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  • La France et l’ami américain ? Poutine met les pieds dans le plat !

    Certains Français couchèrent jadis avec l’Allemagne parce qu’ils n’avaient pas le choix. Ceux qui forniquent à répétition avec les USA, ça doit manifestement être par goût.   

    François Hollande a beau changer de lunettes, il persiste à mener la même politique, frappée du sceau de la myopie. Laquelle se résume à un Barnum permanent, fondé sur une perpétuelle lutte destinée à défendre « les droits de l’homme » – alors que la paternité du truc revient historiquement aux Anglais, avec la Magna Carta et l’Habeas Corpus, puis aux Américains et leur fameux Bill Of Rights. Remarquez, Nicolas Sarkozy ne faisait pas mieux, lui, qui du temps de son quinquennat, était tout pareillement obnubilé par le cousin d’outre-Atlantique, cousin ayant déjà tout d’un parrain des plus encombrants.

    Certains de nos lecteurs iront dire qu’il s’agit là d’une obsession « anti-américaine », laquelle dissimule forcément une « arabophilie » galopante, d’où une « islamophilie » militante dissimulant, il va de soi, un « antisémitisme » larvé. Bref, l’auteur de ces lignes sera fatalement tenu pour « bobo », « salaud » et « islamo-fellateur », pour reprendre les termes de certains commentateurs des plus mal embouchés.

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  • La contraception entraîne une baisse de la fertilité pour les femmes

    Selon les résultats d’une étude danoise présentés mardi lors du congrès annuel de la Société européenne de reproduction humaine et d’embryologie (ESHRE), qui se tient à Munich jusqu’à mercredi.

    Kathrine Birch Petersen et ses collègues de l’université de Copenhague ont mené ces travaux sur 833 femmes ayant consulté la clinique de l’université pour une évaluation de leur fertilité. 

    Les volumes moyens des ovaires des femmes sous contraception orale (près de 30 % du groupe) étaient significativement plus réduits que ceux des patientes employant d’autres moyens de contraception : de 29 à 52 % plus petits selon les groupes, avec une réduction plus prononcée chez les femmes de 19 à 30 ans.

    Michel Janva

  • Retour du blog de Jeanne Smits

    Après un long silence, Jeanne Smits reprend ses activités sur son blog. Avec un article sur l'euthanasie :

    "L’affaire Vincent Lambert s’inscrit au sein d’une tendance lourde au sein de la communauté des bioéthiciens. Le refus de manger et de boire en vue d’obtenir la mort, lorsque la procédure est choisie par le patient, est en train de devenir une option communément acceptée dans certains pays, à telle enseigne qu’aux Pays-Bas on estime qu’entre 4 et 10 % des décès surviennent à la suite d’un tel « jeûne » délibéré. Ne s’agissant ni d’une euthanasie, ni d’un suicide assisté, il n’y a pas de statistiques certaines. Comme la sédation palliative, la mort par dénutrition se situe dans une zone grise où la frontière entre un arrêt de soins légitime ou l’administration de médicaments pour soulager la douleur et un processus dont l’objectif est de faire mourir ne peut s’apprécier qu’au cas par cas. [...]"

    Michel Janva

  • Alexandre Del Valle plaide pour un Occident décomplexé

    Après avoir consacré plusieurs ouvrages aux dangers qui menacent l’Europe depuis l’extérieur – comme l’hyperconsumérisme anglo-saxon surnommé Mc World ou encore le totalitarisme islamiste – le géopolitologue et essayiste Alexandre Del Valle nous livre dans ce « petit traité » une réflexion très documentée sur « l’idéologie de la haine de soi et du désespoir », menace la plus grave, selon lui, pour notre continent étant donné qu’elle ronge celui-ci de l’intérieur. L’auteur, qui considère ce phénomène comme une maladie, établit un diagnostic détaillé (chapitres I et II) et propose ensuite des remèdes (chapitres III et IV) à ce mal certes funeste mais heureusement pas incurable.

    del-valle

    Le diagnostic.

    L’auteur effectue une analyse psychologique détaillée de la « dépression collective » dont souffrent les Occidentaux en général (Europe et Amérique du Nord) et les Européens en particulier. Leur comportement « pathologique », caractérisé par une perte de fierté et un mépris pour leur propre culture façonnée par la philosophie grecque, le droit romain et la morale judéo-chrétienne, conduit l’Occident à n’être plus qu’un espace cosmopolite dépourvu de toute identité propre, dédié à l’économie de marché et à la diffusion, parfois arrogante, des droits de l’homme dans le monde.
    Le diagnostic une fois posé, l’auteur recherche les causes de ce mal civilisationnel dans le processus de désinformation dont il dénonce le langage qu’il appelle « cosmopolitiquement correct » et qui entretient cette idéologie mortifère de la culpabilisation appelée par d’autres analystes, comme Jean Sévillia, le « terrorisme intellectuel ».

    Les remèdes.

