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  • Terrorisme : craignent-ils une attaque au gaz sarin ?

    C‘est une information presque passée sous silence. Le 14 novembre dernier, soit le lendemain des attaques terroristes à Paris et Saint-Denis, un arrêté a été pris par le Ministère de la Santé, autorisant l’utilisation et la distribution par les professionnels de santé du sulfate d’atropine en solution injectable.

    Ce médicament est utilisé essentiellement comme antidote à l’exposition aux neurotoxiques organophosphés. L’un de ces neurotoxiques organophosphés est le gaz sarin, arme de guerre chimique 500 fois plus toxique que le cyanure, et qui attaque le système nerveux en entrainant notamment une paralysie et un arrêt cardio-respiratoire en quelques minutes. Ce gaz est inodore et incolore.

    Voici les captures d’écran issues du site Legifrance attestant de cet arrêté, publié au Journal Officiel hier :

     

    http://la-dissidence.org/2015/11/16/terrorisme-craignent-ils-une-attaque-au-gaz-sarin/

  • Le lien entre les réfugiés et le terrorisme

    Le premier ministre slovaque a déclaréque les attentats de vendredi à Paris confirmaient l’existence de risques pour la sécurité du fait de la crise migratoire actuelle en Europe :

    « Au moins deux des huit terroristes étaient des migrants. C’est le pire des scénarios qui se confirme, le scénario de risques énormes pour la sécurité engendrés par la vague migratoire".

    La Slovaquie, qui n'accepte que des réfugiés chrétiens au motif qu’elle n’a pas de mosquées, a attaqué devant la Cour de Justice de l’UE la décision prise en septembre d’imposer des quotas d’immigrants clandestins à chaque État membre.

    « Le citoyen slovaque et la sécurité de ce pays doivent passer avant les droits des migrants, avant la nécessité de nous occuper d’eux. » 

    Le premier ministre de la Slovaquie a ajouté que les autorités françaises avaient demandé l’aide de tous les pays européens pour déterminer l’identité d’autres terroristes, ce qui veut dire, selon lui,

    « que ces gens n’étaient pas enregistrés en France et qu’il s’agit probablement d’autres migrants« .

    Michel Janva

  • Les islamistes fuient déguisés en femmes après avoir rasé leurs barbes

    EI_Travestis en femmes

    Depuis que les Russes terrorisent les terroristes aux côtés de l’armée syrienne, les islamistes fuient le terrain après s’être rasé la barbe, certains travestis en femmes comme le montre la vidéo ci-dessous. Ils ont été capturés par les forces gouvernementales en train de fuir la bataille d’Alep, au nord de la Syrie. Ils sont moins fanfarons qu’en France face à des civils désarmés qui ne les attendent pas.

    L’article précise qu’à la fin de la semaine dernière, l’armée syrienne aidée par les frappes russes ont repris 410 km aux alentours d’Alep aux terroristes. La photo du tweet ci-dessous montre les barbes rasées avec des rasoirs abandonnés… non sans humour.

    voir la fin

  • La monarchie de la guerre

    Les attentats du 13 novembre nous apportent l'atroce confirmation de nos intuitions. Et cette sanglante sanction, mettant en lumière pas mal d'incuries, rappelle à ceux qui, depuis tant d'années, s'emploient à le faire oublier, le caractère tragique de l'histoire.

    En ce moment, le recueillement devant le deuil de tant de familles devrait permettre à tous de réfléchir. On dispose d'un bilan, hélas toujours provisoire de la criminelle offensive des islamo-terroristes du vendredi 13 novembre. Il s'établit à l'aube du troisième jour, à hauteur de 122 morts innocents, auxquels il faut ajouter de 7 chacals homicides dont la terre est débarrassée.

    Il me semble triste, une fois de plus, de découvrir sans surprises combien les politiciens, qui parlent pourtant d'union nationale, émettent à l'envi leurs jugements dissonants et faux.

    De ce discord lui-même, le tenant du titre, saura bien tirer parti, pendant quelques semaines. Cela durera le temps de deux sondages d'opinion. Puissions-nous donc ne pas souffrir d'une préférence pour les déchirements de la politique intérieure.

    Voici pourtant 300 jours que nous le savions : nous sommes en guerre.

    Les éditorialistes, les uns après les autres, au gré des numéros spéciaux de tous les grands journaux, publiés exceptionnellement ce dimanche 15, l'ont rappelé chacun à leur manière.

    Pas question cependant de trop insister sur la dérision des moyens que notre modèle social consent à investir dans les tâches véritablement régaliennes de l'État, dans les fonctions indispensables à cette guerre: 62 milliards seulement dans un pays où le produit intérieur est évalué à 2 200 milliards. Cela veut dire moins de 3 %, à comparer à une dépense publique de 57 %, dilapidée en faux besoins mal gérés par des administrations pléthoriques et super-syndiquées.

