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  • Souvenez-vous : UMP : vous avez aimé les divisions sur le mariage homo ? Vous adorerez celles sur l'Europe

    Les élections européennes ont lieu dans un an et suscitent déjà convoitises et divisions souterraines à l'UMP. l’UMP, la guerre interne autour du "mariage entre deux personnes de même sexe" n’en finit pas de connaitre ses derniers soubresauts ( le dernier en date étant le souhait de Guillaume Peltier, tenant de la Droite Forte, de ne pas voir Nathalie Koziusko-Morizet désignée comme candidate à la primaire pour les Municipales), que déjà une nouvelle ligne de fracture est en train de resurgir, autour de l’Europe cette fois. La question européenne est récurrente à Droite et comme les élections européennes ont lieu dans un an, après les municipales, les appétits s’aiguisent. Les amateurs de pugilat peuvent se frotter les mains : ils ne seront pas déçus. Car l’éternel débat philosophique entre souverainistes et fédéralistes dissimule une lutte acharnée pour l’obtention d’un siège au Parlement Européen, autrement dit pour figurer sur une liste composée par l’état-major du Parti. Mais chut, pas question d’évoquer ces querelles au grand jour pour l’instant. Des tenants de la ligne fédéraliste en ont fait les frais hier. 
    Les dirigeants du courant France Moderne et Humaniste, emmenés par Jean-Pierre Raffarin et Luc Chatel avaient organisé une conférence de presse sur un thème alléchant : "Y a-t-il encore une place pour les Européens à l’UMP ?". Voilà qui promettait, mais les amateurs de joutes oratoires en ont été pour leurs frais. La provoc est restée sur le papier. En fait de débat interne, les intervenants se sont relayés pour exprimer leur inquiétude à cause de "la façon dont François Hollande dégrade la construction européenne et la relation franco-allemande", et, de façon générale, mettre en pièces la politique européenne du Président de la République , "qui a perdu une année", et dont les "propositions nouvelles ; elles avaient était faites par Nicolas Sarkozy en son temps", pour déplorer aussi que "le PS a fait reculer la construction européenne depuis 2005 ", que "la France soit devenue le mauvais élève de l’Europe", et pour réaffirmer leur foi en "deux grandes idées, le fédéralisme budgétaire et la création d’une fédération franco allemande". Enfin les Humanistes proposent de présenter des listes communes avec les centristes de l’UDI. Fermez le ban. 
    C’est qu’à l’UMP, il est devenu urgent d’attendre. Les "Humanistes" l’auront sans doute compris en entendant le coup de gueule d’une députée de Moselle , Marie-Jo Zimmermann, élue depuis 1998, qui a, dans le huis clos de la réunion de Bureau du Groupe, exprimé son ras le bol de n’entendre que les "battus". Dans son viseur, Nadine Morano, qui veut figurer sur la liste du grand Est au détriment d’une députée sortante. Ils ont sans doute également écoutés Valérie Pécresse, active au sein de la commission d’investiture, qui explique plus chastement qu’il ne faut pas "démobiliser" les sortants, et qu’il convient de s’occuper en priorité des municipales, qui ont lieu en mars. Ils ont sans doute aussi mesuré les rivalités internes à leur courant, car derrière celui qui fait figure de sage stratosphérique, et se désole "qu’au moment où la croissance se fait à l’échelon continental ( Asie, Afrique, Chine ), l’Europe se fragilise", les uns et les autres se marquent à la culotte, surveillant de près un Luc Chatel, dont la tête pourrait dépasser. Et il ne s’agit là que d’un courant de l’UMP, de loin pas le plus important, surtout en ce qui concerne la question de l’Europe. Les souverainistes, nombreux au sein de la Droite Populaire, n’ont pas l’intention de se ranger derrière les fédéralistes."L’Europe, vous voulez parlez de ce corbillard ?" lance Jacques Myard, qui affirme que "toute la construction européenne est en train de se casser la gueule ; la machine est en train de se gripper", car on "a construit l’Europe sur une utopie" ! A l’opposé des fédéralistes, ce souverainiste revendiqué pense que "l’Allemagne a la tentation de sortir" et préconise de la coopération plutôt que de l’intégration ! 
    Le débat va forcément revenir au grand jour à l’occasion de la Convention sur l’Europe que l’UMP organise très prochainement, afin de se doter d’un corpus idéologique. Jusqu’à présent l’UMP, qui espérait regrouper toute la droite, n’a, pas plus que le RPR autrefois, tranché sur "le degré d’abandon de souveraineté auquel on peut consentir". Comme le souligne le député des Français de l’étranger Thierry Mariani, "deux positions contradictoires cohabitent : celle, plutôt souverainiste du RPR et la position fédéraliste de l’ancienne UDF. C’est cette dernière qui est la position officielle mais elle ne plait pas à notre électorat , et c’est pourquoi on ne fera pas beaucoup de voix , c’est un boulevard pour d’autres listes ….". Un scénario qui s’est déjà produit lors de précédents scrutins. Quant à l’UDI, elle attend tranquillement les propositions officielles ; Jean-Louis Borloo a déjà prévenu : "les Européens, ce sont les Centristes !"

