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  • Le trajet parisien de la Manif pour tous du 5 octobre


    Parcours 5 octobre

    (Cliquer pour agrandir)

    Rendez-vous à 13h à Paris, Porte Dauphine. Une autre manifestation est prévue à Bordeaux le même jour.

    Pour réserver vos places dans des cars ou des trains se rendant à l'une ou l'autre des manifestations, c'est par ici.

    Louise Tudy

  • Et contre l’islamisme sur Twitter, on ne fait donc rien ?

    Passivité criminelle ou manque de moyens financiers des structures policières ?   

    Je viens de passer deux heures à surfer sur quelques comptes Twitter, l’un entraînant l’autre. Ce que j’ai vu et lu est effrayant, et ne laisse augurer rien de bon de notre futur immédiat, tant il y a déchaînement de haine dans les tweets visibles de tous, y compris des plus fragiles.

    Je veux parler essentiellement de cette actualité qui préoccupe non seulement les Français mais tous ceux qui vivent dans un pays où être chrétien, juif ou agnostique n’est pas un crime : les actes commis par des islamistes arabes et occidentaux.

    Sur Twitter, et par extension sur Facebook et autres réseaux sociaux, tout peut être diffusé. L’amour comme la haine. Les insultes comme les compliments. Ces réseaux dits sociaux mais souvent asociaux, permettent de déverser ses sentiments, ses ressentiments, plus librement encore que dans un cabinet de psychiatrie ou dans un confessionnal.

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  • L'Etat français complice de trafic d'enfants

    Car c'est bien de trafic d'enfants qu'il s'agit en l'occurrence. Benoît Dacre-Wright sur le site d'Alliance Vita :

    "L’avis de la cour de cassation rendu le 22 octobre sur l’adoption d’enfants nés de GPA à l’étranger, et le refus  du chef de l’état de faire appel de l’arrêt de la CEDH concernant l’inscription à l’état civil d’enfants nés de GPA, font clairement entrer la France dans une logique de marché procréatif. En effet, la justice accepte le contournement de la loi Française en autorisant l’adoption d’enfant conçus à l’étranger dans des conditions exclues par la loi  car contraires à l’intérêt de l’enfant. En s’inclinant devant le fait accompli, l’Etat français légitime un système de production et de marché où l’enfant subit le jeu de l’offre et de la demande.

    Il ne s’agit pas de nier le désir d’enfant, ni la réelle souffrance de voir ce désir insatisfait. Mais cela ne doit pas faire oublier que l’adoption a pour rôle d’offrir une famille à un enfant, et non d’offrir un enfant à un couple. L’insatisfaction des adultes, quelle qu’en soit la cause et aussi pénible qu’elle soit, ne justifie pas de sacrifier l’intérêt premier de l’enfant. Or c’est ce qui se passe lorsqu’une PMA est réalisée non plus pour compenser une infertilité médicale, mais pour satisfaire la revendication d’un droit à l’enfant par un couple qui n’offre pas des conditions d’accueil reconnues par la loi comme conformes à l’intérêt de l’enfant. La suite inéluctable est la GPA qui s’inscrit strictement dans la même logique, si ce n’est qu’elle met en pleine lumière le marchandage dont l’enfant est devenu l’objet, et dont le parent  biologique se trouve délibérément exclu.

    C’est pourquoi il est urgent de dénoncer fermement ces pratiques et proclamer solennellement que l’humain n’est pas un objet de tractations. C’est une urgence morale face à la multiplication des transgressions éthiques et à leur impunité délibérée. C’est aussi une urgence politique tant le gouvernement  pourrait être tenté de se servir des revendications sociétales pour redorer son blason passablement terni aux yeux  de sa propre majorité, mais redoute pour la même raison que ne se rouvre un front de contestation sur les sujets sociétaux.

    C’est pour toutes ces raisons que nous devons être nombreux à manifester le 5 octobre pour exprimer notre désapprobation tout autant que notre détermination. Notre devoir, aujourd’hui et face aux générations futures, est de nous lever pour mettre un coup d’arrêt au trafic d’enfants et à la marchandisation de l’être humain."

    Rendez-vous à Paris et Bordeaux le 5 octobre. Rien n'est jamais perdu.

    Marie Bethanie

  • Guaino hostile aux primaires, désapprouve la stratégie de Sarkozy

    Le député UMP Henri Guaino a réaffirmé vendredi son hostilité à des primaires en vue de 2017 et son désaccord avec la stratégie de Nicolas Sarkozy de viser la présidence de l'UMP, une "opération extrêmement compliquée" pour un ancien président.

