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  • La 4e Journée régionale de Synthèse nationale à Lille, dimanche 24 avril dernier...

     Interventions de Roland Hélie, de Luc Pécharman

    et de Robert Spieler

    Comment empêcher la construction d'une mosquée en toute légalité.

    Intervention de Guy Hamon (Riposte laïque)

    Suite en début de semaine

    La 4e journée régionale de Lille cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • PASCAL LASSALLE À PROPOS DE « MINUIT », SUR RADIO COURTOISIE

    Extrait du Libre Journal de Pascal Lassalle, diffusé le 30 Avril 2016 sur Radio Courtoisie.

     

     

    Également sur VimeoDailymotion et Facebook.

    Pour écouter l’émission en intégralité, consacrée à Jean Mabire, cliquez sur l’image ci-dessous.

    radio-courtoisie

    separateur

    Conseil de lecture :

    Face-couverture-Minuit

  • Plus de 455 000 familles touchées par la politique antifamiliale

    D'après le premier bilan de la Cnaf, 9,3% des bénéficiaires des allocations familiales ont vu leurs prestations baisser depuis le 1er juillet 2015, soit 455 100 allocataires. Ces familles considérées comme "les plus aisées" ont subi une perte de 50 à 70% de leurs allocations précédemment versées

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L’UE ouvre ses portes aux 78 millions de Turcs

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    Ça y est ! Après en avoir accepté le principe, la Commission européenne passe aux actes : elle vient de donner son feu vert pour que les 78 millions de Turcs musulmans puissent pénétrer sans visa dans les pays de l’espace Schengen, à la fin juin au plus tard. Elle avait subordonné cet accord au respect de 72 conditions qui rendraient la Turquie compatible avec l’économie et les « valeurs » de l’Union européenne, celles-là mêmes qui devaient être remplies pour une éventuelle adhésion. Faute d’y parvenir, les négociations ont été interrompues en leur temps. Au début de cette année, Ankara n’avait honoré que dix de ces conditions et maintenant, voilà, ô miracle, qu’il ne lui en resterait plus que cinq. Ce que la Turquie n’avait pas réussi, ou pas voulu, accomplir en dix ans, elle l’a fait en quatre mois ! De qui se moque-t-on ?

    Paris et Bruxelles avaient pourtant dit qu’ils ne laisseraient rien passer au régime prétendument laïc mais authentiquement islamique. La liberté d’expression était ce sur quoi l’Union européenne devait se montrer intransigeante. Or, les journalistes d’opposition sont arrêtés, les journaux interdits, sans que Bruxelles s’en émeuve alors que la Commission cherche de mauvaises querelles sur ce plan à la Hongrie et à la Pologne où la presse reste libre.

    Sur les cinq conditions qui restent à satisfaire, deux concernent la lutte contre la corruption et le terrorisme. Excusez du peu ! Erdogan, le chef de l’Etat turc, ne s’est mis à combattre Daech que lorsque son propre pays a été victime de ses attentats. Avant, il laissait la frontière turco-syrienne ouverte à ceux, Européens essentiellement, qui voulaient rejoindre les tueurs tandis que ces derniers pouvaient aller se faire soigner dans les villes turques frontalières. C’est dire si sa volonté d’empêcher ses coreligionnaires de l’Etat islamique de nous frapper n’est pas des plus farouches. Ouvrir l’Europe aux Turcs, ce n’est pas permettre à de gentils touristes de faire leurs emplettes aux Galeries Lafayette, c’est faciliter l’infiltration des terroristes ; déjà, même avec des visas, des assassins islamistes sont passés par là pour semer la terreur à Paris et à Bruxelles. Que sera-ce lorsqu’ils n’auront plus cette contrainte ! Daech est perpétuellement à l’affût des failles dans le dispositif européen de lutte contre le terrorisme et celle-là, elle est de taille, les fanatiques sauront en tirer le maximum pour propager le sang et les larmes.

