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  • Jean-Marie Le Pen : « Je suis un homme libre, je ne me sens pas obligé de marcher dans les sentiers tracés par la pensée unique »

  • "La France est la seule démocratie occidentale dont l’identité politique moderne s’est construite contre la religion"

    C'est ce qu'a déclaré Manuel Valls aujourd'hui lors d'une visite à Strasbourg pour présenter une série de mesures concernant la nouvelle formation des imams.

    Michel Janva

  • Le déclin de SOS Racisme

    Par la conjuration d’un “vivre-ensemble” malade de nature, d’une jeunesse qui ne se laisse plus abuser, de l’essor des idées patriotes dans le débat français, SOS Racisme semble se rapprocher de la chute.
    L’officine du Parti Socialiste bien que se faisant de plus en plus agressive et bruyante dans sa communication ne rassemble plus la foule dans ses manifestations d’indignation sélective. Elle ne cherche plus qu’à faire taire puisqu’elle ne se fait plus entendre. En effet, sa rhétorique, rengaine lancinante se périme. Aussi s’acharne t-elle, unie à d’autres, à tout faire pour que la parole contradictoire qu’elle nomme haine ne puisse s’exprimer dans une liberté retrouvée sur internet.
    Maigre de ses membres, tel le héron, l’association phare antiraciste en est à rassembler ses anciens Présidents pour son prochain dîner annuel.

    http://fr.novopress.info/

  • Résistance républicaine et Riposte laïque organisent les Assises pour la liberté d’expression

    Interview de Pierre Cassen par Polémia.

    ♦ Riposte laïque et Résistance républicaine organisent les Assises pour la liberté d’expression, dimanche 15 mars à Paris. Une manifestation importante que nous présente ici Pierre Cassen de Riposte laïque.

    Polémia : Pourquoi une telle manifestation ? En quoi, selon vous, la liberté d’expression est-elle menacée ?

    Pierre Cassen : Depuis le début de l’année, à Paris, les patriotes sont interdits de rassemblement. Nous avions décidé, RL et RR, avant les attentats de Charlie, devant la recrudescence des violences musulmanes, attribuées par le pouvoir et ses médias à « des déséquilibrés », d’organiser un rassemblement sur le thème « Islamistes hors de France », Place de la Bourse, le 18 janvier. Suite aux attentats de Charlie Hebdo, nous avions planifié un rassemblement en souvenir des victimes, dès le 8 janvier au soir, mais avec un autre mot d’ordre que le niais « Je suis Charlie ». Ces deux initiatives ont été interdites par le préfet Boucault, sur l’ordre du ministre Cazeneuve. Ce 18 janvier, en présence de l’écrivain Renaud Camus et, entre autres, d’une responsable de PEGIDA Allemagne (1) et un député de l’UDC du Valais (2), nous avons pu, face à ces interdictions, organiser en dernière minute une conférence de presse suivie par une vingtaine de journalistes, dont la moitié d’étrangers.

    Mais nous ne pouvions pas accepter l’idée que pendant que les Allemands manifestaient tous les lundis soirs contre l’islamisation de leur pays, que les Italiens réagissaient à l’invasion de Lampedusa, les patriotes français soient interdits de manifestation à Paris. Nous avions donc décidé, début février, de revenir à la charge, pour un rassemblement, toujours Place de la Bourse, avec cette fois comme thème la défense de la liberté d’expression. Suite aux attentats de Copenhague, nous avons compris qu’ils serviraient de prétexte pour nous faire interdire, une nouvelle fois, et avons décidé alors qu’il fallait reformater notre initiative. D’où cette idée, quatre ans après les « Assises internationales contre l’islamisation de nos pays », d’organiser de nouvelles assises, en conservant le thème du rassemblement prévu.

    Il nous semble que cette initiative tombe à pic, car jamais la liberté d’expression, déjà en fort recul depuis une trentaine d’années, n’a été autant menacée. Vous avez, d’un côté, les menaces islamistes, qui veulent dissuader tous les esprits libres (qui dépassent de loin les seuls bobos de Charlie Hebdo) de critiquer leur religion ou même de dessiner leur prophète ; et vous avez de l’autre côté ce régime aux abois qui, utilisant les événements de janvier, entend, sous le prétexte de lutter contre le racisme et l’antisémitisme, restreindre la liberté d’expression et amalgamer à du racisme toute parole politiquement incorrecte, surtout quand elle concerne l’islam et les musulmans de France, voire sur l’immigration, chance pour la France. On vient encore de s’en rendre compte avec l’épisode grotesque des propos du président du CRIF et des gémissements de Boubakeur, relayés par toute la bobocratie, comme s’il y avait dans notre pays un délit de réalité.

    Polémia : Avez-vous des cas récents de censure en tête ? Pouvez-vous les rappeler à nos lecteurs ?

