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  • L’Union Européenne déclare la guerre aux médias russes

    Les témoignages des experts internationaux qui voient de leurs propres yeux ce qui se passe au Donbass ainsi que les reportages des correspondants russes sur place contredisent les déclarations des politiciens et des journalistes occidentaux qui parlent de la présence imaginaire de l’armée russe ou de l’agression des forces de la résistance. Les populations aux USA et en Union européenne s’interrogent de plus en plus sur ce que les médias lui fournissent à la place des faits concrets.

    Bruxelles, en voyant que la guerre d’information qu’il a déclenchée ne se passe pas comme prévu, jette des forces nouvelles dans le combat qu’il mène sur cet axe. Ainsi, il a chargé la chef de la diplomatie européenne Mogherini de superviser le nouveau programme d’envergure pour contrecarrer le travail des médias russes.

    Au terme des trois mois à venir il est prévu de recruter des équipes, de former des journalistes et de mettre en place tout un programme pour faire front aux chaines de télévision, aux radios et aux journaux russes. Le document du Conseil européen qui en comporte les détails a été classé « top secret », seulement quelques informations sur son contenu ont fui dans les médias.

    « Lors de la rencontre au sommet du 19 au 20 mars, les leaders européens chargeront la haute représentante Mogherini de préparer pour le prochain sommet de juin un plan d’action pour défendre la liberté des médias et les valeurs européennes en Russie« , — rapporte l’agence Reuters.

    Le sens de cette formule en apparence anodine qui est la « propagation des valeurs européennes » réside dans la figure emblématique de Federica Mogherini. La chef de la diplomatie de l’Union européenne a déjà raconté comment il fallait travailler avec la société civile russe.

    « Nous travaillons sur la mise en place d’une stratégie de communication pour faire face à la propagande en langue russe » , a déclaré le 19 janvier dernier la haute représentante de l’Union européenne pour la politique extérieure et la sécurité Federica Mogherini.

    Il est prévu de lancer toute une chaine de diffusion en continue avec des programmes quotidiens. Cette diffusion se fera en langue russe.

    « Ce projet de lancement d’une chaine européenne en langue russe est déjà soutenu par la Pologne, la Suède, le Danemark, l’Allemagne, les Pays-Bas, la Lituanie, la Grande Bretagne. Les diplomates se rendent compte qu’ils sont en train de perdre la guerre d’information contre la Russie », remarque Le Time.

    Remarque importante, ce débarquement informationnel s’est avéré urgent en voyant que l’information venant des journalistes russes qui décrivent la situation en Ukraine, notamment des envoyés spéciaux de la chaine La Russie qui ont depuis toujours été majoritaires au Donbass, se faisait diffuser trop largement. Les rédacteurs européens luttent contre cela en récupérant ce qui est réalisé par les autres, mais en leur donnant leur propre sens.

    « Ouglégorsk, ville située à quelques 50 km de Donetsk a été une cité de plus que les séparatistes ont réduite à néant », a déclaré le 30 janvier 2015 le présentateur de la chaine de télévision allemande ZDF, en diffusant les séquences du reportage d’Evguéni Poddubny montrant les pilonnages de la ville par les forces du régime kiévien.

    ZDF a utilisé un extrait du reportage réalisé par Evguéni Poddubny pour la chaîne La Russie. C’est son équipe de tournage qui s’est retrouvée prise avec les FAN dans des pilonnages lorsque l’armée ukrainienne était en train d’anéantir la ville.

    L’original porte le titre : « Les officiers et le chef de la République Populaire de Donetsk pris dans des pilonnages ».

    La chaine allemande ZDF n’a pas daigné ni s’expliquer, ni s’excuser après la révélation de cette tricherie.

    « L’Occident a peur de la vérité, car on a beau accuser les chaînes russes, il faut se rendre à l’évidence que ce sont elles qui diffusent la vérité. Il se peut que cette vérité dérange du fait de révéler les horreurs que l’Ukraine est en train de commettre en tuant ses propres concitoyens. Néanmoins, ce sont ces faits documentaires qui agissent sur le public de manière puissante » ont noté un expert militaire et le rédacteur en chef de la revue Action défensive nationale Igor Korotchenko.

