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  • Les résultats en direct

    Au soir du second tour des départementales, l'abstention s'élèverait à 51%.

    L'UMP gagnerait de 60 à 70 départements, le PS en récolterait de 25 à 30. Le FN n'en aurait aucun.

    La Corrèze bascule à l'UMP, comme le Nord. La gauche perd la moitié des départements qu'elle dirigeait.

    Dans le Vaucluse, le FN et la Ligue du Sud gagneraient 7 cantons. Il en faut 9 pour avoir la majorité. La Ligue du Sud emporte Bollène face au PS. 

    Le Front national n'aurait obtenu que quatre cantons dans l'Aisne.

    Selon une estimation du CSA, la droite serait majoritaire dans 66 à 70 départements. La gauche conserverait entre 27 et 31 départements. Le Front National obtiendrait entre 0 et 2 départements

    D'après une autre estimation Opinion-way, la droite remporterait 65 départements, la gauche en conserverait 24, le Front National aucun. 4 départements seraient sans majorité. Dans l'Aisne, 9 cantons pour la droite, 8 pour la gauche et 4 pour le FN. La majorité est à 11...

    • Dans les 278 triangulaires, la droite l'emporte avec 37% des voix, suivie de la gauche avec 35 % des voix et du Front National avec 28%. 
    • La droite arrive en tête également dans la majorité des 682 duels l'opposant à la gauche avec 56% des voix contre 44% pour la gauche. 
    • Dans les cantons où a lieu un duel gauche Front National, la gauche l'emporte à 54% contre 46% au FN.
    • Quant aux cantons où s'opposent candidats du Front National et candidats de droite, la droite l'emporte à 59% contre un FN à 41%.

    Dans le détail, la droite aurait remporté entre 1200 et 1250 cantons, la gauche entre 650 et 700 et le FN en aurait gagné 40 à 80.

    Cas particuliers :

    • la Lozère passerait de droite à gauche.
    • Autre contre-performance : le candidat FN sortant à Brignoles a été éliminé.

    Les communistes perdent l'Allier. Ils gouvernaient également le Val-de-Marne. Les communistes n'auront-ils plus aucun département ? C'est officiel, les communistes ont perdu leurs 2 derniers départements.

    Le copilote de l'avion France a décidé d'envoyer le pays au crash :

    Tous les résultats officiels sont ici.

    Michel Janva

  • Départementals : deux militants FN agressés par des élus de la Commune de Commercy (Meuse)

     

    Dans la nuit de vendredi dernier vers 23h, alors que la campagne électorale pour le second tour des départementales touche à sa fin, des militants du Front National ont encore été victimes d’une énième agression.

    Voici les faits : A Commercy (Meuse), sur l’avenue des forges, un jeune militant et sa petite amie finissent de coller les affiches du binôme Front National pour ce canton.

    C’est alors qu’un 4×4 de couleur blanche arrive à vive allure en faisant des appels de phares. En descendent 5 hommes, dont les adversaires Divers Droite de dimanche, des élus de la commune.

    Ils frappent alors, sans sommation, le jeune militant et saisissent sa petite amie à la gorge. La jeune femme se retrouve projetée au sol tout en entendant des menaces : « tu ne sais pas qui je suis, je peux te mettre en prison ! »

    Après avoir consulté un médecin, les victimes, soutenus moralement par leurs candidats, ont déposé une plainte dans la soirée du 28 mars.

    Deux des suspects ont été formellement identifiés par les victimes et plusieurs témoins, notamment grâce à leurs affiches électorales, mais aussi à la plaque d’immatriculation de leur véhicule.

    Des agresseurs – qui prônent, sur leurs tracts, des valeurs humanistes et de tolérance – n’ont donc pas hésité à violenter deux jeunes personnes dont une fille.

    cette campagne pour les élections départementale aura été marquée par de nombreuses agressions à l’encontre des militants du Front National dans un inquiétant silence tant des médias que des adversaires politiques.

    http://fr.novopress.info/184840/agression-militants-fn-les-elus-commune-commercy-meuse/

  • Vaucluse : le patron de l'UDI veut rejoindre le FN

    Corinne Païocchia, présidente de la fédération de l'UDI du Vaucluse, a averti sa direction de sa volonté de quitter l'UDI pour rejoindre le Rassemblement Bleu Marine. Elle explique que «rien en Vaucluse ne peut se faire sans le RBM» et elle a appelé à voter Front national.

