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  • Un virage qui se dessine sur l'immigration

    Deux pages d'accueil successives sur le site internet du Figaro me donnent à penser que certains blocages sont en train de sauter.

    Le samedi 1er août c'était :"L'immigration, principale préoccupation des Européens", avec à la clef une étude par sondage réalisée ce printemps pour le compte de la Commission européenne.

    Ce lundi 3 août au matin c'est : "Migrants : la Mairie de Paris se retrouve sous pression".

    L'affaire de Calais, loin de Paris, loin des plages vacancières, loin de campagnes aujourd'hui encore ensoleillées, loin de Neuilly aussi, plus loin encore des palais nationaux, a longtemps semblé une affaire, désagréable certes, mais que nos technocrates et nos gendarmes allaient régler pendant que nous fermons les yeux.

    À Lampedusa, à Mytilène, aux confins de l'Espagne et du Maroc ? Que l'Europe du sud se débrouille, nous ne voulons pas le savoir.

    D'excellents esprits viennent aussi nous assurer que, grâce aux immigrés devenus sémantiquement des "migrants", – avez-vous remarqué l'invasion des éléments de langage ? – nos retraites par répartition allaient être sauvées. Pure illusion, grossier mensonge.

    Et puis, aujourd'hui même à Paris, on découvre qu'un lycée désaffecté du 19earrondissement a été envahi malencontreusment par des "chances pour l'Europe". Ses occupants illégaux viennent compliquer l'existence tranquillement dépensière d'un des centres de pouvoir les plus infectés d'idéologie bien-pensante et socialo-communiste : l'équipe municipale Hidalgo. La voici obligée de protester par des mots absurdes : "Ce n'est pas en envahissant un équipement public qu'on trouve de l'hébergement", explique-t-on, si j'en crois Le Figaro au cabinet du maire. Accessoirement les mêmes bureaucrates ne nous expliquent pas comment "on" obtient gain de cause.

    On nous dit que "la Mairie de Paris refuse également de céder au 'chantage inadmissible'des migrants du lycée Jean-Quarré, qui réclament l'aménagement d'un gymnase pour s'y installer." "On réfléchit au fait de faire intervenir les forces de police", – réfléchissez, réfléchissez, ‑ mais la situation est claire : "le dialogue est pour le moment rompu. Une réunion de crise devrait se tenir ce lundi matin à la Mairie de Paris pour trouver une solution." Bien sûr, dira-t-on, c'est la version du Figaro, pas trop favorable à l'insupportable Hidalgo.

    Nous sommes certes assaillis de désinformation à jet continu. Mais cela, nous le savons aussi, de plus en plus, avec plus ou moins de conscience de cette dommageable intensité.

    La fin des euroscepticismes plus ou moins fabriqués, plus ou moins manipulés, des deux côtés de la Manche, n'est sans doute pas pour demain.

    Au moins la purulence grandissante de ce dossier a-t-elle permis à un nombre non négligeable d'Européens d'ouvrir les yeux : on observe dans toute l'Europe le même verrouillage idéologique, dans les salles de rédaction, dans les sacristies régimistes, dans les réseaux de pouvoir.

    On aura eu beau forger, ou réinventer, le concept supposé excommunicateur de"populismes" – pouah ! –, un mot qui désignait autrefois les démocrates-chrétiens, – dans des régimes démocratiques, même imparfaits, c'est toujours l'opinion qui porte au pouvoir telle ou telle force politique. C'est aussi l'opinion, bonne ou mauvaise conseillère, qui fait évoluer les partis du système, et, s'ils n'évoluent pas c'est enfin l'opinion qui fait gonfler les voiles, plus ou moins éphémères, de partis concurrents, même factices.

    Ce qui s'est passé en France depuis 30 ans a été freiné, manœuvré par la rivalité Chirac-Mitterrand, les deux joueurs ayant fait l'un comme l'autre bon marché de l'intérêt du pays, et de l'opinion profonde du peuple, pour ne s'intéresser qu'à leur petit billard politicien.

