Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Mais que se passe-t-il en Europe ?

    Une à une les majorités libérales, qu’elles se proclament de gauche ou de droite, ce qui n’a réellement que peu d’importance, sont mise à mal par ce que la classe politique appointée et les médias appellent en se pinçant le nez : les « extrêmes ».

    Dernière en date, l’Autriche s’est distinguée en mettant en tête au premier tour des présidentielles le candidat du parti FPÖ, Norbert Hofer, qui remporterait 36,7% des voix contre un peu plus de 18% pour le candidat écologiste qui a pu se maintenir pour le deuxième tour, réalisant le meilleur résultat de ce parti depuis la guerre à une élection nationale en Autriche. L’usure des grands partis de gouvernement qui sont des officines très favorable à l’édification d’une carrière professionnelle dans la politique, pourvu que l’on reste dans le périmètre toléré par Bruxelles , ouvrière elle-même de la construction du nouvel ordre mondial, est une des raisons de ce revers spectaculaire. Mais nul ne doute que le déclencheur est l’invasion soudaine, dans ce petit pays de 8, 58 millions de ressortissants, par 90 000 réfugiés venant s’ajouter à une politique d’immigration déjà très « généreuse ». Les vieux partis, aux ordres des maîtres supranationaux, ont perdu tout esprit critique et appliquent servilement le programme de suicide collectif qui leur est soumis. Cependant en Europe, les scrutins sont relativement démocratiques et on est bien obligé de tenir compte, même si c’est à regret, de ce que veut ou ne veut pas le peuple. [....]

    La suite sur Le Réveil Français

  • Manifestants ou organisateurs du désordre public ?

    Dr Bernard Plouvier

    Tous les Français – sauf les sourds et les aveugles, réels ou volontaires - savent que, depuis les années 1980, chaque manifestation générée par un mouvement social est quasi-automatiquement transformée en mini-émeute par les jeunes casseurs des banlieues, bien typés ethniquement : pillages, destructions de biens privés ou publics, incendies variés, affrontements violents avec policiers et pompiers.

    Certes ! Mais depuis le début de cette année 2016, probablement tenus en laisse par les mollahs et narcotrafiquants de quartiers – eux-mêmes sensibles à certains ordres venus de « l’islamo-étranger » -, les racailles de banlieues restent à l’écart des grèves et des manifestations (à l’exception bien sûr des fééries calaisiennes, où ils sont chez eux et entre eux et de la réaction aux défilés des anti-immigrés).

    De fait, les rares manifestations de patriotes opposés à l’immigration, dénommés « fascistes » par la presse bien-pensante, sont d’un calme surprenant, du moins tant que les nervis des groupes gauchistes et trotskistes, ou des contre-manifestants islamistes associés à des bobos en principe français, ne viennent perturber leurs défilés peu achalandés… et la police sait sur qui il faut taper et sur qui il faut éviter de le faire.

    Les manifestants de la contestation syndicale classique (Air France ; intermittents du spectacle ; foules ameutées par les syndicats pour grogner contre la Loi révisant le Code du travail, etc.) et les potaches du très curieux mouvement Nuit debout-gouvernement couché-spectateurs assis (ravis ou ébahis devant leur téléviseur) prouvent qu’il n’est plus besoin, en France Hollando-Vallsienne, de casseurs exotiques pour se comporter en purs voyous.

    On s’attaque aux forces de l’ordre (sauf à pouvoir s’attaquer à des cadres de direction, moins bien préparés à l’auto-défense que nos honorables policiers), on casse indifféremment du matériel public ou privé, on brûle des voitures, on pratique le sectarisme le plus outrancier : certains chassent de l’académicien juif, d’autres du Blanc, d’autres encore de l’hétérosexuel… et tous y vont de leurs slogans marxistes & anarchistes, parfois curieusement confondus.

    Le ridicule n’ayant – en dépit du proverbe – jamais tué personne, nos étudiants et lycéens usent et abusent de tout ce qui ferait rougir de honte un humaniste… et certains vont plancher en fin d’année scolaire sur un sujet de philosophie ! Pas de panique : étant donnés le contexte préélectoral, l’impopularité effarante du gouvernement et du chef de l’État, la haine socialiste pour l’élitisme, le cru 2016 du Bac avoisinera les 99,9% de reçus.

    Le grand acquis de cette merveilleuse année 2016 - où le chômage décroît (par transfert habile d’individus de la catégorie A aux deux suivantes, et par un usage plus habile encore, hélas plus coûteux, des stages de formation), où « la France va mieux » (c’est notre plantureux Président qui l’affirme, qui ne saurait ni se tromper ni nous tromper), où les islamo-terroristes ont reçu l’ordre de se calmer au moins jusqu’aux prochaines présidentielles – est que nos manifestants gaucho-bobos n’ont plus de leçon de vandalisme et de guérilla urbaine à recevoir des immigrés turbulents.  

    Ce sera, sans nul doute, la marque, la griffe de la présidence hollandienne.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Carl Lang a-t-il de l'avenir dans le "camp national" ?

