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  • NRH #60: Campagnes de Russie

     Notre dossier s’articule autour de trois campagnes très différentes. D’abord celle de 1812 ayant Napoléon pour acteur principal, face au mystérieux empire russe. Puis la campagne de 1941-42 avec Hitler en conquérant malchanceux face au peuple russe moins uni qu’on ne l’a dit. Enfin, si l’on accepte de jouer sur les mots, un troisième volet prend prétexte de la campagne électorale de 2012 pour évoquer l’avenir de la Russie après l’effrayant bilan de soixante-dix ans de communisme[...].

    La suite: http://www.dominiquevenner.fr/2012/05/1812-1942-2012-camp...

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    Edito de la Nouvelle Revue d’Histoire n°60 – avril-mai 2012

    L’histoire parallèle de la Russie et de l’Europe rejoint les commémorations de 1812 pour réveiller un passé oublié. Le hasard des millésimes et de troublantes similitudes imposent ainsi le rappel de 1942, l’année de Stalingrad, venant après l’opération Barbarossa de 1941.

    À la tête de la Grande Armée, Napoléon traversa le Niémen le 24 juin 1812. Cent trente ans plus tard, à deux jours près, les Panzer d’Hitler en firent autant. Les conséquences furent plus lentes à venir, mais dans des proportions bien pires pour tous les belligérants. Quant aux causes, on sait qu’elles se ressemblaient étrangement. Faute de pouvoir atteindre l’Angleterre protégée par son insularité, les deux assaillants s’en prirent à la Russie, son allié principal sur le continent.

    Avec un peu d’agilité, comment ne pas relier par la pensée les immenses conflagrations de 1812 et 1942 dont la Russie fut le théâtre et l’événement fort différent et en apparence infime du 4 mars 2012 ? Qu’elle plaise ou déplaise, l’élection de Vladimir Poutine à la présidence de son pays n’est pourtant pas un fait négligeable. Sa signification a une autre portée que les rites périodiques des vieilles démocraties « occidentales ». Cette élection confirme un effort entrepris depuis une douzaine d’années pour arracher la Russie au gouffre mortel où l’avaient précipitée soixante-dix ans de communisme, suivis des dix années de chaos et de pillage eltsiniens (1). Que l’on s’en indigne ou que l’on s’en félicite, par son discours de Munich du 10 février 2007 et les choix qui l’ont accompagné, le président Poutine a également inauguré un surprenant retour à l’ancienne tradition européenne des relations entre les États. Dans cette tradition, les États, petits ou grands, étaient considérés comme souverains et seuls juges de leurs lois et de leur façon de gouverner. Cela excluait tout droit d’ingérence d’autres États nécessairement plus puissants. Un droit qui masque toujours des visées impériales sous des prétextes humanitaires. Les Etats-Unis ont pu de ce fait intervenir militairement dans les affaires intérieures de l’Irak pour en contrôler les ressources pétrolières, alors que la réciproque n’était pas vrai. C’est à cette loi du plus fort, fardée de pieuse « morale », que la nouvelle Russie, soucieuse de sa souveraineté, entend semble-t-il mettre un terme. Cela dérange (1). Mais si l’on prend soin de conserver un peu de mémoire historique, un tel souci peut se comprendre. Au cours de son histoire, la Russie fut parfois conquérante, mais elle fut aussi très souvent placée sous la menace de conquêtes. Avant les cruels épisodes de 1812 puis de 1941-1945, la Russie avait été plusieurs fois envahie ou menacée. Par les Mongols, fort longtemps, les Lithuaniens que repoussa Alexandre Nevski, ou encore par les Suédois de Charles XII.

    Ces faits sont bien connus, mais plus ou moins oubliés. Notre dossier les rappelle. C’est l’originalité de La Nouvelle Revue d’Histoire depuis sa création, voici dix ans cette année, que de réveiller ce que d’autres préfèrent dissimuler.

