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  • Alcatel-Lucent : l’autre suicide français

    Nokia a annoncé ce mercredi le rachat de son concurrent Alcatel-Lucent. Pour Jean-Philippe Tanguy et Nicolas Dupont-Aignan, cette fusion plombe l’espoir d’une rapide réindustrialisation française.

     

    « Nos chefs, au milieu de beaucoup de contradictions, ont prétendu, avant tout, renouveler, en 1940, la guerre de 1915-1918. Les Allemands faisaient celle de 1940 »— Marc Bloch, L’Étrange Défaite.

    Les pillages se suivent et se ressemblent… La razzia boursière de Nokia sur le fleuron français des télécoms, Alcatel-Lucent, annonce le chant du cygne de la mascarade industrielle de François Hollande.

    La France parle, le reste du monde agit. Il est loin le temps où Arnaud Montebourg prêtait sa verve à François Hollande pour prétendre relancer l’industrie française. On nous avait pourtant promis des grands projets et du patriotisme, un véritable changement de modèle en lieu et place du désastre de « l’économie sans usine » du croquemort Serge Tchuruk, ancien patron… d’Alcatel.

    Las, les faits parlent pour eux. L’alternance socialiste n’a fait qu’allonger la litanie des champions industriels français bradés à l’étranger. Après l’acier d’Arcelor, l’aluminium de Pechiney, la chimie de Rhodia, c’est l’électricien Alstom, le cimentier Lafarge et maintenant le champion des télécoms Alcatel. Ce pillage systématique est aggravé par les pertes de contrôle de la France sur d’autres fleurons comme Peugeot ou par l’inaction suicidaire de l’État sur Areva dans la filière nucléaire.

    En réalité rien n’a changé ici quand tout a changé ailleurs, notamment aux États-Unis. Par une ironie aussi tragique que révoltante, les projets de Nokia font suite au succès industriel atteint la semaine passée par le bourreau d’Alstom, l’américain General Electric : en seulement sept années, le conglomérat s’est débarrassé de toutes ses activités financières pour redevenir un géant d’une industrie de pointe relocalisée sur le sol national. [....]

    La suite sur Le Figarovox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Alcatel-Lucent-l-autre-suicide

  • Communiqué : 100 millions pour rien !

    Communiqué de la Dissidence Française

    Évènement ! Manuel Valls a décidé de « débloquer 100 millions d’euros sur trois ans » !

    Mais 100 millions pour quoi ?

    Pour rééquiper nos armées, nos forces de police ou de gendarmerie, dont le matériel vétuste nuit depuis trop longtemps à l’accomplissement de leurs missions essentielles et menace leurs capacités opérationnelles ? Ou pour financer une diminution de cette pression fiscale qui étrangle ménages et entreprises, et paralyse l’activité économique de notre pays ? Ou encore pour lutter efficacement contre l’immigration de masse en procédant aux expulsions immédiates des milliers de clandestins qui, à Calais comme ailleurs, menacent la tranquillité et la sécurité des Français ? Ou alors, pour financer la construction de nouvelles places de prisons et permettre ainsi l’application réelle des peines infligées à des criminels, notamment multirécidivistes ?

    Pas du tout ! Tous ces sujets n’intéressent pas Manuel Valls ! Ce qui intéresse Manuel Valls, c’est le racisme et l’antisémitisme. Surtout l’antisémitisme. L’éternel attaché à Israël s’est donc servi dans les caisses, et compte lancer une grande « campagne contre le racisme et l’antisémitisme », aux frais du contribuable bien évidemment. 100 millions d’euros pour une campagne de pub et pour accroitre la censure sur internet, voilà qui ravira nos militaires en OPEX qui peinent à s’approvisionner en munitions, et qui ravira tout autant les salariés de Florange qui attendent toujours les résultats concrets des promesses de Hollande en 2012.