    Source

    http://www.oragesdacier.info/

  • Régionales : le Front national plus confiant que jamais

    Le parti d'extrême-droite pourrait décrocher deux régions, le Nord-Pas-de-Calais-Picardie et la Provence-Alpes-Côte-d'Azur à l'issue du scrutin régional.

    Le FN se croit en capacité d'emporter deux régions au scrutin de décembre, sans exclure d'autres victoires. Pour le parti de Marine Le Pen, la perspective de son accession inédite à des exécutifs de cette ampleur s'accompagne d'une hypothèse: apparaître une nouvelle fois, à l'image des européennes, comme le premier parti de France.

    Pour le FN, les régionales de décembre seront l'occasion d'une revanche après les départementales de mars où, malgré des performances notables, il n'avait décroché aucune assemblée. Les frontistes avaient alors dénoncé la mécanique d'un scrutin permettant à leurs rivaux de constituer des alliances au second tour. «Inique!» avait clamé Marion Maréchal-Le Pen, députée du Vaucluse.

    Cette fois, au-delà d'un rendez-vous électoral qui leur est traditionnellement favorable, ils sont convaincus que ce scrutin proportionnel démontrera l'ampleur de l'ancrage du vote FN partout en France. Sur la base des scores enregistrés au premier tour des dernières départementales, le FN se croit en capacité de décrocher deux régions, le Nord-Pas-de-Calais-Picardie et la Provence-Alpes-Côte-d'Azur. À la lumière de ces mêmes résultats et compte tenu de l'ampleur des variations possibles des nouveaux scores, Marine Le Pen n'hésite pas elle-même à élargir le potentiel FN à cinq régions gagnables. Le dernier sondage Ifop-JDD, publié dimanche, estime à 31 % le potentiel électoral en sa faveur pour la présidentielle et souligne une progression de quatre points en quatre ans.

    Tout est possible

    La faible notoriété de certains adversaires, la médiocrité de certaines campagnes, les polémiques internes comme la «pagaille Morano» en Meurthe-et-Moselle chez les Républicains, les dynamiques locales liées à certaines problématiques brûlantes de l'actualité tels les migrants à Calais… Vu du FN, à deux mois de l'échéance, tout est possible car ils observent plusieurs éléments, aux conséquences imprévisibles, susceptibles de jouer en leur faveur.

    En cas d'échec, les frontistes sont mêmes certains de pouvoir profiter de la situation. Si, par exemple, la présidente du FN ne parvenait pas à gagner la région NPDCP, ils estiment que cela ne serait envisageable qu'en cas de retrait des socialistes au profit des Républicains. Et dans ce cas, le scrutin démontrera de manière «flagrante», selon eux, la collusion qu'ils dénoncent sous le néologisme «UMPS».

    Nicolas Bay, le secrétaire général du Front, n'hésite pas à dire que 25 % aux départementales pourraient se transformer en 27 % au scrutin régional, une élection historiquement porteuse pour le FN même lorsqu'elle était couplée aux cantonales. «Par quoi notre dynamique pourrait-elle être freinée?» interroge-t-il. Le vote de décembre, dernier scrutin avant la présidentielle, sera aussi la première occasion d'évaluer l'impact éventuel de la rupture du parti avec Jean-Marie Le Pen depuis son exclusion en août.

    Si le Front national atteignait un score moyen de 25 % en décembre, il récolterait entre 240 et 250 élus régionaux. En gagnant deux régions, il atteindrait le seuil des 400 élus. «Je les sens fébriles. Ils se rendent compte sur le terrain que le Front national va probablement faire un carton aux régionales», confie Marine Le Pen. Et à ceux qui ne l'auraient pas encore compris, elle martèle: «Je veux que nous soyons aux commandes, je veux gagner, je veux être au pouvoir.»

