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  • Des sanctions judiciaires contre l'Action française à l'heure des casseurs de l'ultragauche ? C'est une rigolade !

    A cause de l'incurie de la droite régionale, la région provençale ne dispose que d'une presse quotidienne de gauche ou d'ultragauche monocolore. A la soviétique. Qu'elle s'en prenne à la droite politicienne - plutôt que de balayer devant sa porte, d'ailleurs désertée - n'est pas notre affaire. Qu'elle diffame l'Action française, qu'elle ait le culot de réclamer contre elle des sanctions judiciaires - autrement dit sa dissolution - au moment même où les casseurs de la gauche radicale mettent le pays à feu et à sang, face à un gouvernement incapable - cela, en revanche, nous importe.  

    Aussi, le communiqué qu'on va lire, publié mardi dernier par l'Action française Provence nous est-il apparu particulièrement intéressant et bienvenu. Il remet les pendules à l'heure alors que non seulement la gauche, mais aussi la droite politicienne et l'ensemble du Système s'effondrent dans une sorte de chaos généralisé.  Lafautearousseau 

    Aix-en-Provence, le 14 juin 2016

    A l'attention du service politique

    Communiqué de presse

    Mensonges : la gauche récidive

    « Les violentes exactions de l'Action française se multiplient mais aucune sanction judiciaire n'est encore tombée », pouvait-on lire samedi* dans La Marseillaise et La Provence. La gauche, se croyant investie de l'autorité judiciaire. accuse et condamne. Généreuse avec les délinquants et les casseurs, elle est sans pitié avec ses opposants, qu'elle verrait bien derrière des barreaux. La démonstration vaut son pesant de cacahuètes : « Si des syndicalistes mènent une action dans les locaux d'une organisation politique ou contre un siège social, cassent du matériel et cognent sur les gens. le quart d'heure d'après, ils sont en taule. » Or, selon ses dires, l'Action française est coupable de « rassemblements fracassants, d'une tentative d'incendie, de menaces de mort et de distributions de coups ». Et « au marché, quand ils vendent leur torchon, ils crient 'Mort à la juiverie internationale!' » Par conséquent. il faut des « réponses judiciaires aux exactions de l'Action française ».

    Nous signalons aux staliniens et autres robespierristes qui s'étonnent « d'une situation stupéfiante du point de vue du droit » que leurs déclarations audacieuses n'en demeurent pas moins diffamatoires et susceptibles de poursuites pénales. A vouloir trop charger la barque, celle-ci craque sous le poids de leurs mensonges, plus fantaisistes les uns que les autres : peut-on croire un seul instant que des militants prétendument armés auraient pu faire l'objet d'un simple contrôle d'identité ? Le Parti socialiste et le Syndicat de la Magistrature. s'indignant de l'impunité supposée dont bénéficierait l'Action française, semblent ainsi convaincus d'un complot royaliste au sommet de l'État — à moins que ce ne soit un simple effet de leur imagination désordonnée.

    La lutte contre l'Action française. voilà un combat à la mesure de ces organisations syndicales, associatives et partisanes, incapables de faire plier le gouvernement sur la Loi Travail. L'épouvantail de l'extrême-droite se révèle fort utile : on peut se décharger de ses propres responsabilités et se refaire à peu de frais une virginité politique en l'accusant d'être violent et, surtout, à onze mois de l'élection présidentielle, il permet de battre le rappel des troupes divisées, ce que ne cachent d'ailleurs pas ceux qui demandent notre dissolution : « Tout le monde doit se mobiliser, d'autant plus à la veille d'élections cruciales lors desquelles le Front national compte s'imposer ».

    Un constat s'impose : la gauche est en faillite, elle n'existe plus qu'à travers nous. Les progressistes en pantoufles peuvent fulminer, la jeunesse de France leur a d'ores et déjà tourné le dos. Qu'à cela ne tienne, s'ils ne peuvent gagner. ils renverseront la table. « Après nous le déluge ! », semble être la conclusion de quarante années d'échecs et de politiques mortifères. Cela, nous ne pouvons l'accepter, et nous ne les laisserons pas nous priver de notre avenir, de celui de notre pays. Demain nous appartient. 

