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  • Irak : il rachète des esclaves sexuelles à l’Etat Islamique et les rend à leurs familles

    Au péril de sa vie, un homme qui préfère garder l’anonymat pour des raisons évidentes de sécurité, entre sur des terres contrôlées par l’État islamique pour y racheter des jeunes filles chrétiennes, musulmanes et yézidies, vendues comme esclaves sexuelles, qu’il aide ensuite à retrouver leur famille.

    Combien en a-t-il ainsi sauvées ? Agit-il seul ? L’histoire ne le dit pas. Mais une vidéo le montre rendant une jeune fille yézidie à sa famille, qui ne savait pas ce qu’elle était devenue, depuis sa capture par des membres de l’Etat Islamique.

    L’esclavage, justifié par la sourate 4 du Coran, a été établi officiellement par l’Etat Islamique, qui pratique la traite sexuelle dans son « califat » , comme en atteste une édition de sa revue en ligne Daquib, publiée en anglais. Ce commerce de la honte concerne le plus souvent des jeunes filles des minorités chrétiennes ou yézidies. Leur prix varie en fonction de leur âge. Difficile d’imaginer le calvaire enduré par ces jeunes filles, et la souffrance de leur famille, en particulier de leurs parents.

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    http://www.contre-info.com/

  • La revanche du peuple

     « Les partis politiques, de plus en plus déconnectés de la vie réelle, deviennent tout simplement caducs ».

    La sagesse populaire le dit à sa manière : « Tout passe, tout casse, tout lasse » ! La pensée savante le formalise en rappelant que la continuité de la vie sociale se fonde sur l’impermanence des organisations qui sont censées la représenter. C’est bien cela qui est en jeu dans le spectacle politique ou, mieux, la politique spectacle. Tant il est vrai qu’il n’est pas nécessaire de se rappeler ces grands penseurs que furent Hegel ou Marx pour rappeler que les événements se répètent toujours deux fois : « une première fois comme tragédie, la seconde fois comme farce ».


    Et c’est lorsque cette « farce » politique devient par trop évidente que la société redevient ce qu’elle est de nature : civile.

    Rappelons que pour notre espèce animale, dire est essentiel : « Au début est le Verbe, et le Verbe était Dieu » ! Pouvoir souverain s’il en est. Et de tout temps, les élites, en particulier politiques, avaient le monopole légitime de ce pouvoir : savoir dire ce qui est vécu et, par là, assurer la solidité du rapport fécond existant entre « les mots et les choses ». Mais il est des moments où un tel pouvoir se sature. Les mots ne sont plus en pertinence avec ce qui est, ils deviennent dès lors impertinents.

    C’est bien ce qui est en train de se passer actuellement. Les partis politiques, de plus en plus déconnectés de la vie réelle, deviennent tout simplement caducs.

    Dans son livre classique sur la chose publique, Robert Michels montrait (dès avant la première guerre mondiale) comment les « Partis politiques », inéluctablement, devenaient des organisations « oligarchiques », leurs incantations démocratiques n’étant que le faux-nez de cette tendance, propre à l’ordre des choses, à confisquer le pouvoir pour quelques-uns. D’où un entre-soi des élites ne pouvant qu’engendrer une méfiance populaire. Ce que les lettrés nomment secessio plebis, qui régulièrement resurgit dans les histoires humaines. La gauche en a fait les frais. C’est au tour de la droite de payer les pots cassés, c’est-à-dire de subir les conséquences d’une singulière inconséquence, avoir oublié qu’il n’est depouvoir qu’enraciné sur la puissance populaire !

    D’où la revanche de ce qu’il est convenu de nommer la « société civile » et que je préfère nommer le peuple. Revanche s’exprimant, d’une part, dans le refus massif et constant des consignes de vote : l’actualité n’est pas avare d’exemples en ce sens et l’on peut, sans trop se tromper, pronostiquer qu’un tel processus n’en est qu’à ses débuts.

    Il est non moins intéressant de noter que, d’autre part, cette revanche populaire s’exprime dans la célébration de personnages publics n’ayant pas (ou n’ayant plus) l’aval de la pensée établie. C’est ainsi que, pour n’en citer que quelques-uns : Houellebecq, Zemmour, Depardieu deviennent des figures emblématiques autour desquelles on s’agrège pour faire la nique à ceux qui sont censés déterminer le sens des choses.