    Une fois encore, la preuve est faite que l’État Français est pris en otage par cette république des partis, des loges et des lobbies qui ne représente qu’elle-même et qui précipite notre pays vers l’abîme, n’ayant même pas la décence de dissimuler ses honteuses tractations clientélistes…

    Compte-tenu du caractère dramatique de la situation de notre pays, la Dissidence Française poursuivra son action, et appelle désormais l’ensemble des fonctionnaires au sein des ministères et des préfectures à la désobéissance civile, à la grève du zèle, et ce afin de paralyser les administrations, de déstabiliser ce gouvernement antinational, et de préparer ainsi le coup de force qui vient…

    L’Histoire, ça se brusque !

    Vincent Vauclin, Coordinateur National

    Nicolas Roch, Secrétaire Général

    La Dissidence Française

  • Traité transatlantique : Mythes et réalités sur les tribunaux d’arbitrage privés

    C’est sans conteste le meilleur argument des opposants au traité transatlantique Tafta/TTIP, qui organisent samedi 18 avril une mobilisation mondiale contre la négociation en cours entre les États-Unis et l’Union européenne : l’intégration au futur accord de l’ISDS, un mécanisme d’arbitrage privé qui menacerait de détruire toutes les règlementations environnementales, sociales ou sanitaires dans le seul but de préserver les profits des multinationales.

    Au cœur d’une intense bataille diplomatique et politique au sein de l’UE depuis plusieurs mois, l’investor-state dispute settlement (mécanisme de règlement des différends investisseurs-États) s’attire toutes les critiques : on le tient responsable d’avoir permis à Philip Morris d’empêcher la mise en place du paquet neutre de cigarette en Australie, à Veolia d’avoir contesté la mise en place d’un salaire minimal en Égypte, à Lone Pine d’avoir attaqué l’interdiction du gaz de schiste au Québec et même à Vattenfall de s’opposer à la sortie du nucléaire en Allemagne.

    C’est à dire de remettre en cause sur le terrain judiciaire des décisions démocratiques prises par les gouvernements selon la volonté des peuples. De purs mensonges, selon les défenseurs de l’ISDS, qui dénoncent une entreprise de désinformation sur un mécanisme indispensable dans un contexte de mondialisation.

    En bref : comment marche l’ISDS

    Plusieurs milliers de traités d’investissement bilatéraux et multilatéraux contiennent un mécanisme d’ISDS, qui peuvent différer d’un contexte à l’autre. Si le futur traité transatlantique en intégrait un, voilà comment cela pourrait fonctionner : un investisseur américain (généralement une multinationale) qui exerce une activité sur le territoire français (ou de toute autre pays européen) pourrait attaquer l’État français devant un tribunal arbitral pour obtenir une compensation s’il s’estimait lésé par une décision française.

    Pour avoir gain de cause, il devrait prouver que la France a enfreint certaines dispositions du traité transatlantique. Trois arbitres seraient amenés à trancher, selon la formule la plus répandue : un nommé par l’investisseur, un par la France, tandis que le troisième devrait faire l’objet d’un consensus entre les deux parties ou, à défaut, être nommé par le président. A l’issue de la sentence, si la France était condamnée à indemniser l’investisseur, elle n’aurait aucune possibilité d’appel, et serait contrainte de s’exécuter.

    1. Les multinationales peuvent-elles vraiment remettre en question une décision politique ?

    Oui, mais indirectement. Contrairement à ce que l’on entend souvent, les tribunaux ISDS n’ont généralement pas le pouvoir formel d’« annuler » des décisions politiques comme une « super-cour » internationale. Ils doivent se contenter de juger en « responsabilité », c’est à dire qu’ils peuvent containdre un État à verser une compensation financière à une entreprise s’ils estiment que celui-ci a brisé ses engagements internationaux.

    Cette réalité se retrouve dans le cas opposant Vattenfall au gouvernement allemand : en déposant sa plainte en 2012, le géant suédois de l’énergie a assuré qu’elle « ne remet[tait] pas en question la décision allemande de sortie progressive du nucléaire », mais cherchait par le biais de cette procédure à « recevoir une compensation pour la perte financière subie » par la fermeture de ses deux centrales nucléaires.

