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  • Le gouvernement lance la mobilisation pour tuer

    Le nombre de chômeurs explose, la dette du pays augmente, la criminalité n'a jamais été aussi importante... mais la seule préoccupation de ce gouvernement est l'avorter.

    L’accès à l’avortement se complique pendant l’été avec la fermeture de nombreuses structures pour les congés, au point que le gouvernement a lancé vendredi un appel à la «mobilisation». En cet anniversaire du début de la Grande guerre, cet instinct morbide est stupéfiant. Marisol Touraine a rappelé aux Agences régionales de santé (ARS) sa «détermination à ce qu’une permanence soit assurée dans chaque territoire» pour la pratique des avortements pendant l’été. Elle entend ainsi

    «lever les obstacles territoriaux qui peuvent encore se dresser contre l’égalité d’accès des femmes à ce droit fondamental».

    Planquez les femmes enceintes dans des tranchées, bientôt ils viendront les éventrer à la baïonnette.

    Michel Janva

  • Najat Belkacem et le triple mensonge de l’IVG

    Le Conseil constitutionnel a validé la suppression de la notion de « situation de détresse » pour avoir recours à l'avortement. Le Nouvel Observateur a demandé laréaction de Najat Vallaud-Belkacem, ministre des Droits de la femme. Naturellement, elle s’en félicite, et en profite pour réitérer le triple mensonge, la triple imposture du droit à l’avortement, dans une seule phrase :

    « Je considère moi que pouvoir disposer librement de son corps est non seulement un droit mais est même le préalable à l'autonomie et à la liberté véritable des femmes. Ce texte permet de véritablement consacrer le droit à l'IVG. »

    Non, Madame Belkacem. Comme on le sait encore dans votre (autre) pays, avec l’avortement la femme ne dispose pas de son corps mais du corps et de la vie d’un autre, d’un tout petit être humain sans défense.

    Non, Madame Belkacem. Ce n’est pas une liberté véritable que de pouvoir légalement tuer un enfant, son propre enfant.

    Non, Madame Belkacem. On n’a pas le droit d’utiliser le mot « consacrer » quand il s’agit d’un meurtre, et rien ne peut consacrer un droit qui n’existe que dans une législation illicite, car on n’a jamais le droit de tuer des innocents, et de camoufler le meurtre sous le sigle mensonger IVG. Comme s’il s’agissait de seulement interrompre un processus que l’on pourrait reprendre...

    Tout à l’heure dans mon épicerie préférée j’entendais deux jeunes femmes qui se disaient l’une à l’autre qu’elles ne voulaient pas d’enfants. L’une parlait d’une de ses amies qui avait eu un enfant « par accident », et qui était tombée enceinte une nouvelle fois « par accident ». Eh bien « celui-là aussi elle l’a gardé ». Elle a gardé quoi ? sinon son enfant, et non pas une excroissance de son corps.

    Mais ce qui m’a choqué était l’insouciance du propos. Cette amie pouvait garder ou ne pas garder son enfant. L’une ou l’autre possibilité était envisagée avec le même sourire. Elle pouvait le garder ou le jeter. C’est moralement équivalent.

    Et l’on parle encore de civilisation…

    http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2014/08/01/najat-belkacem-et-le-triple-mensonge-de-l-ivg-5421283.html

  • La Ligue de Défense Juive bientôt dissoute par le ministère de l’Intérieur ?

    Le ministère de l’Intérieur étudie la possibilité de dissoudre la Ligue de défense juive (LDJ), milice communautaire, a annoncé Libération qui cite « une source policière haut placée » et révèle que « la DLPAJ (Direction des libertés publiques et des affaires juridiques du ministère de l’Intérieur) travaille à temps plein pour étudier la possibilité d’une interdiction de la LDJ« .

    « Nous procédons à l’analyse juridique la plus fine possible dans le respect du droit« , a-t-il été confirmé à l’AFP. La dissolution pourrait être prononcée malgré que la LDJ n’est pas une association légalement constituée, mais un groupement de fait.

    Même le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, avait jugé cette organisation « dans l’excès« , « dans des actes qui peuvent être répréhensibles et qui doivent être condamnés« .

