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  • Chute du patron de la PJ parisienne : on reparle de franc-maçonnerie

    « Suspecté d’avoir renseigné l’ancien patron du GIGN, Christian Prouteau, avant son interpellation dans une affaire d’escroquerie et de corruption, Bernard Petit tombe en compagnie de trois autres responsables policiers, connus pour leur affiliation à la Grande Loge nationale de France.

    Les « tuyaux » échangés entre frères trois-points, qui pénalement s’analysent en une « violation du secret de l’enquête et de l’instruction », scellent le destin de celui qui était l’un des flics les plus puissants de France, depuis un peu plus d’un an seulement. A 59 ans, la carrière de ce « grand professionnel », comme l’avait présenté Manuel Valls lors de sa nomination, s’achève dans l’inconfort du bureau d’un juge d’instruction. »

    Il avait débuté sa carrière comme inspecteur, et avait gravi les échelons (grâce au copinage maçonnique?), devant notamment en 2007 « le patron de la Division des relations internationale (DRI) de la police nationale, la nouvelle dénomination du SCTIP, le Service de coopération technique international de la police, une responsabilité traditionnellement attribué à un haut gradé franc-maçon. » [sic]
    Il devint ensuite n°3 de la PJ puis, « au terme d’une lutte de pouvoir sans merci au sein des couloirs du ministre, Bernard Petit est choisi en décembre 2013 par Manuel Valls, alors à l’Intérieur [et lui-même franc-maçon – NDCI], pour remplacer le patron de la PJ parisienne, Christian Flaesch. Celui-ci, coupable (déjà !) d’avoir conseillé sous le manteau l’ancien ministre Brice Hortefeux, avant son audition par ses services dans l’affaire de l’éventuel financement libyen de Nicolas Sarkozy, venait d’être démis de ses fonctions. »

    Le journaliste du Nouvel Obs poursuit : « Chevelure impeccablement cranté, costume bien coupé, fines lunettes et voix douce, Bernard Petit, policier réputé de gauche, avait coiffé sur le poteau plusieurs concurrents moins bien introduits. Premier patron de la PJ parisienne qui n’était pas issu du sérail du « 36 », Petit pouvait également compter sur ses relations maçonniques pour s’imposer dans une maison où, selon les spécialistes, au moins un quart des officiers sont affiliés à une loge. »

    « Ses appuis politiques et fraternels l’avaient aidé à survivre à deux scandales retentissants ayant récemment ébranlés le « 36 » : d’abord une affaire de viol commis dans les locaux même du Quai des Orfèvres en avril 2014 et dans laquelle sont impliqués trois policiers de la PJ éméchés. Puis, cet été, la disparition de 52 kilos de cocaïne dans la salle des scellés de la Brigade des Stups. Le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, novice en matière de police, avait préféré rejeter la responsabilité de ces graves dérapages à des défaillances individuelles, protégeant ainsi Bernard Petit, réputé pour son zèle à appliquer les consignes de la Place Beauvau. »

    Mais « l’affaire des « tuyaux » transmis à Christian Prouteau, l’ancien chef des « gendarmes de l’Elysée » sous François Mitterrand, ne permet plus au ministre de temporiser. Avec la mise en cause concomitante de son fidèle adjoint Richard Atlan, que Petit avait recruté au temps de la Division des Relations Internationales (DRI), la PJ parisienne chère au Commissaire Maigret se retrouve temporairement orpheline. Et durablement déstabilisée. »

    Cela nous rappelle une affaire remontant à un an, lorsque le contrôleur général de la police Jean-Yves Adam a été mis en examen, le 7 février, pour « corruption, violation du secret professionnel, banqueroute et abus de biens sociaux  ». Rien que ça.
    Ayant débuté sa carrière aux renseignements généraux, il avait été notamment directeur du premier district de la Direction de la Sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP) de la Préfecture de police de Paris (avec 2000 policiers sous ses ordres).
    Comme l‘avait indiqué l’Express (7 fév. 2014), « il a pu échapper aux poursuite judiciaires pendant plusieurs années grâce à ses « amitiés fraternelles » . Autrement dit, grâce à des complicités nouées avec des policiers franc-maçons. »

    On se remémore aussi ce que Jacques Ravenne et Éric Giacometti, deux écrivains francs-maçons, déclaraient dans une interview à La Dépêche en novembre 2013 :

    « il y a beaucoup de policiers francs-maçons.
    On dit que 75 % des hauts fonctionnaires de la place Bauveau sont maçons.  »

    http://www.contre-info.com/

  • Nathalie Kosciusko-Morizet est-elle suicidaire ?

    Nathalie Kosciusko-Morizet a déclaré lundi matin qu’entre le Front national et le Parti socialiste, elle choisit le Parti socialiste.

    Nathalie Kosciusko-Morizet – ce n’est pas une première – a déclaré lundi matin sur BFM qu’entre le Front national et le Parti socialiste, elle choisit le Parti socialiste. C’est du moins la position qu’elle entend défendre mardi devant le bureau politique de l’UMP, réuni pour décider de l’attitude à adopter lors du second tour de l’élection législative partielle dans le Doubs. C’est son droit. En a-t-elle mesuré toutes les conséquences ?

    Tout d’abord, un tel choix renforcerait chez les électeurs du Front national le sentiment que l’UMPS n’est pas une lubie : point de différence notable entre l’UMP et le PS. De leur côté, une majorité des sympathisants UMP, qui souhaitent des accords avec le FN lors des élections locales, ne le comprendraient pas. 

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  • La Grèce choquée dénonce le « chantage » de la BCE

    L’arrêt de certains financements par la Banque centrale européenne a secoué la Bourse d’Athènes et ravivé les tensions politiques.