    * 11.06

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Le Grand Remplacement, une arme politique de la gauche libérale-libertaire

    L’élection, sous l’étiquette travailliste, du nouveau maire de Londres, Sadiq Kahn, un musulman d’origine pakistanaise, illustre un autre aspect du Grand Remplacement des Européens : sa dimension politique.
    La gauche, c’est-à-dire l’oligarchie libérale/libertaire qui a pris le pouvoir à la fin des années 1980, a en effet misé partout sur l’immigration et les « minorités » pour assurer son emprise politique sur la société – et réduire au silence les autochtones.
    Elle a organisé le Grand Remplacement et elle compte désormais en tirer un avantage politique décisif.
    La gauche a misé partout sur l’immigration de peuplement
    Aux Etats-Unis c’est la ligne adoptée par le Parti démocrate qui a assuré l’élection de Barak Obama, alors que la majorité des électeurs d’origine WASP avait apporté ses suffrages au candidat républicain.
    La candidate démocrate probable aux futures élections présidentielles américaines, Hillary Clinton, mise de même sur le vote des « minorités » afro-américaines et hispaniques, qui deviennent d’ailleurs majoritaires dans certains états : elle ne rate donc jamais une occasion de se faire filmer bien entourée de personnes de couleur ou d’origine mexicaine.
    En Grande-Bretagne le Parti travailliste a repris des forces en misant sur le vote des personnes d’origine immigrée. A Londres, Sadiq Kahn a ainsi mobilisé 56,8% des électeurs, soit le meilleur score travailliste depuis des années.
    En France le Parti socialiste a fait de même depuis le lancement de l’opération « SOS Racisme » en 1984. Différentes analyses montrent que François Hollande lors des présidentielles de 2012 a massivement bénéficié du vote des électeurs musulmans.
    Si les partis de droite courent aussi après cet électorat, la gauche rafle partout la mise. Car une étroite symbiose s’est établie entre la gauche et le Grand Remplacement.
    Le Grand Remplacement au service de la Grande Trahison libérale/libertaire
    Par un heureux hasard, en effet, la gauche a choisi de défendre l’immigration au moment même où elle se ralliait au néo-libéralisme mondialiste.
    L’immigré a alors remplacé le prolétaire dans la symbolique doloriste et le discours de gauche. Avec cette différence notable que l’immigration est au service du capitalisme mondialisé, alors que le prolétariat devait annoncer la fin du capitalisme national.
    La promotion de Big Other, pour reprendre l’expression de Jean Raspail, a masqué la grande trahison de la gauche qui s’est opérée à la fin du XXe siècle, quand la gauche a renoncé à toute volonté de remettre en cause le système capitaliste, à la suite de l’effondrement de l’URSS et du communisme européen.
    La promotion bruyante des « droits » et des prétendus malheurs des potes/immigrés « victimes-du-racisme-et-des-discriminations » a servi à masquer la déconstruction méthodique des droits sociaux des travailleurs européens, opérée au nom d’un néo-libéralisme auquel la gauche européenne s’est ralliée, comme le montre en France la « gauche Macron ».
    Et la lutte contre le « racisme » a servi à mettre en accusation ceux que l’on trahissait : les peuples autochtones. Du grand art…
    Un changement de sens significatif
    La promotion du Grand Remplacement a servi à détourner l’attention de la Grande Trahison des élites de gauche, qui ont abandonné les peuples autochtones à la dure loi du marché mondialisé.
    De fait dans le vocabulaire de la gauche les mots « populaire » ou « social » ont changé de sens.
    Un « quartier populaire » ne désigne plus une zone de résidence où vivent des gens issus de notre peuple mais, au contraire, une zone peuplée de personnes issues de l’immigration. Et la « mixité sociale » n’a plus rien à voir avec les classes sociales : elle n’est en réalité qu’une cohabitation ethnique ou religieuse que l’on veut imposer.
    Ce changement sémantique traduit le changement de perspective politique de la nouvelle gauche libérale/libertaire.
    Un réservoir électoral convoité
    L’immigration constitue en outre un réservoir électoral d’autant plus convoité à gauche que celle-ci est sur le déclin puisqu’elle a perdu sa raison d’être révolutionnaire et populaire et qu’elle a abandonné les classes moyennes.
    C’est, en France, la stratégie préconisée par la Fondation Terra Nova : alors que les classes populaires se tournent vers le Front national, la gauche doit miser électoralement sur les « minorités », qu’elles soient immigrées, ethniques, religieuses ou sexuelles.
    Cette stratégie de niches électorales ne manque pas de cohérence ni d’efficacité compte tenu du vieillissement de la population, du déclin de la classe ouvrière du fait de la désindustrialisation, et du dynamisme démographique des électeurs issus de l’immigration et/ou de religion musulmane.
    La gauche instrumente le Grand Remplacement à des fins politiciennes
    D’où l’attitude systématiquement bienveillante de la gauche vis-à-vis du communautarisme, notamment musulman, qui serait « tout-à-fait-compatible-avec-les-valeurs-de-la-République ». D’où aussi une politique de naturalisation plus que généreuse, car la fabrique de Français de papier permettra de bourrer les urnes demain. D’où aussi la « politique de la ville » destinée à acheter à la fois la paix sociale mais aussi les futurs électeurs. D’où aussi la menace, sans cesse évoquée à gauche, d’une ouverture du droit de vote aux résidents et non pas aux seuls citoyens.
    D’où aussi enfin la volonté de diaboliser tout débat sur l’immigration ou l’islamisation, afin d’empêcher de remettre en cause ce fonds de commerce électoral de l’oligarchie libérale/libertaire – et les intérêts économiques qu’il recouvre.
    L’immigration compte aussi sur la gauche

