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  • Avortement euthanasie : une marche pour défendre la vie le 25 janvier

    La Marche pour la vie lance sa 10ème édition qui aura lieu le dimanche 25 janvier 2015 à Paris.

    M"Cette semaine, le parlement, le gouvernement et les médias célèbrent en grandes pompes l’anniversaire d’une loi qui autorise depuis 40 ans en France l’élimination d’enfants avant leur naissance.

    Le 25 janvier, la Marche pour la vie est l’occasion pour les citoyens d’exprimer leur révolte de voir leur pays glorifier une loi qui a déjà conduit à la mort de 9 millions d’êtres humains, et à la négation de la valeur de la vie humaine fragile.

    Dans les jours à venir, le gouvernement va annoncer soit clairement une loi pour légaliser l’euthanasie, soit insidieusement des modifications de la loi Léonetti sur la fin de vie pour autoriser des gestes euthanasiques. Les déclarations politiques et les rapports préparatoires récents annoncent en effet la mise en oeuvre de la proposition 21 de François Hollande pendant la campagne de 2012.

    Cécile Edel, présidente de la Marche pour la Vie annonce que cet enjeu sera au coeur de la mobilisation du 25 janvier. Elle rappelle : « la loi Veil de 1975 a initié un mouvement de déshumanisation en légalisant l’avortement. S’en est suivi un dérèglement bioéthique en cascade, qui détruit à la fois les enfants, les femmes, et la société. Depuis des années on constate ce dérèglement, qui s’est accéléré depuis 2012 : industrie procréatique, manipulation de l’embryon humain, marchandisation du vivant, sélection prénatale. En 2015 cette déshumanisation menace les personnes âgées, malades, handicapées. C’est pourquoi la Marche pour la vie du 25 janvier appelle les citoyens à manifester le dimanche 25 janvier, pour dire non à l’euthanasie et rappeler que le respect de toute vie humaine fonde notre civilisation."

    Michel Janva

  • Contre-offensive de l’armée syrienne sur le front sud

    L’Armée arabe syrienne a lancé une contre-offensive éclair dans certains secteurs du front sud pour libérer les régions prises dernièrement par les groupes armés et sécuriser ses lignes de ravitaillement vers la ville de Daraa et les alentours de Nawa. Les extrémistes commencent déjà à lancer des appels de détresse.

    Téléguidés par une salle d’opération militaire installée en Jordanie et comprenant des experts américains, européens, de pays du Golfe et jordaniens, les groupes extrémistes actifs dans le sud syriens ont lancé une série d’offensives, ces derniers mois, qui leur ont permis de prendre plusieurs localités dans les provinces méridionales de Deraa et de Quneitra. Dans cette dernière province, les groupes extrémistes travaillent en étroite collaboration avec «Israël». Ce n’est plus un secret que l’entité sioniste, qui a classé le «Front al-Nosra» dans la catégorie des «groupes modérés», apporte un soutien militaire, logistique et médical aux terroristes. L’objectif d’«Israël» est d’établir une ceinture de sécurité contrôlée par les groupes extrémistes le long du Golan occupé. Le but de la coalition arabo-occidentale anti-syrienne est de menacer le flanc sud de Damas, où ses milices supplétives sont sur le point de perdre leur dernier point d’ancrage, dans la Ghouta orientale. 

    Les lignes rouges franchies

    Soumis à un cahier des charges très exigeant, dicté par la salle d’opération de Jordanie, les groupes extrémistes ont donc lancé, cet été, une série d’attaques qui leur ont permis de prendre un certain nombre de collines et de localités à Quneitra, ainsi que le point de passage entre cette province et le Golan occupé. Ils se sont même emparés de la colline de Tal al-Hara, que l’armée «israélienne» n’était pas parvenue à occuper lors de la guerre de 1973, en dépit d’une offensive extrêmement violente. Mais la trahison du chef de la brigade 121 de l’armée syrienne, le général Mahmoud Abou Arraj, leur a ouvert les portes de ce site stratégique, qui servait, entre autres, à surveiller les communications de l’armée «israélienne». L’officier traitre a d’ailleurs été exfiltré par des agents «israéliens» vers la Jordanie. 

    Dans la province de Deraa, les groupes armés ont pris plusieurs collines ainsi que la ville de Nawa et, la semaine dernière, la localité de Cheikh Meskine. La prise de cette ville a sérieusement compromis les lignes d’approvisionnement de l’armée syrienne vers ses positions plus au sud, notamment dans la ville de Deraa et autour de Nawa. 

