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  • De l’art de mal gérer le Bien commun : Dette publique et gabegie politicienne.

    Dr Bernard Plouvier

    L’un des grands ministres de l’histoire de France (ils ne furent pas si nombreux qu’on puisse facilement les oublier), Jean-Baptiste Colbert (in Maximes générales d’un bon gouvernement) a écrit : « L’impôt, pour être lucratif, doit être simple, d’une perception aisée par un très petit nombre de régisseurs et de comptables, afin de ne point salarier, aux dépens de la nation, un grand nombre d’inutiles, vampires de la société »… en nos jours de traitement informatique des données, l’administration du ministère des Finances en la VeRépublique française coûte plus cher à l’État que ne lui rapporte l’impôt sur les revenus !

    L’impôt injuste, spoliant les grands travailleurs, et l’impôt maladroit, du fait de dépenses ineptes, est la négation même de la notion de Bien commun. L’imposition excessive favorise l’évasion des capitaux. En revanche, c’est une mesure stupide que d’exonérer de l’impôt un citoyen : quels que soient ses revenus, tout citoyen doit contribuer aux dépenses communes, même de façon minime. En outre, tous les gains doivent être imposés, même ceux des jeux et loteries, tandis que le profit des marchés illicites (issus de trafics clandestins ou de la corruption) doit être intégralement confisqué au bénéfice de l’État. Aucune immunité ne doit couvrir les malversations d’élus du peuple ou de fonctionnaires.

    L’exemple français contemporain est assez instructif. Selon les données du ministère des Finances, les recettes de l’État, pour l’année 2014, ont été apportées à 56% par les taxes à la consommation, à 25% par les impôts perçus auprès des particuliers, à 13% par les impôts sur les sociétés, à 6% par les bénéfices d’exploitation des régies et Domaines. Les dépenses ont été réparties à hauteur de 25% en allocations diverses (aux associations et aux particuliers), de 12% pour le service de la Dette, 21% pour la Défense et la sécurité publique, 20% pour l’enseignement et la recherche, 22% pour les autres ministères… les dépenses ont très largement excédé les recettes, d’où un accroissement de la Dette ! Les politiciens démagogues sont d’abominables gestionnaires, irresponsables légalement autant que moralement.  

    Depuis le début de l’ère mondialiste, divers prédateurs ont inventé une nouvelle forme de racket légal : le Charity business. En l'An 1999, 900 000 associations étaient légalement reconnues par l'État français. En 2003, on a calculé que depuis 1980, elles avaient tiré 308 milliards de Francs de la charité publique et engrangé 166 milliards de subventions publiques (soit l’équivalent de 72 milliards d’euros)… nul ne connaît le montant exact des sommes dépensées en coût de fonctionnement ni celui des détournements à des fins d’enrichissement personnel.  

    Étant donné que, par les taxes à la consommation, les impôts sur les revenus et les successions, le bon peuple règle une énorme part de la dépense collective (81%, en 2014, pour l’exemple français), il est logique de prendre son avis, par voie référendaire, pour tout choix de société grevant les finances publiques : immigration massive, subventions aux associations, aide aux peuples attardés, entretien des ex-colonies qui continuent à être des boulets économiques pour la métropole sous l’appellation de départements d’Outre-mer, engagement de nouveaux fonctionnaires, etc… on ne méconnaît pas l’apport de l’impôt sur les sociétés, mais leurs dirigeants sont, eux, très largement écoutés des politiciens et des hauts-fonctionnaires.

    Fin 2015, l’État français, peuplé de 64,5 millions d’habitants en métropole et de 2,1 millions dans les succursales extra-européennes, était riche de 5,65 millions de fonctionnaires zélés autant que consciencieux, alors qu’il devait faire face à 5 millions de chômeurs pleins ou partiels ou en « stages » (catégories A, B et C) et à 13 millions de retraités… seul notre Président dodu estime, en 2016, que : « Ça va mieux ».

    Un État qui emprunte pour créer des infrastructures utiles (autoroutes, ports et aéroports, rail, télécommunications, production d’énergie au meilleur coût), pour mieux protéger la population et mieux instruire la jeunesse, est bienfaisant. Un État qui emprunte pour nourrir le parasitisme social (immigrés sans travail légal, associations) ou accroître le cheptel des fonctionnaires pour mieux caser les clients politiques et syndicaux est, par essence, un État démagogique et corrompu, appelé à disparaître.