    «Si demain je dois me présenter à une élection en Vaucluse, je souhaite le faire avec le Rassemblement Bleu Marine. Je suis disponible». «Les électeurs ne comprennent plus. On se fait insulter sur les marchés par nos propres troupes». «La volonté de notre direction nationale de faire barrage au FN pour le deuxième tour des départementales, quitte à voter pour des socialistes et des communistes, est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. Je ne suis plus du tout d'accord avec cette ligne. Moi, j'appelle à voter pour le FN».

    Michel Janva 

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Départementales: la droite veut évincer la gauche, le FN rêve de victoires

    Plus de 40 millions d'électeurs sont convoqués aux urnes dimanche pour le second tour des élections départementales, où la droite espère infliger une lourde défaite à la gauche sur la lancée du premier tour et reléguer à l'arrière-plan la forte poussée du Front national.
    Après un dimanche marqué par une abstention importante (49,83%, soit un électeur sur deux), la mobilisation de l'électorat sera le premier enjeu du scrutin. La gauche table sur un sursaut de ses électeurs pour éviter une débâcle, ce qui serait le cas si elle perdait la moitié ou plus des départements (61) qu'elle administre.
    Les conseils départementaux, dont les présidents seront tous élus jeudi, gèrent un budget annuel supérieur à 70 milliards d'euros, près de trois fois plus que celui des régions, allant des aides sociales à l'entretien des routes et des collèges en passant par le développement économique.
    149 cantons ayant été pourvus dimanche dernier, le scrutin ne concerne plus que 1.905 des 2.054 cantons. La gauche aligne 1.334 binômes (homme/femme), la "droite républicaine" 1.602, et le Front national 1.107. Ces binômes s'affronteront dans 1.614 duels et 278 triangulaires.
    Au premier tour, avec un score de 25,2% et un bond de dix points par rapport à 2011, le Front national est arrivé en tête dans 43 départements, taillant des croupières à la droite (36,6%) comme à la gauche (38,1%), qui ont atteint chacune un niveau très bas.
    Mais, grâce à l'alliance entre l'UMP et l'UDI, la droite (28,75%) a creusé l'écart sur le PS (21,47%). Par l'effet mécanique du scrutin majoritaire et le report des votes "divers droite" du premier tour (6,81%), une trentaine au moins de départements peuvent tomber dans son escarcelle.
    Après la vague bleue des municipales, la droite ambitionne notamment de conquérir les Bouches-du-Rhône, détenues par le PS depuis plusieurs décennies, l'Isère, l'Allier, les Pyrénées-Orientales, sans compter la très symbolique Corrèze, terre d'élection de François Hollande.
    - Pour Valls, 'rien n'est joué' -

    A l'inverse, faute d'alliés, le FN aura du mal à franchir la barre des 50% synonyme de victoire en cas de duel. Il peut davantage s'imposer dans les triangulaires. D'autant que, en vertu du "ni-ni" martelé par Nicolas Sarkozy, l'UMP s'est maintenue dans l'écrasante majorité des cas. Au contraire, dans 26 cantons où il estimait ne pas pouvoir gagner face à la droite et au FN, le PS s'est retiré pour barrer la route à l'extrême droite.
    Le FN croit à sa victoire dans le Vaucluse, terre élective de Marion Maréchal-Le Pen où le parti d'extrême droite est arrivé en tête dans 11 des 17 cantons. Les ambitions du FN se portent également sur l'Aisne, voire le Pas-de-Calais et le Gard.
    Pour enrayer la mécanique du scrutin majoritaire, le Premier ministre Manuel Valls a cherché toute la semaine à mobiliser les électeurs de gauche. "Rien n'est joué", a-t-il dit, rappelant qu'au premier tour déjà, la participation a été plus importante que ne le prévoyaient les sondages, ce qui a permis à la gauche de ne pas sombrer.
    M. Valls s'est félicité des démonstrations de "rassemblement" d'une gauche éclatée au premier tour, tel ce meeting jeudi en Seine-Saint-Denis réunissant Claude Bartolone (PS), Pierre Laurent PCF) et Emmanuelle Cosse (Europe Ecologie-Les Verts).
    Un sérieux accroc toutefois: le Parti de Gauche de Jean-Luc Mélenchon n'a donné aucune consigne de vote.
    A droite, Nicolas Sarkozy n'a pas esquivé le combat contre Manuel Valls, brocardant les "leçons de morale" d'un PS accusé de double langage. Selon Gérald Darmanin, député-maire UMP de Tourcoing, "la gauche est en 3e position dans 89 triangulaires. Elle se maintient dans 68. Quelle différence entre les discours et les faits!"
    La campagne devait s'achever samedi à minuit, mais la distribution des documents électoraux est interdite depuis vendredi soir minuit.
    Les bureaux de vote seront ouverts de 8H00 à 18H00. Jusqu'à 19H00 dans beaucoup de villes moyennes (Brest, Dijon, Chambéry, Toulon, Tours..), jusqu'à 20H00 à Bordeaux, Marseille, Nantes, Toulouse et en région parisienne.

