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  • Dimanche 24 avril : Carl Lang à la 4e Journée régionale (Flandre-Artois-Hainaut) de Synthèse nationale près de Lille

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  • Soros : après les Femen et les No Borders, l’affaire Panama Papers…

    Charles Demassieux Riposte laïque cliquez ici

    Qui est George Soros, dont on entend souvent parler en ce moment dans l’affaire des Panama papers, scandale financier que beaucoup d’élus font mine de découvrir, avec une hypocrisie qui force le respect ?

    D’après le site georgesoros.com, il « a été un partisan international de premier plan des idéaux et des causes démocratiques depuis plus de 30 ans. Son organisation philanthropique (Open Society Foundations – OSF) soutient la démocratie et les droits humains dans plus de 100 pays. » Jusqu’ici, tout va bien, parce qu’un philanthrope est une « personne qui est portée à aimer tous les hommes » (Le Robert). Tous les hommes ? Pas exactement, parce que tous les hommes ne se valent pas, selon ce milliardaire sulfureux.

    De son vrai nom György Schwartz, George Soros est né en 1930 à Budapest, dans une famille hongroise juive intellectuelle ; son père était médecin, avocat et écrivain. La situation politique dans son pays, devenue hostile aux juifs et proche du régime nazi, le contraint à changer de nom. Il parvient toutefois à éviter la déportation, tout en négociant des devises sur le marché parallèle hongrois. Plus tard, il admettra s’être approprié des biens de juifs déportés, se justifiant ainsi : « Si je ne l’avais pas fait, d’autres l’auraient fait. Parce que, si je n’avais pas fait ça, je n’aurais jamais eu d’argent. » L’argent, ou le baromètre moral de Soros !

    En 1947, Soros part s’installer en Grande-Bretagne pour fuir le régime communiste et y poursuivre des études. En 1956, il s’installe aux États-Unis avec l’irrépressible envie de devenir riche. Il exaucera son vœu au-delà de toutes ses espérances, puisqu’il est à ce jour l’une des plus grandes fortunes mondiales.

    Il crée alors un fond d’investissement, le Soros Fund Management. En 1973, il fonde, avec Jim Rogers, Fond Quantum, dont les gains vont dépasser les 30% pendant une dizaine d’années. C’est en 1992 que le monde fait sa connaissance, tandis que l’Europe traverse une crise monétaire. Cette crise sera d’ailleurs l’un des arguments majeurs pour la monnaie unique.

    Soros, par ses spéculations sur la livre, contraint l’Angleterre à sortir du système monétaire européen, profitant des faiblesses du marché pour s’enrichir, en bon financier qui se respecte ! On le surnommera même « l’homme qui fit sauter la Banque d’Angleterre ». Dit plus crûment, ça donne : « Etant donné la situation économique de l’Angleterre et le niveau des réserves de change, une attaque spéculative d’ampleur pourrait obliger l’Angleterre à sortir du Système Monétaire Européen (SME) et à dévaluer sa monnaie. En vendant à découvert la livre sterling, ce serait alors le jackpot. » En ce sens, Soros incarne à merveille la finance internationale qui se fout allègrement des conséquences humaines de telles pratiques !

    Mais Soros se veut aussi philanthrope : il crée plusieurs fondations, regroupées autour de l’OSF, « dont le but est de défendre les droits humains et promouvoir la gouvernance démocratique », et étend son influence au terrain politique. Mégalomane, il se définit comme un « chef d’État apatride ». Sa générosité ne connaît pas de limites, avec pour but de changer le monde, ce qui fait joli sur le papier : pas dans la réalité.

    Ainsi, il chapeaute des associations et des projets qui, tous, convergent vers un seul but : détruire l’identité des Nations occidentales. En 2009, il finance une étude en France sur les contrôles au faciès ; en 2012, il offre 35 000 euros au Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF). Cette association défend le port du voile, prône un « islam identitaire agressif », tel que rapporté dans un article du Figaro. Et ça, ce n’est que la partie émergée de l’iceberg, car cette association « profite de ce combat légitime pour faire avancer des causes plus suspectes », selon le Huffington Post, site d’information pourtant très « propre » sur lui idéologiquement !

    Dans la crise des migrants – décidément, cet homme ne s’épanouit que dans les crises ! –, Soros joue son rôle en finançant les « No Border », groupuscule d’ultra-gauche qui refuse les frontières et soutient le flux migratoire sauvage en Europe. Flux migratoire qui charrie aussi des terroristes, nous le savons à présent.