    Emmanuel Galiero

    source : Le Figaro :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuuuyypkAlReFUJKod.shtml

  • Syrie : L’action de la Russie rebat les cartes sur le front

    Les frappes aériennes russes sur les positions de l’État islamique ne faiblissent pas. On parle de 63 positions touchées au cours des dernières 24 h. Il s’agirait notamment d’un poste de commandement, de quatre camps d’entraînement et de sept dépôts de munitions. L’armée russe indique une panique croissante dans les rangs des islamistes, d’après des échanges radio interceptés.

    Les États-Unis semblent quant à eux reculer 
    Les frappes russes et les succès au sol qu’elles ont permis ont révélé le manque de progrès de la coalition américaine. L’administration américaine a donc mis fin vendredi à son programme de formation d’une nouvelle force rebelle pour combattre l’État islamique en Syrie. Les 500 millions de dollars prévus pour cette opération vont finalement financer armes et munitions pour les groupes déjà existants. Les commandants rebelles seront préalablement repérés et les largages devraient commencer incessamment.

    Pendant ce temps la présence américaine recule dans le Golfe persique
    Pour la première fois depuis 2007, les États-Unis ne disposent plus de porte-avions dans la région. L’USS Theodore Roosevelt a quitté le Golfe persique vendredi. Le bâtiment qui compte 5 000 hommes et 65 avions de combat rentre à sa base, officiellement pour maintenance. Cette mesure présentée comme temporaire est également le fruit de coupes budgétaires.

    nouvelles frappes russes, province #Hama: le régime #syrie-n ( avec Hezbollah) reprend du terrain aux rebelles: OSDHhttps://t.co/k0xLUDWIyj

    — Sophie Golstein (@FreeBEEz) October 12, 2015

     

     

     

    http://fr.novopress.info/

  • Religiosité préhistorique

    Les découvertes des archéologues et des paléontologues nous éclairent chaque jour un peu mieux sur les curieuses croyances des peuplades qui habitaient la partie occidentale de l’Eurasie avant le Grand Cataclysme.
    On vient ainsi de  mettre à jour des inscriptions, dans ce que l’on nomme désormais la Grande Galerie, qui permettent de mieux connaître les superstitions des hommes de la préhistoire, si l’on peut employer cette expression.
    Ces peuplades adoraient ainsi une divinité nommée « Egale » à laquelle beaucoup sacrifiaient. Cette divinité était souvent représentée sous la forme d’une femelle, curieusement non voilée, appelée aussi « Loi ». Rappelons que le caractère matriarcal de ces primitifs est de nos jours bien établi.
    Aussi étrange que cela puisse nous paraître aujourd’hui, on pense qu’ils  ignoraient qu’il existait des différences entre les sexes ainsi qu’entre les races humaines. 
    Ce dernier point fait certes encore débat entre scientifiques, car les ethnologues ont clairement établi que cette partie de l’Eurasie était alors en majorité peuplée d’hommes de race noire et de race jaune, et également, mais dans une moindre mesure, de race caucasienne. Il semble donc peu vraisemblable que ceux qui étaient quotidiennement confrontés à ces différences ethniques aient pu ignorer leur existence ! Sans doute s’agit-il donc d’une mauvaise interprétation des quelques hymnes religieux qui nous sont restés . 
    La présence  d’une majorité d’Africains donne en tout cas à penser qu’il devait exister alors un passage à pied sec entre l’Afrique et l’Eurasie, qui a dû être englouti lors du Grand Cataclysme. La géologie permettra de le découvrir sans doute un jour.
    Par contre on a bien trouvé des représentations de femelles habillées en mâles ainsi que différentes sépultures contenant des restes de femelles revêtues de ce qui semble indiscutablement être une sorte d’uniforme. Ce qui tendrait donc à confirmer que ces temps reculés ignoraient bien les différences de sexes et de rôles sociaux. C’est sans doute pourquoi ces peuplades ont eu beaucoup de mal à se reproduire, en particulier les Caucasiens.
    Nous savons aussi que ceux qui refusaient d’adorer cette divinité étaient pourchassés sous le nom de « racistes », ce qui veut sans doute dire que ceux-ci reconnaissaient l’existence des races. Un texte a été exhumé d’une sorte de temple, nommé « tribune » ou « tribunal », qui l’établit. La peine était prononcée par le clergé appelé « media » qui était très puissant alors. Cela témoigne en tout cas à l’encontre de ceux qui pensent que les peuples préhistoriques étaient  pacifiques.
    A cette époque matriarcale on croyait curieusement aussi à la divinité de l’homme, se fondant sur une « Déclaration » qui est citée dans certains manuscrits que l’on peut consulter aujourd’hui au Musée de la préhistoire, mais dont aucun exemplaire original n’a pu être retrouvé jusqu’à présent malheureusement. 
    On n’a pas encore retrouvé non plus de statuaire représentant cet homme divin ni de texte relatant son enseignement. Les peuplades de ce temps ne produisaient en effet que de rares représentations d’animaux ou de leurs congénères, et très souvent déformées ou géométriques, ce qui traduit certainement un tabou religieux. Ils avaient aussi l’habitude de laisser des inscriptions et des signes de couleur sur leurs constructions, sans doute des formulaires pour les protéger des mauvais esprits, comme on en a découvert dans la Grande Galerie. On relèvera en tout cas que cet art était très primitif, ce qui témoigne que « l’homme »  était alors à peine sorti de l’animalité.
    Une tribu de cette époque, dont les philologues ont pu reconstruire le nom originel : les « zindividus », sacrifiait aussi à un dieu « Santé ». Ce dernier est souvent représenté avec des vêtements blancs. On comprend que ces êtres à la vie très courte (elle ne dépassait pas en effet 80 ans ! ) aient eu besoin d’idéaliser ce qu’ils ne pouvaient atteindre.
    Toutes ces croyances préhistoriques, reconstituées avec patience par les chercheurs, nous semblent bien étranges. C’est qu’elles témoignent aussi de l’impasse évolutive dans laquelle ces êtres étaient engagés, bien avant le Grand Cataclysme.
    Michel Geoffroy, 20//11/2009
    Extrait de La Grande Encyclopédie,  an 2500 après GC  (Grand Cataclysme)