    Ce temps n'est plus. Le billard post-mitterandien du disciple Hollande ne lui arrive pas à la cheville. Celui des post-chiraquiens n'intéresse plus qu'eux-mêmes et les petits marquis des médias.

    Il paraît donc temps, en France et dans toute l'Europe, que les citoyens reprennent les mandats usurpés par la classe politique et captés par les technocrates, redéfinissent ce qu'ils attendent des institutions européennes, et construisent à nouveau, enfin, l'Histoire du continent.

    JG Malliarakis

    http://www.insolent.fr/

  • Déroute de l’Etat islamique au Sinaï et désinformation des médias internationaux

    Nouvelles de France a obtenu l’aimable autorisation d’Eric Denécé, directeur du site du Centre français de recherche sur le renseignement (CF2R) de reproduire l’excellente tribune du géopolitologue Chérif Amir sur la répression efficace du Président Égyptien Abdel Fattah al-Sissi contre le terrorisme islamiste.

     

    Le 1 er juillet 2015, au nord du Sinaï, les forces armées égyptiennes ont littéralement écrasé les terroristes de l’organisation « Etat islamique », soutenus par le Hamas, tuant 241 islamistes qui rêvaient de répéter le scénario de l’humiliation des armées irakienne et syrienne sur la terre des pharaons. Ils ont cru pouvoir créer une enclave islamique à Al-Arish et dans tout le nord du Sinaï, en attaquant simultanément quinze check points militaires à 06h55. Les terroristes, montés sur plusieurs dizaines de des de pick-up et de motos, étaient lourdement armés (mortiers, RPG, canons anti-aériens, etc.)

    Mais leur rêve s’est transformé en cauchemar grâce à la férocité de la seule armée encore debout au Proche-Orient, dont les pertes à l’occasion de cet affrontement se sont élevées à vingt-quatre hommes seulement. Ils ont pour l’essentiel trouvé la mort en arrêtant l’avancée des véhicules 4×4 piégés qui devaient ouvrir la route aux terroristes et infliger de nombreuses pertes à l’armée égyptienne.

    Pourtant, les médias internationaux – Al-Jazeera, AFP, BBC, Euronews – ont donné une version totalement faussée de ces événements, qu’il s’agisse de mensonges ou d’approximations dans la relation des faits, parlant de plus de 70 tués parmi les militaires et de la chute de nombreuses villes du Sinaï aux mains de l’organisation « Etat islamique ».

    La situation a été en effet bien différente. Les nombreuses vidéos réalisées montrent les terroristes tentant – en vain – de fuir le champ de bataille face à l’infernale puissance de feu de l’armée égyptienne ; on y voit au moins trois pick-up remplis des cadavres de membres de l’Etat islamique.

    L’armée égyptienne a également intercepté les SOS lancés par les terroristes sur les ondes : « Sauvez nous ! Sauvez nous ! Nous sommes blessés ! ». Ces appels, en dialecte palestinien et dans d’autres dialectes arabes, décrivaient la puissance de feu de l’armée égyptienne comme l’enfer, frappant sans arrêt, sur tous les points de l’attaque. [....]

    La suite sur Nouvelles de France

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Deroute-de-l-Etat-islamique-au

  • La Maison Blanche aux petits soins du planning familial

    Et on vous dit que le lobbying n'existe pas : 

    "La Maison Blanche a menacé d'opposer le veto présidentiel à toute initiative républicaine visant à réduire le budget alloué à la plus importante organisation de planning familial des Etats-Unis, qui réalise notamment des avortements. Le porte-parole de l'exécutif américain Josh Earnest a indiqué que tout projet fiscal, "guidé idéologiquement", prévoyant de réduire les financements de l'organisation à but non lucratif Planned parenthood "serait certainement quelque chose qui se heurterait au veto présidentiel".

    Planned parenthood est depuis longtemps la bête noire des militants conservateurs américains.  Un groupe d'opposants a récemment diffusé des vidéos enregistrées en caméra cachée, supposées montrer des employés de l'organisation proposant de vendre des tissus de foetus".

