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  • Bloc Identitaire Lyon : la France est entrée dans une phase de djihadisme de moyenne intensité

    Malgré les déclarations mensongères du gouvernement de Manuel Valls sur la sécurité en France, la situation ne cesse de se dégrader. Un chiffre donné par la chaine d’information LCI montre l’ampleur de ce phénomène : 200 incidents ont été recensés depuis les attentats du 7 et 9 janvier autour des lieux sensibles. Selon le général Charpentier, il y a eu « des agressions armées avec arme de guerre d’hommes cagoulés la nuit » !

    A Nice, à Villeurbanne, à la Seyne-sur-Mer,… et dans la banlieue parisienne, plusieurs militaires ont été menacés et attaqués par des individus faisant clairement référence aux frères Kouachi et Amédy Coulibaly.

    Après les attaques meurtrières de Charlie Hebdo et l’Hyper Cacher de la Porte de Vincennes à Paris, la société française est entrée dans une phase de djihadisme de moyenne intensité (attaque quasi-quotidienne à l’arme blanche) qui débouchera si les mesures préconisées par le Bloc Identitaire ne sont pas appliquées (déchéance de la nationalité et remigration), sur des situations comparables à la Bosnie, au Kosovo, à la Libye, à la Syrie ou à l’Irak.

    L’heure n’est plus à l’indignation et aux tergiversations, mais à l’action !

    http://fr.novopress.info/

  • Contagion radicale sur les mosquées de France

    C'est dans Le Figaro :

    "[D]es groupes salafistes ont lancé une vaste offensive souterraine pour tenter d'étendre leur emprise sur les lieux de culte les plus fragiles. Selon un dernier état des lieux, le nombre des mosquées et salles de prière passés aux mains des fondamentalistes a plus que doublé en quatre ans, passant de 44 à 89 entre 2010 et l'année dernière. Si ce bilan semble s'être stabilisé, du moins en apparence et de manière provisoire, les analystes ne cachent guère leur inquiétude.

    En effet, selon des données des services de renseignements portés à la connaissance du Figaro, pas moins de 41 autres lieux de culte sont aujourd'hui déstabilisés par ce que les experts appellent les «attaques salafistes». De plus en plus virulents dans leur prosélytisme, ces religieux d'inspiration quiétiste ont mis sur pied une stratégie assez redoutable, en tout point analogue à celle du «coucou». En général assez jeunes, bien structurés et parfois conseillés par des avocats, ils installent d'abord une petite salle de prière ou créent une école ultra-orthodoxe juste à côté du lieu de culte ciblé, en général de taille modeste sachant que 72 % des 2 502 mosquées et salles de prière musulmanes, gérées en associations de type 1901, accueillent moins de 150 fidèles en moyenne. «Ensuite, ils laissent infuser leurs thèses radicales qui plaisent aux jeunes et alimentent de rumeurs sur la prétendue mauvaise administration du lieu de culte en exigeant la convocation d'une assemblée générale, décrypte un expert. Lorsque les imams en place, souvent de vieux chibanis ayant une gestion à l'ancienne, se trouvent dépassés, les salafistes exigent la convocation d'une assemblée générale avant de prendre le contrôle du bureau qui gère l'association cultuelle…»"

    Vite, il faut que le gouvernement crée un site internet pour contrer cette menace...

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Politique du réel

    Alors que le cessez-le-feu conclu entre Kiev et les rebelles prorusses entré en vigueur samedi 14 février à minuit, heure locale semble tenir, la première étape du plan de paix destiné à mettre fin au conflit qui a fait plus de 5500 morts en dix mois dans l'Est de l'Ukraine est plus fragile que jamais1. Cette guerre au sein même de l'aire territoriale européenne est un combat fratricide, une mise à mort entre slaves orientaux qui est inacceptable. C'est une sottise absolue comme put l'être le conflit dans l'ex-Yougoslavie au cours des années 90. A terme, n'est visé que l'affaiblissement de l'Europe. L'histoire nous a montré maintes fois combien les guerres intra-européennes furent en vérité de véritables ethnocides.

    Je me garderais bien de formuler un avis sur les tenants et les aboutissants de ce conflit. D'une part parce que je ne connais pas suffisamment le sujet et les véritables enjeux. D'autre part, parce qu'il me semble que les interpénétrations de services et de forces occultes agissant sur le terrain rendent pour le moins trouble la situation réelle. Enfin et surtout, oserais-je dire, parce que se fixer comme seul horizon ce micro-phénomène, aussi terrible soit-il, c'est rayer d'un trait le véritable combat qui se livre ici et maintenant. Je me refuse en toute conscience à prendre part à cette diversion, sinon orchestrée, du moins entretenue. D'ailleurs, le fameux conflit « triangulé » est en passe de gagner la « mouvance dissidente ». La division est une arme aussi vieille que le monde. Sur les réseaux sociaux, chacun y va de son invective et n'oublie pas de traiter ces anciens camarades de tous les noms d'oiseaux. Les stratèges de bac à sable et les guerriers de fêtes foraines ont un avis sur tout et se chargent de le faire connaître. Je l'ai déjà écrit ici et je le répète : ceux qui rêvent de faire des stages en Ukraine ne valent guère mieux que les djihadistes en route pour la Syrie.