    C’est cette action puissante qu’on a cherché à empêcher lors du Forum mondial à Davos en janvier 2015. Avant l’intervention de Petro Porochenko, les activistes avaient déployé les banderoles : « Le fascisme ne passera pas » et « Souvenez-vous d’Odessa ». Ils se sont fait interpeller par les forces de l’ordre. Les principaux médias européens n’en ont pas publié un seul mot.

    C’est la chaine Russia Today qui a en parlé. Cette même chaine, qui s’est vue interdire à Londres la mise en place des panneaux publicitaires et contre laquelle OfCOM, régulateur des médias britanniques, a déployé tout une campagne sous prétexte de lutter contre la propagande russe.

    « La direction de la chaine a été convoquée après que cette dernière a été reconnue coupable de violation des normes de la radiotélévision britannique. Elle a été avertie de la révocation possible de sa licence en cas de récidive », — ont déclaré les fonctionnaires britanniques.

    « Très prochainement les USA, la Grande Bretagne et une partie de l’Europe évoqueront la fermeture de ces sources d’information. Ils pourront procéder de différentes façons : par exemple, en neutralisant des chaines télévisées diffusées par satellites et ainsi de suite. Ce n’est qu’un début de l’offensive informationnelle menée par l’Occident, met en garde le journaliste, écrivain et militant Giulietto Chiesa.

    Le principal champ de bataille reste toujours la question du rattachement de la Crimée à la Russie où le blackout médiatique commence tout juste à être percé. Ainsi, le 12 mars 2015 le centre de presse de l’agence internationale Russia Today vient d’être inauguré à Simferopol.

    « Nous relions ce centre à Moscou, Berlin, Londres, Doubaï, Dehli et tous les autres centres de presse que nous avons dans le monde. Grâce à la technologie de nos jours, nous avons la possibilité de le relayer à n’importe quel endroit dans le monde, même ceux où nous ne disposons pas de centre de presse. Ainsi, toute personne au monde peut interroger les habitants de la Crimée pour leur demander s’ils veulent réellement rester en Russie ou pas. De cette façon nous arrivons à briser le blackout médiatique qu’on voudrait bâtir autour de la Crimée, a déclaré lors de l’inauguration du centre de presse le directeur général de Russia TodayDimitri Kisselev.

    Selon les experts, l’offensive occidentale ne se limitera pas à la création d’une seule chaine. Le Sénat américain a déjà débattu le financement de trois chaines d’emblée qui diffuseront prochainement en langue russe en Estonie, Lettonie et Lituanie.

    Source : Vesti.ru
    Auteur :
     Vesti.ru
    Traduction : Svetlana Kissileva

    Editeur : Walt 18/03/2015

    http://www.polemia.com/lunion-europeenne-declare-la-guerre-aux-medias-russes/

  • Forbes: les Criméens vivent mieux au sein de la Russie

    Selon le magazine americain Forbes, les Etats-Unis et l'UE devraient renoncer aux tentatives de "sauver" les habitants de la Crimée qui sont satisfaits d'être devenus citoyens russes.

    D'après de nombreux sondages réalisés par des sociétés occidentales, les habitants de la Crimée sont satisfaits que leur péninsule fasse partie de la Russie depuis mars 2014 et ne souhaitent pas revenir au sein de l'Ukraine, a annoncé lundi le magazine américain Forbes 

    Les Etats-Unis et l'UE devraient cesser leurs discussions sur la nécessité de "sauver" la Crimée, puisque "sondage après sondage, on voit que les habitants locaux, qu'ils soient Ukrainiens, Russes ethniques ou Tatars de Crimée, sont unanimes à constater qu'il est mieux de vivre en Russie qu'en Ukraine", a indiqué le magazine. 

