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  • Bernard Cazeneuve a demandé à Boubakeur de l’aider à « établir la sécurité en France »…

    Interrogé ce matin par le Figaro, Dalil Boubakeur, président du Conseil Français pour le Culte Musulman livre des réponses intéressantes…

    Il nous apprend d’abord que Bernard Cazeneuve, ministre de l’intérieur a demander de l’aide aux autorités musulmanes pour « établir la sécurité en France » lors d’une visite pendant le mois du Ramadan… Etonnant n’est-ce pas pour un ministre qui répète que la délinquance n’a rien à voir avec l’immigration ou que l’islamisme n’a rien à voir avec l’islam ? Etonnant pour un ministre qui n’a que la République « laïque, une et indivisible » à la bouche… Que veut monsieur Cazeneuve ? Une police musulmane qui fasse respecter le bon ordre républicain dans les quartiers sensibles ?

    Dalil Boubakeur aborde ensuite la question du djihad un peu embarassé… Mais contrairement à nos ministres auto-proclamés exégètes d’une religion dont ils ignorent tout, il confie : « dans l’islam il y a une variété, je dirais même une liberté mais aussi un certain nombre d’éléments qui peuvent aller vers la violence et le danger ». Le sujet est clos : il n’y a qu’un islam, plus ou moins radicalement interprété.

    Boubakeur affirme qu’il condamne les actes mais explique que si aucun « conservateur » ne siège au CFCM, il reste en relation avec ceux qu’il appelle ses« frères » parce qu’ils « ont la même vision spirituelle de l’islam ». Conclusion ? « L’unité des musulmans est plus importante que nos idées parfois différentes ».

    Mais qu’en sera-t-il donc si les djihadistes reviennent de Syrie et décident de mener ici le même combat que là-bas ? Les réponses de Dalil Boubakeur laissent pour le moins perplexe…

    http://www.contre-info.com/

  • 95% des enfants diagnostiqués avec la trisomie ont été éliminés

    Françoise Muller, membre correspondant de l'Académie nationale de pharmacie,écrit dans Le Figaro :

    "En 2010, plus de 55. 500 femmes ont accepté de subir une amniocentèse et l'on a dénombré 2 000 diagnostics de trisomie qui ont débouché, dans près de 95 % des cas, sur une demande d'interruption médicale de grossesse.

    Or, le test génomique relance un débat éthique car il permet de faire le diagnostic à un stade précoce. Les avortements pratiqués pour cause de trisomie ne seraient plus des interruptions médicales de grossesse, mais de simples IVG… D'autant que des études sont en cours pour identifier d'autres anomalies du caryotype fœtal. Entre un progrès médical évident et une dérive eugéniste hypothétique, seule une information rigoureuse, scientifiquement pertinente et médicalement utile peut aider les futurs parents à décider librement et en toute connaissance de cause."

    5% cela fait 100 survivants sur 2000. L'eugénisme n'est pas hypothétique, il est bien réel.

    Michel Janva

  • Jean-Marie Le Pen: «L’Union Européene est le Radeau de la Méduse»

  • Pourquoi les Parisiens (et les bobos) sont socialos…

    Jadis, les concierges votaient à droite. Nos digicodes votent socialiste.   

    Les médias se targuent de nous expliquer la périlleuse montée du vote FN : il y a d’un côté les rats des villes – riches, bien éduqués, bisexuels, endimanchés – et de l’autre les ratés, les chômeurs, les abrutis des campagnes qui n’ont pas compris l’hyper-réalité globalisée. Sur ces aimables prémisses, on multiplie les expertises savantes.

    Il y a pourtant un mystère dans cette histoire : c’est le vote de quelques grandes villes (pas toutes, quand même !) et de nos bons Parisiens. Dans une France au bord de la crise de nerfs et de la révolution, le Parisien bobo (sot, en espagnol) reste un euphorique du système. 6 % votent FN, le reste PS ou NKM. Alors, la question angoissée se pose : comment se fait-ce ?

