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  • 0 = déficit du régime de retraites en 2045 si le taux de fécondité atteignait 2,1

    Des données sur la famille contenues dans le recueil 2015 de l’UNAF viennent combattre un certain nombre d’idées reçues et justifient l'attachement très fort au modèle de la famille durable que les AFC promeuvent sans relâche. Parmi les chiffres :

    • 75,2% des enfants mineurs vivent avec leurs deux parents ensemble …
    • Le nombre de divorces recule depuis 2010 …
    • 5490€ par an : c'est en 2012 la différence de niveau de vie médian d'un couple avec 3 enfants par rapport à un couple sans enfants.
    • 0 = déficit du régime de retraites en 2045 si le taux de fécondité atteignait 2,1. Ce taux est à 2,01 en 2014.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Réinfo du 6 juillet 2015

    Au sommaire de ce vingt-deuxième numéro :

    • Pour une fois que les politiciens nous font rire… Le cru 2015, du Presse Club Humour et Politique vient d’être dévoilé… Sarkozy, Hollande, Fleur Pellerin, François Fillon ou encore Dodo la Saumure sont les auteurs de quelques perles d’humour, volontaires ou non, mais qui illustrent de façon remarquable, les mœurs politiques françaises…

    • La Cour des Comptes se penche sur le Pôle Emploi. Le bilan est loin d’être bon. Ce n’est pas une leçon, mais une véritable correction, que la Cour des Comptes, vient d’infliger au plus gros opérateur de l’État qui avec 5 milliards de budget par an, ne recase que seulement 2,5% des 6,2 millions de chômeurs

    • C’est toujours pour votre sécurité… On vous prive de vos libertés individuelles pour combattre l’islamisme… On vous matraque fiscalement comme conducteur automobile, pour combattre la mortalité routière… Derrière le politiquement correct, la réalité est tout autre : vous êtes fichés et suivis, parce que vous êtes des opposants politiques, et vous êtes flashés tous les 15 kilomètres, parce que c’est très rentable !

    • Le dossier du nucléaire iranien révèle un comportement étrange de notre Ministre des Affaires étrangères…  Laurent Fabius met une telle volonté à faire échouer les discussions entre l’Iran, les USA, la Russie, la Chine, le Royaume Uni, la France et l’Allemagne, que l’on peut se demander au profit de qui ? Pas pour les intérêts de la France en tout cas. En revanche, Israël et l’Arabie Saoudite le couvrent de louanges…

    • et, pour finir, nous détaillerons l’actualité du Parti de la France, et notamment l’intervention de Carl Lang lors du rassemblement du 30 juin dernier à Paris, organisé par Résistance Républicaine et Riposte Laïque, pour demander la démission du Premier ministre, Manuel Valls, et du ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve.

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • L’horreur islamique n’a pas d’âge: Témoignage de Marie-Jeanne Busceddu qui a assisté au massacre d’El Halia

    Cazeneuve Djihad

    El-Halia est attaqué entre 11 h 30 et midi le 25 août 1955.

    C’est un petit village proche de Philippeville, sur le flanc du djebel El-Halia, à trois kilomètres environ de la mer. Là vivent 130 Européens et 2000 musulmans. Les hommes travaillent à la mine de pyrite, les musulmans sont payés au même taux que les Européens, ils jouissent des mêmes avantages sociaux. Ils poussent la bonne intelligence jusqu’à assurer leurs camarades Degand, Palou, Gonzalès et Hundsbilcher qu’ils n’ont rien à craindre, que si des rebelles attaquaient El-Halia, « on se défendrait » au coude à coude.