    Au début du siècle dernier, dans une préface à une nouvelle traduction duFaust de Goethe, Anatole France avait écrit quelques vérités qui nous semblent toujours plus actuelles : « C’est le passé qui fait l’avenir, et l’homme n’est au-dessus des animaux que par la longueur de ses traditions et la profondeur de ses souvenirs. […] L’altération de la mémoire est chez les peuples comme chez les hommes le premier signe de la dégénérescence. »

    Nous demandons au passé d’éclairer le présent, ce qui inclut l’agrément d’apprendre et de comprendre. Sans oublier celui de découvrir les faits cocasses, héroïques ou surprenants que recèle l’Histoire. De multiples façons, nous offrons aussi des occasions et des prétextes à la réflexion. À chaque lecteur d’en faire son profit si cela lui chante et selon son bon plaisir.

     Dominique Venner

      Notes

    1. Avant et après les élections russes du 4 mars 2012, l’observateur neutre n’a pu qu’être frappé par l’unanimité de la presse française. Pour l’essentiel, elle épousait les vues de la puissance suzeraine de l’ancienne zone atlantique. Partout, une même animosité dans les commentaires de journaux aux opinions en apparence aussi différentes que Le MondeLe Figaro ou Libération. On les a vu user à l’égard de la Russie d’une « langue de bois » rappelant les beaux jours de l’ancienne Pravda. Une Pravda de la bien pensance occidentale.

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/archive/2012/05/15/nrh-60-avril-mai-2012-campagnes-de-russie.html

     

  • Marchandisation des enfants : les pédophiles se frottent les mains

    Abandonner un enfant que vous avez adopté, mais dont vous ne voulez plus, et le revendre à de nouveaux parents,  c’est déjà une réalité sordide aux États-Unis

    Internet regorge de forums spécialisés en commerce d’enfants. Un marché à deux vitesses. Une adoption internationale se négocie 20.000 dollars en moyenne. Un enfant que les parents adoptifs mettent à la revente se négocie au rabais environ 3.500 dollars, plus frais d’agence, déductible d’impôts si vous êtes citoyen américain.  Aux Etats-Unis, on appelle cela le « rehoming« . Des centaines d’agences privées en ont fait leur activité très lucrative. On y vend des enfants, mais en seconde main, comme une simple voiture d’occasion.

    Les parents adoptifs qui veulent se débarrasser d’un enfant postent une annonce en ligne avec une description de l’enfant (âge, physique, caractère, …). Une simple procuration chez le notaire suffit à transférer l’enfant d’un couple de parents à un autre.

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    Yahoo et Facebook n’ont aucun problème de conscience à se faire les complices de ce marché en hébergeant les annonces de ces parents indignes.

    Ce marché existe déjà depuis cinq ans. On estime qu’un enfant y est vendu chaque semaine. Certains enfants sont revendus plusieurs fois. Généralement, les parents adoptifs revendeurs se mettent aussitôt en quête d’un autre enfant comme s’il s’agissait d’un simple jouet qui n’a qu’un temps.

    http://medias-presse.info/marchandisation-des-enfants-les-pedophiles-se-frottent-les-mains/14315

  • Les « sauveurs » de l’Irak

    Replaçant l’actuelle opération jihadiste en Irak dans la longue période, le géographe Manlio Dinucci ne l’interprète pas comme un débordement de la guerre en Syrie, mais comme la troisième guerre états-unienne en Irak. Par conséquent, pour lui, c’est la guerre en Syrie qui est un débordement de la guerre en Irak.

    Les premiers chasseurs bombardiers états-uniens, qui en Irak ont attaqué le 8 août des objectifs dans la zone contrôlée par l’Émirat islamique, ont décollé du porte-avions baptisé Georges H.W. Bush, en l’honneur du président républicain auteur en 1991 de la première guerre contre l’Irak. Continuée par son fils, George W. Bush, qui en 2003 attaqua et occupa le pays, en accusant Saddam Hussein (sur la base de « preuves » qui se sont ensuite révélés fausses) de posséder des armes de destruction de masse et de soutenir Al-Qaïda. Après avoir employé dans la guerre intérieure en Irak plus d’un million de soldats, plus des centaines de milliers d’alliés et de mercenaires, les États-Unis en sont sortis substantiellement vaincus, sans arriver à réaliser l’objectif de plein contrôle de ce pays, de première importance par sa position géostratégique au Proche-Orient et ses réserves pétrolifères.