    En contrepartie, les électeurs d’origine immigrée ont tendance à apporter leurs suffrages aux partis de gauche car ceux-ci sont à la fois les plus laxistes en matière de régulation de l’immigration et les plus redistribuants en matière de prestations sociales.
    En votant pour les partis de gauche ils votent donc en réalité pour plus d’immigration, c’est-à-dire pour peser encore plus dans la société.
    Ceux qui, à droite, pensent que les « réformes sociétales » ont compromis l’image de la gauche auprès de cet électorat s’illusionnent. Car la population d’origine immigrée reste pour l’essentiel étrangère au déclin des mœurs qu’elles induisent : elle continue de croire à l’autorité paternelle, à l’inégalité homme/femme, à se marier et faire des enfants, à la différence des bobos décadents.
    Plus prolifique et dotée de parentèles et de croyances solides, la population d’origine immigrée profite en réalité du déclin sociétal des autochtones pour imposer ses préférences.
    L’oligarchie : le parti de l’étranger
    En d’autres termes, l’alliance entre la gauche et l’immigration se situe pour le moment dans une logique gagnant/gagnant pour chacune des parties : la gauche engrange des suffrages et l’immigration prospère. Cette alliance a donc toutes les chances d’être durable à moyen terme, car la France d’en bas, seule, subit la catastrophe migratoire.
    L’oligarchie est donc bien devenue, dans tous les sens du terme, le parti de l’étranger : le parti de ceux qui misent sur les étrangers pour asseoir leur pouvoir et qui servent des intérêts de plus en plus étrangers à ceux de leur peuple.
    L’oligarchie escompte bien aussi que l’évolution démographique permettra de marginaliser la révolte identitaire et populaire qui s’annonce partout en Europe : car du fait du Grand Remplacement, le temps politique dépend désormais du temps démographique. Et celui-ci est de plus en plus compté aux Européens.
    A un an des échéances présidentielles de 2017, il serait temps d’en prendre conscience en France aussi.

    Source initiale : Polémia : http://www.polemia.com/le-grand-remplacement-est-aussi-une-arme-politique-au-service-de-la-gauche-liberalelibertaire/

    La dissidence française :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuyykkZplAyRJDhdDU.shtml

  • Occident ?