    Toutes ces avancées, bien qu’elles soient importantes, ne menacent pas sérieusement les solides lignes de défense de Damas, défendues par les 5ème, 4ème et 7ème divisions, ainsi que des unités d’élites de la Garde républicaine. Ces lignes sont déployées sur un arc allant de l’est à l’ouest du front sud, en partant de Madinat al-Baas, Khan Arnabé, Hadar (Quneitra), bifurquant vers les localités de Saasaa et Qatba (dans la campagne de Damas), et s’étendant jusqu’à Cheikh Meskine, Kherbet Ghazalé, Ezreh et Sanamein (à Deraa).

    Après la prise de Cheikh Meskine - située non loin de l’autoroute internationale Damas -Deraa -, le commandement syrien a estimé qu’une ligne rouge avait été franchie. Toute la semaine dernière, des renforts en hommes et en matériels ont été acheminés vers cette ville en prévision de la contre-offensive, lancée en début de semaine. Sous un barrage d’artillerie et des raids de l’aviation, les unités syriennes sont entrées dans la ville par le sud et l’est, enfonçant les lignes de défense des extrémistes, qui ont commencé à lancer des appels à l’aide sur leurs réseaux de télécommunications. Des dizaines de terroristes ont été tués lors de la progression de l’armée syrienne, dont le dénommé Samer al-Safadi, chef d’un groupe extrémiste qui se fait appeler les «partisans de la Charia». Parmi les morts figurent un grand nombre de ressortissants de pays arabes, notamment des Saoudiens et des Koweitiens.

    Diversion à Bosra

    Pour tenter de desserrer la pression exercée par l’armée syrienne à Cheikh Meskine, les extrémistes ont tenté d’ouvrir un autre front, en attaquant la ville de Bosra al-Cham (40 kilomètres à l’est de Deraa), inscrite au patrimoine mondial de l’humanité par l’Unesco. Les groupes armés qui occupent certains quartiers de Bosra al-Cham ont d’ailleurs provoqué de graves dégâts dans les sites archéologiques exceptionnels de la ville. Les comités populaires qui défendent Bosra ont assuré que l’attaque de diversion avait échoué.

    Un expert militaire explique qu’avant de lancer sa contre-offensive, l’armée syrienne a attendu que des signes de fatigues apparaissent sur les groupes armés, pressés par leurs opérateurs arabo-occidentaux de réaliser des acquis sur le terrain, quelles que soient les pertes dans leurs rangs, leur promettant des récompenses financières pour chaque position prise à l’armée syrienne.

    Effectivement, les signes d’essoufflement se sont multipliés: les extrémistes ne sont pas parvenus à prendre les villes de Deraa-Mahatta, Madina al-Baas et Khan Arnabé, et n’ont pas réussi à élargir leur présence dans la campagne à l’ouest de la province de Deraa. Ils ont, semble-t-il, atteint les limites de leurs capacités sur le front sud, bien que des centaines de combattants fraichement entrainés dans le camp de Aaraar, en Arabie saoudite, ont été jetés sur le champ de bataille. Ils sont, désormais, sur une courbe descendante.

    Samer R. Zoughaid  - Al-Ahednews :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuEZpyZuVEKhgRMiJP.shtml

  • La Ligue du Nord s'inspire du FN et a le vent en poupe en Italie

    Les deux élections régionales italiennes de dimanche ont montré un paysage politique encore marqué par la crise : forte abstention et montée d'une ligue du nord désormais copie italienne du FN.

    Les deux élections régionales en Italie qui étaient organisées ce dimanche 23 novembre sont apparues comme une victoire de plus pour Matteo Renzi. Et c'est ainsi que le président du conseil italien a voulu le comprendre. En visite à Vienne, il a déclaré devant la presse que son parti avait « gagné 5 à 0 » lors de ce scrutin. Et les chiffres semblent lui donner raison : les alliances de centre-gauche ont remporté 49,1 % des voix, soit 8,8 points de plus que lors du scrutin des élections législatives de février 2013, en Emilie-Romagne, son bastion traditionnel. Mieux même, en Calabre, terre plutôt à droite où le centre-gauche n'avait récolté que 28,3 % des suffrages en 2013, l'alliance pro-Renzi a obtenu cette fois 61,4 % des voix, un record ! Matteo Renzi semble donc avoir transformé l'essai des Européennes de mai dernier, où le parti démocrate avait gagné 40 % des suffrages.