    Jeudi soir à Lambersart (Nord), M. Sarkozy a déclaré qu'il y aurait "des primaires" à droite en vue de l'élection présidentielle de 2017. Il n'a pas précisé s'il entendait qu'elles soient réservées aux seuls militants UMP ou ouvertes au centre, comme le souhaite notamment Alain Juppé.

    "Je suis sur le fond très hostile" à des primaires, a réaffirmé M. Guaino sur LCI et Radio Classique.

    "Le quinquennat fut une faute majeure dans la Ve république auquel on a rajouté les primaires pour faire comme les socialistes. On a mis sens dessus dessous les institutions. On commence les campagnes présidentielles le lendemain ou le surlendemain de l'élection, de l'entrée à l'Elysée d'un nouveau président", a-t-il déclaré.

    Pour son ancien conseiller spécial à l'Elysée, M. Sarkozy a eu "une mauvaise idée" en se présentant à la présidence de l'UMP.

    "C'est une opération extrêmement compliquée". "Symboliquement, un ancien président de la République qui revient à la tête d'un parti, c'est compliqué à se représenter", a ajouté le député des Yvelines.

    Pour lui, il est "difficile de confondre l'exercice de la campagne présidentielle et l'exercice de la campagne pour la présidence de l'UMP. Dans un cas, on parle aux militants, on doit reconstruire une identité politique pour sa famille politique dans l'autre on s'adresse à tous les Français".

    "Je ne souhaite qu'une chose, c'est qu'il réussisse", a dit encore M. Guaino. "Il est vrai que le vide depuis son départ n'a pas été rempli et que le spectacle donné par l'opposition a été pathétique". "Je le soutiens, je lui ai accordé mon parrainage", a-t-il précisé.

    source : Afp via nouvel obs

    http://www.voxnr.com/cc/dep_interieur/EuEElEyFlEYEHeRyhd.shtml

  • « Pas d’amalgame » : pourquoi le message ne passe plus ?

    Dès le lendemain de l’assassinat d’Hervé Goudel, la classe politico-journalistique n’a pas manqué de s’inquiéter des risques d’amalgame entre les djihadistes affiliés à l’EI et les musulmans français. Outre les grands prêtres de la bien-pensance, nos maîtres ont envoyé sur le front médiatique l’iman Chalghoumi, sympathique recteur de la mosquée de Drancy, et l’incontournable Dalil Boubakeur, recteur de la Grande Mosquée de Paris. Pour donner crédit aux lassantes imprécations de la religion bobo, ils ont aussi veillé à relayer l’initiative incontestablement courageuse de ces musulmans qui diffusent sur la Toile une photo d’eux même accompagné du slogan « Not in my name », histoire de se désolidariser clairement des crimes djihadistes. À en juger par la tonalité des réactions des lecteurs ou des réactions de comptoir, il semble que le message ait désormais du mal à passer.

    Pourquoi, alors que le Français lambda continue à saluer amicalement son voisin musulman sur le pas de sa porte ou à la sortie de l’école des petits, pourquoi ne supporte-t-il plus ce mantra du padamalgame ?

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  • Mères porteuses, histoires d’argent et embryons volés

    Un article du Guardian lève le sombre voile sur l'industrie des mères porteuses au Mexique.

    Cinq jour après sa césarienne, Nancy monta dans un bus de nuit à Villahermosa et rentra chez elle au bout de 10h de voyage. A la place d’un bébé, elle serrait une liasse de billets dissimulée dans un sac à main bleu qu’elle ne perdit jamais de vue. Le cash était le versement final de son salaire (7000£) pour avoir porté le bébé de deux gomosexuels de San Francisco.

    Après une année traumatisante pendant laquelle elle fut abandonnée par l’agence censée s’occuper d’elle, et accusée faussement de réclamer un plus gros salaire aux futurs parents, Nancy se demandait vraiment si tout cela avait valu le coup. « Tout ce que je voulais c’était récupérer l’argent, rentrer chez moi, me reposer et oublier tout ça » dit la jeune femme de 24 ans dans un quartier pauvre de Mexico City. « Et maintenant l’argent s’est envolé. »

    Cette histoire en dit long sur le contexte au Mexique où les mères porteuses sont de plus en plus nombreuses. On entend de plus en plus d’histoires sordides d’agences malhonnêtes dérobant argent et embryons, soumettant les femmes enceintes à des abus psychologiques, et trafiquant leurs systèmes de paiement. Il s’avère aussi que les mères porteuses sont recrutées sans sérieuse appréciation de leur stabilité mentale et physique. Une histoire relate comment la santé du nouveau-né en a pâti suite à une infection de la mère.