    Auparavant, il y aura la crise ukrainienne. Sur CNN, Soros déclare avoir pris une part importante dans les événements de Kiev, en soutenant les pro-Européens, car, pour lui, la Russie a « une autre vision du monde où la violence remplace l’État de droit ». Comprenez : la conscience identitaire est haïssable. D’où son rejet pour toutes les Nations qui la revendiquent, dont Israël, via une organisation comme Human Rights Watch, abondamment arrosée par ses dollars, ou l’Arab Regional Office.

    Mais l’ingratitude étant ce qu’elle est, BDS (Boycott Apartheid Israël) a récemment mis en demeure ce mécène de l’islam : « Nous appelons toutes les organisations palestiniennes, arabes et internationales, qui ont reçu des fonds des fondations Soros, à faire pression sur M. Soros pour qu’il nettoie son portefeuille d’investissements dans des violations des droits de l’homme, et à s’abstenir de demander des fonds de ces fondations s’il ne parvient pas à le faire. » Voici donc l’arroseur arrosé !

    Soros déverse aussi son fric sur les Femen et LGBT, évidemment, puisque ça participe de la déconstruction des identités et qu’il faut normaliser l’indétermination sexuelle dans le meilleur des mondes du milliardaire !

    Cependant, la preuve de l’échec du modèle Soros, c’est le soulèvement de ces identités un peu partout en Occident. Ce prédicateur économique et politique devrait se souvenir qu’« On ne gouverne jamais une nation contre ses habitudes. » (Louis XVI)

    Quant à l’affaire des comptes offshore du Panama, Soros est-il derrière ou pas ? Disons que la présomption d’innocence, étant donné son pedigree, est difficile à admettre !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Concert à Paris

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  • L’Amérique en quête d’un nouveau visage (article paru dans L’Action Française n°2929 du 07 avril 2016)

    Pressé de "réassurer" ses alliés européens, Pologne en tête, Washington vient de confirmer qu’il déploierait, l’année prochaine, une brigade blindée à la frontière orientale de l’Otan. Sous la houlette d’un Donald Trump, chantre d’une Amérique plus isolationniste, peut-être la Maison-Blanche sera-t-elle plus réticente à répondre ainsi aux sollicitations des capitales européennes. Autrement dit, sans bouleverser la donne internationale, peut-être son élection contribuerait-elle à infléchir la politique des États-Unis. Au risque de placer les États européens face à leurs responsabilités ? On n’en est pas encore là, quoique le président tchèque se soit honoré, dernièrement, d’esquisser un rapprochement avec Pékin, au motif que son pays, par la faute de son précédent gouvernement, « succombait trop à la pression des États-Unis et de l’Union européenne ». En tout cas, la campagne en cours ne saurait nous indifférer : soucieux des intérêts de la seule France, nous n’en avons pas moins conscience que le destin de la puissance américaine ne sera pas sans incidence sue celle-ci.

    Chez les démocrates, la situation paraît relativement claire : Hillary Clinton, soixante-neuf ans, la "dame trois ex" (ex-first lady, ex-sénateur, ex-secrétaire d’État) a 90 % de chances de remporter ces primaires et d’être déclarée championne du parti de l’âne pour l’élection présidentielle du 8 novembre prochain. Son rival, Bernie Sanders, soixante-quatorze ans, sénateur du Vermont, qui lui a servi de faire-valoir depuis février, sera remercié pour ses bons et loyaux services le moment venu. Au parti de l’éléphant, en revanche, les choses semblent beaucoup plus compliquées. Deux raisons font de ces primaires républicaines un scénario à suspense sans précédent dans les annales américaines. D’abord, un parti anémié, conformiste, coupé de sa base comme des réalités, qui s’efforce depuis des années de gérer ses crises internes sans idées et sans ressort. Ensuite, un candidat sorti d’ailleurs, sans mandat électoral, sans expérience politique, qui a eu la géniale intuition de bousculer tous les usages afin d’occuper le seul créneau réellement porteur : la défense de la classe moyenne blanche.

