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  • Le nullissime Moscovici donne des leçons d’économie à la France

    Pierre Moscovici : l’incompétence économique de haute voltige !

    D’après Wikipédia, son CV n’est pourtant pas celui d’un nul : « 

    Après ses études au lycée Condorcet, il obtient un DEA de sciences économiques et un DEA de philosophie. Il sortira ensuite diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris (Sciences Po) et de l’ENA (promotion Louise Michel (1982-1984). À sa sortie de l’ENA, il est affecté à la Cour des comptes, où il est nommé conseiller maître en 2003. Il cesse d’y exercer en 2004. »

    Et pourtant ! Celui qui fut le premier ministre de l’économie et des finances du président Hollande montre une incompétence légendaire en matière économique, et notamment, sa méconnaissance totale du fonctionnement économique des entreprises. L’illustre tirade qu lui infligea Nicolas Doze, éditorialiste spécialisé en économie et en finance le montre de façon magistrale :

    • Ce n’est pas l’Europe qui nous oblige à faire un pas en avant puis un pas en arrière,

    • Ce n’est pas l’Europe qui nous oblige à balancer des bobards dans la tête des gens,

    • Ce n’est pas l’Europe qui nos oblige à dire que 9 Français sur 10 échapperont à la hausse des impôts,

    • Ce n’est pas l’Europe qui nos oblige le président de la République à dire : « je vais baisser la TVA qu’à laissée Nicolas Sarkozy et à l’augmenter en janvier,

    • Ce n’est pas l’Europe qui nos oblige à dire qu’on va baisser les dépenses publiques alors qu’on ne fait juste que réduire son augmentation,

    • Ce n’est pas l’Europe qui nos oblige à dire qu’on augmente les impôts des ménages de seulement 3 milliards d’euros alors qu’on les augmente de 10 milliards d’euros, la même hausse que celle de 2013 !

    y’a un moment, il faut avoir un peu de cohérence. Je vais vous raconter une anecdote :

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  • La machine propagandiste américaine “Freedom House”

    L’organisation “Freedom House” est-elle véritablement une organisation indépendante, consacrant ses efforts à la promotion d’une vraie démocratie et d’une liberté authentique ? Plus que jamais, le doute est permis !

    Récemment, l’ONG américaine Freedom House a célébré son 70èmeanniversaire. Dans le monde, on connait surtout cette “Maison de la Liberté” pour son rapport annuel sur les progrès de la démocratie et de la liberté de la presse dans le monde. Dans l’univers médiatique occidental, cette Freedom House est très souvent citée, sous prétexte qu’elle serait indépendante. Ce qui, en revanche, est nettement moins connu, ou est plutôt sciemment tu, c’est que la Freedom House reçoit environ 80% de son budget, de manière directe ou indirecte, d’instances américaines officielles. Les quelque 11 milliards de dollars, dont a bénéficié cette fondation au cours de l’année 2011, proviennent en grosse partie du ministère américain des Affaires étrangères, de l’autorité US s’occupant d’aide au développement (l’USAID) ou de la NED (National Endowment for Democracy) qui n’est autre que le “bras civil” des services secrets, en d’autres mots de la CIA.

    Il nous paraît nécessaire de jeter un regard rétrospectif sur l’histoire de cette fondation et sur le contexte de sa création. Rapidement, on s’aperçoit qu’il n’est nullement question d’indépendance par rapport à l’État américain. Ce fut surtout l’épouse du Président américain de l’époque, Eleanor Roosevelt, qui présida à sa naissance pendant l’automne 1941. En coulisses, c’était évidemment son mari qui tirait toutes les ficelles. L’objectif de la fondation, au moment de sa création, n’était pas tant la diffusion planétaire de la “démocratie libérale” selon le modèle américain, mais la création, par propagande systématique, de toutes les conditions nécessaires pour faire participer directement  les États-Unis à la seconde guerre mondiale. La Freedom House ne dissimule nullement cette intention de départ et, sur son site de l’internet, son émergence est justifiée par la nécessité “après la fusion entre 2 groupes fondés avec le soutien tacite du Président Roosevelt, d’obtenir l’assentiment public à une participation des États-Unis à la guerre, à une époque où les préjugés isolationnistes donnaient le ton”. La propagande belliciste a donc été une caractéristique constante de la Freedom House, jusqu’à date très récente. On a ainsi pu constater qu’en mars 2003 la Freedom House a soutenu, avec toutes la virulence voulue, la guerre américaine contre l’Irak, contraire au droit des gens. Une déclaration l’atteste : « Du plus profond de notre cœur, nous espérons que ces efforts de guerre, où les forces américaines seront impliquées, se dérouleront au mieux et que la tyrannie de Saddam Hussein tombera en coûtant le minimum en vies humaines ».