    A l’inverse, dans sa plainte de 2011 contre le gouvernement australien, le cigarettier Philip Morris a réclamé non seulement une réparation financière, mais également une suspension ou un retrait pur et simple de la loi imposant le paquet neutre sur les cigarettes votée quelques semaines plus tôt. Une possibilité visiblement ouverte par le traité Hong-Kong-Australie qu’elle a invoqué pour déposer plainte, mais qui est clairement proscrite dans les traités négociés par les États-Unis et l’Union européenne ces dernières années.

    Toutefois, il ne faut pas perdre de vue un effet indirect de l’ISDS sur les politiques publiques : le « chilling effect », ou « effet dissuasif ». Considérant le risque du recours en arbitrage, certains gouvernements peuvent être amenés à s’auto-censurer dans leurs choix politiques pour limiter les risques d’être attaqués en arbitrage et de devoir régler plusieurs millions, voire milliards d’euros d’amende (sans compter les très onéreux frais de procédure).

    C’est exactement ce qu’il s’est produit dans les années 1990, quand le gouvernement canadien a voulu instaurer le paquet neutre pour lutter contre le tabagisme, avant d’y renoncer. Parmi les raisons qui présidèrent à cette reculade figure en bonne place la menace d’un ISDS brandie par le cigarettier américain R.J. Reynolds Tobacco dans une lettre envoyée aux parlementaires canadiens. Aujourd’hui encore, la Nouvelle-Zélande a décidé de suspendre la mise en place du paquet neutre jusqu’à la décision arbitrale dans l’affaire Philip Morris/Australie.

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  • EELV: Emmanuelle Cosse demande aux écolos pro-gouvernement de "cesser leur comportement nuisible"

    A EELV, l'union n'est pas pour tout de suite. Le bureau exécutif d'Europe Ecologie-les Verts a demandé aux parlementaires écologistes, dont certains ont des initiatives "qui altèrent" le mouvement écologiste, de "cesser leur comportement nuisible", dans un texte voté cette semaine. Ce texte, adopté par 10 voix contre 3 mardi, a été envoyé par la secrétaire nationale du parti Emmanuelle Cosse aux députés, sénateurs et eurodéputés.

    Si personne n'est nommément cité, cette prise de position intervient alors que le parti est en désaccord sur la participation au gouvernement en cas d'éventuel remaniement, et que des parlementaires écologistes pro-gouvernement comme François de Rugy, Denis Baupin, Jean-Vincent Placé ont tenu les deux week-end derniers, rencontres et rapprochements avec des formations comme le Front démocrate, qui souhaite une maison des forces progressistes avec le PS, le PRG, Cap 21...

    "Contradiction totale"

    "La dernière période a vu se multiplier des prises de position publiques à propos de l’avenir et de la stratégie d’Europe Ecologie–Les Verts. Certaines de ces déclarations sont effectuées en contradiction totale avec les positions arrêtées par les instances de notre mouvement", stipule le texte, que l''AFP s'est procuré et publié dans Le Monde (article abonnés) daté du dimanche 19 avril. 

    "Les positions collectives de notre mouvement indiquent la nécessité d’un changement de cap dans les politiques menées par le gouvernement compatible avec nos valeurs écologistes, pour envisager un nouveau contrat de majorité incluant la participation gouvernementale de EELV", poursuit-il.

    Le bureau exécutif (BE) rappelle en aussi qu'il a "la responsabilité de veiller à réguler les initiatives individuelles qui altèrent l'image de notre mouvement" et fixe une "ligne claire". Condamnant des "interventions publiques" récentes, il demande "à l’ensemble des personnes concernées de cesser immédiatement leur comportement nuisible pour l’ensemble de notre mouvement".