    http://archives.polemia.com/article.php?id=2543

  • Un beau dimanche de Synthèse nationale à Rungis, aux portes de Paris...

     

    Dimanche 11 octobre s’est tenue à Rungis la 9e Journée nationaliste et identitaire organisée par Synthèse nationale. Dans les jours qui précédèrent ce rendez-vous d’automne des forces non-conformistes, un certain nombre de signaux nous laissaient penser que cette réunion allait être une belle réussite.  Nous n’avons pas été déçus.

    Plus de huit cent personnes sont en effet venues à cette journée. Près de quarante stands étaient installés dans les grands halls. Côté restaurant, les trois cent cinquante plateaux repas prévus ne suffirent pas et le bar, animé par nos amis de Lille venus en force, ne désemplit pas pendant les pauses.  Bref, de l’avis unanime des exposants présents, ce fut une bonne journée…

    Le thème de cette journée, « Un autre monde est possible », permettait à tous les intervenants de développer leur vision d’un monde différent de celui que veulent nous imposer les tenants du Système.

    Dès 11 h 30, après le message de bienvenue de Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, la partie politique débuta par une table ronde animée par Robert Spieler, chroniqueur apprécié de tous au journal Rivarol. Quatre invités, Gabriele Adinolfi, directeur du Centre Polaris de Rome, notre ami l’éditeur et écrivain Philippe Randa, Jean-Claude Rolinat, bien connu des lecteurs de Synthèse nationale, et Carl Lang, Président du Parti de la France, prirent part à celle-ci.

    Les séances de l’après-midi débutèrent par un moment fort : l’intervention émouvante de Rima, représentante du peuple syrien en lutte contre le terrorisme islamique et ses complices de la coalition mondialiste, qui nous parla de la situation dans son pays et nous fit part de son espoir de voir bientôt celui-ci retrouver la paix et la liberté. Sous un tonnerre d’applaudissements et d’acclamations, Roland Hélie demanda à Rima de transmettre au peuple syrien, à son parti, le Baas, et à son  Président, Bachar Al Assad, le salut fraternel des nationalistes français, eux aussi en lutte contre l’islamisme et le mondialisme broyeur des identités.

    Puis se succédèrent les interventions de Richard Roudier et Hugues Bouchu, responsables du Réseau Identités, qui fournirent des arguments historiques à notre devoir de dissidence face au Système, Serge Ayoub, qui insista sur la nécessité de voir la France reprendre sa place de leader des non-alignés et qui développa un intéressant projet de développement de l’Afrique, seule solution si l’on veut que les Africains restent sur leur continent, et Jérôme Bourbon qui, avec l’immense talent que nous lui connaissons, enflamma la salle avec ses pertinentes réflexions sur la classe politique actuelle qui semble plus préoccupée par « les mots que par les maux ».