    A 11 h 30, le village est attaqué à ses deux extrémités par quatre bandes d’émeutiers, parfaitement encadrés, et qui opèrent avec un synchronisme remarquable. Ce sont, en majorité, des ouvriers ou d’anciens ouvriers de la mine et, la veille encore, certains sympathisaient avec leurs camarades européens… Devant cette foule hurlante, qui brandit des armes de fortune, selon le témoignage de certains rescapés, les Français ont le sentiment qu’ils ne pourront échapper au carnage. Ceux qui les attaquent connaissent chaque maison, chaque famille, depuis des années et, sous chaque toit, le nombre d’habitants. A cette heure-là, ils le savent, les femmes sont chez elles à préparer le repas, les enfants dans leur chambre, car, dehors, c’est la fournaise et les hommes vont rentrer de leur travail. Les Européens qui traînent dans le village sont massacrés au passage. Un premier camion rentrant de la carrière tombe dans une embuscade et son chauffeur est égorgé. Dans un second camion, qui apporte le courrier, trois ouvriers sont arrachés à leur siège et subissent le même sort. Les Français dont les maisons se trouvent aux deux extrémités du village, surpris par les émeutiers, sont pratiquement tous exterminés. Au centre d’EI- Halia, une dizaine d’Européens se retranchent, avec des armes, dans une seule maison et résistent à la horde. En tout, six familles sur cinquante survivront au massacre.

    Cazeneuve-racines-chrétiennes-de-France

    Dans le village, quand la foule déferlera, excitée par les « you you » hystériques des femmes et les cris des meneurs appelant à la djihad, la guerre sainte, certains ouvriers musulmans qui ne participaient pas au carnage regarderont d’abord sans mot dire et sans faire un geste. Puis les cris, l’odeur du sang, de la poudre, les plaintes, les appels des insurgés finiront par les pousser au crime à leur tour. Alors, la tuerie se généralise. On fait sauter les portes avec des pains de cheddite volés à la mine. Les rebelles pénètrent dans chaque maison, cherchent leur « gibier » parmi leurs anciens camarades de travail, dévalisent et saccagent, traînent les Français au milieu de la rue et les massacrent dans une ambiance d’épouvantable et sanglante kermesse. Des familles entières sont exterminées: les Atzei, les Brandy, les Hundsbilcher, les Rodriguez. Outre les 30 morts il y aura 13 laissés pour morts et deux hommes, Armand Puscédu et Claude Serra, un adolescent de dix-neuf ans qu’on ne retrouvera jamais. Quand les premiers secours arrivent, El-Halia est une immense flaque de sang.

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  • Franxit ?

    Si Mme Le Pen, le Front national et leurs alliés antiremplacistes s’obstinaient dans leur dessein contre-immigrationniste, ainsi que je le souhaite, il y aurait nécessairement rupture, au moins partielle, et au moins provisoire, donc, entre Paris et Bruxelles.

    La grande faille entre les antiremplacistes, c’est la question de l’Europe (et, par voie de conséquence, celle de l’euro). Certains d’entre eux sont souverainistes (et ils sont sans doute la majorité), les autres européistes. Entendons-nous bien : personne parmi eux, certes, n’a la moindre indulgence ou considération pour la politique de fait de l’Union européenne, surtout à propos de l’immigration. Cependant les uns considèrent que rien ne pourra être accompli aussi longtemps que la France demeurera dans le carcan de l’Union ; les autres estiment que la lutte contre le Grand Remplacement est une affaire européenne, qui doit absolument se mener à l’échelle du continent.

    Ces derniers, dont je suis, jugent qu’il en va du gouvernement de l’Europe comme de celui de la France : le mécontentement à leur égard implique bien sûr qu’on veut en changer et transformer de fond en comble leur politique ; mais pas du tout qu’on entende mettre fin pour cela aux structures existantes, qu’ils administrent si mal – respectivement la France et l’Europe, donc. Nous sommes totalement opposés à la politique de François Hollande comme nous l’étions à celle de Nicolas Sarkozy avant lui : ce n’est pas pour autant que nous réclamons la fin de la Cinquième République, voire la disparition de l’entité « France ». Nous sommes totalement opposés à la politique de M. Juncker comme nous l’étions à celle de M. Barroso avant elle : néanmoins nous ne voyons pas là raison suffisante pour réclamer la dissolution de l’Union européenne ou la sortie de la France de cette institution supranationale.