    Lahire

  • Un groupe de rock "identitaire" invité surprise à Fréjus

    Un groupe lié à la mouvance du rock identitaire proche de l'extrême droite, In Memoriam, s'est produit vendredi soir en première partie du groupe punk La Souris Déglinguée aux Arènes de Fréjus, a révélé Nice-Matin

    Jusqu'au dernier moment, cet invité surprise n'avait pas été annoncé sur les affiches éditées pour l'occasion par la société "La Patrouille de l'Evénementiel", organisatrice du concert.

    Joint par l'AFP, Julien Laszkiewitz, membre du cabinet du sénateur-maire (FN) David Rachline, a indiqué que ce dernier, "fidèle à l'esprit Charlie", est avant tout un défenseur de "la liberté d'expression artistique, quelle qu'elle soit".

    De nombreuses voix se sont élevées sur les réseaux sociaux contre cette programmation, rapporte Nice-Matin, qui fait état de bagarres en marge du concert, dont on ignore l'origine.

    De Belgrade à Fréjus 

    Sur sa page Facebook, le groupe de rock In Memoriam, né en 1994, retrace ses faits d'armes, et notamment des concerts donnés à Belgrade les 25 et 26 avril 1999 durant l'opération Allied Force pour soutenir les Serbes alors "victimes des bombardements américains". Il indique avoir repris du service à Rome en 2012, dix ans après sa séparation, à l'invitation du mouvement social italien Casapound, proche de l'extrême droite.

    Dans le refrain de l'un de ses titres, "Quand j'entends le mot culture", le groupe In Memoriam chante notamment : "Y en a assez des Bergé, des Glucksmann, (...), des Boujenah, des Corbusier, des Lelouch et de leurs compères, assez des donneurs de leçons, des moralistes et des bouffons, des intellectuels de salon, destructeurs de nos traditions".

    La société La Patrouille de l'Evénementiel n'a pu être jointe par l'AFP. Cette société est titulaire d'une délégation de service public pour organiser des concerts et des spectacles aux Arènes de Fréjus, équipement municipal.

    Cette semaine, la municipalité de Fréjus a par ailleurs demandé à la quinzaine d'artistes et d'artisans d'art qu'elle héberge dans des locaux municipaux moyennant un loyer modéré, de participer bénévolement, lors de la prochaine rentrée, à l'accueil des enfants des écoles primaires de Fréjus dans le cadre de l'aménagement des rythmes scolaires.

    source : Culturebox (avec AFP) :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dep_varia/EuFlulZZAEgWbyvzZk.shtml