    Il invite également "l’ensemble des membres d’EELV à récuser les tentatives de déstabilisation du Parti, d’où qu’elles viennent et tout particulièrement à ne pas participer à des réunions dont les organisateurs affirment leurs intentions en la matière". Alors que se profilent, en décembre, les régionales, le BE "rappelle que les régions sont les seules à pouvoir décider de leur stratégie" pour ce scrutin et que selon le règlement intérieur, le BE peut "suspendre en urgence des adhérent-es". Un séminaire est proposé entre le BE et les parlementaires.

    Le HuffPost avec AFP :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EukAuklpuEhxHvNLOK.shtml

  • Immigration massive : Le déferlement, c’est maintenant

    Source : Boulevard Voltaire – « Le déferlement, c’est maintenant »

    Les chiffres annoncés, dont on peut se demander s’ils ne sont pas minorés tant ils sont effarants, font état de 11.000 Africains subsahariens qui ont débarqué en Italie depuis le 1er avril, dont 6.500 les 12 et 13 avril, arrivés sur… 2 bateaux de toute sorte.

    Nos députés socialistes, écolos, d’extrême gauche, mais aussi, souvent hélas, de droite (UMP-UDI), ne cessent de voter des lois sociétales qui, peu à peu, bouleversent des usages ancestraux. Mais quid du danger extrême promis par les fous d’Allah ? Celui d’une invasion de l’Europe par 500.000 musulmans, 500.000 solides gaillards si l’on en croit les photos des bateaux du Camp des saints. Un demi-million d’hommes envoyés dans nos pays, nos villes, nos villages, nos campagnes, bien sûr par la misère qui règne chez eux mais aussi, et peut-être, surtout sur injonction de l’État islamique.

    Ils arrivent par bateaux bondés, de la barque au cargo rouillé, sur les côtes italiennes les plus proches de la Libye, là où leur a été annoncé qu’ils ne risquaient rien d’autre qu’une noyade éventuelle, et que les portes de la riche Europe leur étaient grandes ouvertes. Promesse leur a été faite qu’ils y bénéficieront d’une aide sociale sans commune mesure avec leur salaire de misère, des meilleurs soins médicaux prodigués gratuitement et avec largesse, le cas échéant d’appartements ou d’une chambre d’hôtel plus confortable que leur case, d’un travail au noir (ou au black, comme vous voudrez) leur assurant un salaire décent et la possibilité d’envoyer de précieux euros à leur famille et, surtout – cerise sur le gâteau -, les imams du coin, ceux qui leur auront été recommandés, continueront leur endoctrinement pour que leur foi devienne une arme redoutable..

    Et un beau jour, parmi ce demi-million de migrants, badaboum… Un attentat par-ci, un assassinat par-là, et l’État islamique pourra additionner ses victoires sur les mécréants.

    J’exagère sûrement… Mais je lis déjà que la haine du chrétien s’est exprimée avant même d’arriver à bon port ! Selon la préfecture de Palerme, 15 migrants musulmans viennent d’être arrêtés pour avoir jeté par-dessus bord, au beau milieu de la Méditerranée, 12 « vrais » migrants qui se disaient chrétiens. L’horreur dans l’horreur !

    Les chiffres annoncés, dont on peut se demander s’ils ne sont pas minorés tant ils sont effarants, font état de 11.000 Africains subsahariens qui ont débarqué en Italie depuis le 1er avril, dont 6.500 les 12 et 13 avril, arrivés sur… 2 bateaux de toute sorte. 400 Africains n’auraient jamais atteint la côte et se seraient noyés dans le naufrage de leur bateau de pêche où ils s’étaient entassés à 550 !