    Après une brève coupure au cours de laquelle le public pu à nouveau se rendre sur les stands pour faire ses emplettes, les interventions politiques continuèrent avec, tout d’abord, Martin Peltier, auteur d’un ouvrage remarquable récemment paru (cliquez ici) dans lequel il nous expose ses vingt raisons d’être anti-américain, qui nous fit part du rêve qu’il a fait de voir naître un monde différent dans lequel la soumission à l’hyper-puissance américaine ne serait plus la règle. Ce fut ensuite le tour de Pierre Cassen, le dynamique président de Riposte laïque, de faire vibrer la salle en dénonçant l’implantation, accélérée ces derniers mois, de l’Islam conquérant sur notre sol. Il dénonça la lâcheté des élus locaux UMPS, dont l’activité pourrait se résumer ainsi : « Une Mosquée Par Semaine ! ». Roland Hélie salua au passage l’engagement courageux de Pierre Cassen et de ses camarades à nos côtés pour sauver notre civilisation.

    Roger Holeindre, le combattant de toujours, celui qui, en Algérie, n’avait pas hésité à mettre sa peau en danger pour sauver l’honneur de la France était l’invité d’honneur de cette journée. Il souleva à maintes reprises la salle lorsqu’il dénonça les menteurs et les faiseurs qui ont détruit la France. Il prononça un discours d’une haute tenue qui enflamma les nombreux jeunes présents dans la salle en les appelant à continuer le combat. Pierre Vial qui, depuis la création de notre revue il y a bientôt dix ans, nous a toujours soutenu, fut le dernier intervenant de l’après-midi. Il appela à la création d’un vaste front patriotique regroupant toutes les forces attachées à nos valeurs nationales et civilisationelles.

    Sans que personne ne s’en soit vraiment rendu compte en raison de la qualité des exposés, l’heure avançait trop vite et il était temps de conclure la partie politique pour laisser la place à la partie festive, à savoir le concert très attendu des fameuses Brigandes qui, depuis quelques mois, avec leurs clips spectaculaires font le buzz sur le net. Tout le monde en parlait, mais personne ne les avait encore vues sur scène… Suspens.

    Quel grand moment ! Un récital magnifique que le public n’est pas prêt d’oublier. Une série de chansons toutes aussi impertinentes et sublimes qui tranchent singulièrement avec le politiquement correct de rigueur sur les ondes. Remercions ces formidables artistes et leur orchestre pour ce très beau concert qu’elles nous ont offert. Un moment inoubliable… C’était la première fois que les Brigandes se produisaient en Ile-de-France. Nous espérons tous qu’il y en aura beaucoup d’autres.

    Les meilleures choses ont, hélas, une fin. A 19 heures la salle, ravie, se vida lentement. Rendez-vous l’an prochain pour les dix ans de Synthèse nationale.

     

    Un premier album photos sera publié dans la journée et, très vite, les films de chacune des interventions seront en ligne.

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2015/10/12/un-beau-dimanche-de-synthese-nationale-a-rungis-5698622.html

     
  • Immigration et bien commun

    De Joël Hautebert dans L'Homme Nouveau :

    H"[...] Les atermoiements et les décisions plus qu’hasardeuses de nos gouvernants résultent de l’oubli de la hiérarchie des devoirs et de la perte du sens de la justice. Comme il n’est jamais trop tard, nous pouvons toujours conseiller à nos hommes politiques de consulter le Traité des devoirs de Cicéron, lecture fort utile pour saisir le sens de la justice, qui consiste à donner à chacun ce qui lui revient et à ne nuire à personne. Ils y liront par exemple que, selon Cicéron, « la meilleure façon de respecter le lien social entre les hommes et leur union, sera de montrer, à l’égard de qui nous est le plus proche, d’autant plus de bonté ».