    Les militaires, les policiers, les magistrats non-gauchistes, les gardiens de prison, eux, n'ont, ou bien carrément pas le droit de faire grève, pour les uns, ou bien pas l'habitude. Or c'est sur eux que repose la survie du pays. Dormez braves gens, nous veillons sur vous. Et pendant ce temps la marmite prépare son explosion.

    En plein débat budgétaire, sur une durée de quelque 6 semaines, on trouvera peut-être dans les comptes rendus parlementaires quelque sénateur courageux ou député lucide pour évoquer cette aberration.

    Encore faudrait-il que quelqu’un lise cette littérature.

    Je m'y étais essayé en 2011 pour produire, début 2012, une réponse à la démagogie et aux errements économiques d'un Piketty. J'eus alors moi-même quelques sympathiques lecteurs.

    J'avoue surtout avoir été atterré par l'indifférence de mes concitoyens et cocontribuables devant des problèmes qui déjà sautaient aux yeux. Et, depuis, l'élection, par défaut, du président départemental de la Corrèze à la tête de la république n'a évidemment rien arrangé.

    Professionnel de l'endormissement, au moment où il faudrait se réveiller, il a su faire semblant, – disons-le bien : faire semblant, – de préserver, au service de son pouvoir l'outil militaire et l'outil policier dont les gestionnaires ont dû rappeler à plusieurs reprises en cette année 2015 combien il était suremployé, à la limite de la rupture.

    Mais si on prononce le mot guerre, on l'emploie sans être parvenu en haut lieu à nommer l'adversaire auquel nous nous trouvons confrontés.

    On sait qu'il s'agit effectivement de l'islamisme radical, mais on ne nous parle que du terrorisme, qui n'est qu'un moyen, une arme de guerre. Pourquoi ne pas imputer plus carrément encore la responsabilité du crime à l'arme elle-même, ce modèle AK-47 auxquels nous attribuons le nom du Soviétique Kalashnikov, en ignorant celui du véritable concepteur, l'ingénieur allemand Hugo Schmeisser.

    Faut-il dès lors se contenter de l'espérance qu'au final, dans son combat contre Lucifer, l'archange saint Michel vaincra ?

    Ah certes dira-t-on : la figure de l'ange chevalier, chef de la milice céleste, patron des parachutistes, ne se retrouve qu'imparfaitement dans l'actuel président de la présente république.

    Et pourtant, même lui, si petit soit-il, regardez comme la tragédie le hausse de quelques centimètres, de quelques misérables points de pourcentages dans les sondages. C'est déjà beaucoup partant de si bas.

    Et c'est quand même autour de lui, malgré qu'en aient ses adversaires dont nous sommes, que le sentiment national tendra naturellement, et obligatoirement, à se retrouver le temps de cette période terrible.

    On appelle cela : monarchie de la guerre.

    Cela ne durera pas plus que le temps de la guerre, et jusqu'à ce qu'au jour où nous nous réveillerons vraiment, et où nous saurons reprendre possession de nous-mêmes puisque nos maîtres défaillent.

    JG Malliarakis

    À lire en relation avec cette chronique

    "Psychologie de la Guerre" de Gustave Le Bon" à commander aux Éditions du Trident, sur la page catalogue ou par correspondance en adressant un chèque de 29 euros aux Éditions du Trident, 39 rue du Cherche-Midi 75006 Paris.

