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  • Europe: les nouveaux patriotes inspirés par Poutine et Marine Le Pen

    Le "nationalisme" et le "patriotisme" gagnent en puissance en Europe sur fond de problèmes économiques et migratoires.
    L'idée de la création d'une "Europe unie" a échoué parce qu'elle reposait sur "l'humiliation du patriotisme et de la fierté nationale", a estimé le politologue américain Bruce Thornton, cité par le bimensuel The American Conservative (TAC.
    "Les Européens, c'est une race qui vieillit, diminue, disparaît, s'éteint", écrit le TAC, constatant qu'en raison de la crise démographique, l'Europe connaît un afflux d’immigrés musulmans qui méprisent leur nouvelle patrie et se tournent vers l'islam radical. 
    Dans ces conditions, les partis politiques réclamant que l'immigration soit limitée, notamment le Parti pour l'indépendance du Royaume-Uni (UKIP), le Front national (FN) en France et le parti allemand "Patriotes européens contre l’islamisation de l’Occident" (PEGIDA), deviennent de plus en plus populaires, constate l'édition. 
    Selon le politologue, "l'échec de l’Europe" est prédéterminé par "la crise démographique et les problèmes économiques, l'économie européenne devenant de plus en plus atone sous le fardeau des prestations sociales très coûteuses".
    Bruce Thornton estime que dans le contexte européen actuel, le "nationalisme" et le "patriotisme", associés à des leaders tels que Marine Le Pen à la tête du FN français et le président russe Vladimir Poutine, gagnent en puissance.

    http://fr.sputniknews.com/international/20150317/1015220646.html

  • Livre : Parution : La dictature

    dict818.jpgLes éditions du Seuil viennent de rééditer dans leur collection de poche Point un essai de Carl Schmitt intitulé La dictature et datant de 1921. De nationalité allemande, juriste et philosophe du politique, ami d'Ernst Jünger, Carl Schmitt est l'auteur de nombreux ouvrages comme La notion de politique (1928), Terre et Mer, un point de vue sur l'histoire du monde (1942), Le nomos de la terre (1950) ou Théorie du partisan (1963).
    " En 1930, Walter Benjamin écrivait à Carl Schmitt : «Grâce à vos méthodes de recherche en philosophie de l'Etat, j'ai trouvé dans La Dictature, une confirmation de mes méthodes de recherche en philosophie de l'art...»
    A l'origine, la dictature est une institution de la République romaine. Le dictateur reçoit une mission, il est commis par la République pour rétablir l'ordre républicain, dans un temps limité à six mois. La dictature «souveraine», spécifiquement moderne, telle la «Dictature du prolétariat», est quant à elle illimitée et vise à créer un nouvel ordre.
    Ainsi, quel qu'en soit le type, la dictature est par essence une institution destinée à faire face à l'état d'exception. Et si le libéralisme hésite devant cette «solution», si radicale, c'est justement parce qu'il ne veut pas entendre parler d'état d'exception, ni de souveraineté. Il postule en effet une constitution qui limite la puissance de l'Etat et est censée prévoir tous les cas. En cela, il est insuffisant - et c'est, entre autres, ce que permet de comprendre la synthèse historique magistrale proposée par Carl Schmitt. "

    Carl Schmitt

    Metapoinfos :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dh_autres/EukyVkpEEyZdfHQWLE.shtml

  • Nicolas Bay sur Boulevard Voltaire : “politique de peuplement” de Valls : le multiculturalisme à marche forcée ?

    Source : Boulevard Voltaire – ” [Politique de peuplement] de Valls : le multiculturalisme à marche forcée ?”
    Que cela soit dans ses attaques contre le Front national ou contre les intellectuels (hier Éric Zemmour, avant-hier Michel Houellebecq, et désormais Michel Onfray), le Premier ministre a de plus en plus de mal à garder son calme et à cacher ses pulsions totalitaires. Pour Manuel Valls, l’excommunication tient lieu de débat : après tout, n’a-t-il pas lancé hier à Marion Maréchal-Le Pen qu’elle n’était “ni la République, ni la France” ? Un jugement s’adressant, sans doute aussi, aux millions de Français votant pour le FN. Si ces propos outranciers ne sont guère rassurants, l’attitude physique témoignée par Manuel Valls lors de cette virulente diatribe ne l’est pas davantage.