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  • FIAC : la fiente en frac

    De Fabrice Hadjadj, écrivain et philosophe :

    "Toutes les époques, il y a eu des nuls et des imposteurs. Mais le nom de FIAC m'a toujours indisposé: les acronymes sont déjà des échecs artistiques et n'augurent rien de bon, d'autant que mon oreille tend à n'y entendre que le mot-valise de la «fiente en frac». Cela foire, effectivement. Aujourd'hui chacun sait qu'il n'y a rien de plus ringard que de militer sous la bannière des avant-gardes. Quant aux partis-âneries, comme vous dites, elles tombent toujours dans les affirmations massives: l'accueil en masse ou la condamnation en bloc. On veut s'épargner un vrai travail de discernement, quelque chose qui ne soit pas que de l'adhésion mondaine ou du rejet épidermique, mais qui se pense à partir de la considération des recherches formelles et d'une mise en perspective dans l'histoire de l'art. Parmi les contemporains, il y a des charlatans, certes, mais il y a aussi de vrais artistes, dignes des grands de jadis. Je pense à Gerhard Richter, à Bill Viola, à James Turell, à Yuri Ancarani, à Rineke Dijkstra et tant d'autres. Tous ceux-là ne prétendent pas à un avant-gardisme en complète rupture avec le passé. Ils entendent au contraire s'inscrire dans la plus pure tradition, revendiquant même un lien avec le Quattrocento ou le Moyen-Âge. [...]

    L'art contemporain est vu par ses contempteurs tantôt comme l'apothéose du potache, tantôt comme le comble du cynisme. On perd de vue les grands drames qui sont à l'origine de ces tendances. En 1915, à Zurich, est fondé le mouvement Dada, qui décide de se moquer de l'académisme et de tourner en dérision les chefs-d'œuvre. Pourquoi cette dérision? Parce qu'il y a la Première Guerre Mondiale. Les grandes civilisations, avec leurs beaux musées, leurs beaux théâtres à l'italienne, n'ont pas empêché la tuerie de masse. Cette soudaine désillusion face à la «religion de l'art», dont on voit les traces dans la dernière partie de la Recherche du Temps perdu, est le premier choc, qui conduit à une première défiance. Il y en aura une seconde, avec la Deuxième Guerre, et le pouvoir nazi. Il ne faut pas oublier que le nazisme fut un esthétisme. Il n'y a pas en lui que les chambres à gaz. Il y a aussi Hugo Boss, les opéras de Wagner, le philharmonique de Berlin, les grands sons et lumières de Nuremberg qui pousseront Drieu La Rochelle, hésitant encore avec le communisme, à pencher finalement pour le pseudo-renouveau hitlérien… Dès lors, toute beauté «grand public» peut devenir douteuse, suspectée de complicité hypnotique avec le fascisme. Et comme Hitler avait aimé la grande musique tonale et méprisé le dodécaphonisme, comme il avait vanté l'art populaire ou antique et condamné l'art «dégénéré», on a cru faire acte de résistance en vantant l'art dégénéré et les compositions atonales. Si vous ajoutez à cela Mai 68, et la crainte désormais du petit bourgeois de paraître en dehors du coup, vous pouvez mieux comprendre pourquoi la transgression est devenue une norme, et pourquoi la subversion bénéficie de subventions d'État… [...]

    Michel Janva

  • 4 novembre 1956 : intervention soviétique à Budapest

    Ce jour, les chars soviétiques entrent à Budapest, après que le nouveau gouvernement – amené par une révolte populaire spontanée contre la tyrannie communiste débutée le 23 octobre – a fait savoir qu’il voulait quitter le Pacte de Varsovie.
    L’aviation et l’artillerie bombardent des poches de résistance ou supposées telles.

    Avec le soutien tacite des démocraties occidentales, l’URSS va écraser l’insurrection dans le sang et entamer une sévère répression.

    Ci-dessous 15 minutes de séquences vidéos tournées par des amateurs le 23 octobre 1956. Elles montrent que cette journée a commencé par une manifestation pacifique d’étudiants, avant que les communistes ne tirent sur la foule.