    Les agences se prétendent légitimes, mais en réalité elles opèrent pour la plupart à l’insu de la loi qui exige l’altruisme de leur commerce. Il arrive même que la féroce compétition amène les agences à « chiper » les mères porteuses des agences rivales.

    Le commerce de mères porteuses a été accepté dans quelques Etats d’Amérique, mais coûte environ 100 000$ ; les agences de tourisme de soins ont donc trouvé une niche profitable en coordonnant ce genre de services pour bien moins cher. Se faisant connaître surtout par Internet, s’adressant par-dessus tout aux homosexuels, les agences offrent des réseaux de donneurs, de cliniques, et de femmes disposées à « louer leur utérus », tout ceci pour moitié moins cher qu’aux US.

    Les agences arrivèrent en grand nombre au Mexique, promettant aux clients le sable, la mer, le soleil,... et une mère porteuse. Elles précisaient que l’endroit où avait lieu l’implantation par fécondation in vitro importait peu, du moment que la naissance avait lieu dans leur centre.

    Une des agences pionnières, Planet Hospital, est accusée d’avoir détourné les versements d’une douzaine de clients pour des procédures inachevées ou bâclées. L’agence, basée en Californie, fut poussée à la banqueroute et fait face à une investigation du FBI. Quand l’agence ferma, elle laissa 5 femmes enceintes et d’autres en attentes d’implantation.

    La vulnérabilité des mères porteuses tient en partie de leur posture délicate face à la loi. Le code civil de la région exige que la procédure ait des fins « altruistes », dans l’idée de miser sur l’affluence des femmes pauvres de la région pour aider des riches étrangers, souvent homosexuels, à devenir parents en échange de peu d’efforts. Beaucoup de mères porteuses viennent aider ces personnes à devenir parents, mais comptent surtout sur la rentrée d’argent, sans comparaison avec les salaires dérisoires des jobs qu’on leur propose. Or, réclamer un salaire les contraint à pénétrer dans ce terrain miné de non-dits et de désinformation.

    Une femme porteuse témoigne que le salaire est triple que celui qu’elle reçoit en tant que femme de ménage, et qu’elle le fait pour ses trois enfants. « C’est un boulot dur mais c’est mieux que la prostitution, ce qui est la seule autre chose que l’on vous propose ici pour gagner un peu plus. »

    Les agences ne mentionnent pas le salaire sur leurs sites internet, mais en entretien parlent aisément de l’altruisme comme une clause facilement contournable.

    Pour éviter des contrôles, l’agence Mexico Surrogacy concocta une aide charitable qui reçoit des « dons » de la part des futurs parents, don qui ensuite est remis à la mère porteuse sous forme d’ « aide ». Cette agence se félicite de tout faire pour prendre soin des mères porteuses, « leur capital le plus important », mais pourtant admet que ces femmes n’ont aucun recours légal pour forcer les agences à honorer leurs promesses. La mère porteuse peut se retrouver avec un enfant qu’elle n’avait pas prévu, si les clients changent d’avis durant la grossesse. Le contrat peut les nommer comme responsable du bébé, mais s’ils ne se présentent pas à la naissance, il n’y a aucune garantie pour la suite.

    Ceci étant, même les femmes directement victimes des aléas sombres de ce commerce ont du mal à renoncer aux promesses qu’il représente. Même Nancy, qui a encore du lait car elle n’a pas l’argent nécessaire pour prendre les médicaments nécessaires 4 mois après la naissance, songe à une deuxième tentative. «Je sais comment m’y prendre maintenant. »...

    Michel Janva

  • Education sexuelle des enfants : nouvelle initiative de dégénérés

    « Baby! Love your body! » est une émission pour enfants imaginée par Fannie Sosa et Poussy Draama.
    Elle souhaite devenir une plateforme participative pour réfléchir ensemble à des « espaces sex-positifs et body-positifs intelligents pour les enfants ».
     
    Le premier épisode (ils n’ont visiblement pas l’intention de s’arrêter là) de cette performance porno-artistique ultra kitsch et aussi coloré qu’un drapeau LGBTQI… a pour ambition d’éduquer nos bambins de 3 à 9 ans à la sexualité en « dédramatisant » le sujet.
     
    Pour mettre les enfants à l’aise et dans l’ambiance, on est dès les premières secondes abreuvé de tous les synonymes possibles du vagin: Minou, Chatte, Vulve, Foufoune, Moule…,  représenté symboliquement par un grand black drag queen d’un mètre quatre vingt dix répondant au nom de Clovis dans lequel rentrera quelques instants plus tard une blonde personnifiant le sexe fort qui lui n’aura pas droit a sa liste de synonymes. Gageons que cet oubli sera réparé au prochain épisode.