    Or, les sommes prêtées par les banques centrales ou supranationales aux États ne sont que de l’argent fictif, alors que le remboursement de la Dette (principal et intérêts) n’est nullement fictif. Chaque contribuable voit ainsi détourné, au profit des requins de la finance cosmopolite, une part de plus en plus considérable de l’argent qu’on lui soutire… alors même qu’un peu partout, les États réduisent les infrastructures en milieu rural ou dans les petites villes ; c’est singulièrement le cas en France.    

    Tous les États de la planète, à l’ère globalo-mondialiste, sont surendettés. La Dette mondiale était en 2014 égale à 215% du Produit Brut mondial. En octobre 2013, des experts du Fonds Monétaire international ont recommandé aux maîtres du système de confisquer 10% de l’épargne des particuliers des Nations évoluées, pour éponger le surplus des Dettes étatiques constaté depuis l’effondrement financier des années 2007-2011, induit par l’explosion de bulles spéculatives et l’arnaque made in New York des subprimes.

    Les experts ont calculé que pouvaient être ainsi soutirés 11 200 milliards aux libres citoyens des USA, 8 400 milliards aux vaches à lait de l’Union Européenne et 1 700 milliards aux Britanniques (toutes valeurs exprimées en dollars US). Personne n’a osé envisager de faire rendre gorge aux hyper-riches ! On imagine que cette solution sera imposée par les dictateurs populistes qui devront reprendre en mains les destinées nationales, une fois terminée la gabegie globalo-mondialiste.      

    Depuis l’Antiquité, les théoriciens estiment que maîtres d’un État ont pour missions de gérer au mieux le Bien commun et de faire évoluer les institutions et les conditions de vie des citoyens à mesure qu’apparaissent les problèmes de fond. Toute réforme de fonctionnement doit être menée avec tact et intelligence, devant toujours être précédée d’une campagne d’information contradictoire, avant d’être soumise aux élus. Les réformes fondamentales (ou de structure) doivent impérativement être proposées pour avis au peuple souverain. Le despotisme éclairé n’est une bonne chose qu’avec des peuples arriérés et incultes.

    La démocratie telle qu’elle est pratiquée un peu partout dans les pays de mode de vie occidental, depuis 1830, n’est rien d’autre que l’art de gouverner pour maintenir les privilèges de la caste au pouvoir. « Il est insane et immoral qu’une faction, toute puissante par sa richesse, maîtresse de l’industrie et du commerce, tienne en sa main plus d’un ressort de l’administration publique »… probablement pour éviter l’accusation rituelle d’antijudaïsme, le bon Léon XIII (in Rerum novarum) omettait de citer les maîtres de la finance. La « mondialisation », programmée dès la fin des années trente par Franklin Delano Roosevelt, et progressivement mise en place à partir de 1980, n’est en définitive que le triomphe absolu du Pouvoir économique sur tous les autres types de pouvoirs.

    La démagogie n’a jamais été que l’art de faire croire à un peuple qu’il pouvait obtenir (presque) tout, sans effort notable. Seuls les plus modernes des populistes ont soutenu le contraire, exigeant énormément d’efforts pour surmonter une énorme détresse morale, ce qui est bien plus grave qu’une crise économique. De nos jours, partout en Occident, les autochtones ressentent une angoisse de ce type, associant désillusions et déréliction, sensation de péril imminent et surtout la tristesse spécifique de la fin d’une ère historique.

    Le populisme, c’est la réaction d’un peuple qui se sent trahi ou abandonné par la caste dirigeante, inepte, inapte et/ou corrompue. C’est une aspiration à renouveler la structure et le fonctionnement du couple Nation-État, qui reste inassouvie tant que le peuple n’a pas trouvé son chef ou lorsqu’il se laisse prendre aux rets d’un démagogue. Le populisme, c’est la volonté d’un peuple de voir correctement géré le Bien commun (cher à Platon, Aristote, Hobbes etc.), c’est la nécessité de créer les meilleures conditions pour la génération à venir, en se souvenant que les prévisions d’expert à long terme s’avèrent constamment fausses.