    La qualité des membres du conseil de supervision de la Freedom House nous permet aussi de  dégager une image significative de la nature intrinsèque de l’ONG : d’après elle, ce conseil comprendrait « des dirigeants d’entreprises et de syndicats, d’anciens fonctionnaires gouvernementaux, des universitaires, des écrivains et des journalistes ». Cependant, parmi les anciens membres de ce conseil de supervision, on trouve une proportion, supérieure à la moyenne, de faucons néo-conservateurs comme Donald Rumsfeld, Paul Wolfowitz ou Jeanne Kirkpatrick. Ces 3 personnalités, tout comme un des nouveaux membres de ce conseil de supervision, Kenneth Adelman, étaient tous des partisans virulents de l’attaque contre l’Irak.

    Après la victoire des alliés occidentaux en 1945 et au début de la Guerre Froide, la Freedom House s’est muée en un instrument de la politique américaine d’endiguement de l’Union Soviétique. Le premier objectif était surtout de lier durablement les petites puissances d’Europe occidentale à Washington. « C’est pour cette raison que la Freedom Housea soutenu très activement l’alliance atlantique de notre après-guerre ainsi que des stratégies et des institutions comme le Plan Marshall ou l’OTAN ». Après que les États-Unis aient pu aligner comme ils le voulaient leurs “partenaires” d’Europe occidentale, les efforts de la Freedom House se sont focalisés sur la lutte contre les États marxisants du Tiers Monde ; après la fin de la Guerre Froide et l’effondrement de l’Union Soviétique, la Freedom House est revenue en Europe, pour en faire son théâtre d’intervention principal. Il s’agissait surtout, dans un premier temps, de lier aux structures euro-atlantiques les anciens États communistes d’Europe centrale et orientale. Ou pour s’exprimer d’une autre manière : les anciens satellites de l’Union Soviétique devaient faire de Washington leur nouveau centre de gravitation.

    Pour faire d’une pierre 2 coups, la première antenne extérieure de la Freedom House est installée en 1993 en Ukraine, sous prétexte de « travailler à l’organisation d’élections libres et justes et de renforcer la société civile ». D’autres antennes sont installées ailleurs en Europe dans les années suivantes, notamment en Serbie et en Hongrie. Mais c’est l’Ukraine qui recevra la priorité dans les efforts de la Freedom House. Pourquoi ? Parce que l’État territorialement le plus vaste d’Europe est, d’une part, le pays par où transite le gaz naturel russe : il revêt dès lors une importance stratégique cruciale ; d’autre part, la maîtrise de l’Ukraine, si elle devenait fait avéré, constituerait une avancée capitale dans le projet américain d’affaiblir définitivement la Russie. Par conséquence, la Freedom House, pour réaliser ces objectifs, a soutenu la “révolution orange” à Kiev en 2004/2005, partiellement avec le soutien de la Fondation Open Society du spéculateur en bourse Georges Sörös. Dans ce contexte, Ron Paul, membre du Congrès à Washington, critiquait la politique suivie en décembre 2004, en soulignant que l’argent américain “servait surtout à soutenir un seul candidat, au détriment des autres”. Ron Paul désignait ainsi le vainqueur des élections de l’époque, Victor Youchtchenko, fidèle vassal de Washington qui entendait faire entrer l’Ukraine dans l’OTAN. Ron Paul a encore été plus précis quand il a dénoncé l’immixtion patente des États-Unis dans le processus électoral ukrainien : « Nous savons que le gouvernement américain, via l’USAID, a octroyé des millions de dollars provenant de l’organisation PAUCI (Poland-America-Ukraine Cooperation Initiative), laquelle est administrée par la Freedom House. Suite à cela, l’organisation PAUCI a réparti les subsides gouvernementaux américains parmi d’innombrables ONG ukrainiennes ».