    C’est là qu’entre en scène le président démocrate (et Prix Nobel de la paix) Barack Obama, qui en août 2010 annonce le début du retrait des troupes US et alliées et la naissance en Irak d’une « aube nouvelle ». Aube rouge sang en réalité, qui signe le passage de la guerre ouverte à celle secrète, que les US étendent à la Syrie, frontalière avec l’Irak. Dans ce cadre se forme l’État Islamique en Irak et au Levant (ÉIIL) qui, tout en se déclarant ennemi juré des États-Unis est en fait fonctionnel à leur stratégie. Ce n’est pas un hasard si l’ÉIIL a construit le gros de ses forces justement en Syrie, où nombre de ses chefs et militants sont arrivés après avoir fait partie des formations islamistes libyennes qui, d’abord classées terroristes, ont été armées, entraînées et financées par les services secrets états-uniens pour renverser Mouamar el-Kadhafi. S’étant unis à des militants en majorité non-Syriens —provenant d’Afghanistan, de Bosnie, de Tchétchénie et d’autres pays— ils ont été approvisionnés en armes par un réseau organisé par la CIA, et infiltrés en Syrie surtout à travers la Turquie pour renverser le président Bachar el-Assad.

    De là l’ÉIIL a commencé son avancée en Irak, en attaquant notamment les populations chrétiennes. Il a ainsi fourni à Washington, resté jusque là officiellement spectateur en exprimant tout au plus de « fortes préoccupations », la possibilité de commencer la troisième guerre d’Irak (même si Obama, évidemment, ne la définit pas comme telle). Comme il l’a déclaré en mai dernier, les États-Unis utilisent la force militaire dans deux scénarios : quand leurs citoyens ou intérêts sont menacés ; quand se produit une « crise humanitaire » de proportions telles qu’il est impossible de rester à regarder sans rien faire.

    Après avoir provoqué en plus de vingt ans, par la guerre et l’embargo, la mort de millions de civils irakiens, les États-Unis se présentent maintenant aux yeux du monde comme les sauveurs du peuple irakien. Il s’agit —a précisé Barack Obama— d’ « un projet à long terme ». Pour la nouvelle offensive aérienne en Irak, le CentCom (dont l’ « aire de responsabilité » est le Proche-Orient) dispose déjà de 100 avions et 8 navires de guerre, mais il peut utiliser beaucoup d’autres forces, notamment les 10 000 soldats US stationnés au Koweït et 2 000 Marines embarqués.

    Les États-Unis relancent ainsi leur stratégie pour le contrôle de l’Irak, y compris pour empêcher la Chine, qui a établi de forts liens avec Bagdad par l’intermédiaire du Premier ministre irakien Nouri al-Maliki, d’accroître sa présence économique dans le pays. Dans ce cadre, Washington a tout intérêt à la partition de fait du pays en trois États —kurde, sunnite et chiite— plus facilement contrôlables. Dans ce sillage, la ministre italienne des Affaires étrangères Federica Mogherini promet un « soutien y compris militaire au gouvernement kurde », mais pas au gouvernement central de Bagdad.

    Traduction 
    Marie-Ange Patrizio

    Source 
    Il Manifesto (Italie)

    http://www.voltairenet.org/article185069.html

  • Manifestation à Ajaccio le mardi 26 août contre le Piss Christ

    Le musée Fesch d’Ajaccio accueille une exposition du photographe Andres Serrano, dont le fameux Piss Christ qui montre un crucifix plongé dans de l’urine. Le Christ a partagé notre condition humaine, il est non seulement notre Dieu, mais notre frère, Qui accepterait de voir les photos de son père, de sa mère, de l’un des siens, traitées ainsi et exposées au public ? Que le moment suprême de la Rédemption des hommes, le moment où le Christ offre Sa vie sur la croix pour sauver les êtres humains soit associé à des déjections, n’est pas pour surprendre, car UNE TELLE HAINE ETAIT DEJA ANNONCEE DANS L’ÉVANGILE, et les profanations, au cours de l’histoire, n’ont pas manqué. Ici, elle est portée par la cupidité d’un « artiste », un photographe « malin » (Corse-Matin du samedi 28 juin), qui utilise le scandale comme argument publicitaire, procédé vieux comme le monde... Espérons au moins qu’il éprouve un petit sentiment d’infériorité devant les merveilles du musée Fesch ?