    Cela n’empêche pas le célèbre jurisconsulte romain de définir les devoirs envers l’humanité :« Assurément,écrit-il, la société la plus largement ouverte aux hommes entre eux, à tous avec tous, est celle où l’on doit respecter la communauté de tous les biens que la nature a engendrés pour le commun usage des hommes ».Ainsi, conformément à l’un des principes premiers du droit naturel, il faut accorder« même à l’inconnu, tout ce qui peut être donné sans dommage. À ce genre appartiennent ces biens communs : ne pas interdire l’accès à l’eau courante, supporter que l’on prenne du feu à son propre feu ; s’il le désire, donner, à celui qui réfléchit, un avis de bonne foi. Choses utiles à ceux qui les reçoivent, sans grever ceux qui donnent ».Nous en concluons qu’il est conforme à la justice et au droit naturel de permettre aux étrangers nécessiteux d’accéder aux biens de première nécessité(auxquels s’ajoute l’accès à la vérité !) sans aucune interférence de considéra­tions religieuses ou ethniques. Peu importe que ces gens soient chrétiens, musulmans, athées, syriens, irakiens, libyens ou autres.

    En revanche, la résidence à long terme ou l’installation définitive dans un pays, l’octroi d’un travail, la scolarisation des enfants, les aides sociales diverses, les droits politiques, etc., ne relèvent pas de la catégorie des biens« que la nature a engendré pour le commun usage des hommes ». Il s’agit de biens appartenant à notre patrimoine communautaire propre, hérités de nos prédécesseurs qui les ont façonnés, biens dont nous sommes les dépositaires momentanés, chargés de les transmettre aux générations suivantes. Attribuer une certaine mesure de ces biens à des étrangers ne relève en aucun cas de la justice, mais de la générosité, qui consiste à donner librement à autrui ce qui est nôtre et non ce qui lui est dû.

    Éclairé par la vertu de prudence, l’usage réglé de la générosité, appelée aussi libéralité ou bienfaisance, suppose de respecter d’abord les devoirs de justice qui incombent aussi bien aux parents à l’égard de leurs enfants qu’aux gouvernants à l’égard des citoyens dont ils assurent, théoriquement, le bien commun.« On n’est pas libéral quand on est injuste, précise d’ailleurs Cicéron. (…)ceux qui veulent montrer plus de bonté que ne le souffre leur avoir, commettent une faute d’abord en ceci, qu’ils portent préjudice à leurs proches : ils font passer en effet à des étrangers, des ressources qu’il serait plus équitable de laisser en jouissance et en héritage aux leurs. (…) On peut même voir un grand nombre de gens – qui ne sont pas tant généreux par nature, que conduits par une certaine gloriole – faire, pour paraître bienfaisants, beaucoup de choses qui semblent procéder davantage de l’ostentation que de la bonne volonté ». Que les professionnels médiatiques de la compassion verbale commencent par ouvrir la porte de leur maison et leur gros portefeuille aux migrants avant de dire quoi que ce soit.

    Le païen Cicéron synthétise la hiérarchie des devoirs à la fin du livre premier de son traité : « Les premiers devoirs sont dus aux dieux immortels, les seconds à la patrie, les troisièmes aux parents, et ensuite suivant un ordre, à tous les autres ». [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Zoom : S.Jallamion : policier exemplaire, il dénonce l'islamisme. On organise sa mort sociale !

  • Véronique Lévy, soeur de BHL, explique sa conversion dans la basilique du Sacré-Cœur, le 25 sept. 2015

    Témoignage de Véronique Lévy, petite sœur de Bernard-Henri Levy (BHL),  qui s’est convertie du judaïsme au catholicisme. Elle explique sa conversion le 25 septembre 2015 à la Basilique du Sacré-Coeur de Montmartre lors du Congrès Mission. Elle est l’auteur de « Montre Moi Ton Visage » paru aux éditions du CERF, également disponible en numérique.

    Extrait d’une interview parue dans Paris-Match le 30 mars 2015; qu’en penser ? A vous de voir :

    Votre nom rappelle que, selon la tradition, vous descendez d’une des douze tribus d’Israël. Pourtant, vous avez décidé de vous convertir au catholicisme.

    Véronique Lévy: Mon arrière-grand-père était rabbin, mais mon père était très laïque. Je n’ai donc pas reçu d’éducation religieuse. C’est sur une page blanche de toute religiosité qu’est née ma foi. Le Christ est venu me chercher lorsque j’avais 3 ans, sur une plage du sud de la France, par l’intermédiaire d’une petite fille, Coralie, qui m’a dit : “Si tu ne crois pas en Jésus, tu seras emportée par les robots.” Elle m’a appris le “Notre Père” et le “Je vous salue Marie”, que je me suis mise à réciter en cachette de mes parents.

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