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  • Elections départementales 2015 - 1er tour

    Je doute fort qu'après l'écoute des résultats énoncés sur les différentes chaînes de télévision par les journalistes, les Français aient été réellement informés de la réalité des faits, tant furent nombreuses les formulations caricaturales ou alambiquées.
    Détail révélateur et emblématique, aussi bien sur la première chaîne que la seconde, la soirée électorale fut rapidement interrompue par un film. A l'évidence, les journalistes sont donc très mal placés pour fustiger l'abstention. On reconnaîtra que des élections à portée nationale – il y en a peu - méritent bien une soirée à part entière.
    Les sondages – une fois de plus – se sont trompés et il n'est pas impossible que le Système, après avoir minoré longtemps les résultats du Front National, ait décidé des les majorer, ce probablement afin que les électorats de gauche et de droite se mobilisent par réaction.
    Les seules élections, si l'on veut saisir l'évolution politique dans notre pays, à laquelle il faille comparer celles d'hier, ne sont autres que les cantonales de 2011. Les résultats s'avèrent dès lors assez éclairants.
    Rappelons qu'il est une constante, savoir que le pouvoir en place subit presque toujours un revers dans le cadre d'élections organisées durant le mandat en cours. A contrario, elles bénéficient aux différentes oppositions.
    Voilà pourquoi bien des candidats de la majorité, à commencer par des socialistes, sont très discrets durant leur campagne, sur leur appartenance politique. Réciproquement, les opposants brandissent fièrement leur drapeau.
    Etude parti par parti. 
    1) Ump et assimilés
    Si on se réfère aux élections cantonales de 2011, droite et centre droit représentaient alors : 
    (UMP 16,97%) + (Divers droite 9,32%) + (Majorité - Nouveau Centre 3,20%) + (Majorité 2,25%) soit (16,97+9,32+3,2+2,25)% = 31,74 %.
    Alors même, si l'on se souvient, que la majorité de l'époque (la « droite ») déclenchaient l'ire de bien des Français, elle n'en obtenait donc pas moins environ 30% des suffrages. On peut donc considérer, tout au moins dans le cadre d'élections départementales ou cantonales, que 30% pour la « droite », cela représente les basses eaux.
    Dans le cadre des élections départementales, droite et centre droit représentent aujourd'hui : 
    (Binôme Union de la Droite 20,94%) + (Binôme Union pour un Mouvement Populaire 6,51%) + (Binôme du Modem 0,36%) + (Binôme Union du Centre 0,29%) + (Binôme Union Démocrates et Indépendants 1,30%) + (Binôme Debout la France 0,40%) + (Binôme Divers droite 6,76%) soit (20,94+6,76+ 6,51+1,30+0,4+0,36+0,29)% = 36,56%.
    Alors même que la « droite » est en situation très favorable – la majorité est aujourd'hui très impopulaire – elle obtient donc 36,56%. On peut considérer que 2011 et 2015 constituent deux extrêmes pour la « droite ». Basses eaux puis hautes. Le progrès de la « droite » entre basses et hautes eaux est donc de (36,56-31,74)/31,74 = 15,18%.
    On constate donc, malgré le fait que le scrutin fut hier des plus favorables pour la « droite », sa progression (du plus bas vers le plus haut) n'est que de 15%.On voit bien que la déclarée victoire de la « droite » est des plus relatives. On peut même affirmer que le résultat de la « droite » constitue un échec, cette « droite » n'ayant pas su vraiment profiter de circonstances qui lui furent hier pourtant des plus favorables. La « droite » n'en est pas moins la première force politique dans le cadre de cette élection locale.
    2) Parti socialiste et assimilés
    Si on se réfère aux élections cantonales de 2011, parti socialiste et assimilés représentaient alors : 