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  • La stratégie d'union des électeurs de droite

    De Jean Rouxel dans Les 4 Vérités à propos des élections régionales :

    "Tant que l’on n’aura pas vu le FN en position de gouverner de grosses collectivités locales, on ne pourra pas dire s’il saurait diriger la France. Pour le moment, l’expérience des gestions municipales est plutôt satisfaisante, mais il faut passer à l’étape suivante.

    C’est pour cela que, sans être toujours d’accord avec Marine Le Pen, j’espère qu’elle gagnera la région Nord Pas de Calais Picardie. C’est pour cela qu’étant souvent d’accord avec Marion Maréchal, j’espère qu’elle gagnera la région PACA. Cette dernière région pourrait aussi être un laboratoire d’une stratégie d’union des droites, qui changerait profondément la donne politique. En effet, en PACA, les électeurs et les élus UMP sont aussi à droite que les électeurs et élus FN et les frontières sont poreuses. La tête de liste FN dans les Alpes Maritimes sera d’ailleurs Olivier Bettati, un conseiller municipal de Nice, divers droite, qui appartint naguère à la majorité de Christian Estrosi. Il semble que ces alliances se fassent sur un programme clairement de droite, au plan identitaire, au plan des valeurs, et au plan économique.

    À mon sens, c’est la seule stratégie qui puisse permettre au FN de franchir le fameux plafond de verre, en permettant le report des voix de l’UMP vers un candidat FN pour battre la gauche.Nous n’y sommes pas encore, mais Marion Maréchal marche dans la bonne direction. Et, si elle gagne, cette stratégie a toutes les chances d’être généralisée. Nous pourrons alors peut-être en finir enfin avec le socialisme..."

    Michel Janva

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  • "La machine à abrutir

    Jusqu’à présent, la qualité des médias audiovisuels, public et privé confondus, n’était pas vraiment un sujet. Puis le président de la République découvre que la télévision est mauvaise. Il exige de la culture. En attendant que la culture advienne, l’animateur Patrick Sabatier fait son retour sur le service public. En revanche, des émissions littéraires disparaissent. C’est la culture qui va être contente.

    Avec l’alibi de quelques programmes culturels ou de quelques fictions « créatrices », les défenseurs du service public le trouvaient bon. Ils ne sont pas difficiles. Comme si, à l’instar d’une vulgaire télévision commerciale, on n’y avait pas le regard rivé à l’Audimat. Comme si la démagogie y était moins abondante qu’ailleurs.

    Les médias ont su donner des dimensions monstrueuses à l’universel désir de stupidité qui sommeille même au fond de l’intellectuel le plus élitiste. Ce phénomène est capable de détruire une société, de rendre dérisoire tout effort politique. A quoi bon s’échiner à réformer l’école et l’Université ? Le travail éducatif est saccagé par la bêtise médiatique, la bouffonnerie érigée en moyen d’expression, le déferlement des valeurs de l’argent, de l’apparence et de l’individualisme étroit diffusées par la publicité, ultime raison d’être des grands groupes médiatiques. Bouygues envoie Jules Ferry aux oubliettes de l’histoire.

    Lorsqu’on les attaque sur l’ineptie de leurs programmes, les marchands de vulgarité répliquent en général deux choses : primo, on ne donne au public que ce qu’il demande ; secundo, ceux qui les critiquent sont des élitistes incapables d’admettre le simple besoin de divertissement. Il n’est pas nécessairement élitiste de réclamer juste un peu moins d’ineptie. Il y a de vrais spectacles populaires de bonne qualité. Le public demande ce qu’on le conditionne à demander. On a presque abandonné l’idée d’un accès progressif à la culture par le spectacle populaire. Victor Hugo, Charlie Chaplin, Molière, René Clair, Jacques Prévert, Jean Vilar, Gérard Philipe étaient de grands artistes, et ils étaient populaires. Ils parvenaient à faire réfléchir et à divertir. L’industrie médiatique ne se fatigue pas : elle va au plus bas.