    Ajoutons que le taux de chômage en Turquie est légèrement supérieur au nôtre,nombre de « touristes » resteront en Europe, en Allemagne et en France, allant grossir la cohorte des travailleurs clandestins. On ne doit pas exclure non plus que des Kurdes demandent l’asile politique au motif qu’ils seraient persécutés par Ankara.

    Et tout cela pourquoi ? Parce que l’Europe, par la voix de Merkel, a ouvert la boîte de Pandore de l’accueil inconditionnel des « réfugiés » et que nous ne savons plus comment la refermer. Erdogan nous impose ces conditions pour contenir le flux et exerce son chantage sur l’UE. Et nous, nous nous inclinons devant le maître chanteur musulman qui prend plaisir à humilier les « infidèles » que nous sommes.

    Guy Rouvrais

    Article paru dans Présent n° 8603 daté du 7 mai 2016

     

  • Le Parti de la France a tenu son 3e congrès samedi à Bagnolet près de Paris

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    Le Parti de la France a tenu samedi 7 mai à Bagnolet, près de Paris, son troisième congrès national. Plus de 400 délégués venus de toutes les régions ont participé à cet événement.

    Il s'agissait, un an avant les échéances électorales de 2017, de définir la ligne et la stratégie du parti qui se revendique fièrement comme étant l'incarnation politique de la Droite nationale, populaire, sociale et européenne. Ce congrès devait aussi renouveler les instances dirigeantes. Carl Lang a bien sûr été réélu à la présidence et Thomas Joly au poste de secrétaire général du parti.

    La matinée fut consacrée à l'organisation interne du PdF. Plusieurs cadres locaux ou nationaux, comme Myriam Baeckeroot (Yvelines), Pierre Deplanque (Charente), Christophe Devillers (Haute-Saône), Dominique Morel (Puy-de-Dôme), Dominique Slabolepszy (Nord), Mattieu Mautin (Mayenne), ainsi que notre ami et collaborateur Jean-Claude Rolinat intervinrent lors des tables rondes prévues à cet effet. Notons aussi la passionnante intervention de Franck Timmermans, fin connaisseur des questions électorales, qui vint éclairer les congressistes de sa grande expérience.

    L'après-midi, ce sont les questions programmatiques qui furent abordées. De nombreuses interventions de qualité se succédèrent. Nous citerons celles de Martine Lehideux, de Katel Mautin sur la famille, de Christian Baeckeroot, Eric Pinel sur l'écologie, Roger Holeindre, Fernand Le Rachinel qui parla des difficultés des entreprises françaises dans le contexte actuel. Une révélation : Nicolas Goas, le jeune délégué national des étudiants du PdF, qui fit une intervention remarquable sur la nécessité de l'engagement de la jeunesse française. Intervention faisant appel à de nombreuses références allant de Charles Maurras à Dominique Venner. Une vraie synthèse...

    Justement Synthèse nationale était aussi invitée à ce congrès. Notre stand reçu un grand nombre de visiteurs qui purent, pour certains d'entre eux, découvrir nos revues et nos éditions. Ce fut aussi l'occasion de retrouver de vieux amis.

    Dans son discours de clôture, Carl Lang se livra à un véritable réquisitoire contre la classe politique française, il dénonça aussi les leurres qui mènent notre famille politique dans une impasse et il présenta des propositions concrètes pour reconstruire une France forte dans une Europe libérée. Ce sont ces propositions que la centaine de candidats annoncés du Parti de la France aux élections législatives prévues en juin 2017 défendront.

    Après cinq ans d'existence et vue la réussite de ce troisième congrès, force est d'admettre que le Parti de la France devient, petit à petit, une force avec laquelle il faut maintenant compter.

    Dans quelques jours, vous pourrez voir sur ce site les différentes interventions filmées.

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    Roger Holeindre

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    Carl Lang

     
  • Réussite du colloque "Je suis royaliste, pourquoi pas vous ?"

    Enorme succès du colloque ce l’Action française "Je suis royaliste, pourquoi pas vous ?" avec 600 participants. 

  • Primaire de la droite et du centre : qui soutient qui ?