    SourceAfp via nouvel obs :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EukZVAkpEunkhlYnMI.shtml

  • Enorme! Un économiste balance tout sur l'UE en plein direct de BFM Business

  • "Chère communauté gay, vos enfants souffrent"

    Charlotte d'Ornellas a traduit plusieurs passages d'une lettre de Heather Barwick, publiée dans The Federalist, dans laquelle la jeune femme, élevée par deux lesbiennes, s'adresse à sa "chère communauté gay" :

    Heather"« Je ne soutiens plus le mariage homosexuel », confie-t-elle, en précisant : « Non pas parce que vous êtes gay, je vous aime tant, mais en raison de la nature même de la relation homosexuelle. »

    Pourquoi ? Parce que« cela promeut et normalise une structure familiale qui nous prive de quelque chose de précieux et de fondamental. On nous répète que nous n’avons pas besoin de ce que nous désirons naturellement et profondément. On nous répète que ça va aller. Mais ce n’est pas vrai, nous souffrons », explique-t-elle.


    C’est après s’être mariée que la jeune femme a réalisé combien l’absence d’un père était douloureuse,« en voyant mes enfants aimer et être aimés par leur père ».« J’aime la partenaire de ma mère, précise la jeune femme,mais une autre femme ne remplacera jamais le père que j’ai perdu (…] C’est une chose étrange et troublante de vivre avec cette douleur profonde de rechercher un père, un homme, dans une communauté qui prétend que les hommes sont inutiles. »

    Heather Barwick sait que les homosexuels peuvent être de bons parents. Elle sait aussi que« tant de causes peuvent faire souffrir les enfants dans une famille : divorce, abandon, infidélité, viol, mort… »mais« la meilleure et la plus belle structure familiale est celle dans laquelle les enfants grandissent avec un père et une mère », écrit celle qui refuse désormais que l’on impose sa souffrance à d’autres enfants.

    Elle supplie cette communauté gay qu’elle« aime tant »et qui lui a« tant appris »d’entendre cette souffrance, dans un message poignant :

    "Un grand nombre d’entre nous a peur de parler et de vous dire sa peine et sa souffrance parce que quelles que soient les raisons, vous n’avez jamais l’air de nous écouter. Vous ne voulez pas entendre. Si nous disons que nous souffrons d’avoir été élevés par des parents homosexuels, nous sommes ignorés ou catalogués comme haineux. Cela n’a rien à voir avec la haine du tout […] Je sais que vous avez vraiment été haïs et que vous avez réellement souffert […] J’étais là. J’ai pleuré et j’ai ressenti la colère directement dans la rue avec vous. Mais ce n’est pas moi. Ce n’est pas nous."

    Louise Tudy

  • Le résultat des départementales en graphiques (50 % des ouvriers votent FN…)

    Éloquent, non ?

    la catégorie qui vote le plus PS : les cadres supérieurs !!! (pauvre Jaurès…)

    la catégorie qui vote le plus UMP : les vieux (les cadres supérieurs votent à peine plus pour l’UMP que pour le PS !)

    la catégorie qui vote le plus FN : les ouvriers, et à 49 % !

    Je pense que ça résume terriblement bien notre situation politique…

    (pour mémoire, voici la répartition des salariés en 2013 selon l’INSEE : Ouvriers : 20 % / Employés : 28% / Professions intermédiaires : 25% / Cadres sup et prof libérales : 17% / Artisans et chef entreprises : 6%)

    Bien entendu, comme il y a une énorme corrélation entre le niveau d’étude et la catégorie sociale, certains se sont amusés à présenter les choses ainsi, avec des commentaires de “qualité”, comme ici avec SOS racisme (pensez aussi à lutter contre le racisme social, les gars…) :

    http://www.les-crises.fr/le-resultat-des-departementales-en-1-graphique-50-des-ouvriers-votent-fn/