    Victoire du centre-gauche

    Sauf que le triomphalisme de Matteo Renzi n'est que de façade. D'abord, parce qu'il oublie volontairement la chute vertigineuse de la participation électorale. Surtout en Emilie-Romagne, où elle est passée de 70 % à 37,7 %. En Calabre, la chute est moindre : de 45,8 % à 44,1 %. Résultat : en nombre de voix, la « victoire » du centre-gauche est moins brillante. Le gain par rapport aux européennes est certes de 14,1 % en Calabre, mais c'est une chute de 55,9 % qui est enregistrée en Emilie Romagne, soit pas moins de 120.000 voix de moins qu'en mai. Et par rapport aux régionales de 2010, le centre gauche est en chute dans les deux régions en termes de nombre de voix. Matteo Renzi a balayé d'un revers de main cette question en estimant que « l'abstention était secondaire. »

    Forte abstention

    Sans doute, mais cette désertion des urnes est particulièrement forte en Emilie Romagne et elle a touché une région fortement ancrée à gauche, c'est donc le signe d'une certaine déception vis-à-vis de l'action du jeune premier ministre italien qui n'a pas pu mobiliser une partie de son électorat. Mais c'est aussi et surtout le signe d'un désenchantement vis-à-vis du politique. De ce point de vue, l'échec du Mouvement 5 Etoile de Beppe Grillo, parti qui entendait renouveler la politique italienne et fédérer les déçus de la politique traditionnelle et de l'austérité est un des enseignements les plus intéressants de ce scrutin.

    Baisse du Mouvement 5 Etoiles

    En 2012, l'Emilie Romagne avait été un des berceaux du succès électoral du Mouvement 5 Etoiles qui avait surpris tout le monde en emportant la mairie de Parme. Un an plus tard, aux élections législatives de 2013, le parti de Beppe Grillo gagnait 23,7 % des voix. Ce dimanche, seuls 13,2 % des électeurs qui se sont exprimés ont voté pour le candidat d'un mouvement qui, dans la région, a perdu 500.000 électeurs entre février 2013 et novembre 2014. Sans doute faudra-t-il attendre d'autres scrutins pour avoir confirmation de cette tendance, car les sondages nationaux lui accordent toujours près de 20 % des intentions de vote. Mais son alliance avec les souverainistes du UKIP au parlement européen, ses positions ambiguës sur l'immigration, ses difficultés à proposer une alternative économique et, surtout, les luttes internes qui l'ont déchiré lui auront fait perdre beaucoup d'électeurs venus de gauche ou de l'abstention. Du coup, la progression électorale de Beppe Grillo appartient peut-être au passé.

    La Ligue, grande gagnante

    Ce n'est pas en revanche le cas de la Ligue du Nord. Le mouvement séparatiste apparaît comme le grand gagnant du scrutin de dimanche. Absent évidemment du scrutin calabrais, la Ligue a frôlé les 20 % en Emilie Romagne, alors qu'elle avait glané dans la région 2,6 % des voix lors des élections législatives de 2013 et 5,04 % lors des européennes du 25 mai dernier. Fait significatif, la Ligue devance largement Forza Italia, le parti de Silvio Berlusconi qui n'obtient que 8,3 % des voix. 233.000 électeurs ont voté pour la Ligue dimanche en Emilie-Romagne, soit 117.000 de plus qu'aux européennes et 164.000 de plus qu'aux législatives.

    Une Ligue copie du FN et désormais conquérante dans le sud...

    Cette progression traduit également le positionnement très à droite du leader de la Ligue, Matteo Salvini, qui a repositionné politiquement la Ligue du nord sur une ligne moins régionaliste. Son modèle est clairement le Front National français. Matteo Salvini va, du reste, rencontrer Marine Le Pen ce week-end à Lyon. La Ligue, entend à présent capitaliser sur un programme de réindustrialisation, de rejet de l'immigration, de protectionnisme et de sortie de l'euro. Elle séduit ainsi de plus en plus de victimes de la crise et de personnes inquiètes pour l'avenir. Plus question, comme au temps du « Senatùr » Umberto Bossi, l'ancien chef charismatique de la Ligue, de fustiger les paresseux méridionaux et proclamer l'indépendance de la « Padanie. »

    Désormais, la Ligue entend gagner des voix dans le centre et le sud du pays sur ce terrain. Dans une interview accordée à La Repubblica, Matteo Salvini promet de près de 40.000 personnes sont prêtes à s'engager dans le sud du pays dans une campagne de la Ligue. Certes, le chemin est encore loin pour la Ligue pour s'imposer au sud. Mais dans une Italie ravagée par la crise, tout semble possible. Les derniers sondages donnent un score au niveau national inédit de la Ligue : 11,4 %, non loin de Forza Italia (14,9 %), preuve que ses idées semblent prendre pied au niveau national...