    Ils sont déjà une douzaine sur la ligne de départ, mais combien seront-ils à l’arrivée ? La primaire de la droite et du centre est régulièrement moquée pour sa ribambelle de candidats, mais tous ne sont pas assurés de remplir les conditions pour se présenter. Le guide électoral du scrutin prévoit en effet que chaque prétendant doit recueillir au moins 250 parrainages d’élus (dont 20 parlementaires) ainsi que 2 500 soutiens d’adhérents du parti Les Républicains d’ici au 9 septembre 2016. Seul Jean-Frédéric Poisson, déjà investi en tant que président du Parti chrétien-démocrate, échappe à la règle.
    Pour y voir plus clair, Le Monde s’est penché sur le principal obstacle pour les prétendants : engranger suffisamment de soutiens chez les députés, sénateurs et députés européens. Voici la position publique à ce jour des 447 parlementaires de la droite et du centre
    Sept candidats en manque de soutiens
    François Fillon arrive en tête de notre décompte avec 74 soutiens chez les parlementaires. Alain Juppé (51 soutiens), Bruno Le Maire (33) et Nicolas Sarkozy (33) occupent les trois places suivantes. A eux seuls, ces ténors totalisent plus de 90 % des soutiens déclarés.
    Sept autre candidats sont loin, selon notre décompte, d’atteindre la barre des 20 soutiens de parlementaires requise pour pouvoir se présenter : Jean-François Copé (7), Nathalie Kosciusko-Morizet (2), Hervé Mariton (2), Nadine Morano (0), Frédéric Lefebvre (0), Jacques Myard (0) et Geoffroy Didier (0).
    Dans le pire des cas, les candidats qui sont également parlementaires pourraient être tentés de se parrainer eux-même. Cas de figure qui semble possible puisque la charte de la primaire reprend les règles de l’élection présidentielle... où François Bayrou, par exemple, s’était « auto-parrainé » en 2012.
    Au moins 10 parlementaires, dont le président du Sénat, Gérard Larcher, disent qu’ils ne parraineront personne. Ce qui laisse un peu moins de 240 parrainages potentiels à aller chercher à droite et au centre. Un chiffre suffisant pour que les sept « petits » candidats se maintiennent… si la répartition est favorable. Mais il faut également prendre en compte le fait que M. Fillon et consorts vont eux aussi s’efforcer de continuer à en engranger, ce qui pourrait ne pas laisser de place à tout le monde.
    A moins que des élus d’autres tendances politiques ne volent à leur secours. Car rien n’empêche un élu PS de parrainer un candidat, en théorie, à condition qu’il signe la charte de la droite. Une trentaine de parlementaires PS, écologistes et divers gauche sondés par Le Monde ont néanmoins rejeté cette hypothèse.
    « Je n’ai pas l’intention de parrainer qui que ce soit à droite. C’est à leurs élus de se mobiliser et de montrer ainsi ce qu’ils valent », tranche la députée PS de l’Hérault Anne-Yvonne Le Dain. « Tant de talents ! Difficile de faire son choix… », ironise son camarade Olivier Faure (Seine-et-Marne).
    Les centristes divisés
    Les centristes, quant à eux, apparaissent divisés face à la primaire. La sénatrice UDI Chantal Jouanno dit refuser de participer au scrutin, « car il s’agit de la primaire de la droite et non du centre ». Son collègue Yves Pozzo di Borgo acquiesce : « La position des centristes, validée par un vote de l’ensemble des adhérents de l’UDI, est de ne pas participer à la primaire sans qu’il y ait un accord global notamment programmatique et législatif. »
    Cette ligne est néanmoins loin de faire l’unanimité puisqu’au moins sept élus UDI et trois MoDem soutiennent Alain Juppé. Deux autres penchent quant à eux pour Bruno Le Maire. Nicolas Sarkozy et François Fillon, en revanche, n’ont pas de soutien revendiqué dans les rangs des centristes pour l’instant.
    Correction : il semble que rien ne s’oppose à ce qu’un candidat donne son parrainage à lui-même. Une version précedente de l’article laissait entendre que ce ne pouvait être le cas.