    Nous ne sommes ni des excités ni des provocateurs, mais nous sommes écoeurés qu’une telle ignominie soit acceptée sur la terre corse, terre de chrétienté, terre mariale, Terre de Pascal Paoli aussi qui a mis en pratique, avec ses compagnons d’armes, une Constitution fondée sur la doctrine chrétienne, qui se considérait en tant que chef d’État comme le lieutenant du Christ, qui a créé une université dont tous les enseignants étaient des religieux, dont l’ami, Don Gregorio Salvini, prêtre corse, était l’auteur de la Giustificazione exposant les fondements d’Église de toute l’action des Corses au XVIIIème siècle, Terre de Napoléon Bonaparte également qui eut le courage dès son arrivée au pouvoir d’ouvrir les prisons et les camps où croupissaient les prêtres, de faire chanter un Te Deum à Notre Dame de Paris rendue au culte et de restituer au peuple sa liberté de conscience et de religion alors que toutes les puissances d’argent étaient violemment anticatholiques, Terre du Cardinal Fesch, enfin, oncle de Napoléon, lui qui a donné à la Corse des collections d’une valeur inestimable, à caractère religieux le plus souvent, et sans lesquelles le musée Fesch n’existerait pas : tous ces tableaux de la Mère à l’Enfant, toutes ces Madones qui couvrent les murs du musée et vont côtoyer cette insulte délibérée au Christ ! Mais aussi terre des confréries, si fortes dans l’île et ressuscitées à la fin du XXème siècle pour retrouver les chants sacrés de nos ancêtres, terre des pèlerinages, terre des processions précédées de la croix du Christ, celle-là même qu’on tente de profaner dans cette exposition.

    La liberté a toujours primé dans le coeur des Corses parce que le maître-mot de la mentalité insulaire est RESPECT, respect des autres et respect de soi. Et cette atteinte au Christ, au plus élémentaire respect qui est dû à notre société et à notre culture, est une atteinte à chaque Corse, qu’il soit chrétien ou non, croyant ou non, qu’importe ! Ce manque de respect n’a pas sa place dans notre île. En Syrie, de jeunes hommes ont été crucifiés, acceptant une mort atroce, parce qu’ils n’ont pas voulu renier le Christ. Au Pakistan, au Soudan, et ailleurs, des femmes sont emprisonnées dans des conditions destinées à les briser, pour avoir refusé de renier le Christ. Tous ont dit : « NOUS NE POUVONS PAS ». Nous, qui ne craignons, ni pour notre vie, ni pour notre liberté, NOUS NE POUVONS PAS accepter qu’une telle flétrissure entache la terre corse, tout simplement parce qu’en Corse on n’attente au respect, ni de Dieu, ni des hommes.

    C

    Michel Janva

  • Le Figaro envisage la démission de François Hollande en 2016. Et si la réalité rattrapait la fiction ?

    Pour son feuilleton de politique-fiction de l’été, Le Figaro nous livre ce matin une pleine page qui envisage le scénario de la démission de François Hollande avant la fin de son mandat !

    Fiction ou Anticipation ? Au-delà du voeu de beaucoup de Français, l’impopularité de François Hollande cumulée à son incapacité à réaliser ses promesses en matières économiques et sociales pourrait bien le pousser dans les cordes.

    Mais que se passerait-il alors ?

    Le Figaro envisage un scénario dans lequel Jean-Pierre Raffarin devient président par intérim. Avec une campagne électorale très hostile à l’immigration durant laquelle Marine Le Pen donne le ton, tandis qu’à gauche comme à droite, les ténors radicaliseraient leurs discours, Manuel Valls se voulant à la droite de la gauche..