    Suite à la lecture de notre article « Big Other ? », un camarade bienveillant m'a fait remarquer, non sans justesse, qu'il eût été préférable d'employer le terme d'Europe à celui d'Occident. Cela m'invite donc à rédiger un court texte autour de la sémantique employée.

    Dans notre courant de pensée, « Occident » désigne en effet le monde euro-américain produit par le libéralisme, là où « Europe » fait référence à une entité civilisationnelle enracinée sur un continent bien déterminé. L'usage d'Occident pourrait donc laisser penser que nous nous incluons dans ce que l'on appelle désormais communément l'Occident et qui se résumerait au libre-échange, aux droits de l'homme et à la société de consommation.

    Lorsque j'ai rédigé le précédent article, l'emploi du terme « Occident » était à entendre au sens où Dominique Venner pouvait l'employer. L'Occident comme une aire de civilisation distincte des autres « mondes » comme le « monde chinois », le « monde indien » ou le « monde musulman ». C'est à dire l'Occident comme étant la projection de puissance des peuples et nations européens. L'Occident comme civilisation façonnée par la Grèce, Rome, le christianisme, l'humanisme, et même la modernité, et bien sur l'esprit d'aventure de nos explorateurs ayant conduit à la création de nouveaux foyers de peuplement européen à travers le monde.

    Si l'Europe et l'Occident sont deux termes différents, l'Europe est à la racine de l'Occident, ou plutôt « des Occidents ». L'Occident est « pluriel » et ce qu'en disait Dominique Venner n'est certainement pas ce qu'en dit un BHL... Le flou sémantique qui entoure cette notion peut donc, je le conçois parfaitement, être source de confusions pour le lecteur. Le terme d'Europe peut-être lui aussi victime d'un certain flou sémantique. L'Europe est résumée à l'Union européenne par beaucoup de commentateurs. L'Europe est aussi souvent définie seulement comme un ensemble géographique. Il ne s'agit alors pas dans ces deux cas d'un terme pertinent pour traiter des rapports entre peuples et civilisations. Il nous faut alors, là aussi, souvent s'expliquer sur ce qu'est « notre Europe », la seule possible en réalité, celle qui est maladroitement présentée comme une « alter-Europe ». C'est à dire l'Europe comprise comme un ensemble civilisationnel et ethnique tel que je le mentionnais au début de cet article. Voilà qui est en effet plus clair, mais qui a sûrement comme défaut de se résumer à un héritage et à une vision fixiste de l'identité et de la culture, là où le terme d'Occident peut sembler immédiatement plus dynamique malgré ses limites.

    C'est parce que nous avons souhaité renverser la perspective dans l'article « Big other ? » qu'il a semblé pertinent l'usage du terme « Occident ». En effet les peuples du tiers-monde avaient bel et bien affaire à des Européens, et ce depuis de nombreux siècles. Mais ces Européens, parce qu'ils évoluent hors de leurs bases deviennent des « Occidentaux ». Pour beaucoup d'observateurs, il y a une porosité entre le terme d'occidental et celui de « blanc ». Même si cela peut être erroné ou caricatural, car de fait, « l'Occidental » est pour nous la négation même de ce qu'est « l'Européen ». Ici se niche l’ambiguïté du propos...

    L'Europe comme socle et l'Occident comme horizon ? Voilà peut-être qui est source d'imbroglio, de débats et de nœuds au cerveau mais qui peut aider à comprendre de quoi il est question. En effet, l'Occident au sens médiatique n'est pas le produit d'une histoire propre, d'un héritage et d'un ensemble de cultures spécifiques mais se résume à une incantation en faveur d'un universel hors-sol. L'Occident médiatique n'est pas un héritier de l'Occident historique car il s'est construit contre lui. Il l'a vidé de sa substance. L'Occident historique est le produit de l'histoire européenne et de sa projection de puissance. Nous avons donc deux Occidents qui s'opposent et qui entrent en conflits avec les autres aires de civilisation. Lorsque des actes anti-chrétiens sont perpétrés dans le monde en représailles d'actes « anti-musulmans », c'est l'Occident historique qui est frappé pour punir les agissements de l'Occident médiatique. Pour les autres peuples, il y a une confusion évidente entre les deux. Pourtant nous savons combien cet Occident médiatique œuvre contre l'Occident historique.