    Pourquoi cela ? Peut-être parce que contre la bienpensance de droite, point trop éloignée de celle de gauche, ils représentent la « bella Figura » du peuple. D’un peuple sachant, de savoir incorporé, que les vraies règles de la vie belle sont celles, pour reprendre une expression de Joseph de Maistre, sachant mettre en pratique « le bon sens et la droite raison réunis ».

    En entonnant ces pieuses rengaines célébrant les « valeurs républicaines », le « progressisme » et autre contrat social rationnel, en vitupérant le « communautarisme » et le sentiment d’appartenance « tribal », les partis de droite oublient que les représentations philosophiques ont, aussi, leur destinée. C’est-à-dire qu’elles se saturent. Ce qui entraîne la faillite de la représentation politique.

    Quand cela se produit, on ne peut plus se contenter de lectures hâtives, n’engendrant que des pensées courtes. Il faut revenir à l’essentiel. Ce que Rabelais nommait justement la « quintessence » des choses. En la matière la vie quotidienne. Cette vie de tous les jours, où dans la « proxémie » on s’ajuste au milieu naturel et au climat dans lequel on baigne. C’est cela « l’esprit du temps », pétri de rêves, de fantasmes, de mythes intemporels. Toutes choses rappelant que le lieu fait lien.

    Faut-il, comme cela est fréquent, appeler « populisme » cette revanche du peuple ? En le faisant, les ténors de la droite classique après ceux de la bourgeoisie de gauche ne font que se déconnecter un peu plus du Réel au nom d’un principe de réalité, économique, social, politique, bien désuet.

    Encore une fois, un tel déphasage n’est pas une « première historique ». Machiavel a rappelé que fréquemment, la « pensée du palais » devenait étrangère à la « pensée de la place publique » et que cela était lourd de conséquences. Guerres civiles larvées, clivages on ne peut plus prononcés, dogmatismes idéologiques, cléricalisme laïc en sont les expressions les plus évidentes.

    Les partis de droite sont déconnectés de leur base naturelle, parce que, obnubilés par la « forme parti », quelque peu obsolète, ils se contentent de rabâcher, de manière compulsive, quelques pensées convenues. Des lieux communs qui sont à des années-lumière du sens commun.

    Dans le portrait qu’il dresse de Lycurgue, Plutarque note que ce qui « a le plus de pouvoir pour rendre un peuple heureux et sage doit avoir sa base dans les mœurs et les habitudes des citoyens ».

    N’est-ce point ce sage principe que la droite semble avoir oublié ?

     Michel Maffesoli , 2/05/2015

    Source : Magistro.fr

    http://www.polemia.com/la-revanche-du-peuple/

  • Marion Maréchal Le Pen a fait trembler Manuel Valls

    Lors d’une question au Premier ministre à l’assemblée nationale, la députée du Vaucluse Marion Maréchal Le Pen (Front National) a évoqué les scandales judiciaires impliquant le Parti Socialiste depuis l’investiture de François Hollande. Elle a aussi vivement critiqué son combat obsessionnel contre le FN.

    La réponse de Manuel Valls n’a en rien varié de son habituelle outrance, de ses antiennes républicaines. Ce qu’il n’a pas dit s’est vu, par contre, en s’énonçant par de violents tremblements qu’il ne pouvait réprimer.

    http://fr.novopress.info/183698/marion-marechal-pen-fait-trembler-manuel-valls/

  • Le PS veut développer les écoles musulmanes sous contrat

    Publié sur le site du Parti socialiste le 1er février, «le rapport d'étape» du groupe de travail «Cohésion républicaine» du PS propose notamment de «développer les établissements scolaires privés sous contrat» pour mieux «organiser la place de l'islam dans la République».

    Cette note de 5 pages propose aussi de

    • prévoir une aide à la formation des imams français, peut-être par la création d’un institut de théologie.
    • recenser les besoins en lieux de culte et examiner les moyens de répondre aux manques dans certaines parties du territoire.

    Le PS défend l'allahicité.

    Michel Janva

  • "La Nouvelle droite: bilan provisoire d’une école d e pensée",

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    Lire ici l'analyse de Jean-Yves Camus (document Pdf) - La Pensée, n°345 ; janvier-mars 2006,
    pp.23-33

    http://www.voxnr.com/cc/dh_autres/EukypFyZZpCLTjHzxC.shtml

  • Nouvelles de l’État Islamique