    Bruno Larebière est interrogé sur Atlantico. Extrait :

    "Jean-Marie Le Pen n'est pas éternel. Sa fille étant spirituellement déshéritée, quels seront les héritiers de la ligne politique originelle du FN ? Marion Maréchal-Le Pen, qui tente de maintenir les liens entre les deux bords ? L'un des membres de sa garde rapprochée (Bruno Gollnisch, Carl Lang) ? Une nouvelle figure comme le très polémique Henry de Lesquen ?

    [...] Si l’on prend votre question comme celle de la possibilité que l’extrême droite soit fédérée sur le plan électoral, c’est Carl Lang, ancien secrétaire général du FN qui a fondé le Parti de la France (PDF), qui me semble le mieux placé pour réussir cette synthèse. On aura une première occasion de la mesurer avec les élections législatives de 2017, où il est probable qu’il présentera un nombre de candidats suffisant pour partir en quête du financement public et lancer véritablement son parti.

    Si on ne peut pas exclure des candidatures dissidentes de ces dissidents du Front national, Carl Lang est le seul à avoir une personnalité reconnue, en raison de son absolue fidélité militante, et à tenir un discours qui fait consensus dans le "camp national", en plus de disposer de la structure qui lui permettra de partir au combat électoral. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Allemagne: la droite populiste tentée par un cap anti-islam

    Galvanisée par des sondages au zénith, la droite populiste allemande de l'AfD boucle dimanche son premier programme en trois ans d'existence, avec une tonalité anti-islam et l'ambition de "conquérir des majorités".
    "A l'été 2015, on nous donnait pour morts", a rappelé samedi à l'ouverture du rassemblement à Stuttgart (sud-ouest) la coprésidente du parti Frauke Petry, sourire revanchard aux lèvres: l'"Alternative pour l'Allemagne" (AfD) est remontée de 3% à une fourchette de 12 à 14% d'opinions favorables dans les sondages et siège depuis la mi-mars dans la moitié des parlements régionaux du pays.
    Stimulée par le récent succès du parti d'extrême droite FPÖ au premier tour de l'élection présidentielle autrichienne et quelques mois après la poussée du Front National aux régionales françaises, la jeune formation allemande n'entend pas se contenter d'un rôle de "partenaire minoritaire" dans une coalition, ni se résigner à l'opposition, selon Mme Petry.
    Au contraire, le programme que 2.400 membres finiront d'adopter dimanche doit permettre au parti "de conquérir des majorités" pour mettre en oeuvre son "contre-projet face à l'establishment politique", a poursuivi la figure de proue de l'AfD, avec les législatives de l'automne 2017 en vue.
    Cette première journée a été marquée par des manifestations d'opposants au mouvement populiste à Stuttgart, ayant entraîné 500 interpellations pendant quelques heures par la police.
    Le cinquième congrès de l'AfD, sur deux jours, doit définir pour la première fois ce "contre-projet" rêvé par Mme Petry, jusqu'alors aussi flou qu'évolutif, avec une ligne anti-euro devenue antiréfugiés à l'automne 2015 - au plus fort de l'afflux de demandeurs d'asile en Allemagne -, puis anti-islam depuis la fermeture des frontières.
    - 'Infectée par la gauche' -
    Parmi les motions soumises au vote figurent la phrase "l'islam n'appartient pas à l'Allemagne" et l'interdiction des minarets, "symboles de la domination islamique", des appels du muezzin ainsi que du voile, "signe politico-religieux de soumission des femmes musulmanes aux hommes".
    Mais bien que les dirigeants de l'AfD aient multiplié les déclarations sur ce thème avant le congrès, ils ont soigneusement évité samedi ce terrain polémique. "Gardez à l'esprit que toute l'Allemagne nous observe", a lancé à l'ouverture Alexander Gauland, chef de file du parti dans le Brandebourg (est).
    Hôte de la manifestation, le coprésident de l'AfD Jörg Meuthen a défini sa formation comme un mélange de "conservatisme moderne", de "libéralisme conséquent" et de "patriotisme sain, partagé par tous les citoyens de bonne volonté".
    Il a appelé à tourner le dos "à l'Allemagne de 1968 infectée par la gauche rouge-verte" et à valoriser "les aspects positifs de l'histoire allemande et fondateurs de son identité", déplorant que la mémoire officielle se "réduise" au passé nazi.
    - Et l'économie ? -
    Si l'AfD se rassemble autour d'une promotion de la démocratie directe et d'une vision conservatrice de la société, le parti reste divisé sur des sujets majeurs.
    A quel point faut-il flirter avec l'extrême droite ? La question est plus périlleuse en Allemagne qu'ailleurs et oppose depuis la création de l'AfD son aile nationale-conservatrice très implantée en ex-RDA et son aile libérale-conservatrice plus puissante à l'Ouest, soucieuse d'éviter cette étiquette infamante.
    Le parti a évité samedi un vote sur le rapprochement avec le Front national français, initialement prévu et symptomatique de ce débat. Mais l'un de ses députés européens, Marcus Pretzell, a décidé de son propre chef de rejoindre le groupe parlementaire emmené par le FN à Strasbourg.
    Les questions économiques, très présentes à la création du parti, sont aussi très débattues, tant l'AfD rassemble des électeurs aux intérêts différents, populaires à l'Est et plus aisés à l'Ouest.
    Selon les discours, l'AfD prétend tour à tour "défendre les petites gens" ou limiter au maximum les dépenses publiques, un grand écart que Jörg Meuthen a tenté de synthétiser samedi: "Il faut un Etat mince, dont la politique sociale ne consiste pas à arroser tout le monde" mais à "garantir un minimum vital à chacun".