    Pendant ce temps, alors que nous assistons à la grande transhumance d'hiver des zombies consommateurs vers les sommets enneigés, la loi Macron, dite « projet de loi pour la croissance, l'activité et l'égalité des chances économiques », prépare la plus grande dérégulation du droit du travail effectuée depuis le XIXe siècle. Les députés ont adopté le 14 février dernier l'article 80 du texte qui prévoit que le nombre possible d'ouvertures dominicales des commerces passe de cinq à douze par an, sur décision du maire jusqu'à cinq, et après avis de l'intercommunalité au-delà. Nos élus ont également voté la création de « zones touristiques internationales » (ZTI), où les commerces pourront ouvrir tous les dimanches et les soirs jusqu’à minuit. 
    Bien pire, le projet contient des articles liberticides sur le fonctionnement des conseils de prud’hommes, les plans sociaux et les infractions commises à l’encontre des instances représentant le personnel dans une société.

    Au sein des entreprises, qui sont devenus pour certaines d'entre elles de véritables goulags, le record des 320000 ruptures conventionnelles atteint en 2012 devraient être dépassé en 20142. La France compte environ 70000 hospitalisations par an pour des tentatives de suicide alors que l'on tente encore et toujours de nous vendre le Fairphone, premier téléphone équitable, et que les agences de pub vantent les mérites du Self Selp, « développement personnel qui repose sur la réalisation de soi, une quête d'authenticité qui permet d'explorer de nouvelles dimensions existentielles ».La démesure dans toute son horreur.

    Notre combat prioritaire reste de penser un dépassement du capitalisme et de rompre avec la logique de l'accumulation illimitée intrinsèquement destructrice. Pour nos ennemis, le libéralisme est la seule voie possible et le marché, unique lieu de socialisation compatible avec la liberté individuelle (Jean-Claude Michéa). Nous sommes entrés dans l'ère du règne absolu du cosmopolitisme bourgeois où l'homme, devenu un être abstrait, ne se définit plus que par son adhésion aux valeurs marchandes. Il nous faut revoir nos rapports à la consommation, à la production, au travail. Nous devons impérativement nous recentrer sur une démocratie écologique et une autonomie économique locales.

    Notre combat est avant tout un combat politique.

    Mais une fois que l'on a dit cela, a-t-on tout dit ?

    Toutes les coutumes et traditions, nous dit Hervé Juvin3, toutes les frontières et structures sociales ne sont que des « empêchements à commercer librement ». Le capital allié au progressisme effréné nous entraîne vers un marché mondial des hommes.

    L'immigration de masse n'est pas un hasard. C'est tout l'intérêt du capital que de déplacer les individus là où il y a du travail et là où ils seront utiles.

    Qu'on ne s'y trompe pas ! L'immigration qui touche tous les pays européens est une immigration de remplacement destinée à redynamiser économiquement les régions vieillissantes et à accueillir le « trop plein » des populations d'Afrique du nord et subsaharienne. Hervé Juvin cite à cet égard les mots de Peter Sutherland souhaitant « détruire l'unité interne des nations européennes » afin de faciliter le commerce mondial.

    S'opposer à l'immigration massive c'est combattre le système capitaliste et sa logique de l'accumulation illimitée.

    Mais c'est également devenu un combat en soi et qui se justifie à lui seul. Rien ne laisse en effet présager que si les « pompes aspirantes » venaient à disparaître, elle en viendrait elle aussi à s'effacer. Selon l'UNICEF, un quart de la population mondiale sera africaine en 2050. A cette date, 40% des enfants de moins de 5 ans dans le monde, vivront sur le continent africain4. Continuer sans prendre en compte ces paramètres est suicidaire.

    Au combat politique s'ajoute nécessairement un combat culturel. S'engager dans l'un en négligeant l'autre serait une erreur grave.

    Nous devons sans cesse marteler notre adhésion au relativisme culturel, à cette doctrine qui proclame très justement que toutes les cultures se valent ou sont égales. La richesse de l'humanité réside dans sa diversité. La culture n'existe que si elle est plurielle. De même, l'identité n'existe que dans l'altérité. Comme le dit Alain de Benoist, « l'universel s'atteint à partir de la singularité ».

    Nous ne devons pas hésiter à défendre l'idée que chaque homme possède un besoin archaïque à s'enraciner dans la culture de son groupe. Nous sommes en présence aujourd'hui d'un contact de cultures très éloignées les unes des autres, possédant des codes très différents et rendant toute assimilation – c'est à dire absorption – impossible. Le devenir de notre communauté de destin n'est pas d'être lié à ces identités culturelles. Tout nous en éloigne : nos comportement, nos pensées et nos sensibilités qui structurent nos rapports à la nature, à la société et au transcendant.