     

    Il faudra s’y habituer : la saison 2015 du feuilleton « Grèce, la crise » alternera scènes de réconciliation et séquences de haute tension, ponctuées de coups de théâtre. Celui provoqué mercredi soir, après 22 heures, par la BCE, a crispé les acteurs de cette tragédie grecque sur toute l’étendue de la scène européenne au cours de la journée de jeudi.

    La Banque centrale européenne (BCE) a en effet annoncé - en prenant tout le monde par surprise - qu’elle privait la Grèce de sa principale source de financement en suspendant le régime dérogatoire qui l’autorisait à accéder au robinet de la BCE malgré des titres publics de qualité médiocre. Obligées de se replier sur une ligne d’urgence révocable à tout moment, les banques grecques sont les premières affectées par cette décision. L’État grec voit également son refinancement à court terme compromis.

    Manifestation à Athènes

    À la Bourse d’Athènes, la réaction ne s’est pas fait attendre. Dès l’ouverture, le principal indice a plongé de 9,3 %. Surtout, les titres des principales banques, déjà malmenés au lendemain de la victoire électorale de Syriza, se sont effondrés : de 18 % pour Eurobank, de 25,6 % pour la National Bank et jusqu’à 27 % pour Piraeus Bank.

    La décision de la BCE est « légitime », a déclaré François Hollande. Vu d’Athènes, la perception est évidemment radicalement différente. De retour de sa première tournée européenne qui l’avait mené la veille à Bruxelles et à Paris, le premier ministre grec, Alexis Tsipras, s’est empressé de dénoncer le « chantage » de la BCE. « La terreur et le chantage sont finis », a-t-il déclaré devant les 149 députés de son parti, au Parlement. Déterminé à « mettre fin à la troïka » et au « cauchemar de l’austérité », Tsipras a assuré que « la Grèce ne prendra plus d’ordres, en particulier des ordres par e-mails ».

    Sur la place Syntagma, lieu de toutes les manifestations anti-austérité depuis cinq ans, quelque 5 000 personnes se sont rassemblées, sans forces de police ni barricades, pour soutenir le chef du gouvernement de la gauche radicale et conspuer Mario Draghi. La dénonciation du chantage a trouvé des échos à Paris. Le Parti socialiste s’est démarqué du chef de l’État en « regrettant » le geste de la BCE. Beaucoup plus vigoureuse, Marine Le Pen a dénoncé « une mesure d’une exceptionnelle agressivité » qui confirme, selon la présidente du Front national, que l’Union européenne ressemble de plus en plus à « une dictature ». Le Parti communiste a pour sa part appelé à un rassemblement devant la Banque de France, dont le gouverneur, Christian Noyer, siège au conseil de la BCE, « pour le respect du vote des Grecs ». [....]

    La suite sur Le Figaro.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?La-Grece-choquee-denonce-le

  • L'avortement à la source de la crise économique

    L’évêque de Ferrara, dans la région de Bologne en Italie, Mgr Luigi Negri a déclaré :

    « La loi contre l’homophobie est un délit contre Dieu et contre l’humanité. Quant à la loi sur l’avortement, elle a empêché la venue au monde de six millions d’Italiens supplémentaires et le manque d’enfants a fait que nous nous sommes enfoncés dans l’actuelle crise économique. »

    Michel Janva

  • La France se lance dans la contre-propagande face aux djihadistes

    Contrer la propagande des organisations djihadistes sur Internet, c’est ce que cherche à faire l’armée française. Une cinquantaine de militaires spécialisés va être mobilisée pour affronter l’organisation de l’Etat islamique sur l’un des terrains où elle est en pointe : Internet et les réseaux sociaux tels que Facebook ou encore Twitter. Cette cellule de contre-propagande sera installée à Lyon, au Centre interarmées d’actions dans l’environnement (CIAE). Elle pourra communiquer, à couvert ou non auprès des populations civiles. Objectif : utiliser une fausse identité pour rentrer en contact avec des recruteurs et tenter de dissuader des individus de partir. C’est dans le contexte de la guerre d’Algérie que la France a eu recours pour la dernière fois à des opérations importantes de contre-propagande.

    http://fr.novopress.info/

  • Dominique Venner : « Europe et volonté »

    Méditant sur l’âme européenne dans ce qui la distingue de l’Orient proche ou lointain, Ernst Jünger a isolé comme révélatrice la libre détermination d’Alexandre tranchant l’immobilité du nœud gordien.

    Si l’Asie épouse les énergies du monde, l’Europe est tentée de s’en emparer pour les soumettre à sa volonté. L’une est associée à la force apparemment tranquille de l’eau, l’autre à celle du feu.

    En Occident, l’éthique et la philosophie n’échappent jamais à la volonté. L’une et l’autre ne sont pas seulement des chemins vers la sagesse, mais une construction de soi par l’exercice du corps, de l’âme et de l’esprit, comme dans un gymnase, ce lieu de l’éducation grecque qui a perduré jusqu’à nous malgré ses altérations.

    Il n’est donc pas surprenant que l’histoire, théâtre de la volonté, ait été une invention européenne.

    Dominique Venner,

    Histoire et tradition des Européens, 2002.

    http://la-dissidence.org/2015/01/31/dominique-venner-europe-et-volonte/

  • UMPS et front républicain : « Ils défendent leur gamelle », se moque Jean-Marie Le Pen

    Jean-Marie Le Pen, fondateur du Front National, était l’invité de France Info. Il réplique au front républicain UMPS.


    Le Pen et le front républicain : « Ils défendent… par FranceInfo

    http://www.medias-presse.info/umps-et-front-republicain-ils-defendent-leur-gamelle-se-moque-jean-marie-le-pen/24907