    http://www.insolent.fr/2015/11/la-monarchie-de-la-guerre.html

  • Attentats de Paris : la responsabilité écrasante de l'exécutif français

    La vague d’attentats sans précédent qui a touché Paris hier soir et qui aurait fait, selon un premier bilan, au moins 127 morts, est la conséquence directe de la politique étrangère menée par la France en Syrie et qui vise moins la lutte contre le terrorisme salafiste que la destruction de ce pays et le renversement du président Bachar-al-Assad. 
    Si plusieurs auteurs du carnage perpétré dans la salle de concert du Bataclan auraient déclaré, selon des témoins : « C’est la faute de Hollande, c’est la faute de votre président, il n’a pas à intervenir en Syrie », il faut ici rappeler quelle a été la réalité de la politique française dans ce pays depuis le début du conflit en 2011. 
    La république française, comme le révèle le président François Hollande dans un entretien avec le journaliste Xavier Panon, a en effet fourni des armes aux « rebelles » syriens dés 2012. Par l’intermédiaire de la DGSE, ce sont des canons de 20 mm, mitrailleuses, lance-roquettes, missiles anti-chars qui auraient été livrés aux rebelles dits « modérés », en violation de l’embargo mis en place l’été 2011 par l’Union Européenne. 
    Un conseiller de l’Elysée admet également auprès de Xavier Panon : 
    « Oui, nous fournissons ce dont ils ont besoin, mais dans la limite de nos moyens et en fonction de notre évaluation de la situation. Dans la clandestinité, vous ne pouvez agir qu’à petite échelle. À moyens limités, objectifs limités. » 
    La France aurait également envoyé des forces spéciales sur le terrain destinées à la formation et au soutien opérationnel des combattants. 
    En mars 2012, treize officiers français ont ainsi été capturés par l’armée syrienne lors de la reprise du califat islamique instauré dans le quartier de Baba Amr à Homs par la brigade Al-Farsouq et Al-Waleed. Cette dernière a ensuite rejoint les rangs de l’Etat Islamique. 
    Le président Hollande, cité par le journal Le Monde a encore confié en août 2014 : 
    « Nous ne devons pas relâcher le soutien que nous avions accordé à ces rebelles qui sont les seuls à participer à l’esprit démocratique. » 
    Alors que le président Syrien Bachar-al-Assad a déclaré à plusieurs reprises qu’il n’y avait pas de rebelles « modérés » sur le terrain, on peut s’interroger sur la véritable nature des groupes rebelles soutenus et armés par l’état français depuis 2012. Le ministre des affaires étrangères Laurent Fabius a déclaré à ce propos en 2012 que le Front Al-nosra, la branche syrienne d’Al-Qaïda, « faisait du bon boulot »… Une plainte de victimes syriennes des groupes rebelles a d’ailleurs été déposé à l’encontre du ministre français à ce sujet auprès du tribunal administratif de Paris pour « les fautes personnelles commises par le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, dans ses fonctions. » 
    Dans un rapport de 2012 l’agence de renseignement militaire américaine (DIA)avançait déjà que le soutien aux rebelles dits « modérés » profitait en réalité essentiellement à l’Etat Islamique. Selon le directeur de l’agence, le général Flynn le soutien indirect des USA et de la coalition occidentale à l’Etat Islamique « était une décision intentionnelle ». Dans un précédent article sur le rôle trouble de la coalition occidentale en Irak et en Syrie, j’avais également pointé différents éléments factuels qui montraient le soutien et la collaboration opérationnelle de la Turquie, des états-unis et d’Israël avec différents groupes djihadistes. 
    Ces différents éléments montrent assez clairement que la coalition occidentale, dont fait partie la France, a mené une politique de soutien à divers groupes djihadistes en Syrie dans l’objectif de renverser le président Bachar-al-Assad, sous couvert de la fiction de l’aide apportée à des groupes fictifs de rebelles « modérés ». 
    La véritable nature de ces prétendus groupes rebelles a été récemment mise en lumière par l’intervention russe qui a entraîné un déchaînement de protestations de la part des chancelleries occidentales au motif que les frappes aériennes auraient visé les rebelles soutenus par l’Occident. Or, les groupes frappés par l’aviation russe appartenaient à l‘Armée de la Conquête, qui regroupe notamment le Front Al-Nosra, branche syrienne d’Al-Qaïda et des groupes islamistes comme Ahrar al-Cham. 
    Il est malheureusement fort peu probable que le soutien de l’exécutif français aux groupes djihadistes en Syrie soit dénoncé à la lumière de cette vague d’attentats sans précédents, qui constitue pourtant son aboutissement logique et prévisible. Le chaos auquel a été réduite la Syrie et la prolifération des groupes djihadistes sont en effet le résultat direct de la politique étrangère française au Proche et Moyen-Orient. 
    Alors que lors des précédents attentats de janvier dernier, l’exécutif avait érigé le réseau Internet, qui aurait favorisé« l’auto-radicalisation » des terroristes, présentés à l’époque de manière mensongère comme des « loups solitaires », en boucs émissaires censés masquer les lacunes et les incompétences des services de renseignement et de sécurité français, et instauré des dispositifs de surveillance de masse des citoyens, cette politique visant essentiellement les libertés individuelles, a montré aujourd’hui son inanité. Il est pour autant fort peu probable que les responsables des services de sécurité, dont le ministre de l’intérieur Bernard Cazeneuve – qui ont une fois de plus failli à leur mission – aient à rendre des comptes. Le gouvernement et la classe politique, à quelques exceptions près, se retranchent une fois de plus derrière l’émotion et l’injonction à « l’unité nationale ». Pourtant, les mêmes qui aujourd’hui ont décrété l’état d’urgence et le rétablissement des contrôles aux frontières s’engageaient il y a quelques semaines à peine à participer à l’accueil des migrants syriens, au nom de principes humanitaires, et ce malgré les réserves de l’agence de coopération européenne Eurojust qui affirmait que le trafic clandestin entretenait des liens étroits avec les organisations terroristes en Syrie : 
    « C’est une situation alarmante parce que nous voyons clairement que le trafic est destiné à financer le terrorisme et que les passeurs sont utilisés parfois pour mener des infiltrations par les membres de l’Etat Islamique. » 
    Si comme le dit le président François Hollande, la France est « en guerre » aujourd’hui, elle le doit donc pour l’essentiel aux incompétences de l’exécutif et aux incohérences criminelles de la politique étrangère française qui a soutenu et armé les groupes djihadistes ayant plongé la Syrie dans le chaos …

  • A.F.E [Angers] Week-end de cohésion

    Ce week end, 20 militants de l’AFE Angers se sont rassemblés autour de repas traditionnels, cercles et actions !

    Très bonne réussite pour la section !