    Chacun a le droit de se détendre devant un spectacle facile. Mais, au point où en sont arrivées les émissions dites de « divertissement », il ne s’agit plus d’une simple distraction. Ces images, ces mots plient l’esprit à certaines formes de représentation, les légitiment, habituent à croire qu’il est normal de parler, penser, agir de cette manière. Laideur, agressivité, voyeurisme, narcissisme, vulgarité, inculture, stupidité invitent le spectateur à se complaire dans une image infantilisée et dégradée de lui-même, sans ambition de sortir de soi, de sa personne, de son milieu, de son groupe, de ses « choix ». Les producteurs de télé-réalité — « Loft story », « Koh-Lanta », « L’île de la tentation » —, les dirigeants des chaînes privées ne sont pas toujours ou pas seulement des imbéciles. Ce sont aussi des malfaiteurs. On admet qu’une nourriture ou qu’un air viciés puissent être néfastes au corps. Il y a des représentations qui polluent l’esprit.

    Si les médias des régimes totalitaires parviennent, dans une certaine mesure, à enchaîner les pensées, ceux du capitalisme triomphant les battent à plate couture. Et tout cela, bien entendu, grâce à la liberté. C’est pour offrir des cerveaux humains à Coca-Cola que nous aurions conquis la liberté d’expression, que la gauche a « libéré » les médias. Nous, qui nous trouvons si intelligents, fruits de millénaires de « progrès », jugeons la plèbe romaine bien barbare de s’être complu aux jeux du cirque. Mais le contenu de nos distractions télévisées sera sans doute un objet de dégoût et de dérision pour les générations futures.

    On a le choix ? Bien peu, et pour combien de temps ? La concentration capitaliste réunit entre les mêmes mains les maisons d’édition, les journaux, les télévisions, les réseaux téléphoniques et la vente d’armement. L’actuel président de la République est lié à plusieurs grands patrons de groupes audiovisuels privés, la ministre de la culture envisage de remettre en cause les lois qui limitent la concentration médiatique, la machine à abrutir reçoit la bénédiction de l’Etat (1). Les aimables déclarations récentes sur l’intérêt des études classiques pèsent bien peu à côté de cela.

    Quelle liberté ? La bêtise médiatique s’universalise. L’esprit tabloïd contamine jusqu’aux quotidiens les plus sérieux. Les médias publics courent après la démagogie des médias privés. Le vide des informations complète la stupidité des divertissements. Car il paraît qu’en plus d’être divertis nous sommes informés. Informés sur quoi ? Comment vit-on en Ethiopie ? Sous quel régime ? Où en sont les Indiens du Chiapas ? Quels sont les problèmes d’un petit éleveur de montagne ? Qui nous informe et qui maîtrise l’information ? On s’en fout. Nous sommes informés sur ce qu’il y a eu à la télévision hier, sur les amours du président, la garde-robe ou le dernier disque de la présidente, les accidents de voiture de Britney Spears. La plupart des citoyens ne connaissent ni la loi, ni le fonctionnement de la justice, des institutions, de leurs universités, ni la Constitution de leur Etat, ni la géographie du monde qui les entoure, ni le passé de leur pays, en dehors de quelques images d’Epinal.

    Un des plus grands chefs d’orchestre du monde dirige le Don Giovanni de Mozart. Le journaliste consacre l’interview à lui demander s’il n’a pas oublié son parapluie, en cas d’averse. Chanteurs, acteurs, sportifs bredouillent à longueur d’antenne, dans un vocabulaire approximatif, des idées reçues. Des guerres rayent de la carte des populations entières dans des pays peu connus. Mais les Français apprennent, grâce à la télévision, qu’un scout a eu une crise d’asthme.

    Le plus important, ce sont les gens qui tapent dans des balles ou qui tournent sur des circuits. Après la Coupe de France de football, Roland-Garros, et puis le Tour de France, et puis le Championnat d’Europe de football, et puis... Il y a toujours une coupe de quelque chose. « On la veut tous », titrent les journaux, n’imaginant pas qu’on puisse penser autrement. L’annonce de la non-sélection de Truc ou de Machin, enjeu national, passe en boucle sur France Info. Ça, c’est de l’information. La France retient son souffle. On diffuse à longueur d’année des interviews de joueurs. On leur demande s’ils pensent gagner. Ils répondent invariablement qu’ils vont faire tout leur possible ; ils ajoutent : « C’est à nous maintenant de concrétiser. » Ça, c’est de l’information.