    Le populisme, c’est l’espoir pour un peuple de renaître, de recommencer une vie commune sur de nouvelles fondations. Le populisme, ce n’est nullement l’utopie égalitaire, qui est, au contraire, le Leitmotiv des propagandes démagogiques, dont le marxisme fut la plus pernicieuse. Le populisme, c’est se vouer à une grande aventure collective, à la fois politique, économique, sociale et culturelle… soit l’inverse de l’actuel individualisme stéréotypé. Le populisme est l’expression de la véritable démocratie, soit le gouvernement POUR le peuple et non plus le gouvernement pour défendre les privilèges de la caste économique et politicienne.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/05/27/de-l-art-de-mal-gerer-le-bien-commun-dette-publique-et-gabeg-5807504.html

  • Femmes européennes, tremblez : votre avenir n’est pas rose !

    Selon Le Figaro du 27 mai dernier, entre 30 et 85 tribunaux islamiques (ou « conseils de la charia ») existent et rendent la justice sur le sol britannique en parallèle des tribunaux légaux. Ce n’est pas nouveau, plusieurs journaux français s’en sont déjà fait l’écho.

    Les autorités britanniques n’en sont pas choquées outre mesure, au nom de la tradition communautariste, allant même jusqu’à en reconnaître le « rôle positif ». Toutefois, elles commencent à s’inquiéter des « discriminations » dont seraient victimes les femmes au nom de la loi islamique, en matière de droit civil, au cours des mariages, divorces ou successions, et ont diligenté une enquête dont les résultats seront connus l’année prochaine.

    « Discrimination » est un doux euphémisme pour la régression immense des droits de l’homme qu’elle cache au nom d’une religion importée : mariages forcés contre le gré de filles, jeunes filles ou femmes, divorces contraints ou impossibles au désavantage de la femme, polygynie, polygamie… bientôt les punitions corporelles ?

    On nous a expliqué qu’il ne fallait pas faire d’amalgame, que l’islam n’était pas l’islamisme et qu’il existait un islam modéré totalement inoffensif qui pourrait prendre sa place à côté des chrétiens et des juifs, dans le plus grand respect de nos démocraties européennes, avec une effusion toute œcuménique.

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  • URGENT : Le gouvernement socialiste met officiellement en place la censure totale d’internet

    Aux dernières nouvelles, le gouvernement français via un organisme ad hoc – la DILCRA (Délégation Interministérielle de Lutte contre le Racisme et l’Antisémitisme) – entreprend de lancer un véritable travail de police politique sur internet. En l’occurrence d’éliminer arbitrairement les “meneurs d’opinion” jugés idéologiquement déviants, sur simple décision gouvernementale.

    On trouve derrière cette cabale du socialisme d’état aidé certains groupuscules comme l’UEJF ou la LICRA. Une toute petite faction politique, avec 85% de l’opinion publique contre elle, entend imposer une mise au pas idéologique de la population.

    Cette tyrannie socialiste doit être brisée et nos libertés fondamentales sauvegardées. Le moment est venu de se lever.

    http://borislelay.com/

     