    Le double visage de Donald Trump

    Ce candidat, c’est Donald Trump. Crinière blonde et teint brique : une soixantaine massive, tonitruante et impulsive qui met en scène son propre personnage. En fait, deux personnages. Le premier est celui de la presse à sensation : l’empereur de l’immobilier, le géant des casinos, le magicien de la télé-réalité. C’est l’homme aux trois mariages, aux résidences somptueuses, aux dix milliards de dollars, aux cinq cent cinquante deux entreprises, aux milliers d’employés. C’est l’homme de Big Apple (une série télévisée NDLR), un mélange de cabotinage extravagant et d’audace calculée. C’est l’homme de tous les risques, de tous les retournements, de toutes les acrobaties. Trump peut être aussi convaincant qu’imprévisible, aussi odieux que charmant. Mais il existe un autre homme en lui, plus fin, plus subtil, plus tacticien : celui qui a mis son flair d’affairiste au service d’une aventure électorale. De même que Trump sait renifler un contrat juteux, il a senti un peuple aux abois. Il lui a parlé. Il a ouvert ses plaies pour y appliquer un baume. Il a écouté ses doléances et perçu ses frustrations. Il a palpé son angoisse et partagé son amertume. Trump en père justicier. [....]

    Philippe Maine

    Correspondant aux États-Unis

    Si vous voulez lire la suite, achetez le dernier numéro de l’Action Française

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-Amerique-en-quete-d-un-nouveau

  • Flop pour Belkacem et ses amis francs-maçons

    Retour sur le colloque organisé conjointement par la Grande Loge de France (GLDF) et la Grande Loge Féminine de France (GLFF) avec le soutien du ministre de l’Education nationale Najat Vallaud-Belkacem.

    Malgré les renforts de publicité, les invitations placardées dans les couloirs des établissements fréquentés par les étudiants et la retape des professeurs francs-maçons, rien n’y a fait.

    Le colloque franc-maçon destiné à la jeunesse s’est déroulé dans une salle à moitié vide (même pas 300 personnes au lieu des 600 escomptés).

    Les forces occultes attirent de moins en moins de jeunes.

    http://www.medias-presse.info/flop-pour-belkacem-et-ses-amis-francs-macons/52455

  • Le Jobbik à 53% chez les 15-34 ans

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    La génération Y en Hongrie est très largement désintéressée de la politique mais est favorable au Jobbik. Les 15-34 ans interrogés et intéressés par la politique sont favorables à 53% au parti populiste hongrois.
    L’étude internationale Millenial Dialogue a montré que la majorité des jeunes européens sont satisfaits de leur vie, cependant, parmi les quatre pays étudiés, c’est en Hongrie que les jeunes se disent le plus malheureux. Ils sont trois fois plus nombreux à être mécontent de leur vie en Hongrie qu’en Pologne ou en Bulgarie, et presque cinq fois plus qu’en Autriche. Alors que les 15-34 ans sont « optimistes » à 84% en Pologne, ils ne sont que les deux tiers à l’être en Hongrie. Les conditions matérielles semblent compter dans leur jugement de façon importante.
    La génération Y tourne également le dos aux partis traditionnels, préférant s’investir dans le bénévolat ou les ONG que dans les carrières politiques. Et l’intérêt que les jeunes hongrois portent à la politique est remarquablement bas. 28,6% des 15-34 se dit intéressé par la politique, ce qui est même régionalement un taux particulièrement faible. Selon nol.hu, les études menées par le Magyar Tudományos Akadémia Politikatudományi Intézet (Institut des Sciences Politiques de l’Académie des Sciences de Hongrie) montrent que les trois mots les plus associés à la politique dans cette génération sont « corruption », « mensonge » et « fraude ».
    Seulement 60% des 15-34 voteraient à coup sûr, alors 20% s’abstiendraient. Et leurs votes iraient à 53% pour le parti populiste radical Jobbik, qu’ils considèrent à 35% comme celui qui comprend le mieux la situation des jeunes, suivi de loin par les verts-libéraux du LMP avec 12% et en troisième le parti au pouvoir de Viktor Orbán, le Fidesz, avec 10%. Selon les experts, la popularité du Jobbik chez les 15-34 vient du fait que ce parti a une image propre, sans scandales de corruption. Le Jobbik est actuellement le deuxième parti au parlement. Fondé en 2003, le parti a eu une réputation sulfureuse pendant une décennie, et mène depuis un an une politique de dédiabolisation, en vue des élections de 2018, devenant résolument populiste et visant à convaincre au-delà de son électorat classique.

    visegradpost :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuypkpFyApwsptgHPq.shtml