Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Strasbourg : conférence de Guillaume Faye sur la colonisation de l’Europe le 13 février

    Guillaume Faye tiendra une conférence à Strasbourg le 13 février prochain. Il sera l’invité de la quatrième édition du Cercle Eugène Ricklin.

    Le Cercle Eugène Ricklin recevra donc, le vendredi 13 Février 2015 à 19 heures (Strasbourg), Guillaume Faye qui abordera l’épineux sujet de “La Colonisation de l’Europe, situation et solutions.” Participation aux frais : 5 euros.

    Les inscriptions se font par mail (alsace@bloc-identitaire.com), en précisant le nombre d’accompagnants.

    Conf-FAYE.jpg

    http://fr.novopress.info/181236/strasbourg-conference-de-guillaume-faye-sur-la-colonisation-de-leurope-le-13-fevrier/

  • COMMUNIQUE DE RESISTANCE REPUBLICAINE ET DE RIPOSTE LAIQUE

    Conférence de presse européenne de résistance à l’islamisation de nos pays

    Le préfet Boucault, sous la pression de son ministre Cazeneuve, du maire écolo du 2e arrondissement Boutault, d’organisations musulmanes et de l’extrême gauche, a donc, avec un dossier totalement vide, décidé d’interdire le rassemblement du 18 janvier, organisé par Résistance républicaine et Riposte Laïque. Cette décision, hautement politique, a été cautionnée par les juges du tribunal administratif, qui ont considéré, de manière étrange, qu’appeler à expulser des islamistes qui sèment la mort dans notre pays était « un appel à la haine et à la division ».

    18 janvier

    Comme nous l’avions annoncé, nous organiserons donc, ce jour, à 15 heures, à Paris, une conférence de presse européenne, avecl’animatrice de Pegida Dusseldorf et Cologne, Melanie Dittmer, le responsable belge de Pegida Wallonie Pierre Renversez, le député suisse Jean-Luc Addor, l’italien Armando Manocchia, qui perpétue le souvenir d’Oriana Fallaci, et le philosophe Renaud Camus. Par mesure de sécurité pour les organisateurs et les intervenants, nous n’annoncerons le lieu de la conférence de presse que par téléphone, aux journalistes qui en feront la demande avant 14 heures.

    Nous nous réjouissons par ailleurs que la manifestation organisée par Vigilance halal à la ferme des Mille veaux ait été un succés, que se soit tenu un rassemblement à Lyon, et que se tiennent, cet après-midi, d’autres initiatives de ce type à Montpellier et à Bordeaux.

    Nous ne faiblirons pas dans notre résistance à l’islamisation, malgré un pouvoir totalitaire prêt à tout pour interdire la libre critique du dogme islamique et nous invitons les patriotes qui, venus à Paris pour demander que les islamistes soient jetés hors de France ne pourront se rassembler place de la Bourse à aller boire un verre avec les autres patriotes dans les cafés autour de la Bourse ou dans les rues adjacentes. Signes de ralliement, cocarde, pin-s, foulard, parapluie…  aux 3 couleurs, Et  à défaut de signe, rien n’empêche chacun de porter la bonne parole autour de lui…
    La Résistance, c’est maintenant.

    Christine Tasin et Pierre Cassen

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/communique-de-resistance-republicaine-et-de-riposte-laique_126050.html#more-126050

  • Ce que la mairie de Paris fait de l’argent public…

    Pourquoi la municipalité parisienne fait-elle casquer sans cesse davantage les citoyens ?

    Pour financer toutes sortes d’initiatives et d’associations gauchistes, homosexualistes, ou… islamiques :

    Source P. Gofman

  • Sortie du nouveau livre de Laurent Obertone : La France Big Brother

    Un livre qui colle à l’actualité, alors que les politiciens de gauche et de droite s’évertuent à nous fliquer et nous manipuler encore davantage en profitant des derniers évènements.

    La France Big Brother, « le mensonge c’est la vérité ». Préface de Xavier Raufer. 351 p. 18 €.Disponible ici.

    4e de couverture :

    « Enquête sur un sujet tabou : le conditionnement d’une nation.

    Qui est Big Brother ?
    Le sommet de la pyramide. Le gouvernement. L’administration. Les médias. Les experts. Les idéologues. La pensée unique. Les écrans. Une organisation qui a pris toutes les apparences d’une société libre et démocratique.


    Big Brother, c’est la Voix, la rumeur du monde, le bruit de fond qui nous apprend à consommer, à obéir, à penser. Celui qui vous répète tous les jours qu’il faut du pouvoir d’achat, que les inégalités se creusent, que l’immigration est à la fois une chance et un fantasme. C’est lui qui invente des scandales, définit les limites du langage et de la pensée, décide du digne, de l’indigne et du tabou. C’est lui qui vous rend l’enfer confortable.

    Français, Big Brother est votre opium.
    Vous vous êtes ouvert l’esprit, comme d’autres s’ouvrent les veines.

    Recueillant les confidences de journalistes, politiques et hommes d’influence repentis, Laurent Obertone pénètre les arcanes du plus grand système de conditionnement de masse jamais mis en place en France. Il donne enfin un visage à la terreur médiatique, politique et idéologique qui accable notre pays.

    Bienvenue dans la République des écrans.  »

    http://www.contre-info.com/sortie-du-nouveau-livre-de-laurent-obertone-la-france-big-brother#more-36312

  • La Russie n’est pas Charlie, “lutter contre le terrorisme ne signifie pas être solidaire avec des blasphémateurs provocateurs”

    L’article 282 du Code pénal condamne l’“incitation à la haine” raciale, inter-ethnique ou religieuse ». En vertu de cette disposition du Code pénal, un député russe a demandé à l’autorité de contrôle des médias (« Roskomnadzor ») d’inclure Charlie Hebdo parmi les publications extrémistes interdites en Russie.

    Seul un ex-oligarque, Mikhaïl Khodorkovski, avait appelé les médias russes à publier des caricatures du prophète en signe de soutien à l’hebdomadaire ordurier français. L’appel n’avait trouvé écho qu’auprès du site Agentsvo Business Novosteï qui avait publié un dessin de Mahomet sorti de Charlie Hebdo mais a été contraint de le retirer sur demande expresse de l’autorité de contrôle des médias.

    Sergueï Medvedev, politologue à la Haute école d’Économie de Moscou, considère que le caractère blasphématoire des caricatures de Charlie Hebdo renforce chez les Russes l’idée que l’Occident est moralement corrompu. Ces dessins blasphématoires défendus par les « élites » de l’Europe de l’Ouest sont une preuve de son déclin moral.

    L’Église orthodoxe russe a expliqué que “lutter contre le terrorisme ne signifie pas être solidaire avec des blasphémateurs provocateurs”.

    Lire la suite

  • Leur « union nationale », c’est la « soumission »

    Tout cela était malheureusement prévisible

    « Dans un monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux » (Guy Debord).

    C’est un indicible écœurement que toute personne intègre devrait ressentir devant le déferlement de glu sentimentale et d’obscénité auquel a donné lieu le massacre commis à l’encontre des journalistes de Charlie Hebdo. Et de mensonges, aussi. Notamment celui d’une France unie et debout face à l’intolérance, alors que la comédie de l’union nationale qui se joue devant nous, du NPA à l’UOIF en passant par l’UMPS, n’est rien d’autre que la manifestation de la soumission de la France institutionnelle devant l’islam le plus barbare.

    Lire aussiTrop forts, ces musulmans !

    Comment, en effet, qualifier l’invitation des Frères musulmans de l’UOIF (Union des organisations islamiques de France) à participer à la manifestation du 11 janvier, sinon de capitulation et de consentement à l’islamisation de la société française ? Comment ne pas voir que cette mascarade ne fait finalement que donner raison à Houellebecq : l’unité nationale du moment se réalisant sur le dos du Front national et des « méchants » du moment, les Zemmour, Camus, Millet et Finkielkraut qu’une certaine presse commence déjà à rendre responsable du carnage, du fait d’un climat « nauséabond » et « islamophobe » qui règnerait dans le pays ?

    Lire la suite

  • Quelles politiques du travail et de l’emploi au service de la transition écologique ?

    Dominique Meda, professeure à Paris IX-Dauphine.

  • Liberté d’expression et débat démocratique

    Texte n°5 (Rétablir la liberté d’expression – XXXe Université annuelle du Club de l’Horloge, les 15 et 16 novembre 2014)

    ♦ Jean-Philippe Feldman, avocat à la cour, professeur des universités.

    La démocratie est le système politique dans lequel le pouvoir souverain appartient au peuple qui l’exerce directement ou par l’intermédiaire de ses représentants. Dans ce type de régime, la conduite des affaires publiques repose sur la règle de la majorité.

    Mais, pour que celle-ci reste réelle, la démocratie implique la liberté d’expression donc le droit pour la minorité de manifester ses opinions. En conséquence, il s’agit de déterminer ce qui va réfréner le pouvoir de la majorité pour permettre la liberté d’expression et d’opinion, en y incluant la liberté de la presse. La question posée aux démocraties occidentales est alors d’apprécier le stade à partir duquel une limite doit être apportée à cette liberté d’expression. Ainsi, en France, pour les constitutionalistes, les libertés ne sont jamais absolues.


    En fait, la démocratie n’est pas libérale et elle n’est pas non plus une fin en soi. Pour Friedrich Hayek, si l’existence d’un régime démocratique revêt certainement une grande importance, cette institution politique représente surtout la seule qui puisse garantir un changement pacifique de gouvernement. Raymond Aron considérait, d’un point de vue sociologique, que la démocratie est l’organisation de la compétition pour l’accession au pouvoir. C’est pourquoi, il convient de respecter la minorité pour permettre à celle-ci de devenir un jour la majorité.

    La liberté d’expression est ainsi un élément fondamental pour le fonctionnement de la démocratie. Elle doit donc, en droit interne, faire l’objet d’une protection constitutionnelle. Edouard de Laboulaye (1811-1883), titulaire de la chaire d’Histoire des législations comparées au Collège de France de 1849 à 1883 et auteur, entre autres, de La République constitutionnelle (1871), distinguait deux écoles : l’école révolutionnaire ou française ; l’école américaine.

    L’école française

    D’un point de vue normatif, la liberté d’expression est une valeur plus élevée que les autres valeurs. De ce fait, la dimension libérale de la démocratie ne saurait reposer sur la loi. En effet, si elle dépendait du seul pouvoir législatif la liberté d’expression serait susceptible d’être amendée selon l’évolution des majorités.

    En France, il faut admettre que, dans ce domaine, les textes sont défaillants. Ainsi, l’article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 24 août 1789 stipule : « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi ». Les derniers termes de l’article, « dans les cas déterminés par la loi », introduisent une restriction capitale, caractéristique du légicentrisme français. La France, en effet, héritière de la Révolution, pratique le « culte de la loi » : quand un peuple devenu libre a établi de sages lois, sa révolution est faite, déclarait Saint-Just.

    L’école américaine

    La Constitution américaine a été votée le 17 septembre 1787 par une convention réunissant à Philadelphie les représentants des treize premiers Etats fédérés. A l’origine, elle comprend sept articles dont le cinquième prévoit une procédure d’amendement.

    Le premier amendement porte sur la liberté d’expression : « Le Congrès ne fera aucune loi qui touche l’établissement ou interdise le libre exercice d’une religion, ni qui restreigne la liberté de la parole ou de la presse, ou le droit qu’a le peuple de s’assembler paisiblement et d’adresser des pétitions au gouvernement pour la réparation des torts dont il a à se plaindre ».

    La Constitution borne ainsi les dérives possibles. Edouard de Laboulaye prête une supériorité à cette Constitution.

    Mais quelles sont les raisons pour lesquelles l’Etat doit s’abstenir de toute intervention propre au domaine de la liberté d’expression ? Benjamin Constant y répond en affirmant que les opinions ne relèvent pas d’une juridiction humaine. Car les erreurs se détruisant par elles-mêmes, la législation n’a donc rien à y voir.