  • Le camp du Brexit creuse l'écart au Royaume-Uni

    http://referentiel.nouvelobs.com/file/14456800-le-camp-du-brexit-creuse-l-ecart-au-royaume-uni.jpg
    Trois nouveaux sondages placent lundi le camp du Brexit devant le camp des partisans du maintien du Royaume-Uni dans l'Union européenne, avec deux à cinq points d'avance, en vue du référendum du 23 juin.
    Le Brexit recueillerait 45% et le "maintien" 41%, et 11% se disent indécis, selon un sondage de l'institut YouGov pour la chaîne ITV. Cette enquête a été réalisée du 1er au 3 juin sur la base d'un échantillon de 3.495 personnes.
    D'après un sondage TNS effectué du 19 au 23 mai, le "Brexit" recueillerait 43% des voix tandis que 41% se déclarent pour le maintien. Seize pour cent se disent encore indécis dans cette enquête, effectuée auprès d'un échantillon de 1.213 personnes.
    Plaçant pour sa part le camp du Brexit à 48% des intentions de vote contre 43% pour le camp du "Bremain", l'institut ICM note un accroissement de l'écart, qu'il mesurait à trois points seulement la semaine dernière. Son nouveau sondage a été réalisé en ligne entre vendredi et dimanche.
    La livre sterling a cédé lundi un pour cent par rapport au dollar, atteignant un plus bas de trois semaines face au billet vert. L'euro, lui, était en hausse de 0,75% par rapport à la livre.
    La livre avait déjà baissé fortement mardi dernier, jour où deux précédents sondages de l'institut ICM, un en ligne et l'autre par téléphone, avaient donné une avance de trois points au camp du Brexit.
    RÈGLES DE NEUTRALITÉ
    Joint par téléphone, Anthony Wells, directeur des études politiques de l'institut YouGov, met cette progression du camp du Brexit sur le compte de l'interdiction faite aux fonctionnaires d'intervenir publiquement dans la campagne.
    Cette règle de neutralité dite de la "Purdah" couvre les quatre semaines précédant un scrutin national. Entrée en vigueur le 27 mai, elle a profité aux partisans d'un divorce avec l'UE. "Je dirais que la 'purdah' a permis au camp du Brexit de déplacer le débat (sur l'immigration) quand le camp du Bremain avait réussi jusque-là à imposer l'économie", poursuit-il.
    La publication la semaine dernière des chiffres de l'immigration a été largement exploitée par les partisans du Brexit, qui ont rappelé que David Cameron avait promis de faire baisser l'immigration. Or, avec 330.000 entrées nettes, dont plus de la moitié en provenance de pays européens, 2015 a été la deuxième année de plus forte immigration au Royaume-Uni depuis les premières statistiques en 1975.
    En déplacement lundi dans le centre de l'Angleterre, l'ancien maire de Londres Boris Johnson, chef de file des pro-Brexit, a mis en demeure le Premier ministre de préciser comment il comptait faire face à ces hauts niveaux d'immigration en provenance de pays de l'UE.
    David Cameron, qui menait campagne à Londres, a répliqué en dénonçant la "politique des fantasmes" des chefs de file du camp du Brexit et en leur enjoignant de dire à quoi ressemblerait le pays en cas de sortie de l'UE.
    "L'heure est venue pour le (camp du) 'Vote Leave' de dire la vérité sur son plan économique pour une Grande-Bretagne hors de l'Europe", a-t-il dit. "En refusant d'exposer leur vision, ils sont antidémocratiques et irresponsables."

    Guy Faulconbridge et Andy Bruce

    Eric Faye et Henri-Pierre André pour le service français Le nouvel obs :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuyVkkFkVpGCVQnyfD.shtml

  • Histoire de l’Action Française

    Histoire de l’Action Française

    http://www.jeune-nation.com/vid/doc-vid/histoire-de-laction-francaise.html

     
  • Verdun : l’affaire du rappeur Black M., une provocation d’État

    Programmer Alpha Dialo, alias Black M, rappeur africain musulman d’origine togolaise, membre du groupe Sexion d’Assaut,  aux célébrations du centenaire de la bataille de Verdun le 29 mai ne fut nullement de la part du maire de cette ville, Samuel Hazard, une gaffe, une erreur de casting, mais un choix délibéré de provocation, avec l’aval de l’Élysée. Il a dû reculer et annuler le concert  devant l’énorme mobilisation des protestataires sur les réseaux sociaux. Il pense à sa réélection. 

    L’erreur d’analyse de Pascal Bruckner

    Pascal Bruckner dénonce à juste titre l’idée complètement saugrenue d’organiser un concert de rap à Verdun :« aux grandes douleurs, il faut de la grande musique  » (Le Figaro 21–22/05. 2016). Il accuse le festivisme, la superficialité, l’esprit de confusion nihiliste de notre époque : « on ne célèbre pas la bataille de Verdun dont le poids symbolique est immense avec une musique de variété. Convertir le tragique en festif est le péché originel de la gauche depuis Mitterrand. Ce gouvernement est, hélas, insensible. Il n’a pas vu l’outrage fait à la mémoire française qu’était cette invitation de Black M. »  Mais bien sûr que si, il l’a vu, naïf Pascal Bruckner qui n’avez rien compris !