    Pierre Breteau et Adrien Sénécat

    Le Monde :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuykypVVlkiyuHVVTe.shtml

  • Bref historique d'un slogan royaliste depuis les années 1960.

    Dans les années 1960, les militants de l'Action Française collaient des bandeaux bicolores « Le roi, pourquoi pas ? » dont l'un des modèles, dans un hommage involontaire aux « Incroyables et Merveilleuses » de l'époque thermidorienne, avait oublié le « r » de « pourquoi », ce que ne remarquaient guère, en définitive, les colleurs ni les badauds... Au milieu des années 1970, il y eut une inflexion du message, moins anodine qu'on pourrait le penser, et la Documentation Royaliste (basée à Tours, et émanation de l'Union Royaliste de Touraine) imprima des milliers d'affiches jaunes « Je suis royaliste, pourquoi pas vous ? » qui, bientôt, furent collées aux quatre coins de la France. Elles attiraient l’œil, parce qu'elles reproduisaient le regard d'une femme qui semblait vous fixer quand vous passiez à proximité. Lorsque, vers 2008, le Groupe d'Action Royaliste fut créé, son premier modèle d'autocollant militant (bientôt reproduit en affiche grand format) reprit le slogan et le regard féminin, avant que, ces dernières semaines, l'Action Française affiche à son tour la même interrogation à l'occasion de son colloque annuel intitulé de même façon.

    Cette interrogation n'est pas totalement incongrue en ces temps agités, même si j'aurai tendance à poser directement la véritable question qui n'est autre que celle, non d'un « isme » quelconque, mais bien plutôt des institutions nécessaires à la France. En fait, peut-être suis-je trop pressé...

    Lorsque le Groupe d'Action Royaliste a commencé à (re)coller ce slogan sur les murs, de la Bretagne au Jura, de Dreux à Draguignan, de nuit comme de jour, il s'agissait bien de redonner une certaine visibilité au royalisme lui-même et de rappeler que, en notre République cinquième du nom, il existait un courant politique de longue mémoire qui revendiquait une « autre » histoire et, au-delà, une « nouvelle » politique, qui n'était ni une utopie ni une nostalgie mais une possibilité, une nécessité pour les temps présents et à venir, le passé ne nous intéressant qu'à titre d'expérience et non de regret (car il est trop tard pour changer ce qui a été, il faut s'en contenter, ou s'en « mécontenter »...). La question que posait l'affiche ne disait certes rien de ce qu'était le royalisme, mais elle se voulait une incitation à aller plus loin, et à se poser la question de l'identité politique à travers cette spécificité royaliste.

    C'était aussi, et c'est toujours une question un peu provocatrice : être royaliste, ce n'est pas si simple à comprendre, à appréhender pour ceux qui ont été nourris au lait de l’Éducation nationale et qui imaginent les royalistes comme des nostalgiques des carrosses et des privilèges nobiliaires, ou comme des extrémistes ne pensant qu'à instaurer une tyrannie moralisatrice, voire théocratique... Mais poser la question, c'est, au moins, la susciter chez quelques personnes qui ne le sont pas encore mais pourraient bien y penser, déçus par les jeux politiciens qui donnent une si mauvaise image de la politique. 

    En apposant cette affiche du G.A.R. à Rennes, il y a quelques mois, avec les amis de l'Action Royaliste Rennaise, nous avons eu à plusieurs reprises l'agréable surprise d'entendre murmurer par dessus notre épaule : « Oui, après tout, pourquoi pas ?»... Mais, si devenir royaliste est une étape importante en politique, et plus il y aura de royalistes, mieux cela vaudra (sans que cela soit, en définitive, déterminant, la volonté et la stratégie comptant plus encore), ce n'est, rappelons-le, qu'une étape : la prochaine question qu'il faudra bien, alors, « imposer » aux esprits, les plus éclairés comme les plus simples (au sens noble du terme, à ne pas confondre avec simplistes, bien sûr), par l'intelligence mais sans omettre la puissance du sentiment, sera, évidemment : « le roi, pourquoi pas ? »...

    http://nouvelle-chouannerie.com/