    On va interroger les enfants des écoles pour savoir s’ils trouvent que Bidule a bien tapé dans la balle, si c’est « cool ». Afin d’animer le débat politique, les journalistes se demandent si Untel envisage d’être candidat, pense à l’envisager, ne renonce pas à y songer, a peut-être laissé entendre qu’il y pensait. On interpelle les citoyens dans les embouteillages pour deviner s’ils trouvent ça long. Pendant les canicules pour savoir s’ils trouvent ça chaud. Pendant les vacances pour savoir s’ils sont contents d’être en vacances. Ça, c’est de l’information. A la veille du bac, on questionne une pharmacienne pour savoir quelle poudre de perlimpinpin vendre aux étudiants afin qu’ils pensent plus fort. Des journalistes du service public passent une demi-heure à interroger un « blogueur », qui serait le premier à avoir annoncé que Duchose avait dit qu’il pensait sérieusement à se présenter à la présidence de quelque machin. Il s’agit de savoir comment il l’a appris avant les autres. Ça, c’est de l’information. Dès qu’il y a une manifestation, une grève, un mouvement social, quels que soient ses motifs, les problèmes réels, pêcheurs, enseignants, routiers, c’est une « grogne ». Pas une protestation, une colère, un mécontentement, non, une grogne.La France grogne. Ça, c’est de l’information.

    On demande au premier venu ce qu’il pense de n’importe quoi, et cette pensée est considérée comme digne du plus grand intérêt. Après quoi, on informe les citoyens de ce qu’ils ont pensé. Ainsi, les Français se regardent. Les journalistes, convaincus d’avoir affaire à des imbéciles, leur donnent du vide. Le public avale ? Les journalistes y voient la preuve que c’est ce qu’il demande.

    Cela, c’est 95 % de l’information, même sur les chaînes publiques. Les 5 % restants permettent aux employés d’une industrie médiatique qui vend des voitures et des téléphones de croire qu’ils exercent encore le métier de journalistes. Ce qui est martelé à la télévision, à la radio envahit les serveurs Internet, les journaux, les objets, les vêtements, tout ce qui nous entoure. Le cinéma devient une annexe de la pub. La littérature capitule à son tour.Le triomphe de l’autofiction n’est qu’un phénomène auxiliaire de la « peopolisation » généralisée, c’est-à-dire de l’anéantissement de la réflexion critique par l’absolutisme du : « C’est moi, c’est mon choix, donc c’est intéressant, c’est respectable. »

    La bêtise médiatique n’est pas un épiphénomène. Elle conduit une guerre d’anéantissement contre la culture. Il y a beaucoup de combats à mener. Mais, si l’industrie médiatique gagne sa guerre contre l’esprit, tous seront perdus.

    Pierre Jourde

    Professeur à l’université Stendhal - Grenoble - III. Auteur, notamment, de La Littérature sans estomac, réédition Pocket, Paris, 2003. "

    sourcehttp://www.monde-diplomatique.fr/2008/08/JOURDE/16204

    http://france-licratisee.hautetfort.com/

  • Terrorisme, DAESH, Al Nosra et la France, Goasguen met les pieds dans le plat

     

    Goasguen n’a pas sa langue dans sa poche face à Dussopt, et sort des vérités sur les liens troubles entre la France et le terrorisme islamique mises sous le tapis par une large majorité.

    http://www.numerama.com/f/138571-t-terrorisme-daesh-al-nosra-et-la-france-ca-decoiffe-sur-lcp.html

  • Doit-on attendre un homme providentiel ?

    Jean-Michel Vernochet et Valérie Bugault échangent leurs points de vues sur la situation de la France. Faut-il attendre un « personnage providentiel » ? Ils conviennent qu’on ne doit pas attendre ce meneur exceptionnel, mais qu’il faut d’urgence rassembler les volontés dans une sorte de « shadow cabinet ». L’appel est lancé aux compétences !

    http://www.medias-presse.info/doit-on-attendre-un-homme-providentiel/34807