    Bruckner commente : « et pour rajouter la sottise à l’aveuglement, voilà qu’il crie au fascisme face à l’annulation du concert ». En réalité, il n’y a ni sottise ni aveuglement ! Seulement un plan lucide bien préparé, déjà depuis longtemps. Il s’inscrit dans la volonté de saper, d’ébranler,  de dessouder comme on arrache une dent l’idée de patrie française ethniquement enracinée et celle de mémoire historique nationale. Nos voisins européens connaissent le même problème mais avec moins de gravité. L’affaire de Verdun n’est qu’un épisode d’une entreprise globale qui passe aussi par la démolition de l’Éducation nationale et l’encouragement de l’immigration invasive. Essayons de comprendre cette affaire.   

    Un test pour voir jusqu’où ira la tolérance de l’opinion

    Au départ, il y a ce rappeur d’origine togolaise qui a produit des ”chansons” non seulement antifrançaises mais aussi antisémites et homophobes, s’en prenant aux « youpins » et aux « pédés ». Mais les péchés capitaux de racisme, d’antisémitisme et d’homophobie sont parfaitement pardonnés aux Noirs et aux musulmans en général, qui bénéficient d’un privilège d’exemption leur permettant de cracher à leur guise sur les Juifs, les homos, les Blancs, la France, les femmes, etc..       

    Dans les paroles de ce Noir islamisé, on note l’expression : « France, ce pays de kouffars » (”méprisables mécréants” en arabe) ; ainsi que l’appel au meurtre des homosexuels :« Je crois qu’il est grand temps que les pédés périssent ». Dans le morceau « Le ghetto s’exprime  », on remarque l’expression : « baiser cette conne de France ». Sans compter les incessantes  allusions hostiles aux « youpins », c’est-à-dire aux Juifs.

    Ce Black M., rappeur africain raciste anti-Français, musulman antisémite, « lui, et pas un autre, avait été choisi pour donner un concert à l’issue de la cérémonie internationale, en présence de François Hollande, d’Angela Merkel et de 4.000 jeunes venus de toute la France et des seize Länder allemands » remarque Solange Bied–Charreton (Valeurs actuelles, 19–25/05/2015). Le maire de Verdun, Samuel Hazard, avait, dès 2014, recueilli l’approbation de François Hollande, au cours d’une visite à l’Elysée, pour faire venir le rappeur. Il s’agit d’une provocation préméditée. Validé par François Hollande, ce choix hallucinant de M. Hazard n’est pas le fruit du hasard. Il ne s’agit ni d’une bourde ni d’une erreur de casting, mais d’un choix volontaire, d’un test. Oui, le pouvoir a voulu tester la capacité de résistance de l’opinion à une énormité, à une provoc qui franchit la ligne jaune.

    D’autant que l’autre scandale était le coût du concert au bénéfice du rappeur ”franco”–togolais : 150.000 €, dont 67.000 payés par la Mission du Centenaire. Le test provocateur a été négatif : le maire a reculé et annulé le concert sous la pression des protestations dans les réseaux sociaux. Mais, obstiné, Hollande voulait quand même le maintenir ! En promettant une protection de la police (« mettre les moyens ») cette même police qui a ordre de ne pas protéger les habitants de Calais des exactions et agressions des clandestins. Cerise sur le gâteau : pour tenter de faire rétablir son concert, le rappeur ”franco”–togolais a sorti ce gros bobard : un de ses aïeux, ”tirailleur sénégalais”, aurait combattu à Verdun. Pourquoi pas à Alésia ?

    L’oligarchie vertueuse contre le peuple pécheur

    Intéressantes sont les réactions scandalisées du pouvoir et de l’oligarchie à l’ampleur de ces protestations populaires sur les réseaux sociaux. Mme Azoulay, ministre de la Culture, évoque, en langue de bois, le « retour d’un ordre moral nauséabond » et une « capitulation devant le FN » – alors que ce dernier ne fut pas à l’origine de la fronde sur Internet. (1) Le secrétaire d’État aux Anciens Combattants a osé parler de « préfiguration du fascisme ». Le maire de Verdun, toujours inspiré et furieux de l’échec de sa provocation,  a évoqué  un « déferlement de haine et de racisme » et a justifié son projet au nom d’un « éclectisme de commémoration ». Quant à l’éléphant trotskiste Cambadélis, patron du PS, il a dénoncé : « la police de la pensée du FN, de Ménard et des réacs Républicains ». Le magazine L’Obs, organe officiel de l’idéologie dominante, a déploré : « une victoire de la  fachosphère ».