    Pour A. Del Valle, la situation est donc grave mais heureusement pas désespérée. L’Occident peut guérir de son mal et doit à cette fin suivre un double traitement. Le premier est une « thérapie de réarmement moral » qui consiste, pour les Occidentaux à se réconcilier avec eux-mêmes en faisant le deuil de cet esprit de domination universelle qui fut le leur depuis plusieurs siècles et en acceptant la réalité d’un monde désormais multipolaire. Cette acceptation leur permettra de ne plus se sentir responsables de tous les malheurs du monde et de retrouver la fierté de ce qu’ils sont. En d’autres termes, les Occidentaux ne pourront survivre en tant que civilisation qu’en effectuant un travail introspectif de déculpabilisation et en faisant respecter d’abord chez eux des valeurs qu’ils souhaiteraient faire rayonner dans le monde.
    Mais ce n’est pas tout, le second traitement que doivent suivre les Occidentaux consiste en un travail de réadaptation d’ordre géostratégique. Malgré la fin officielle de la Guerre froide au début des années 1990, l’Amérique du Nord et l’Europe continuent à entretenir des relations difficiles avec la Russie qui partage pourtant avec l’Occident une civilisation commune – depuis la chute de Constantinople au profit des Ottomans (1453), Moscou n’est-elle pas devenue la troisième Rome ? Pour que l’Occident surmonte définitivement sa culpabilité maladive, l’auteur propose dès lors une redéfinition des alliances pour l’établissement d’un « Panoccident » englobant Amérique du Nord, Europe et Russie, cette dernière étant manifestement un allié plus naturel que les régimes islamistes du Golfe.

    Conclusion
    Mêlant les questions politiques, économiques, sociales et culturelles qui sont trop souvent la cible d’une désinformation génératrice d’un profond malaise voire d’un mal-être parmi les Occidentaux, Alexandre Del Valle nous offre, au fil d’un exposé dense et haletant, une cure de déculpabilisation salutaire dans un traité qui n’a de petit que le nom.

    Alexandre Del Valle, Le complexe occidental. Petit traité de déculpabilisation, Paris, Éditions du Toucan, 2014, 410 pages, 22 euros.

    Source: NDF

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/alexandre-del-valle-plaide-pour-un-occident-decomplexe_111021.html#more-111021

  • Le lycée Gerson victime des dérives intégristes de la région Île-de-France ?

    Le lycée Gerson privé de subventions ?

    Faire intervenir Alliance Vita en cours de catéchisme peut coûter cher.

    La Région Ile-de-France a suspendu les subventions du 3e trimestre au lycée Gerson. Montant de la punition : 73 789 euros.

     
  • La dette publique de la France se rapproche des 2.000 milliards d’euros

    La dette publique de la France a augmenté de 45,5 milliards d’euros au premier trimestre pour atteindre 1.985,9 milliards à la fin mars, soit 93,6% du PIB, selon les statistiques publiées lundi par l’Insee. Le ratio de dette sur PIB a progressé de 1,8 point par rapport à fin 2013.
    Une dette publique qui n’est toujours pas stabilisée et qui devrait être supérieure à 2.000 milliards d’euros à la fin de l’année. C’est au regard de cette sombre perspective que Didier Migaud, premier président de la Cour des comptes, a récemment jugé la situation actuelle des finances publiques « préoccupante » et appelé le gouvernement à poursuivre dans la voie de l’assainissement budgétaire. A en croire les chiffres publiés hier par l’Insee, la barre des 2.000 milliards d’euros pourrait même être franchie plus tôt que prévu. La dette publique a, en effet, progressé de 45,5 milliards d’euros au premier trimestre, s’établissant à 1985,9 milliards. Elle se situe ainsi à 93,6 % du PIB, soit 1,8 point de plus que fin 2013. A ce rythme, la dette pourrait donc avoir déjà dépassé les 2.000 milliards lors du deuxième trimestre.
    Mais les chiffres trimestriels de l’Insee doivent être interprétés avec précaution : le Trésor émet beaucoup de titres au premier semestre pour sécuriser son programme, ce qui accroît la trésorerie et la dette. Cette dernière est moins dynamique ensuite.
    Dans son programme de stabilité, envoyé début mai à Bruxelles, Bercy estime que la dette publique se montera à 95,6 % du PIB cette année et l’an prochain, avant d’entamer sa décrue à compter de 2016 (à 94,2 %). Mais la Cour des comptes n’y croit pas, jugeant « probable » une augmentation du taux d’endettement de la France « au moins jusqu’à la fin de 2015 ».

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  • Parlement : des patriotes refusent de révérer l’hymne d’occupation

    Tandis que les élus frontistes restaient assis, les eurosceptiques et eurocritiques rassemblés autour du souverainiste Nigel Farage ont tourné le dos à l’orchestre et au reste de l’hémicycle, lorsque les notes de l’hymne européen ont résonné ce mardi 1er juillet 2014 :

    Via NDF

  • B. Gollnisch : Entretien pour la rentrée parlementaire à Strasbourg

     

    Entretien avec Bruno Gollnisch à l’occasion de la rentrée parlementaire de juillet 2014.

    • Rentrée du Parlement européen : pas de groupe pour le Front mais de belles ambitions.
    • L’hymne de leur État : une belle œuvre de Beethoven mais qui ne représente plus que cela pour nous.
    • Les menteurs du Parlement : socios-démocrates, libéraux ou chrétiens démocrates, symboles de l’UMPS supranational.
    • BNP Paribas : l’impérialisme Yankee à l’état chimiquement pur.
    • Le cas Vincent Lambert : une société à l’agonie qui condamne à faire mourir de faim.

     

    http://gollnisch.com/2014/07/02/entretien-rentree-parlementaire-strasbourg/