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  • Au sujet du coup de poignard infligé à l'institut Civitas.

    Une fois de plus, la mouvance est lâchement attaquée. Cette fois ci, c'est l'institut Civitas qui est lâchement attaqué. Alain Escada, président de Civitas a besoin d'aide.
    Dès que j'ai su le fait, j'ai par sympathie, immédiatement adhéré à Civitas. J'invite le lectorat à faire de même ou à faire un don
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    Civitas: le site
    Philippe Delbauvre (Voxnr)
    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuVukEAulkSLpVCiCn.shtml
  • JT du Mardi 2 février 2016 : International / Lancement de la présidentielle américaine

  • Action Française [Marseille] Cercle du 29 janvier

    Vendredi, les militants sont venus nombreux assister à une conférence présentée par Ana, sur le thème de "La Franc maçonnerie, entre mythe et réalité" 

     

  • Sortir du mythe présidentiel

    Depuis plusieurs mois l'évidence s'en imposait : non seulement la vie politique, mais aussi l'action gouvernementale, s'articulent autour de l'échéance présidentielle de 2017.

    S'agissant des chocs d'ambitions internes aux partis politiques, l'immense majorité des citoyens et contribuables pourrait hausser les épaules. Toutes les mangeoires de la classe monopolisant les prébendes étatiques dépendent en effet de leurs nominations aux emplois civils et militaires sous la houlette et le bon plaisir du chef de l'État. Et comme la course ne s'en déroule qu'entre poulains interchangeables et chevaux de retour, tous issus des mêmes écuries, le résultat n'en importe guère aux honnêtes gens.

    Voilà une des raisons pour lesquelles tant de citoyens se sont satisfaits depuis un demi-siècle de notre ersatz de monarchie élective. On vote tous les 5 ou 7 ans pour celui qu'on croit le moins mauvais et l'on préférerait n'en plus parler.

    En revanche, l'enlisement de ce système dans sa vase démagogique paralyse l'action de l'État, engluée dans le kriegspiel interne du camp supposé gouvernemental. Et ce constat devrait conduire, dans un avenir assez proche, à ce qu'on s'interroge enfin sérieusement sur les effets négatifs qu'il entraîne sur la santé du corps social. Dans notre antimodèle étatiste en effet, le pays réel est devenu de plus en plus tributaire du pays légal, qu'il entretient et dont il ne peut plus ignorer la nuisance.

    Quand les frelons d'État, quand les caisses sociales anonymes, quand les associations subventionnaires, quand les métastases des collectivités locales absorbent désormais 57 % de la production des abeilles, ce n'est plus un droit, cela devient un devoir pour celles-ci de reprendre possession d'elles-mêmes et de libérer la ruche.

    Jusqu'à une date récente, peut-être même encore à ce jour, on prétendait nous faire rêver au gré d'un concours Lépine aboutissant à reproduire, avec de faibles variantes, une nouvelle édition de la course de 2012, dont le pauvre résultat ne semble donner aujourd'hui satisfaction à personne.

    Ne nous illusionnons pas non plus sur la procédure des primaires. Inventée aux États-Unis, dans un contexte civique et constitutionnel d'ailleurs très différent, il est à remarquer qu'elles n'y ont été conçues par le sénateur La Follette, du Wisconsin, en 1902 que pour polluer l'équilibre de son propre parti, ce que le long processus qui se déroule en ce moment même continue de faire. Son imitation ne semble guère préoccuper aucune autre démocratie présentable, en Europe occidentale ou au Japon.

    En France, elle séduit sans doute tous ceux qui ne réfléchissent pas à ses inconvénients puisqu'on nous assure désormais qu'une "nette majorité de Français [se prononcerait] en faveur d’une primaire à gauche". Mais cette hypothèse contredit et contrecarre tous les principes sur lesquels les constituants de 1958 avaient tenté de bâtir un régime qui, à ce jour, sans avoir encore duré aussi longtemps que celui de 1873, pourrait bien aboutir à un désastre comparable à celui de 1940.