    Chacun désormais s'enferme dans son identité. Selon l'explication de son fondateur Najib Azergui, pour les élections cantonales de mars prochain, l'Union des démocrates musulmans français (UDMF) encore marginale compte présenter des candidats dans 8 cantons. Elle possède déjà un premier élu à Bobigny, après que le parti ait apporté son soutien à la liste de l'actuel maire UDI Stéphane de Paoli5. Le communautarisme est en marche.

    Il ne suffit plus de dire que l'immigration est l'enfant du capital. Le combat doit être simultanément mené sur les deux fronts : combat politique et combat culturel.

    Bien loin des théâtres d'opération ukrainiens que nos géopoliticiens de salon ne distinguent qu'au travers d'écrans interposés.

    Guillaume Le Carbonel pour le C.N.C

    Notes:

    1Le Monde, édition du 14.02.2015

    2Chiffres du Ministère du Travail

    3La grande séparation, Gallimard 2013

    4Libération, édition du 12.08.2014

    5Le Figaro, édition du 12.02.2015

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

  • « Islamophobes », islamophiles, mêmes résultats

    À la suite des tueries de janvier, on a vu les officiels mener campagne contre l’« islamophobie », méconnaissant totalement le sens du suffixe « -phobe » (et son dérivé phobie).

    Or « -phobe », c’est le grec φόβος (fuite par peur, déroute ; en général, terreur, effroi). Par exemple, la xénophobie, c’est d’abord la peur irraisonnée, maladive de ce qui est étranger, et spécialement de personnes venues d’un autre pays ; il peut en découler de l’hostilité, voire de la haine envers les étrangers. Mais à proprement parler, la haine se dit μῖσος en grec, d’où misogynie (haine des femmes), misanthropie (haine des humains)… L’islamophobie n’est donc pas la haine des musulmans mais la peur de l’islam, tandis que le grec φίλος (ami, aimé, cher, agréable) permet de nommer islamophile celui qui aime l’islam, et tend à le favoriser.

    Or, la lecture du Coran, facile à trouver sur Internet, montre vite que Mahomet n’a pas essayé de faire aimer sa nouvelle religion, mais à faire peur à ceux qui la refuseraient, et a fortiori la combattraient. Trois passages en exemple :

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  • La « diversité » à l’œuvre : agressions en série dans les transports en commun

     Une énième agression s’est produite en date du 13 février 2015 dans une rame du RER B, à Gif-sur-Yvette, dans le département de l’Essonne.

    Une dame de 46 ans, excédée par les agissements de « deux jeunes » qui s’amusaient avec les portes du RER, est intervenue. Elle a très vite été prise à partie par les deux « jeunes », qui l’ont copieusement insultée.

    Une courageuse étudiante, ayant vu la scène, s’est interposée pour lui venir en aide. Mal lui en en a pris : elle s’est retrouvée projetée au sol par les deux agresseurs, rouée de coups de pieds, et ses effets personnels volés.

    Cette agression n’a fait l’objet que d’un petit article (en version payante) dans Le Parisien (édition de l’Essonne) du 19 février 2015, soit presque une semaine après les faits…

    Comme souvent, les médias qui critiquaient les rondes citoyennes initiées par Génération Identitaire et appréciées des usagers se sont montrés beaucoup moins bavards pour relayer ce fait divers, pourtant emblématique d’une situation intenable à laquelle les Français sont confrontés chaque jour. Selon un sondage mené par M6 au moment des Tournées de Sécurisation des transports par Génération Identitaire, 62 % des auditeurs de M6 étaient favorables à ces tournées citoyennes :

    Pour trouver une solution à un problème, il convient de pouvoir nommer ce problème. Entre la négation du racisme anti-Blancs et l’apologie d’un « vivre ensemble » qui n’existe pas, mais qui tient lieu de credo pour la caste politico-médiatique, les jalons destinés à museler l’opinion publique sont nombreux. Il revient également aux autorités – notamment à la Justice – de se mobiliser de façon urgente pour protéger l’ensemble des citoyens, sans quoi la seule réponse que ces derniers pourront apporter sera l’autodéfense et l’application d’une justice citoyenne, sans doute plus sévère que celle des juges “rouges” et de Christiane Taubira. Faut-il en arriver là ?

    Il appartient désormais aux citoyens d’agir dans les urnes en votant massivement pour les candidats du Front National, mais aussi sur le terrain en ayant un comportement de « citoyen vigilant ». La peur doit changer de camp, maintenant !

    Franck Guiot pour Novopress

    http://fr.novopress.info/

  • Jean-Marie Le Pen sur l'islamo-fascisme : "La France a inventé le gouvernement terroriste"