  • L’économie totalitaire : l’exemple de l’immigration

    Exemple parfait du comportement économique à court terme de la société marchande, l’appel à l’immigration étrangère massive restera sans doute, dans les annales de l’histoire européenne, comme une erreur de première grandeur. 
         A l’origine, au début des années cinquante, il s’agissait tout simplement de combler un déficit passager de main-d’œuvre. Puis, au fil des années, l’habitude a été prise d’utiliser des travailleurs immigrés, recrutés toujours plus loin. Avec l’apport de leurs anciennes colonies, la France et l’Angleterre se sont classées en tête des pays « importateurs ». 
         Envisagée au début comme apport provisoire pour construire de nouvelles structures industrielles, cette immigration massive a modifié, par un effet de retour imprévu, ces structures elles-mêmes. Certaines considérations, non quantifiables, n’ont jamais été prises en compte : le déracinement socioculturel de la main-d’œuvre, l’incompatibilité du chômage et de l’immigration ont ainsi été négligés. Le système libéral et marchand n’a même pas prévu, dans ce cas précis, les inconvénients strictement économiques et le coût social exorbitant de cette immigration. Raisonnant à court terme, l’esprit marchand ne s’est pas rendu compte que cette main-d’œuvre importée nuisait à la rentabilité économique elle-même, ce qu’admettent aujourd’hui les spécialistes de l’emploi. Ils ont, en effet, établi qu’à moyen terme l’immigration coûtait bien plus qu’elle ne rapportait à la collectivité : il faut distinguer ici entre les différents « coûts » de cette immigration.Le coût brut englobe diverses charges, frais de formation, rapatriement des salaires, frais d’installation et dépenses sociales entraînées par la présence même d’une forte population immigrée. Le coût d’opportunité prend en compte les gains empêchés par l’immigration : investissements de modernisation, accroissement de la productivité, économies de dépenses sociales, etc. En définitive, on ne peut trouver à l’actif du bilan de l’immigration que les profits immédiatement réalisés par certaines entreprises. 
    Esclave des temps modernes 
    Le patronat libéral et des pouvoirs publics irresponsables ont encouragé cette importation de main-d’œuvre peu coûteuse et non syndicalisée, donc facilement exploitable : c’était une assez belle opération financière à court terme. En fait, en prenant en charge les frais de formation, d’installation et de Sécurité sociale des travailleurs migrants et de leurs familles, la collectivité offrait une subvention déguisée aux entreprises les plus archaïques ; les « canards boiteux » de l’économie préféreraient « consommer » de la main-d’œuvre plutôt que d’investir dans les équipements nécessaires. Les tâches les plus rebutantes, celles qui étaient destinées à disparaître mais que la présence de cette main-d’œuvre – véritable masse d’esclaves des temps modernes – dissuadait justement de faire disparaître, les travaux les plus pénibles leur ont été réservés. 
    (...) 
    Cela ne signifie absolument pas que, comme le veut un mythe répandu dans les milieux populaires, « les immigrés prennent la place des nationaux ». La situation est plus complexe : l’immigration est bien un des facteurs du chômage actuel. Mais seulement dans la mesure où elle a provoqué une hypertrophie du secteur tertiaire : les immigrés monopolisant les emplois secondaires, les nationaux se sont portés vers ceux du tertiaire et les travaux qualifiés. Insuffisamment formés à ces tâches, refusant les emplois industriels, ils sont devenus chômeurs assistés, de plus en plus difficiles à satisfaire. L’origine du chômage est à rechercher du côté de cette « rigidité des demandeurs d’emploi », qui coexiste avec une forte offre d’emploi non satisfaite. Il faut également expliquer l’improductivité du secteur tertiaire par la pléthore des « faux emplois » qui y ont été créés vers les emplois industriels, qui auraient été alors « enrichis » sur le plan des tâches et mieux payés. 

    Guillaume Faye, Eléments n°28-29, mars 1979

    http://www.oragesdacier.info/

  • Réseaux pédo-criminels socialistes : Descente de police pour faire taire Fdesouche

  • Dettes et grande dépression : Les Baby Boomers et la destruction économique des jeunes générations

  • "Taubira, la prison et la conduite sans permis"

    Un billet d'humeur de Philippe Bilger dans le FigaroVox, où il revient sur l'idée saugrenue de Christiane Taubira de sanctionner les conducteurs sans permis par une simple contravention. Sa conclusion est intéressante, car elle met en lumière le mode de fonctionnement légèrement totalitaire du Garde des sceaux, qui imagine des projets de loi hors sol, en décalage avec la réalité, quitte y renoncer. Ou pas.

    "Il faut tout de même considérer que le pire n'est pas toujours sûr puisque, encore sur France Inter, Christiane Taubira, dans son jargon inimitable, a déclaré «qu'elle tirerait tous les enseignements nécessaires d'une non-acceptabilité sociale de son projet de loi».

    Cela signifie malheureusement, sur le plan de la méthode, qu'un projet de loi a été lancé sans réfléchir, sans l'ombre d'une consultation, sans la moindre prise en compte de son impact social, par pur décret d'autorité politique, sans aucune considération pour sa fiabilité technique. Un changement pour le pire. Pour voir en quelque sorte, et la société trinquera!

    C'est navrant, pour ne pas dire plus."

    Marie Bethanie