    On est ordinairement convenu de considérer que rien n'est irréversible, qu'une partie n'est terminée qu'au coup de sifflet final de l'arbitre, etc.… Observons cependant que la seconde mi-temps avance et qu'en gros les neuf mois qui nous séparent de l'automne 2016 ne représentent qu'un court délai pour que l'opinion accouche d'une exigence. Elle paraît essentielle si l'on souhaite arracher la France vivante à ses sangsues monopolistes et à ses parasites étatistes qui l'étouffent.

    Il s'agit dès lors de faire apparaître une protestation antiprésidentielle. Tout ancien président, tout ancien premier ministre, tout manipulateur des médias, tout candidat à un pouvoir hexagonal se présentant pour suprême, tout démagogue vulgaire devra pouvoir être observé et dénoncé désormais pour ce qu'il est ou aspire à devenir : un ennemi de la liberté.

    Faute d'une prise de conscience de cette nature, faute d'une volonté de recours à un véritable arbitre impartial, et non à un despote quel qu'il soit la société française tout entière serait condamnée à une nouvelle tricherie. Le pays n'en a plus ni les moyens ni le goût.

    JG Malliarakis

    http://www.insolent.fr/2016/02/sortir-du-mythe-presidentiel.html

  • Plus c'est gros, plus ça passe... (Add.)

    Dans une tribune intitulée "La France sans les musulmans ne serait pas la France", Abdelkader Abderrahmane sert aux lecteurs du Monde une soupe insipide d'idées convenues et politiquement correctes. Voici l'extrait le plus hallucinant :

    "Alors que l’Europe médiévale était entourée de superstition, de fanatisme, de fatalisme, et d’autres irrationalités, le monde arabo-musulman, sous l’impulsion des dynasties Omeyyade et Abbasside, représentait au contraire la bayt al hikma, ou la « maison de la sagesse et du savoir ». Et c’est ce savoir qui a permis aux Européens de sortir des ténèbres de l’ignorance dans laquelle ils étaient plongés, débouchant ainsi sur la Renaissance et les Lumières."

    Il faut relire en toute urgence "Pour en finir avec le Moyen Age" de Régine Pernoud et "Historiquement correct. Pour en finir avec le passé unique" de Jean Sévilla...

    Addendum :  En 2011, Abdelkader Abderrahmane soutenait les islamistes :

    "Il est donc particulièrement difficile de voir un quelconque danger dans leurs propos et position (...) Les Islamistes sont destinés à jouer un rôle politique actif dans cette phase de transition démocratique des pays arabes. Respectons enfin le résultat des urnes (...) Et faisons confiance à la clairvoyance des Islamistes arabes (...) Ils méritent amplement une chance de démontrer qu’ils peuvent, dans un système électoral pluriel et démocratique, être, eux aussi, compétents dans la gestion de leurs pays. Il est urgent de laisser aux Islamistes la possibilité de diriger et de s’affronter aux réalités et logiques politico-économiques séculières de la gouvernance d’un Etat."

    On attend avec impatience de savoir s'il condamne l'Etat islamique ou s'il le considère comme une nouvelle "maison de la sagesse et du savoir"...

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Philippe de Villiers soutient la Fondation Jérôme Lejeune – Savoureux extrait de son interview

    La fondation Espérance du Grand Parc Français du Puy-du-Fou a offert un chèque de 50 000 euros à la fondation Jérôme Lejeune. Une fois de plus Philippe de Villiers manifeste sa fidélité à ses objectifs de transmission des valeurs chrétiennes de la France, parmi lesquelles la vie est la plus attaquée actuellement. Philippe de Villiers a donné un entretien à cette occasion à Jeanne Smits, dont voici un large extrait particulièrement savoureux:

    — Le Puy-du-Fou, qui est un lieu d’enracinement et même de réenracinement dans l’Histoire, est-il naturellement à sa place dans ce réenracinement de l’amour paternel, maternel, de l’amour des enfants ? Faites-vous un lien, là aussi ?

    — Oui, bien sûr ! C’est le dernier texte que j’ai écrit : « Peut être les enfants sauront ils deviner dans les humeurs du jour, et portée par le vent, de collines en collines, la voix d’autres enfants qui chantent et se souviennent. »

    Le Puy-du-Fou est fondé sur l’idée de la transmission, l’idée de la génération, dans une société saccagée par le mondialisme qui prépare un être désaffilié, désinstitué. Toute la respiration du Puy-du-Fou se fait à travers l’idée de génération, l’idée de transmission, l’idée d’héritage et donc de réenracinement. C’est normal que l’enfant y ait la première place.