    La Freeedom House n’a pas caché sa satisfaction pendant la présidence de Youchtchenko à Kiev mais a changé radicalement d’attitude lorsque son rival de longue date, Victor Yanoukovitch, a été élu chef de l’État au début de l’année 2010. Yanoukovitch a opéré un nouveau rapprochement russo-ukrainien en commençant par renouveler le bail pour les ports de Crimée où mouille la flotte russe de la Mer Noire. Le bail, accordé aux navires de guerre russes, est prolongé jusqu’en 2041. Comme Yanoukovitch ne veut pas entendre parler d’une inféodation de son pays aux structures euro-atlantistes, la Freedom House a fait descendre la cote de l’Ukraine : de “pays libre”, elle est devenue “pays partiellement libre”. De plus, la Freedom House déclare que règnent en Ukraine “des abus de pouvoir” comme on n’en avait plus vu depuis 2004.

    Dans le collimateur des “diffuseurs de démocratie” établis à Washington se trouve aussi désormais la Hongrie. La raison de placer la nation hongroise dans le collimateur de Washington réside principalement dans la politique du Premier Ministre Viktor Orbàn, qui entend ne défendre que les seuls intérêts de la Hongrie. De plus, le parti Fidesz au pouvoir dispose de suffisamment de sièges, pour la première fois dans la Hongrie post-communiste, pour permettre à Orbàn de nationaliser les caisses privées de pension et de faire renaître la tradition de la “Couronne sacrée”, fondement du “cadre constitutionnel pré-moderne” de la Hongrie.

    La Hongrie appartient à cette catégorie de “pays en transition”, comme par ailleurs l’Ukraine et d’autres pays de l’ancienne zone communiste, où il s’agit de faire triompher l’influence américaine et de l’ancrer définitivement. L’obstacle majeur à ce projet est évidemment la Russie, car, premièrement, ce grand pays est dirigé de manière autoritaire par Vladimir Poutine et Dimitri Medvedev, ce qui gène le travail de la Freeedom House et d’autres fondations américaines influentes ; deuxièmement,   la Russie exerce une influence sur ses voisins immédiats, ce qui est jugé “nuisible” à Washington. Raison pour laquelle une collaboratrice en vue de la Freedom House, Jennifer Windsor, déclare, très sérieusement, que, « de fait, la démocratie a échoué dans bon nombre de pays ayant appartenu à l’Union Soviétique et que cet échec est dû partiellement à l’exemple russe d’un autoritarisme en phase ascendante ». Voilà pourquoi cette dame réclame : « Les États-Unis et l’Europe doivent forcer la Russie à jouer un rôle constructif dans le soutien aux modes de comportement politiques démocratiques, tant à l’intérieur de la Fédération russe elle-même qu’à l’étranger ». 

    La pression qui s’exerce aujourd’hui sur Moscou ne se justifie pas, en fin de compte, par un souci de démocratie ou de droits de l’homme, qui tenaillerait les personnalités politiques et économiques américaines et euro-atlantistes, mais bien plutôt par des intérêts économiques et commerciaux sonnants et trébuchants. La Russie, en effet, comme chacun le sait, est immensément riche en matières premières, tout comme l’Iran (celui du Shah hier comme celui d’Ahmadinedjad aujourd’hui) est riche en pétrole et en gaz naturel ou comme la Chine qui ne cesse de croître sur le plan économique. Ces 3 pays sont de nos jours les cibles privilégiées du soft power américain en action. Outre leurs matières premières ou leurs atouts industriels, ils ont un point commun : ils refusent de suivre les injonctions des cercles politiques américains et de Wall Street et n’adoptent pas la marche qu’on tente de leur dicter en politique comme en économie.

    ► Bernhard Tomaschitz, zur Zeit n°45/2011. 

    http://www.archiveseroe.eu/recent/2

  • A.F [Communiqué] Opération "Crèches pour tous" [Vidéo]

    Depuis le vendredi 12 décembre, des étudiants parisiens de l’Action française ont commencé une distribution de crèches devant les grands magasins, afin de rappeler que Noël n’est pas la fête de la consommation, mais celle de la Sainte Famille, et l’occasion donnée aux familles de se rassembler.

    Une centaine de crèches ont ainsi été données gracieusement aux passants le souhaitant, à des familles dont les enfants jubilaient et à des sans-abri pour qui, ce fut une occasion de parler longuement.