     Autrement dit, refuser qu’un Noir musulman antifrançais, antisémite et homophobe, insulte la France et soit payé 150.000€ pour chanter ses inepties à Verdun au centenaire de la bataille, ce serait du racisme et du fascisme. On marche sur la tête ? Non : on est dans une logique étatique de sidération, de culpabilisation, de destruction de l’identité nationale très bien organisée. Avec son volet culturel et son volet migratoire et démographique (voir autre article de ce blog sur l’ethnocide français et européen).

     Robert Ménard, Maire de Bézier, a, lui, compris la manœuvre : « cette idée d’un concert de rap est bien le reflet d’une réécriture de l’histoire de France que met en place l’idéologie de gauche depuis des années sous la pression des lobbies immigrés ».

    Samuel Hazard a confié au Figaro : « Black M. représente la diversité de notre pays, c’est l’artiste préféré des Français en 2016, il est adulé par les jeunes ». Précision sur ce mensonge : il n’est nullement l’ ”artiste préféré des Français”, mais, comme il est Noir, militant musulman, antifrançais et antisémite, il est effectivement adulé par les jeunes arabo-musulmans et afro-musulmans. C’est pour cela qu’il a été invité à Verdun par ce collabo 2.0 de Samuel Hazard après autorisation de François Hollande. 

     Hélas pour eux, le peuple de souche, par l’intermédiaire des réseaux sociaux, a résisté et a fait reculer cette alliance des lobbies immigrés, des islamiques et de l’oligarchie étatique et médiatique collabos, dans cette petite affaire de Verdun mais tellement symbolique. Dans la guerre civile ethnique qui s’annonce, il faut savoir que le peuple, le vrai, aura comme ennemi l’appareil d’État et ses alliés.  L’État – de concert avec les médias officiels– est en conflit avec le peuple originel ; il veut démontrer sa ”fermeté”, non pas contre les envahisseurs mais contre les résistants.  L’État contre la Nation.

    (1) Les protestations ont été notamment relayées par site de Boris Le Lay, militant breton, réfugié politique au Japon car condamné à deux ans de prison ferme en France par contumace  pour des prétendus délits de propos racistes.  

    http://www.gfaye.com/verdun-laffaire-du-rappeur-black-m-une-provocation-detat/

  • Fin des quotas laitiers : Philippe Loiseau dénonce cette politique criminelle (26/05/16)

  • L’antisémitisme de l’extrême gauche prospère dans le silence des médias

    Les dérapages antisémites de l’extrême gauche ne sont pas nouveaux mais semblent se multiplier, le dernier en date ayant eu lieu à Béziers lors d’une manifestation organisée par SOS Racisme et encadrée par le service d’ordre de la CGT, pour s’opposer au Rendez-Vous de Béziers organisé par Robert Ménard.

    Cette manifestation, sous couvert « antiraciste », a tout de même réuni des adeptes de la quenelle,un membre du service d’ordre de la CGT pour qui «  un bon juif est un juif mort » ! (voir le communiqué du Crif) ou encore une militante « antiraciste » elle aussi adepte de la quenelle et bien connue pour son soutien aux manifestations pro-palestiniennes. Cette dernière information a été découverte par le site de ré-information Fdesouche mais reprise dans aucun média, hormis par le CRIF dans un communiqué.

    On se souvient aussi de l’affaire de la profanation du cimetière juif de Sarre-Union, très vite étouffée dès lors que les suspects et leurs accointances avec l’extrême gauche furent révélés par un article du Monde (ci-contre), mais aussi de l’agression de deux hommes de confession juive par des colleurs d’affiche du NPA un certain 1ermai 2015, qui avait donné lieu à un assourdissant silence dans les médias…

    Manuel Valls a dénoncé il y a quelques jours un certain islamo-gauchisme en visant tout particulièrement Clémentine Autain, conseillère régionale Ile-de-France du Front de gauche, pour ses connivences avec les Indigènes de la République et l’islam radical. Celle-ci a menacé de porter plainte contre Manuel Valls, elle ne l’a toujours pas fait…

    Cet antisémitisme, exprimé par des slogans de haine antijuive, s’était déjà tristement manifesté lors des nombreuses manifestations pour Gaza en 2014 à Paris et dans certaines villes de la banlieue Nord de Paris, auxquelles participaient de nombreux élus de gauche et d’extrême gauche. Tous sourds ?

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