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  • La vie des Royalistes

    Les Royalistes ont-ils une vie ? Une vie à part ? Une vie tout court ? Une vie différente de celles des autres ?

    Il faut bien reconnaître que la vie du Royaliste ne diffère en rien, en apparence, de celles du commun des mortels. L’Égalité « ayant coupé toutes les têtes qui dépassent » et surtout confisqué tous ses biens, le Royaliste est soumis au quotidien de tout un chacun : travail et imposition lourde. Comme le peuple, il connait les épreuves du commun des mortels ; chômage, souci de santé, rupture ou deuil.  Il convient de préciser que le Royaliste n’appartient pas nécessairement à la noblesse. Déchéance ou grâce ? Le Royaliste partage de fait l’humble condition du peuple qui le servait et qu’il servait dans une solidarité très intime.

     Toutefois, la vie du Royaliste semble s’émailler d’un nombre certains de commémorations et de pèlerinages : Soirée en hommage à Sa Majesté le Roi Louis XIV à l’Aéroclub le 23 novembre ; Commémoration place Louis XV et Messe en mémoire de la mort du Roi Louis XVI en la Basilique Royale de Saint-Denys, le 21 janvier ; Messe à la Chapelle Expiatoire à la mémoire du roi Louis XVI pour le 223ème anniversaire de son assassinat le 24 janvier. Passéisme fétide et poussiéreux ? Non, le Royaliste est fidèle. Il n’oublie rien de l’Histoire de cette France qu’il aime. Nostalgie vaine d’un passé révolu ? Non. D’une fidélité absolue, il garde la Foi envers et contre tout, envers toutes les vicissitudes de son époque. Sa Foi repose dans le sang de ses martyrs. Aucun sacrifice d’innocent n’est perdu et la France refleurira. Sous l’autorité bienveillante de Monseigneur Louis de Bourbon, qui incarne notre Espérance, c’est un avenir pour la France que nous voulons construire.

    Par ailleurs, la vie du Royaliste semble s’émailler de quelques événements mondains. Superficialité festive, reste d’un éclat indécent, dans un monde qui s’effondre ?

    Le samedi 23 janvier, nous réunissions aussi autour de La galette des Rois de Vexilla Galliae à l’église Sainte Rita, devenue depuis peu catholique, menacée par l’appétit vorace des promoteurs immobiliers.  Scène surréaliste où les Royalistes passaient un à un la barricade taguée pour rejoindre une église glacée et vidée de tous ces ornements, rejoints sans faillir par le Prince Charles Emmanuel de Bourbon Parme. Scène baroque où les royalistes et les zadites partageaient non seulement la Galette des Rois mais aussi la défense de l’église Sainte Rita, sous le portait de Monseigneur Louis de Bourbon, Chef de la Maison de France. « Lui, Louis de Bourbon, représente au moins un espoir pour le peuple ».

    Le 18 mars aura lieu la 3ème soirée du Bourbon Club. Jamais la main de l’autorité, si puissante soit-elle, ne peut établir ces groupes harmonieux formés autour d’un centre et d’une pensée commune… et ni même les détruire ! Il convient donc de cultiver ses précieux liens sociaux. Cette soirée sera unique puisque le 18 mars est un vendredi de Carême. Les bénéfices du cocktail, dont le menu sera « cathocompatible » seront versés au profit de l’Ordre de Malte et nous mettrons en valeur « les talents » que Dieu donne.

    Ainsi, même si la vie sociale du Royaliste est riche d'événements il partage la même noble et humble condition du peuple de France. Mais, elle se différencie spécifiquement. Dans un monde qui s’effondre, notre joie est profonde. Notre joie est profonde car ultimement, nous n’appartenons pas à ce monde. Nous appartenons à Dieu et au Roi.

    A Dieu. Au Roi.

    Stéphanie de Tournon

    http://www.vexilla-galliae.fr/royaute/vie-des-royalistes/1782-la-vie-des-royalistes