    La LDJ s’inspire de la Jewish Defense League, qualifiée de « groupe terroriste » par le FBI en 2001 et arbore l’emblème (un poing brandi dans une étoile de David noire sur fond jaune) d’un parti nationaliste religieux interdit en Israël, le Kach. Certains de ses membres, comme ceux du Betar, autre milice communaitaire présente en France, sont formés au krav maga, un sport de combat d’origine israélienne.

    http://medias-presse.info/la-ligue-de-defense-juive-bientot-dissoute-par-le-ministere-de-linterieur/13715

  • GPA : les acheteurs gardent le jumeau sain et refusent l’handicapé


    Une jeune Thaïlandaise de 21 ans avait accepté de devenir mère porteuse
    pour résoudre les problèmes financiers de sa famille, et avait conclu le marché avec un couple d’Australiens l’an passé.

    Pendant la grossesse, les médecins ont découvert qu’elle attendait des jumeaux, une petite fille en bonne santé et un petit enfant souffrant du syndrôme de Down. Le couple d’Australiens, apprenant la nouvelle a demandé à la mère porteuse d’avorter, ce qu’elle a refusé, invoquant ses convictions religieuses.

    Au moment de l’accouchement, les Australiens ont donc adopté le bébé en bonne santé refusant le petit handicapé et le laissant aux bons soins de sa mère et considérant sans doute la « marchandise » imparfaite, ils n’ont pas réglé entièrement leur dû. La mère attend toujours les 2341 dollars promis après l’accouchement.

    Cette dernière a alors témoigné, appelant à la vigilance : « Ne pensez pas qu’il ne s’agit que d’argent, a-t-elle confié au Sydney Morning Herald. Si quelque chose tourne mal, personne ne vous aide et si le bébé est abandonné de la société, nous devons en prendre la responsabilité ».

    Le « bébé-marchandise » n’est pas parfait, ils ont refusé de régler leur dû

    Pour tenter d’élever et de venir en aide au petit garçon, cette jeune mère a fait appel à la générosité sur internet, et les Australiens, choqués, ont été très généreux.

    Grâce à l’argent récolté, le petit garçon, âgé de six mois, a pu être hospitalisé pour une grave infection pulmonaire, en Thaïlande. Son état de santé est jugé inquiétant. Les autorités australiennes, répondant à une vague d’indignation populaire ont ouvert une enquête sur ce drame.

    Une fois encore, lorsque l’idéologie s’incarne, elle devient dramatique et il en est encore pour s’offusquer des conséquences d’une cause qu’ils continuent à soutenir… Si l’enfant devient une marchandise que l’on peut vendre et acheter, les clients le traiteront comme tel : c’était évidemment un drame prévisible, comme il y en aura d’autres si l’on ne stoppe pas cette idéologie destructrice.

    http://www.contre-info.com/

  • Les idéologues du gender n'assument pas leur radicalisme

    Mathieu Bock-Côté est sociologue, chargé de cours à HEC Montréal et chroniqueur au Journal de Montréal ainsi qu'à la radio de Radio-Canada. Dans une tribune publiée sur Figarovox, il dénonce le gender. Extrait :

    "Un autre combat se profile devant les tribunaux: celui visant à démonter l'obligation légale d'assigner aux enfants un sexe à leur enfant à la naissance. Elle est accusée de «transphobie». C'est aussi dans cet esprit, d'ailleurs, qu'on célèbre les innovations faisant la promotion d'une éducation non-genrée. L'école est évidemment un terrain de bataille, et cela depuis quelques années déjà. On se souviendra ainsi de ce manuel scolaire qui en 2009, offrait aux enfants du primaire trois manière de définir leur identité sexuelle: je suis 1) un garçon 2) une fille 3) je ne sais pas encore. Comment ne pas y voir une forme d'endoctrinement qui pousse, au nom de réalités marginales, à la déconstruction des repères humains les plus fondamentaux?

    Étrangement, les partisans de la théorie du genre n'assument jamais leur radicalisme et vont jusqu'à contester son existence. Ils présentent chacune de ces propositions comme autant d'ajustements inévitables et nécessaires du droit, de l'administration et de la pédagogie à une société plurielle entendant lutter contre toutes les discriminations. Il n'est pas interdit d'y voir une terrible hypocrisie. Chose certaine, on touche ici la question anthropologique. Quoi qu'en pensent les adeptes d'une réduction matérialiste de la vie politique, cette dernière ne saurait se réduire aux seuls enjeux économique. On s'imagine mal les hommes de bon sens consentir à la dissolution de la question anthropologique dans l'individualisme extrême camouflées dans la rhétorique des droits."

    Michel Janva