    Lorsqu’il avait dénoncé le 20 janvier dernier, à quelques jours seulement des terribles attaques islamistes, l’existence d’un “apartheid territorial, social, ethnique”, le Premier ministre cédait à deux tentations mortifères de la gauche, et même plus largement du camp mondialiste. Tout d’abord l’explication serait sociale, forcément sociale, et puis – le raisonnement est lié – tout serait un peu de notre faute (de l’État, des Français), forcément de notre faute. Un raisonnement facile permettant d’évacuer tant de questions… Au même moment, je m’interrogeais pour ma part sur l’immigration, le droit du sol et l’attribution automatique de la nationalité française.

    À cet “apartheid”, Manuel Valls entend opposer une “politique de peuplement” dont il vient d’annoncer les premières inquiétantes propositions. La principale mesure éducative consisterait à redéfinir la carte scolaire pour les collèges afin de favoriser la “mixité sociale”. La même “mixité sociale” que l’on entend aussi imposer en forçant la construction de logements sociaux dans les communes réticentes, notamment en passant directement par les intercommunalités, voire même en faisant délivrer des permis de construire directement par les préfets. Ou comment priver les maires d’un de leurs principaux pouvoirs.

    Au lendemain de cette présentation, le ministre de la Ville Patrick Kanner considérait même que “refuser les logements sociaux, c’est antirépublicain”. Rien que ça. Une réflexion piquante de la part de celui qui se déclarait récemment favorable à la discrimination positive.

    Osons poser la question : de quoi le logement social est-il le nom aujourd’hui ? Malheureusement, à défaut de priorité nationale, à travers des procédures d’attribution souvent opaques (cachant mal un certain clientélisme contre lequel les élus locaux du FN mènent bataille), et des critères pernicieux, le logement social rime le plus souvent avec immigration. Une immigration que cette “politique de peuplement” entend désormais disperser sur tout le territoire, l’idée étant notamment de la diluer et donc de minimiser la perception de ses conséquences par nos compatriotes. La “mixité sociale” n’est que le cache-sexe d’un multiculturalisme à marche forcée, quitte à ce que les préfets s’en chargent !De la crise du logement à l’insécurité, on ne résoudra rien tant qu’on ne commencera pas par stopper l’immigration (ce qui signifie aussi en inverser les flux, notamment par l’expulsion systématique des clandestins et des criminels étrangers ou le non-renouvellement automatique des titres de séjour), rétablir l’assimilation républicaine comme règle, et réaffirmer avec force et fierté notre identité.

    Nicolas Bay

    http://fr.novopress.info/183946/politique-de-peuplement/

  • L’eurodéputé Nicolas Bay défend le latin !

    Nicolas Bay, jeune député européen FN, a réagi par communiqué à la dernière crétinerie de Najat Vallaud-Belkacem.

    Suppression de l’enseignement du latin au collège : attaque contre nos humanités et notre identité !

    Dans le cadre de sa nouvelle réforme du collège, Najat Vallaud-Belkacem prévoit la suppression des options de langues anciennes au collège. Sous couvert de démocratisation, le latin deviendra l’un des nouveaux « Enseignements pratiques interdisciplinaires (EPI) », intitulé « Langues et culture de l’antiquité », projets pour le moins très flous puisque ni les horaires ni même le programme ne seront prédéterminés, et que l’enseignement pourra être assuré par des professeurs d’autres disciplines en fonction des nécessités de service de l’établissement.

    Ce nouveau simulacre d’enseignement du latin et du grec met donc fin à un apprentissage rigoureux et méthodique des langues anciennes et annonce la disparition d’une filière d’excellence. Après la suppression de la bourse au mérite, au nom de son idéologie égalitariste, le parti socialiste poursuit donc sa politique de nivellement par le bas.

    Les cours distincts de latin ou de grec sont pourtant essentiels et permettent une meilleure compréhension de la grammaire et des subtilités de la langue française.

    Une part importante de notre vocabulaire provient du latin, langue qui irrigue nos institutions, notre droit, notre littérature, notre grammaire, en un mot notre culture. Les intentions du gouvernement ne laissent aucun doute : encore une fois, il s’agit d’une attaque contre notre identité qui ne peut être défendue sans la mémoire de nos racines et de notre histoire.