    Les nouvelles s’étaient répandues rapidement et des émeutes avaient éclaté dans toute la capitale.
    La révolte s’était étendue rapidement en Hongrie et avait entrainé la chute du gouvernement.
    Des milliers de personnes s’étaient organisées en milices pour affronter l’Autorité de protection de l’État (ÁVH) et les troupes soviétiques.

    Source : hungarianambiance.com

    http://www.contre-info.com/

  • Islam, « affaire Buttey » : le FN pas assez clair ?

    Sur le site boulevard Voltaire, souvent d’une lecture stimulante, un contributeur,  Bernard Mitjavile, explique ce matin que le FN n’est pas à l’écoute des Français. Du moins pas totalement.  Il dit que la motivation première des électeurs qui votent FN est «en numéro 1 l’immigration et en numéro 2 l’insécurité ». C’est indéniablement vrai, les enquêtes d’opinion récurrentes avancent aussi la défense de valeurs traditionnelles comme étant un sujet sur lequel les Français sont le plus en phase avec le projet frontiste. L’auteur de cet article constate cependant que ce sont les « positions (du FN, NDLR) en matière économique et sociale :  l’État intelligent  ou stratège , la fin de l’euro et le retour au franc»,  ce qu’il traduit par «le maintien d’un État obèse avec le refus du remplacement d’un fonctionnaire sur deux partant à la retraite», « qui enregistrent le moins d’approbation chez les Français en général mais aussi pour les électeurs du FN ». Il  est exact de dire que le programme économique du FN ne suscite pas la même adhésion que son volet anti-immigration, même si le curseur  a bougé dans le bon sens ces derniers mois.  Cela s’est traduit,  nous l’avons dit ici, par  les efforts particuliers d’explications que nous avons fourni dans ce domaine.

     « Devant une telle situation, affirme  encore M. Mitjavile, un parti qui prétend être à l’écoute du peuple ferait évoluer sa ligne. Or, Florian Philippot et Marine Le Pen ont l’air tout à fait indifférents à cette situation et continuent à débiter leur catéchisme  antimondialiste  et anti-euro comme si l’opinion majoritaire des Français ne les intéressait pas ».

     Le phénomène démographique de «grand remplacement » que nous subissons  découle pourtant directement  de cette idéologie mondialiste, et Marine rappelait dans le JDD il y a quelques jours, que l’immigration est aussi «utilisée depuis trente ans par les grands milieux financiers pour peser à la baisse sur les salaires. Avec une grande efficacité si j’en crois les derniers chiffres». Bernard  Mitjavile surtout  ne comprend pas qu’un mouvement comme le FN veut faire oeuvre de pédagogie,  ne se vautre pas dans la démagogie en servant  aux électeurs ce qu’ils ont forcément  envie ou pour habitude d’entendre.

     Souhaitant porter nos idées au pouvoir, nous avons aussi pour vocation de proposer des solutions contre toutes les insécurités, identitaire mais aussi  sociale et économique, des remèdes qui nous apparaissent adaptés  à la crise que nous traversons. Chacun est libre d’y adhérer de les contester, et même en interne d’en discuter le bien fondé. Sachant qu’il est seulement  impensable pour nos adhérents, sympathisants et électeurs  que les fondamentaux indéracinables de notre courant  politique puissent être remis en cause,  à savoir la défense de notre identité  et souveraineté nationales.

     C’est pourquoi la question de la conversion à l’islam du jeune conseiller municipal  de Noisy-le-Grand (Seine-Saint-Denis) Maxence Buttey, suspendu du FN  puis réintégré dans ses fonctions, est aussi sensible. Invité comme de bien  entendu avec gourmandise  par Le grand journal de Canal plus pour en discuter en fin de semaine  dernière,  les propos confus ou  surprenants   de ce jeune homme  n’ont pas dissipé le malaise.

     Sur les réseaux sociaux, les  blogues, les sites internet, les messageries, notamment celle de Bruno Gollnisch, de nombreux sympathisants frontistes (nous)  ont écrit à ce sujet.

     La teneur des  messages est à peu près toujours la même, peu ou ou prou similaire  à la grille de lecture qui est  la notre .  A savoir que la France, plus vieille nation d’Europe,  n’est pas une page blanche,  n’est pas née en 1789 avec la déclaration des droits de l’homme , et  que son identité  helléno-chrétienne lui est indissociable.

     Aussi, que le concept de laïcité défendu par nos instances ne doit pas dériver dans une remise en cause de la prééminence culturelle chrétienne  sous prétexte d’égalité de toutes les religions mises sur le même plan ; que  le voile de la bonne sœur, les processions catholiques, nos fêtes religieuses,  et la croix visible portée au tour d’un cou  en public ont toute leur place dans le  paysage français…

     Internautes qui même parfaitement républicains, agnostiques ou athées citent la fameuse réflexion de De Gaulle – « Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne »-  et ont salué la conversion à la foi catholique de certains de nos camarades de combat  comme Karim Ouchikh. Mais qui se méfient aussi du nomadisme religieux, qui est rarement un signe d’équilibre et de bonne santé pour un individu comme pour une société.  Nomadisme en vogue à Hollywood et sa galerie de névrosés, et chez les bobos des sociétés occidentales   avec la mode du bouddhisme  light notamment, mais qui apparaît dans l’opinion  d’une essence plus problématique  quand c’est l’islam qui enregistre des conversions.

     Sympathisants frontistes qui savent que  le FN a toujours  accueilli en son sein  des militants d’origine musulmane, qu’ils existent aussi des musulmans modérés, parfaitement respectables, droits, honnêtes et patriotes, mais qui ne comprennent pas qu’un militant national puisse « s’assimiler à l’envers ».  C’est-à-dire  abjurer la foi de sa lignée  pour se convertir à celle des populations qui ont colonisé notamment le département  de Seine-Saint-Denis dans lequel il vit.

     Il est bien sûr totalement vain de combattre une  religion, quelle qu’elle soit d’ailleurs, avec des arguments  rationnels et les sites islamophobes les plus grossiers tombent souvent dans ce travers.

     Répétons-le, le FN première formation politique de France depuis  les élections européennes, ne saurait avoir l’homogénéité idéologique propre aux groupuscules ou aux partis totalitaires.  L’hétérogénéité  des  opinions va de pair avec le développement de la masse de notre mouvement. Il apparaît pourtant évident, et les sondages en apportent aussi la démonstration, que les Français plébiscitent  les fondamentaux du  FN, mouvement perçu  comme  champion de la résistance nationale, culturelle, identitaire à la submersion mondialiste dont l’immigration extra européenne, et le communautarisme-multiculturalisme qu’elle génère, est une des conséquences les plus dramatiques .  

      Pour autant,  c’est parce que nous entendons porter Marine Le Pen  au pouvoir, ce qui commande de séduire au moins 50% des électeurs + un, qu’il nous faut toujours énoncer, sans nous renier, la solution la plus équilibrée , la plus juste, en adéquation avec nos convictions, mais aussi en anticipant sur l’image qui sera également  la nôtre sur le plan  international quand nous accéderons aux affaires.

     Concrètement cela veut dire  que nous aurons demain vocation à parler aux chefs d’Etat, aux  dirigeants politiques des  un milliard et demi de musulmans. Il nous faut donc faire preuve de fermeté en assumant ce que nous sommes, mais aussi de  finesse  et de précision dans nos propos.

     C’est une des  raisons  pour laquelle Bruno Gollnisch n’a jamais instrumentalisé la question de la religion islamique, traversée par de sensibilités diverses,  à des fins politiciennes.  Il sait aussi que la cohérence intellectuelle  invite à  dénoncer les causes plutôt que les conséquences, à savoir l’immigration massive plutôt que la religion des immigrés. Cette  submersion migratoire, qui découle aussi  de l’explosion démographique des pays du sud,  n’est pas l’œuvre d’un complot fomenté par les mollahs, les docteurs de la foi  de l’université al azhar du Caire ou  le  Grand Mufti de Jérusalem. Elle est  plus simplement de la responsabilité  directe des politiques criminelles menées par  l’UMPS depuis quarante ans,  par soumission au grand capital apatride, lâcheté, aveuglement,  bêtise ou  cosmopolitisme. Il ne faut pas l’oublier.

    http://gollnisch.com/2014/11/04/islam-affaire-buttey-fn-pas-assez-clair/

  • Et on voudrait que j’obéisse aux gestapettes de la pensée ?