    Le Grand Remplacement n’est pas loin, n’est-ce pas, M. Renaud Camus, car ce déferlement proprement ahurissant va s’amplifier avec la belle saison et une mer plus clémente. 
Les Italiens commencent à demander des comptes à l’Europe. L’Europe qui a l’air de se moquer de cette invasion. L’Europe incapable de refermer ses frontière et qui ne veut pas avouer l’échec de Frontex. La France qui ne proteste même pas, qui ne prend aucune mesure préventive. La France politique beaucoup plus passionnée par le feuilleton Le Pen ou les gesticulations de son gouvernement. La France dont l’aide généreuse fait le bonheur des passeurs qui encouragent tous ces hommes à tenter leur chance au pays de cocagne, et des islamistes trop heureux de trouver des supplétifs à bon compte. 

Et pendant ce temps-là, M. Boubakeur réclame 2.500 mosquées supplémentaires. Et pendant ce temps-là, ceux qui hélas s’accrochent au pouvoir font voter à tout va, par une Assemblée nationale aux trois quarts vide, des lois insensées que le bon peuple de France aura beaucoup de mal à révoquer lorsqu’il reprendra les rênes de la maison France.

    Floris de Bonneville  http://fr.novopress.info/

  • Afrique du Sud : les populations noires locales s’en prennent aux immigrés africains

    Le président sud-africain Jacob Zuma a annulé samedi un voyage à l’étranger après une nouvelle nuit de violences perpétrées par des casseurs et pilleurs, qui ont contraint la police à muscler sa présence sur le terrain.

    En trois semaines, les violences, qui ont éclaté avant Pâques à Durban dans la province natale du chef de l’Etat, ont fait au moins six morts et 5.000 déplacés.

    Terrorisés, des Éthiopiens préfèrent se cacher. Ils dénoncent les populations noires locales qui s’en prennent à eux de manière très violentes :

    Ils nous tuent avec de l’essence et du feu. Je ne sais pas d’où vient cette barbarie.

    5 000 immigrés africains auraient déjà décidé de prendre la fuite sur les 2 millions établis en Afrique du sud. Embauchés à bas coût, ils sont accusés de voler le travail de la population locale.

    Un manifestant déclare :

    Ils nous fatiguent. Ils doivent partir. Et on leur montre qu’on ne veut pas d’eux !

    Mais que font les héritiers de Mandela ? Nous sommes bien loin des bienfaits de la société multiculturelle vantée par les dirigeants du monde…

    http://fr.novopress.info/

  • La mairie de Paris renomme les rues : "chasse aux sorcières", "guerre des mémoires, " révisionnisme", "impasse intellectuelle"

    L'analyse de Dimitri Casali ne fait aucun cadeau à l'idéologie gauchiste et à l'ignorance crasse : 

    "La bêtise, le dogmatisme et surtout l’ignorance de nos édiles parisiens n'ont pas de limite. Deux de ses élus socialistes, Monsieur Christophe Girard, maire du IVe arrondissement, et Madame Karen Taïeb, conseillère de Paris, se sont récemment couverts de honte avec l’affaire de la plaque commémorative du compositeur Henri Dutilleux. Ce triste épisode est révélateur de la guerre des mémoires et du révisionnisme qui ronge la société française. 

    Depuis plus d’une dizaine d’années, la Mairie de Paris s’est fait une spécialité : réviser les noms de rue, plaques et autres noms d’établissement selon les critères de la bien-pensance et du politiquement correct. Cette « chasse aux sorcières » traduit les obsessions, les phobies dont souffre la société et explique la grave crise d’identité que nous traversons actuellement. 

    Ce nouveau révisionnisme s’inscrit dans la lignée du rapport du conseiller d’Etat, Thierry Tuot, commandé par le gouvernement Ayrault qui demandait que l’on débaptise les rues et les places de nos villages pour les renommer « en écho avec l'histoire des migrations ». 