    Pour instruire et relever le niveau des élèves en langue française, c’est le renforcement de l’apprentissage des matières fondamentales et classiques qui doit prévaloir.

    http://www.medias-presse.info/leurodepute-nicolas-bay-defend-le-latin/27799

  • 480 SDF sont morts dans la rue en 2014

    En 2014, un collectif d’association a recensé 480 personnes mortes dans la rue en 2014. Des victimes dont le décès aurait pu être évité selon l’organisation qui appelle le gouvernement et les élus à se mobiliser.

    Il y a encore 50 ou 60.000 personnes qui vivent dans la rue. Est-ce qu’on ne peut pas faire quelque chose? Il y a des places d’hébergements à ouvrir et du logement à développer“, estime Christophe Louis, du collectif “les morts de la rue“.

    http://fortune.fdesouche.com/

  • Peine de mort ou perpétuité réelle ?

    Cela pourrait être une question que Marine Le Pen poserait aux Français par référendum :

    "Moi, à titre personnel, comme avocate (...), je pense qu'un système pénal ne peut pas tenir sans la peine capitale. Je pense que la disparition de la peine de mort a eu comme effet, en réalité, d'effondrer l'ensemble de l'échelle des peines et qu'aujourd'hui on se retrouve avec des délits ou même des crimes que je considère comme très graves et qui sont condamnés à des peines indignes au regard de la souffrance qu'ils ont pu créer chez la victime.

    J'ai dit que je ferais sur ce sujet un référendum où je demanderais aux Français de choisir entre le rétablissement de la peine de mort et la mise en oeuvre de la perpétuité réelle. La perpétuité réelle, réelle, réelle, c'est-à-dire celle où, quand on est condamné, on ne sort plus jamais de prison.

    Nous recevions au Parlement européen il y a deux jours le roi de Jordanie, qui a été encensé par les députés européens, par M. Schulz le président. Je remarque que le roi de Jordanie a mis en oeuvre la peine de mort il y a quelques jours, le jour où un pilote jordanien a été brûlé, il a appliqué la peine de mort à quelques djihadistes qui étaient dans ses prisons. Je remarque que là, pour le coup, quelqu'un qui applique la peine de mort, ça n'empêche pas l'ensemble de l'élite de l'applaudir. Les convictions de ces élites sont peut-être moins assurées qu'ils ne le disent"

    Contrairement aux idées reçues, et même si d'autres solutions sont préférables, l'Eglise n'exclut pas la peine de mort (CEC 2267) :

    "L’enseignement traditionnel de l’Eglise n’exclut pas, quand l’identité et la responsabilité du coupable sont pleinement vérifiées, le recours à la peine de mort, si celle-ci est l’unique moyen praticable pour protéger efficacement de l’injuste agresseur la vie d’êtres humains.

    Mais si des moyens non sanglants suffisent à défendre et à protéger la sécurité des personnes contre l’agresseur, l’autorité s’en tiendra à ces moyens, parce que ceux-ci correspondent mieux aux conditions concrètes du bien commun et sont plus conformes à la dignité de la personne humaine.

    Aujourd’hui, en effet, étant données les possibilités dont l’Etat dispose pour réprimer efficacement le crime en rendant incapable de nuire celui qui l’a commis, sans lui enlever définitivement la possibilité de se repentir, les cas d’absolue nécessité de supprimer le coupable " sont désormais assez rares, sinon même pratiquement inexistants " (Evangelium vitae, n. 56)."

    Philippe Carhon

  • Pas de liberté pour les ennemis de la liberté

    De quoi a-t-on besoin pour disqualifier le vainqueur d’une élection ? De médias aux ordres, de fonctionnaires zélés, d’un climat de suspicion entretenu plusieurs mois à l’avance, et d’une rhétorique habile pour délégitimer l’adversaire.

    Les foucades du citoyen Valls sur le prétendu antirépublicanisme du FN ont fait le « buzz », comme on dit aujourd’hui. Néanmoins, elles ont vite été rangées par l’ensemble des observateurs politiques dans la catégorie de ces escarmouches verbales d’avant-scrutin, généralement sans lendemain, auxquelles nous sommes habitués depuis que le FN est devenu une machine électorale de première force.

    Pourtant, clamer haut et fort que « le FN n’est pas un parti républicain », qu’il représente un « immense danger » pour la France et qu’il faut le « combattre jusqu’au bout » n’est pas anodin. Bien au contraire, ces propos pris dans leur sens littéral – et on ne voit pas pourquoi il n’en serait pas ainsi – sont d’une violence inouïe et préfigurent des heures sombres pour la démocratie.

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