    Une bonne ou une mauvaise nouvelle pour Matteo Renzi ?

    Pour Matteo Renzi, l'émergence de la Ligue du Nord, qui, à l'image de son modèle Marine Le Pen, réclame des élections anticipées, est une bonne et une mauvaise nouvelle. C'est une bonne nouvelle, car elle renforce l'unité du centre-gauche et de son électorat contre un parti qui s'inspire ouvertement du FN français. Mais l'envers de la médaille, c'est la radicalisation de l'opposition à l'euro. Sans compter que la montée de la Ligue vient déstabiliser le centre-droit et surtout le parti de Silvio Berlusconi. Le Cavaliere est de plus en plus contesté à la tête de Forza Italia et sa stratégie d'entente avec Matteo Renzi sur la réforme électorale pourrait bien être contestée par la droite du parti. Ce serait alors une défaite pour le président du conseil.

    source : La Tribune :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuEZpyuFuARIlKsvLS.shtml

  • Suite à la demande d’audit de Marine Le Pen: tableaux et histoire des réserves d’or actuelles de la France

    Le FN demande un audit des réserves et le rapatriement de l’or de la Banque de France

    Par Nicolas Flamel 

    A trois jours du référendum organisé en Suisse pour contraindre la Banque Centrale Suisse à détenir ses 20% de ses réserves en or et à stocker ses réserves sur le territoire Suisse[i][i], quelques jours après l’annonce par la Banque Centrale des Pays Bas qu’elle venait de rapatrier 122 tonnes d’or de New York et au moment où la pression se fait plus forte en Allemagne pour que la Banque Centrale rapatrie ses réserves d’or stockées hors d’Allemagne[ii], le débat de l’or national vient d’être introduit dans le paysage politique français.

    Mme Marine Le Pen, présidente du Front National, a envoyé lundi matin une lettre à la Banque de France pour réclamer un audit des réserves d’or de la France et le rapatriement en France des stocks d’or appartenant à la Banque de France qui seraient stockés à l’étranger. Elle demande que cet audit contienne, selon les termes de cette lettre (extrait)  :

    « – un inventaire complet des quantités d’or physique affichées actuellement à 2435 tonnes ainsi que leur qualité (numéro de série, pureté, barres ‘Good Delivery’…), réalisé par un organisme français indépendant (à définir). Cet inventaire, sous contrôle d’huissier, devra indiquer le pays dans lequel les réserves d’or sont stockées, en France ou à l’étranger.

    – Un recensement de tout contrat d’engagement financier officiel ou secret vis-à-vis de banques et sociétés privées, ou de prêt bilatéral entre la France et des institutions nationales ou internationales, ayant gagé l’or de la France afin de garantir le sauvetage de l’euro. Dans ce cas, l’audit exhaustif devra contenir les conditions des contrats d’engagement ou de prêts. »

    Mme Le Pen mentionne également les ventes d’or décidées en 2004 par la France dans les termes suivants (extrait)  :

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  • Les jeux vidéo renforcent le patriotisme de la jeunesse russe

    Désormais, le patriotisme est également enseigné aux jeunes russes au moyen de jeux vidéo militaro-historiques. Ce type de divertissement électronique participe à l’éducation des enfants, et rapporte également des revenus substantiels aux concepteurs.

    Une balle fuse et se loge dans un sac à proximité d’une pièce d’artillerie, un obus explose dans le ciel, forçant l’avion à virer à droite. Un soldat de l’Armée rouge lance au ralenti une grenade en direction d’un tank nazi. Le tout accompagné par la reprise moderne d’une célèbre chanson du front. Ce clip vidéo La victoire est à nous, une promotion du jeu War Thunder produit par Gaijin, totalise près de 4 millions de vues sur YouTube en l’espace d’un mois. Un indicateur parmi d’autres de la popularité croissante des jeux vidéo militaro-historiques en Russie.

    Apprendre l’histoire en jouant

    Les jeux vidéo militaro-historiques en ligne constituent l’un des outils les plus efficaces pour faire découvrir aux enfants l’histoire de leur pays. Pratiquement tous les jeux liés à l’histoire remplissent déjà une fonction éducative, explique à RBTH Anton Pankov, directeur des relations publiques de la filiale russe de la société Wargaming, développeur du jeu militaro-historique « World of tanks », populaire tant en Russie qu’à l’étranger.