    Rappelons brièvement l’affaire du grand compositeur Henri Dutilleux, mort en 2013 dans le 4e arrondissement de Paris. Il était question d’apposer une plaque commémorative sur son ancien domicile. Le Comité d’histoire de la Ville de Paris s’y est opposé  pour « faits de collaboration avec le régime de Vichy ». Dutilleux, collabo avec les Nazis, il ne manquait plus que cela !Sous le prétexte d’avoir écrit la musique d’un film obscur, Forces sur le stade, réalisé par Marcel Martin en 1942 en direction des patrons d'usines pour les inciter à construire des terrains de sport près des lieux de travail des ouvriers, le voici voué aux gémonies.Alors que la vérité historique est l’exacte opposée. Henri Dutilleux s’est engagé dès 1942 dans un réseau actif de résistance. Membre du Front National des musiciens, il a mis en musique de nombreux textes clandestins en 1944. Puis aux  côtés de Lucie et Raymond Aubrac, il a été membre du comité d'honneur du musée de la Résistance nationale (MRN). Mais le voilà banni parce qu’il a osé faire son métier durant les années sombres de l’Occupation. Christophe Girard, le maire mondain du 4ème arrondissement de Paris, approuve le verdict de son comité  et « tient à noter des faits de collaboration avec le régime de Vichy ». Son dernier tweet (bien peu courageux et retiré le 17 mars…) enfonce le clou en comparant la position de Dutilleux à celle de Céline …«Je ne fais que suivre les recommandations du Comité d’histoire de la Ville. L-F Céline est un grand écrivain mais…». Les points d’exclamations du responsable de l’ignominie sont éloquents…Anne Hidalgo renchérit en affirmant que « le temps n'est pas opportun… »

    Le  lynchage  de la mémoire du grand compositeur soulève un tollé général. Jack Lang lui-même, déclare: «On est abasourdi par ce mélange d’incompétence et de veulerie ! » (...)

    Triste équipe que celle de Madame Hidalgo et de ces personnes sensées représenter la «culture» à Paris, mais qui, au fond, la méprisent. On savait déjà qu'elle n'aimait pas la musique classique avec la remise en cause récemment d'une partie du financement des conservatoires de musique jugés trop élitistes. Christophe Girard, tout puissant adjoint de Bertrand Delanoë de 2001 à 2012, conseiller régional d'Île-de-France depuis 2010, a passé dix ans aux affaires culturelles tout en cumulant, parallèlement à ses fonctions municipales, celle de directeur de la stratégie mode du groupe LVMH. Dix années qui sonnent creux. « Autant nommer Rika Zaraï ministre de la Santé », avait ricané son protecteur, Pierre Bergé. Dix années où l’on préfère subventionner l'opération Paris-Plage - 600 000 euros de crédits culture engloutis - les Nuits Blanches ou la Techno parade… plutôt que la culture dite « classique ». Mais voilà pas grand monde n'ose contester, l’important n'est-il pas que les électeurs bobos soient satisfaits.

    L'attitude de Monsieur Girard comme de Madame Taïeb, dénotent autant la bêtise de l’inculture qu’une ignorance sectaire et idéologique. Le compositeur Henri Dutilleux comparable à Olivier Messiaen et Pierre Boulez, héritier de Ravel et de Debussy a fait rayonner la musique française. Ses œuvres sont joués dans le monde entier, c'est ce qui rend ridicule la décision de la Mairie. Refuser d'accrocher sa plaque commémorative, alors que Pablo Picasso, Jean-Paul Sartre ont, avec l’avec l’aval des Nazis, abondamment exposé, publié et fait jouer des pièces de théâtre dans le Paris occupé de 1940 à 1944. Alors que nous trouvons des plaques et des rues  Maurice Thorez (secrétaire général du PCF qui a déserté en 1940), et des rues Staline (à Essômes-sur-Marne), et des avenues Lénine à Nanterre ou à Arcueil,  toutes ces icônes de la supposée « gauche » intellectuelle ? (...)

    Le problème de Dutilleux est probablement qu'il n'était ni socialiste, ni communiste... Qu’auraient fait Girard, Delanoë et Hidalgo sous l'occupation ? Tous ces politiciens ignorants oublient que la majorité de la population n'était ni résistante, ni «collabo» mais « attentiste ». Voilà où nous conduit le quasi abandon des grands enseignements de l’Histoire, la baisse générale du niveau de culture de nos hommes politiques. Car la damnatio memoriae de Dutilleux en rappelle d'autres... (...)

