon LaRouche raconte que le 5 février 1891, une association secrète, connue sous le nom de Round Table Group, fut formée par Cecil Rhodes, par son banquier Lord Rothschild, par Lord Rosebery, le Rothschild par alliance, et par Lord Curzon. LaRouche expose que la Table Ronde était représentée aux Etats-Unis par le groupe Morgan. Le Dr Carrol Quigley, dans Tragedy and Hope, parle de ce groupe comme de « La société Secrète Anglo-Américaine » en expliquant que « La principale épine dorsale de cette organisation s’est développée tout au long d’une coopération déjà existante, qui allait de la Banque Morgan à New York jusqu’à un groupe de financiers internationaux à Londres emmenés par les frères Lazard (en 1901). » 

         William Guy Carr, dans son Livre Des pions sur l’Echiquier, expose ceci : « En 1899, J.P. Morgan et Drexel se rendirent en Angleterre dans le but de participer à la Convention Internationale des Banquiers. Lorsqu’ils s’en retournèrent, J.P. Morgan fut nommé à la tête des intérêts de Rothschild aux Etats-Unis. A la suite de la Conférence de Londres, J.P. Morgan & Company de New York, Drexel & Company de Philadelphie, Grenfell & Company de Londres, Morgan Harjes & Cie de Paris, M.M. Warburg Company d’Allemagne et d’Amérique et la Maison Rothschild étaient toutes affiliées. 

         Visiblement, ni conscient du lien entre Peabody et les Rothschild, ni que les Morgan avait toujours été affiliés avec la Maison Rothschild, Carr supposa qu’il avait découvert que cette relation datait de 1899, alors qu’elle remontait en fait à 1835. 

         Après la Première Guerre mondiale, [en 1921,] la Table Ronde adopta le nom de Council on Foreign Relations (CFR) aux Etats-Unis et de Royal Institute of International Affairs (RIIA) à Londres. Les dirigeants officiels des gouvernements anglais et américains et sélectionnés parmi leurs membres. Dans les années 1960, alors que l’attention se concentrait de plus en plus sur les activités gouvernementales discrètes du CFR, des groupes affiliés qui représentaient des intérêts identiques, commencèrent leurs opérations – les Bilderbergers [1954] et la Commission Trilatérale [1975]. Les responsables les plus importants, comme Robert Roosa, étaient membres des trois groupes. 

    Eustace Mullins, Les secrets de la Réserve fédérale

    http://www.oragesdacier.info/2014/07/comment-une-table-ronde-de-banquiers.html

  • LA FIN DE LA DÉMOCRATIE

    On entend souvent dire que la démocratie, le meilleur régime politique possible, est malade.

    Christophe Buffin
    On déplore son déficit représentatif, sa corruption endémique, son irresponsabilité, son opacité, son oligarchie et son incapacité de servir le bien commun.
    On s’évertue à lui trouver des remèdes. Mais la démocratie, fondée sur des principes erronés et en opposition avec la nature humaine, se porte en fait très bien.
    Les « déviances » dont se plaignent ses administrés ne sont en réalité que le développement naturel et logique d’un régime qui a été conçu pour ne servir que les intérêts d’une minorité organisée, tout en bernant des peuples prétendus souverains.
    Une démonstration limpide et solidement argumentée de la véritable nature d’un régime dont l’imposture apparaît de plus en plus clairement.
    Christophe Buffin de Chosal est historien, correspondant de presse et directeur de programme universitaire.

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  • On ne discute pas du retrait de la double-nationalité

    Pour avoir osé outrepasser cette censure, Le Point a été harcelé par les réseaux sociaux et notamment par ses confrères. Sous la pression, le site Internet du Point a retiré rapidement une question posée dimanche sur le thème de la double nationalité, formulé ainsi :

     « Faut-il retirer aux Français d'origine algérienne leur double nationalité ? »

    81 % des internautes avaient déjà répondu « oui ». 

    Michel Janva