    Pierre Cassen : La première censure nous concernant, c’est le harcèlement judiciaire dont nous sommes l’objet. L’objectif des associations dites antiracistes est clair : nous faire taire, nous qui n’avons pour vivre que les dons de nos lecteurs et les ventes de nos livres, en multipliant les actions judiciaires contre nous. Riposte laïque a été durement frappé par le procès intenté par ces associations gavées de subventions et soutenues par le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) contre Pascal Hilout, apostat de l’islam, et moi-même en tant que responsable du site à l’époque. Nous avons été lourdement condamnés, même en appel (22.000 euros d’amende et de dommages et intérêts), à cause du fameux article 24-8, ajout, voté en décembre 2004, de la loi sur la liberté de la presse de 1881. Selon la formule célèbre, nous aurions « incité à la haine contre une personne ou un groupe de personnes en raison de son appartenance religieuse… ».

    affiche-15-mars21

    Dans le même esprit, dix-huit procédures judiciaires ont été entamées contre notre mouvance. A ceux quiconsidéreraient qu’un tel nombre nous discréditerait et montrerait que nos excès expliquent sans doute en partie cet acharnement, je voudrais donner cet exemple : j’ai été convoqué, dans un commissariat de province suite à la plainte, instruite par un procureur de la République, de deux journalistes de la Nouvelle République ; l’objet de la démarche de ces vaillants plumitifs : dans un article paru sur RL l’auteur, Jeanne Bourdillon, les avait qualifiés de « journaleux » ; il paraît que ce serait une insulte et une remise en cause de leurs compétences professionnelles, d’où dépôt de plainte…

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  • Répression : l’ouverture d’un local alternatif lyonnais bloqué par la police

    Samedi 28 février, le local associatif « Lyon non conforme » (droite radicale) devait ouvrir ses portes et accueillir une soirée de lancement.

    Mais les autorités, sur le qui-vive, débarquent auparavant avec d’importants renforts policiers (et des canons à eau) et au mépris de la loi, interdisent l’accueil du public, qui en sera pour ses frais de déplacement.

    Un comportement politique honteux et mû par la haine idéologique, à l’heure de la « liberté d’expression » et où pullulent les mosquées à islam radical que l’Etat ne ferme pas pour des motifs de légalité…

    Les autorités et un premier cordon de CRS :

    Détails dans le communiqué ci-dessous.

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  • "FNPS" : l'UMP se défausse sur le PS en l'accusant de faire monter le FN aux élections

    "Voter pour le FN au premier tour, c'est faire gagner la gauche au second. C'est le FNPS! Voter pour l'UMP n'a jamais en revanche fait gagner la gauche. Voter FN, si." En se réappropriant ce lundi dans Le Figaro l'argumentaire de Jean-François Copé, apôtre du "ni-FN, ni Front républicain", Nicolas Sarkozy ne fait qu'entériner un élément de langage désormais ancien dans sa famille politique.

    Confrontée depuis la seconde moitié des années 80 à la montée en puissance de l'extrême droite, la droite gaulliste n'a eu de cesse de se débattre avec la double tentation de s'allier avec un Front national sulfureux et celle de rejeter sur la gauche en général (et sur le PS en particulier) la faute originelle que constitue cette tentation.

    A l'approche de chaque rendez-vous électoral, l'argument revient donc désormais en boucle: le Parti socialiste favoriserait la montée du Front national, soit en modifiant les modes de scrutin soit en surfant sur des thèmes censés porteurs pour l'extrême droite (immigration, chômage), dans le but de fragiliser l'UMP.

    Geoffroy Clavel

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EukVFupkyVOoXvCgrZ.shtml

  • Pourquoi Poutine aurait-il fait tuer Nemtsov ?

    Lu dans Présent :

    N"Pour la grosse cavalerie des médias français ça ne fait pas un pli. Aucune analyse ne va à l’encontre de la version officielle : le crime est signé Poutine. D’autant plus, soulignent de fins observateurs, que ça s’est passé près du Kremlin ! Comme si le président russe avait ajusté son Makarov 9×18 mm depuis sa fenêtre avant d’aller se servir une vodka on the rocks.

    Le président russe aurait-il été pressé de se débarrasser d’un fervent opposant à Moscou et au conflit en Ukraine (opposant à la faible représentation) ? On lui prête d’autres morts suspectes d’opposants depuis son arrivée au pouvoir en 2000. La justice est parvenue à désigner certains des exécutants de ces crimes mais leurs commanditaires n’ont jamais été identifiés. Boris Nemtsov avait confié ses craintes pour sa sécurité. Les enquêteurs russes évoquent d’autres pistes : celle d’une tentative de déstabilisation politique en lien avec l’Ukraine, mais également celle des islamistes radicaux, après le soutien de Nemtsov au journal Charlie-Hebdo.

    Pourquoi Poutine se serait-il tiré une balle dans le pied avec ce crime si grossier ? « Soyons très clairs : Nemtsov ne représentait pas un danger pour Poutine », juge l’ancien diplomate et écrivain Vladimir Fédorovski. Il rappelle que « Poutine n’a jamais été aussi populaire » en Russie, et souligne le renforcement du sentiment nationaliste depuis le début du conflit ukrainien.

    Boris Nemtsov, 55 ans, ancien vice-Premier ministre de Eltsine, organisait des marches pacifiques contre la guerre en Ukraine. Il devait participer dimanche à l’une des plus importantes démonstrations de protestation depuis des mois dans la capitale russe. Les organisateurs l’ont transformée en cérémonie à sa mémoire.

    Cet adversaire de Poutine est aujourd’hui plus dangereux mort que vivant."

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html