    L’Histoire, une fois écrite, ne s’efface pas. L’Histoire, on doit l’assumer. C’est autant glorieux qu’honteux. C’est l’Histoire ! Plutôt que de débaptiser : instruire et éduquer sont de meilleures options. Pour pouvoir assumer sereinement et lucidement le passé et tout le passé, laissons donc nos plaques, nos enseignes, nos noms de rues, nos pierres qui sont nos héritages. « De Clovis au Comité de salut public, j’assume tout », disait Napoléon. Lui qui a beau être le Français le plus populaire au monde et n’a pas la moindre place, avenue ou même impasse à son nom d’empereur dans Paris".

    Lahire

  • Chrétiens jetés à la mer : politiciens et prélats excusent les assassins musulmans

    Sale affaire, pour le lobby immigrationniste italien, que l’arrestation de quinze clandestins africains, inculpés d’« homicide multiple, aggravé par la haine religieuse »pour avoir jeté à la mer douze de leurs congénères, au seul motif qu’ils étaient chrétiens. Voilà qui risquerait de contrarier des décennies d’efforts acharnés pour convaincre les autochtones d’accueillir toujours plus de « pauvres réfugiés » et autres « frères migrants ».

    Aussi les propagandistes en chef de l’immigration en Italie, laïcs et ecclésiastiques, se sont-ils précipités pour édulcorer les événements. Laura Boldrini, présidente ultra-immigrationniste de la Chambre des députés – qui s’était signalée en ricanant ostensiblement à l’évocation des victimes de Kabobo, le tueur anti-Blancs de Milan –, a sorti tous les clichés de la novlangue technocratique. « Il fauta-t-elle déclaré,comprendre les dimensions du problème et ne pas simplifier. Le problème doit être abordé de manière lucide et il faut comprendre que les simplifications n’aident pas à la compréhension du phénomène. »

    Chrétiens jetés à la mer : politiciens et prélats excusent les assassins musulmansConcrètement, selon Mme Boldrini, « il y a toujours des niveaux de violence sur ces embarcations, des personnes qui veulent l’emporter sur les autres » – bref, pas de quoi fouetter un chat et, surtout, rien à voir avec l’Islam. « Je ne crois pas, a-t-elle ricané,que ces personnes aient eu une discussion théologique à bord ».

    Même déni chez Mgr Giancarlo Perego, directeur général de la Fondation « Migrantes », créée par la Conférence épiscopale italienne pour l’accueil des immigrés. Ce n’est qu’un « épisode de désespoir »a-t-il expliqué sur Radio Vatican,« un triste épisode dans lequel il ne faut pas exaspérer la haine religieuse. Il souligne tout le désespoir des migrants dont chacun cherche à sauver sa peau dans un petit espace ».

    Interrogé par la Repubblica, le prélat a tenu le même discours. « La tragédie de la nuit du 14 avril, comme tant d’autres tragédies de la mer, n’est qu’un terrible drame du désespoir et de la misère humaine. Je n’insisterais pas sur la circonstance de la haine religieuse ».

    Mgr Perego a même profité de l’occasion pour exiger, au nom du pape François, que l’Italie accueille encore plus de clandestins, surtout dans les régions du Nord : il a explicitement dénoncé la Vénétie comme manquant à son « devoir d’accueil ». La même obligation vaut, selon lui, pour toute l’Europe. « N’oublions pas, que sur les 170.000 personnes qui ont débarqué en Italie l’année dernière, deux sur trois ont continué leur chemin vers d’autres pays européens. Il est vrai que, sur les 28 pays européens, seulement cinq, aujourd’hui, ont une politique très forte d’accueil pour les demandeurs d’asile : l’Allemagne, l’Italie, la Suède, le Danemark et en particulier la France ».

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