    Amusant. Prophétique ?

    http://medias-presse.info/le-figaro-envisage-la-demission-de-francois-hollande-en-2016-et-si-la-realite-rattrapait-la-fiction/14362

  • La gendarmerie algérienne fiche les chrétiens

    Lu ici :

    "La gendarmerie algérienne mène une enquête discrète sur les chrétiens de Kabylie. Elle a établi un fichier individuel dans lequel sont mentionnés: le nom, l'âge, le statut social, les ressources financières, l'opinion politique et le niveau scolaire de chaque chrétien. Les services des renseignements généraux ont infiltré tous les lieux de culte et certains lieux ont même été dévoilés. 
    Le nombre de chrétiens aurait largement dépassé celui des musulmans dans des localités comme Tizy Wezzu, Makouda, At Wagnun, Iwadiyen…
    «On nous a dit que l'Etat algérien compte ne pas nommer à des postes clés des citoyens Kabyles de confession chrétienne. C'est une ségrégation. Un chantage pour notre communauté qui pratique sa religion dans une parfaite tolérance», a confié un chrétien kabyle au journal Tamurt. Ce recensement a commencé à être dénoncé par des chrétiens kabyles depuis mai 2014".

    Le Salon Beige

  • "Les trois visages du Coran"

    L'Observatoire de l'islamisation a enquêté pour nous sur la construction du Coran. Une interview érudite et très intéressante.

    "Interview de Leila Qadr pour son ouvrage "Les 3 visages du Coran" aux éditions de Paris (2014) co - écrit avec Arrun Amine Saad Edine, faisant le point sur les dernières recherches historiques, archéologiques, scripturaires, expliquant la construction du Coran. La construction progressive du livre a compilé des bribes de la Bible, des apocryphes bibliques, demidrash juifs, et des fabliaux de l'époque. Chaque récit coranique trouve sa source dans des textes pré - existants. "Le Rappel" est le mot désignant le coran dans… le coran. Rien de nouveau dans cette recomposition. Le nom de Muhammad est présent seulement 4 fois sans parenthèses, et est massivement présent entre parenthèses. Pourquoi ? 

    Selon le projet de recherche corpus coranicum de l'université de Berlin-Branderburgishe qui dispose d'un fond unique au monde de primo coran photographiés dans les années 30 :

    "L’épigraphie himyarite et aksûmite, domaines dans lesquels des découvertes majeures ont été faites au cours du dernier demi-siècle, modifie radicalement la chronologie de certains emprunts : on a découvert que des termes aussi importants que salât (« prière ») et zakât (« aumône légale ») sont déjà utilisés dans l’épigraphie himyarite plus de 200 ans avant l’islam"

    Voir aussi à la Bibliothèque Nationale de France un des feuillets coraniques les plus anciens conservés."

     

    Marie Bethanie

  • Compte rendu du CMRDS 2014

    Le Camp Maxime Réal del Sarte s’achève pour cette année. S’y est distillé ce savant mélange de formation intellectuelle, de préparation à l’action et de camaraderie dont seule l’Action Française a le secret. 

    C’est dans le superbe cadre du château d’Ailly, dans le Roannais que s’est déroulée la 61éme édition du CMRDS.

    D’une durée de 4 jours le camp fut cette année suivi de l’université d’été de l’Action Française, ouverte à tous.

    184 personnes, venues de tout le pays se sont rassemblées, un seul but en tête : Se former afin d’être utiles à leur nation, par le combat royaliste dont l’aboutissement est le seul salut possible pour la France.

    Des conférences de grande qualité ont été tenues au cours de cet événement, elles seront publiées dans les prochaines semaines sur notre YouTube. L’ambiance fut studieuse pour la jeunesse de France qui eût à travailler lors de cercles de formation.

    C’est une édition 2014 fructueuse sur tous les plans qui s’achève, présageant une année militante dense et efficace où l’Action Française saura se faire entendre.

    A bas la République ! Vive le Roi !

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Compte-rendu-du-CMRDS-2014

  • Fermeture des McDo en Russie : représailles ou problèmes sanitaires ?