    Cette initiative, accueillie avec enthousiasme par les Parisiens, a été ponctuée par le dépôt d’une crèche devant la librairie de la « Libre Pensée », pour mettre en garde nos compatriotes contre un laïcisme liberticide et intolérant qui fait peu de cas de l’héritage, des traditions et de l’âme françaises.

    L’Action française encourage tous les patriotes de bonne volonté à offrir des crèches à leurs prochains, notamment aux plus démunis, et à en afficher dans tous les lieux, en signe de résistance et d’Espérance.

    En cet Avent 2014, alors que la guerre des crèches fait rage, toute l’Action française vous souhaite par avance un saint et joyeux Noël.

    Action française

     

  • Un journaliste fait retirer une crèche au CHU de Nancy

    Lu sur l'Est Républicain :

    "Service de neurologie à l’hôpital central de Nancy. Au 3e étage entre l’aile A et la partie « épilepsilogie », un petit hall par où arrivent les visiteurs, les patients et le personnel. Sur une table, un sapin décoré et juste en-dessous, à droite, une crèche de Noël en papier rocher de dimension modeste : une vingtaine de centimètres de large, une douzaine en hauteur et un peu moins en profondeur. À l’intérieur, quelques personnages dont Jésus, Marie et Joseph.

    Informé de ce tableau, un journaliste de L’Est Républicain constate, de visu, la réalité de la chose, alors que la polémique sur les crèches dans des bâtiments publics bat son plein.

    Vendredi 15 h 50. Ce même journaliste contacte la directrice de la communication du CHU et demande quelle est la position officielle de l’établissement. Gwendaline Henry lui suggère d’envoyer un mail. « Vous aurez la réponse avant ce soir », lui indique-t-elle.

    À 16 h 27, le mail est expédié. Dans une première partie figure un rappel des affaires de la crèche du Conseil général de Vendée, interdite par le tribunal administratif de Nantes, pour atteinte à la laïcité, de celle de Béziers autorisée par les juges de Montpellier, de celle de Melun enfin avec une décision qui tombera lundi.

    Puis, le journaliste pose deux questions : «Pourquoi une crèche dans un service d’un hôpital public qui accueille des malades de toutes confessions ou sans confession et emploie des personnels de toutes confessions ou sans confession ? Quelle est la position de la direction du CHU à ce sujet sachant que si les hôpitaux peuvent disposer d’aumôneries, conformément à la loi de séparation des Églises et de l’État de 1905, celles-ci ne peuvent en aucun cas faire de prosélytisme ?»

    Sans doute un vent de panique a-t-il soufflé sur l’hôpital central. Plainte ? Procès ? Que n’a-ton probablement pas imaginé !Vendredi à 17 h 30, le journaliste se rend à nouveau au 3e étage du bâtiment neurologie. À sa grande surprise, il constate que la crèche, comme par miracle, a disparu. Selon nos informations, elle a été enlevée entre 16 h 45 et 17 h 15."

    Michel Janva

  • Institut Iliade: lancement du site internet!

    L'Institut Iliade a été fondé le 21 juin, jour du Solstice d’été.
    Son site internet est lancé aujourd'hui même, date du Solstice d'hiver.


    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

  • Un superbe trésor Viking vieux de plus de 1000 ans découvert en Ecosse par un détectoriste

    Un spectaculaire trésor Viking a été trouvé dans un champ, dans le sud-ouest de l’Écosse, par un détectoriste amateur. Derek McLennan a fait la découverte en septembre dernier dans le Dumfriesshire. Au total, ce sont plus de 100 objets qui ont été trouvés, dont des bracelets, une croix et des broches. Les experts estiment que cette découverte est l'un des plus importants trésors Viking jamais trouvé en Écosse.

     

     

     

     

     

     



  • 8 janvier 2015, conférence et dédicace de Zemmour à Bordeaux

    Une info "Livres en famille" :

    Zemmour A Bordeaux le jeudi 8 janvier 2015

    20 h, Athénée Municipal, Place Saint Christoly

    Conférence et dédicace du "Suicide Français".

    Librairie Saint-Jacmes 

    55 rue Saint-Jacmes 33000 Bordeaux -05 56 52 07 37

    Marie Bethanie