    Le Parisien :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuykpllVFuGdbcnflZ.shtml

  • En Syrie, les chrétiennes se battent les armes à la main contre les terroristes islamistes....

    Regardez ces femmes chrétiennes syriennes courageuses. Admirables, elles se battent contre les djihadistes et protègent leurs villages le fusil à la main.

    Pendant ce temps, des centaines de milliers d’hommes fuient lâchement leur pays, abandonnent leur famille, dans le seul but de vivre tranquillement aux crochets de l’Europe et des Européens.

    Source Médias presse info cliquez ici

    Pour bien comprendre la situation en Syrie :

    pourq syrie 6.jpg

    En savoir plus cliquez là

    Le commander en ligne cliquez ici

  • 3 députés européens FN au rassemblement de Jean-Marie Le Pen

    Ce matin, environ 2000 personnes ont assisté au rassemblement organisé par Jean-Marie Le Pen, en hommage à Sainte Jeanne d'Arc, parmi lesquelles les eurodéputés Bruno Gollnisch, Marie-Christine Arnautu et Mireille d'Ornano.

    Les menaces ne se sont pas faites attendre. D'abord de la part de Nicolas Bay, secrétaire général du FN :

    Puis Gilbert Collard, confirmant l'existence de la règle mentionnée avant-hier sur ce blog et remise en cause par certains du FN (alors qu'il s'agissait d'une consigne de Florian Philippot : "S'il y a des cadres qui iraient là-bas, ce serait un acte d'hostilité vis-à-vis du FN, et donc ils passeraient en commission de discipline"), qui sont visiblement dépassés par la ligne officielle de leur propre parti :

    Jean-Marie Le Pen a constaté l'hostilité de Marine Le Pen et a prédit en conséquence :

    "Puisque aucun signe n'a été mis dans le sens de la conciliation, la présidente du FN sera battue au deuxième tour et peut-être même au premier. On ne peut gagner que dans l'unité du Front national"

    Lire la suite

  • JUPPÉ : ARROGANCE ET AUTISME (billet du président de l’ASAF)

    Nous avons souvent publié sur Minurne des communiqués de l’ASAF (Association de Soutien à l’Armée Française).
    À Sciences Po, le 25 avril, Alain Juppé s’est fait remarquer par ses propos inacceptables concernant le Général Soubelet, provoquant − entre autres − de nombreuses réactions d’officiers généraux.
    Nous publions ici celle de l’ASAF, qui a été initialement publiée sur le site officiel de cette association.
    En cette période de violence terroriste islamique et de confirmation de menaces sérieuses sur la sécurité intérieure de la France, Minurne observe avec intérêt et bienveillance les prises de position courageuses de chefs militaires et de leurs institutions représentatives, refusant de se taire au motif d’un prétendu “devoir de réserve” qui voudrait leur interdire de faire profiter le pays de leurs expériences stratégiques et politiques au sens noble de ce dernier terme. Surtout quand ceux qui nous gouvernent − ou qui se proposent de gouverner − plutôt que traiter des vrais problèmes de la France, semblent se polariser sur la chasse aux “dissidents”, soutenus en cela par les dirigeants non élus de l’Union Européenne qui pérorent, décident et réglementent quotidiennement avec dogmatisme et idéologie contre les intérêts supérieurs de la Nation de l’Union.

    Marc Le Stahler

    Les propos tenus le 25 avril devant des étudiants de l’IEP de Bordeaux par monsieur Juppé au sujet du Général de corps d’armée Bertrand Soubelet sont parfaitement incongrus et incompréhensibles au regard des responsabilités qui lui ont été confiées dans le passé et de celles auxquelles il aspire pour l’avenir proche.

    « Un militaire, c’est comme un ministre : ça ferme sa gueule ou ça s’en va. »

    Non, monsieur Juppé, un officier général n’est pas un ministre qui passe d’un ministère à un autre souvent sans connaître grand-chose aux matières qu’il est amené à y traiter.
    Un officier général, en situation de responsabilité, possède une compétence indiscutable et indispensable pour permettre aux dirigeants politiques (Président, ministres et élus) de prendre les meilleures décisions en toute connaissance de cause. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle le général Soubelet a été auditionné !

    Lire la suite

    banniere-2016.jpg