    Présentement, en France la liberté d’expression est contrainte par trois causes :

    • une législation abusive au travers, notamment, des lois mémorielles,
    • une direction de la pensée commune à la fois au monde politique, à celui des intellectuels et à la presse,
    • la dépendance de la presse à l’égard de l’Etat qui la finance et qui lui apporte son aide lors du lancement de certains journaux ; de plus, ils se nouent des liens « incestueux » entre la presse et le personnel politique.
    Il faut noter que cette dépendance des journaux vis-à-vis de la puissance publique n’est pas récente. Déjà, la Gazette de Théophraste Renaudot était financée secrètement par Richelieu.

    Dans cet univers où les médias exercent un rôle prépondérant dans la construction de la pensée et de l’opinion, l’une des singularités les plus manifestes tient à la prééminence des idées de gauche voire d’extrême gauche chez les journalistes.

    Leur engagement que reflète l’orientation de leurs informations et de leurs commentaires, représente une entrave majeure à la libre expression des positions et des réflexions. Divers sondages réalisés témoignent de cette nette inclination chez eux pour la gauche. En 2001, par exemple, un sondage avait montré que l’opinion d’une très nette majorité des journalistes penchait en faveur de la gauche. A la veille des élections présidentielles de 2012, deux sondages, l’un réalisé auprès des étudiants du Centre de Formation des Journalistes, l’autre à l’Ecole supérieure de journalisme de Lille donnaient des résultats encore plus accentués (100% des étudiants du CFJ s’étaient prononcés pour un candidat de gauche ou d’extrême gauche et 87% de ceux de l’ESJ de Lille).

    A propos de cette liberté d’expression, il convient également de souligner, à l’exemple de nombreux autres domaines, l’influence prégnante du droit européen sur le droit français. Ce qui n’empêche pas les règles européennes relatives à la liberté d’expression de revêtir un caractère ambivalent. Ainsi l’article 10 de la Convention européenne des droits de l’homme stipule :

    Article 10-1

    Toute personne a droit à la liberté d’expression. Ce droit comprend la liberté d’opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu’il puisse y avoir ingérence d’autorités publiques et sans considération de frontière. Le présent article n’empêche pas les Etats de soumettre les entreprises de radiodiffusion, de cinéma ou de télévision à un régime d’autorisations.

    Article 10-2

    L’exercice de ces libertés comportant des devoirs et des responsabilités peut être soumis à certaines formalités, conditions, restrictions ou sanctions prévues par la loi, qui constituent des mesures nécessaires, dans une société démocratique, à la sécurité nationale, à l’intégrité territoriale ou à la sûreté publique, à la défense de l’ordre et à la prévention du crime, à la protection de la santé ou de la morale, à la protection de la réputation ou des droits d’autrui, pour empêcher la divulgation d’informations confidentielles ou pour garantir l’autorité et l’impartialité du pouvoir judiciaire.

    L’alinéa 2 est rédigé à l’image d’un texte d’inspiration socialiste. En effet, il prévoit des limites très larges. Néanmoins, certains arrêts de la Cour européenne ont été particulièrement intéressants, tel l’arrêt Handyside du 7 décembre 1976.

    D’une manière générale, entre 1995 et 2004, il faut noter que la Cour a rendu neuf décisions sur l’exercice de la liberté d’expression en France et celle-ci a été condamnée sept fois. En droit interne, il existe assez peu de décisions du Conseil constitutionnel qui concernent la liberté d’expression, à l’exception de celle du 28 février 2012 annulant la loi du 31 janvier 2012 qui avait prévu de réprimer la contestation de l’existence de génocides reconnus par la loi.

    Par un arrêt du 7 mai 2010 la Cour de cassation a refusé de transmettre au Conseil constitutionnel une question prioritaire de constitutionnalité relative à la loi Gayssot.

    En conclusion, il convient d’observer que la liberté d’expression a été souvent la victime d’une vision moralisatrice. Il faut ajouter qu’elle a parfois été défendue par des personnes peu recommandables. Mais, avant tout, ce qui compte est le principe. On ne saurait juger des conséquences de ce principe car aucune d’entre elles ne devrait entraver la recherche de la vérité.

    (A suivre)

    Club de l’Horloge, 15/01/2015

    http://www.polemia.com/liberte-dexpression-et-debat-democratique/