    Et l’on croit que je vais céder à cette nouvelle intimidation ? Je n’accepte pas la gestapo stalino-talmudique qui assimile à la haine raciste tout refus de la submersion démographique mais absout les insulteurs des Français, de la France et du catholicisme. Avec humilité, je me considère comme un Résistant dans mon pays occupé. 

    Pupille de la Nation, j’aime la France comme ma mère (pas la république, qui est sa caricature en putain). Pour défendre sa mère, on a tous les droits et si on ne les a pas, on les prend. 

    Au surplus, j’ai été élevé dans une famille et un milieu où l’on n’est pas très impressionnable. Mon père, sous-officier de Légion Étrangère, est mort pour la France il y a cinquante ans. 

    Quand les pourris qui livrent aujourd’hui notre pays apprenaient, à l’Ena, à Sciences Po ou à l’École de la Magistrature, à faire et à appliquer les lois dictées par leurs maîtres ténébreux, il donnait sa vie pour garder à la France un empire. 

    Et l’on prétend aujourd’hui m’interdire de défendre l’ultime pré-carré que n’ont pas bradé les Mendès, DeGueulle et autres salauds ? 

    Mes deux grands-pères ont versé leur sang au feu. L’un, jeune officier de l’Armée impériale, aide de camp du général Dénikine, a tout perdu dans une guerre sans merci contre le communisme : parents, frères et soeurs, propriétés, biens. Arrivé en France avec sa jeune épouse, ruinée elle aussi, et un enfant né pendant l’exil, il a poursuivi son combat jusqu’au jour où il est mort pauvre. 

    Et un Gauberg espère me bâillonner à coups d’amendes, comme il a juré de le faire pour toute la presse nationale ? Il n’y a que dans les contes talmudiques qu’on tire du lait en pressant une pierre. 

    Mon autre grand-père était à Verdun à vingt ans. A quarante-cinq ans, il participait à la Résistance. La vraie, pas celle des maquereaux qui ont mis leurs médailles usurpées au tapin. 

    Et l’on voudrait m’interdire d’appeler à libérer, aujourd’hui comme hier, notre pays envahi, occupé, humilié ? 

    Mon enfance a été peuplée de récits de batailles, de prises d’armes, de saluts aux couleurs, de défilés, de remises de médailles, de célébrations du 8-Mai, du 11-Novembre. En famille, nous vivions sous le regard de nos héros. 

    L’école militaire où j’ai passé mon adolescence porte le nom d’un ancien, tombé à 15 ans dans les combats de la Libération : Jacques Lorenzi. Aujourd’hui encore, j’écris entouré de photos de combattants de toutes les résistances. Aux occupants d’hier et d’aujourd’hui, mais aussi aux flics de la pensée, au lobby, au communisme et à la connerie. 

    Et on voudrait que j’obéisse aux gestapettes de la pensée ? Jeanne d’Arc est omniprésente chez nous et l’on espère me forcer à aimer les étrangers chez moi plus que chez eux, et à respecter des cultes imbéciles qui sont autant de célébrations de la Mort ? 

    N’ayant ni l’argent, ni l’entregent des Imbert, éditorialiste au Point, Houellebecq, écrivain couronné, ou Oriana Fallaci, journaliste internationale, fous islamophobes proclamés mais épargnés par une Justice aussi indulgente aux puissants que dure aux humbles, je suis, je le sais, condamné d’avance. Cela ne me fera pas taire. Je continuerai à dire et à écrire que l’immigration est une colonisation de peuplement et l’islamisme un totalitarisme dont les Français ont le droit de se libérer.

    Serge de Beketch

    http://www.oragesdacier.info/