    (Parti socialiste 24,94%) + (Europe Écologie – Les Verts 8,22%) + (Divers gauche 5,41%) + (Parti radical de gauche 1,48%) soit (24,94+8,22+5,41+1,48)% = 40,11%
    On constate donc que dans des circonstances des plus favorables pour eux, Ps et assimilés atteignent 40% environ. Le sarkozysme était alors – en 2011 – à bout de souffle et en presque fin de législature et de mandat.
    Dans le cadre des élections départementales, parti socialistes et assimilés représentent aujourd'hui :
    (Binôme du Parti Socialiste 13,34%)+(Binôme Union de la Gauche 8,20%)+(Binôme Divers gauche 6,81%)+(Binôme d'Europe-Ecologie-Les Verts 2,03%)+(Binôme du Parti radical de gauche 0,31%) = (13,34+8,2+6,81+2,03+0,31)% = 30,69%
    Par voie de conséquence, les basses eaux pour le parti socialiste et assimilés – c'est le cas pour les présentes élections – se traduisent par l'obtention de 30% des suffrages. On en déduit que ps et assimilés oscillent entre 40% (hautes eaux) et 30% (basses eaux). Au sujet du scrutin d'hier que l'on doit comparer avec celui de 2011, la baisse du parti socialiste associé aux assimilés, est de 30-40/30 = 33%. Ce que l'on peut appeler la gauche de gouvernement a donc baissé d'un tiers entre les deux suffrages. Cela peut sembler beaucoup si d'aventure on oubliait qu'il s'agit de deux scrutins extrêmes (hautes puis basses eaux). En ce sens, cette chute ne constitue nullement pour parti socialiste une catastrophe même si la baisse est nette. Donc, au même titre que le succès de la droite, la défaite de la gauche est à relativiser. Tout se passe donc comme si droite et gauche, frappées d'inertie, patinaient...
    3) Front National
    Si on se réfère aux élections cantonales de 2011, le Front National représentait alors : 
    15,06%
    Hier, le Front National a obtenu :
    25,19%
    La progression du Front National est donc de (25-15)/15 = 66 %
    C'est à dire que le Front National augmente de deux tiers ses suffrages. C'est bien du raz de marée dont il s'agit. Le Front National augmente deux fois plus ses suffrages que la gauche n'en perd et plus de quatre fois plus que la droite n'en gagne. Donc, à l'aune de ces chiffres, on ne peut douter que le grand vainqueur du scrutin d'hier n'est autre que le Front National. Surtout sachant que des élections dites locales sont censés défavoriser le mouvement de Marine le Pen.
    4) Le tripartisme est désormais un fait établi.
    Nous sommes désormais en France dans une configuration telle qu'il existe trois grandes tendances que sont droite, gauche et Front National, respectivement à hauteur, respectivement de 35%, 30% et 25%. La notion de basses ou hautes eaux ne fait pas sens pour le Front National puisque ce dernier n'a pas encore pour l'instant exercé le pouvoir. Même si l'aspect contestataire du vote Front National est un fait, on peut constater qu'il y a maintenant adhésion au Front National de la part d'une partie non négligeable de son électorat, y compris dans le cadre d'un enjeu local. Le quatrième mouvement en France, semble être le Front de gauche qui a obtenu hier moins de 5%. C'est bien trop peu pour que l'on puisse évoquer une forme quelconque de quadripartisme.
    5) Décembre 2015 – les élections régionales.
    Les élections régionales – autre consultation locale – permettront de savoir si les résultats des départementales représentaient une tendance lourde ou pas. La nouvelle configuration économique (baisse de l'euro par exemple) permettra peut être à la gauche de se refaire une santé même si les effets de cette nouvelle configuration risquent d'advenir bien après. Ce qui sera intéressant alors, ce sera de regarder de près les résultats du Front National. Dans le cas d'un bon résultat, l'implantation locale ne sera plus contestable. Ce succès à venir est déjà annoncé par les résultats d'hier.