    Durant la période soviétique, cette fonction était remplie par les clubs de modélisme aériens et nautiques DOSAAF (Société volontaire d’assistance à l’armée, l’aviation et la flotte), ainsi que d’autres sports militaro-techniques, explique Sergueï, lieutenant-colonel à la retraite et père d’un jeune de 12 ans passionné de jeux vidéo. Dans ces clubs, les enfants apprenaient à connaître la structure des avions, des navires, apprenaient également à les construire par eux-mêmes, étudiaient l’histoire de l’aviation et de la flotte, en premier lieu celle de leur pays. C’est de cette façon que le patriotisme était enseigné aux jeunes.

    Ces derniers peuvent désormais obtenir toutes ces informations grâce aux jeux vidéo. « Nous fournissons aux joueurs des informations uniques sur les équipements miliaires utilisés durant les conflits. Au cours du jeu, nos joueurs se familiarisent avec les véhicules ainsi qu’avec les détails historiques à travers notre site, les réseaux sociaux, les chaînes vidéo », indique Anton Pankov.

    Ce dernier reconnaît la présence d’éléments pédagogiques et patriotiques dans les jeux et les initiatives offlines de la société, mais précise toutefois que dans le cadre de ses projets, l’entreprise s’efforce de ne pas se limiter à une vision unilatérale des conflits historiques les plus célèbres (par exemple, la Seconde Guerre mondiale).

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  • Le droit fondamental de tout être humain, c'est la vie !

    De l’Observatoire Socio-Politique des AFC 44 à propos de la résolution en cours de disccussion :

    " [...] Ce texte n’a pas de portée normative mais il exprime l’avis de l’ensemble de l’Assemblée nationale : il a donc une portée symbolique forte.

    Il énonce deux contre-vérités :

    • L’IVG serait « un droit fondamental », ce qui est juridiquement faux car l’IVG est en réalité une dérogation au principe de « respect de l’être humain dès le commencement de sa vie » (article 16 du code civil)
    • Il existerait un « droit universel des femmes à disposer de leur corps », alors que ce droit n’existe dans aucun texte national ou international.

    La portée symbolique est d’autant plus forte que ce texte est signé non seulement par les présidents des groupes de la majorité de gauche, mais encore par les présidents des deux groupes de l’opposition UMP (Christian Jacob) et UDI (Philippe Vigier).

    Mgr Guy de Kérimel, évêque de Grenoble-Vienne et président du groupe de travail de la Conférence des Evêques de France « Phénomène social de l’avortement  et enjeux éducatifs » a dénoncé dans un texte transmis samedi dernier à l’AFP une banalisation sans précédent de l’avortement :«Un droit humain peut-il reposer sur la négation du droit à la vie d’autres êtres humains au tout début de leur existence et de leur croissance? Nous sommes tous passés par le stade embryonnaire, l’aurions-nous oublié?»

    Après le remboursement à 100 % de l’avortement en 2013, ce fut la fin de la notion de détresse en janvier 2014. Avec une légèreté qui relève d’un profond mépris pour les femmes qui vivent cette acte – qui n’est jamais anodin – la Ville de Nantes a  cru bon de se vanter de cette dernière avancée dans l’édition 2014 d’un guide destiné aux 16-25 ans scandaleusement partisan : « qu’il ne faille plus être en « situation de détresse » pour pouvoir avoir recours à l’IVG, voilà qui est mieux ! L’avortement est un droit inaliénable, on ose l’espérer. »

    La majorité en place n’a pas déçu cet espoir en s’apprêtant à affirmer ce « droit » comme fondamental.

    Comment réagir ?

    Cette déferlante de la Culture de Mort ne semble pas nous laisser le moindre répit.  Après la Loi du mariage pour tous et les incursions de l’idéologie du genre à l’école, ce rajoute depuis la rentrée le débat l’Euthanasie. Face à tous cela comment réagir en tant que laïc catholique?

    D’abord prier

    Et cela tombe bien car justementce Samedi 29 novembre, des Veillées de Prière pour la Vie sont organisées dans toute la France. A Nantes elle aura lieu à St Pasquier à 20h30

    Au-delà cette soirée, il y a également l’excellente initiative de la Neuvaine pour la France. La prière nourrit l’action et lui donne sa fécondité profonde (Lien entre Prière et Action à creuser ici) [...]

    Et parfois ce témoignage prendra parfois des formes militantes, comme les pétitions, les courriers au élus ou encore la manifestation publique. C’est pourquoi comme les années précédente et en attendant d’avoir une pareille initiative à Nantes  : La Fédération des AFC de Loire Atlantique appelle à participer largement à la Marche pour la Vie qui aura lieu cette année le dimanche 25 janvier à Paris ! [...]"

    Michel Janva