    Alain Rebours

    http://www.voxnr.com/cc/a_la_une/EukZEEEFZuauORArTY.shtml

  • Départementales : Marine Le Pen salue l’exploit du Front National

    La présidente du Front National a salué le bon résultat de son parti aux élections départementales ce dimanche 22 mars au soir. Elle estime avec raison qu’avec un seul candidat sortant sur quatre-mille élus départementaux, le FN a largement su tirer les marrons du feu.

    Le taux de participation indique un vote d’adhésion et le résultat (dans un compte-rendu médiatique très opaque) place son parti en seconde position derrière l’alliance UMP-UDI -MoDem.

    Le vote massif en faveur des candidats patriotes constitue également un désaveu cinglant pour le Premier ministre qui a cru pouvoir prendre la tête d’une campagne contre le peuple.

    Marine Le Pen dénonce une campagne ordurière et violente, de haine, stigmatisant des millions d’électeurs français suivie de près par certains organes de presse dénués d’impartialité.

    http://fr.novopress.info/184486/departementales/

  • Politique & Eco n°36 - La sécurité sociale, organisme socialo-communiste de redistribution.

  • Le gel de la construction de mosquées ? Un principe de précaution

    De cinq en 1965, de 913 en 1985, leur nombre, d'après Le Figaro du 20 février dernier, se porte à 2.502 en 2015.

    Marine Le Pen n’a jamais fait de « déclaration de guerre aux musulmans », n’en déplaise au ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve. En revanche, elle annonce sans autre forme de procès vouloir mener un combat contre le « fondamentalisme islamique ».

    Et, réagissant à un rapport du sénateur UDI Hervé Maurey – lequel s’inquiète des insuffisances de la loi de 1905 face à la question du financement des lieux de culte par les collectivités locales dont il dénonce l’absence de transparence –, la présidente du Front national réclame purement et simplement le gel de la construction des mosquées.

    Il faut dire que de cinq en 1965, de 913 en 1985, leur nombre, d’après Le Figaro du 20 février dernier, se porte à 2.502 en 2015, gérées en association type 1901. Parmi elles, toujours selon Le Figaro, 89 sont déjà sous influence salafiste, et 41 autres sont aujourd’hui déstabilisées par ce que les experts appellent « les attaques salafistes ». 

    Mais pour Bernard Cazeneuve, « la radicalisation ne se fait que très marginalement dans la fréquentation des mosquées ». On se demande alors pourquoi l’État tient tant à doubler le nombre de diplômes universitaires (passant de six à douze) visant à former des imams « aux principes de la République »  si la mosquée ne représente (presque) pas de danger. Mais si l’État accède au désir de Dalil Boubakeur d’en doubler le nombre, on comprend mieux.

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  • Chrétiens d'Orient : Jacques Bompard interroge Fabius

    Question n° 11-00419 de Jacques Bompard au ministre des affaires étrangères et du développement international sur la détresse des chrétiens d'Orient et la nécessité d'un réel soutien :

    "Après 6 mois de frappes aériennes, on observe l'arrêt de la progression de l'Etat de Daech sans pouvoir pour autant parler d'un recul significatif. En outre, les conditions de vie des habitants demeurent très précaires. Le temps, laissé par la communauté internationale à l'Etat de Daech par une intervention insuffisante, permet à ce dernier d'asseoir toujours plus son pouvoir et contraint les minorités à fuir. Ces migrations forcées favorisent l'instabilité de la région.

    Mgr. Pascal Gollnish, directeur général de l'Œuvre d'Orient, affirme que " Les puissances occidentales ont voulu s'impliquer dans ce conflit en réclamant le départ du président Assad. Elles doivent au peuple syrien la mise en place d'une solution rapide de ce conflit prenant en compte le fait nouveau représenté par le déploiement de Daech ". Il ajoute que la communauté internationale doit élaborer "une notion de "crime culturel contre l'humanité" : l'organisation de Daech a détruit des œuvres d'art d'une valeur exceptionnelle dans la ville de Mossoul (entre autre); notion qui permettrait de pouvoir poursuivre pénalement les destructeurs. En outre, Mgr Gollnish rappelle que "Daech, en décapitant vingt et un chrétiens d'Egypte en Lybie face à la mer, a explicitement menacé ce qu'il appelle le Royaume de la Croix, c'est-à-dire nous".

    M. Jacques Bompard attire l'attention sur les enjeux d'une position attentiste et demande à M. le ministre des Affaires étrangères des précisions sur l'actuel soutien des Chrétiens d' Orient."

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html