    Quoi qu'il en soit, nous pouvons nous accorder sur au moins un point, ce qui caractérise de fait l'Occident, c'est la liberté, même si ce terme a été au cours des siècles trituré, déformé, manipulé ou dévoyé. L'Occident c'est cet ensemble civilisationnel qu'ont créé les Européens pour défendre leur idée de la liberté. Que la liberté d'un Thucydide ne soit pas celle d'un Adam Smith est une évidence. Mais c'est parce que nous défendons une certaine idée de la liberté, que nous sommes certes des Européens, mais aussi aux yeux des autres peuples, des Occidentaux. La liberté de nos femmes ou notre liberté en matière de création culturelle sont unique au monde. L'Occident médiatique quant à lui use des termes de liberté ou de la création culturelle pour détruire, effacer et déconstruire. Là où nous bâtissons. Nous sommes donc bel et bien des « Occidentaux », attachés à nos libertés, mais des Occidentaux enracinés, fruits d'une longue histoire. Comme le définissait Dominique Venner.

    Jean / C.N.C. http://cerclenonconforme.hautetfort.com/le-cercle-non-conforme/

  • Comme en Suède, cet assassinat aussitôt médiatisé vient bouleverser les derniers jours du référendum

    Article très intéressant de François Asselineau suite à l'assassinat de la députée pro-UE Jo Cox :

    Sans-titre

    "Ayant été interrogé par Radio Sputnik le 8 juin dernier - il y a 8 jours, j'avais mis en garde les auditeurs sur le fait que les partisans du maintien dans l'Union européenne étaient prêts à tout pour terroriser les électeurs. Et j'avais en particulier rappelé ce qui s'était passé dans les jours précédant le référendum du 14 septembre 2003 en Suède, pour ou contre l'adoption de l'euro.

    Voici le verbatim de mon entretien sur Radio Sputnik :

    "Alors j’espère qu’au Royaume-Uni, il ne va pas se produire la même chose que ce qui s’était produit en Suède.

    Puisque je rappelle qu’en Suède, comme les sondages pour l’entrée de la Suède dans l’euro donnaient désespérément le Non gagnant, eh bien la porte-parole du camp du Oui, qui était Mme Ana Lindh, la jeune ministre des affaires étrangères du gouvernement suédois de l’époque, qui avait 42 ans et qui était une jeune femme très photogénique, et qui avait été l’égérie du camp du Oui, eh bien a été assassinée dans une galerie commerciale de Stockholm par un type.

    L’affaire a été à moitié élucidée -… c'est une espèce de Serbe sorti d’un hôpital psychiatrique, enfin un type qui a à peu près le profil de Lee Harvey Oswald, si vous voyez ce que je veux dire….

    Et elle a été, donc, assassinée deux jours avant la tenue du référendum.

    Et au lieu d’arrêter le référendum et de le reporter, eh bien le gouvernement du Premier ministre M. Personn, à l’époque Premier ministre de la Suède, a maintenu le référendum. Et pendant les 48 heures précédant le scrutin, on a chanté les louanges de cette femme qui avait été assassinée pour le triomphe du Oui. Et on a expliqué aux Suédois que cela allait changer probablement la donne, et qu'ils allaient voter Oui.

    Je ne sais pas si vous vous rendez compte. Il y a même eu un sondage Gallup, qui a été le dernier sondage publié, qui avait indiqué que le camp du Oui, miraculeusement, allait triompher, du fait de cet assassinat mystérieux.

    En fait, bon, ça n’a pas eu lieu. Le non l’a remporté en Suède. Et puis, ce qui est intéressant, c'est que toutes les prophéties d’Apocalypse qui avaient été faites pour la Suède, eh bien, donc c'était en 2003, eh bien treize ans après, plus personne n’en parle.

    Et pourquoi plus personne n’en parle ? Eh bien parce que la Suède, je ne vais pas dire qu’elle se porte merveilleusement bien car elle fait quand même partie de l’Union européenne. Mais elle est, parmi les pays de l’Union européenne, l'un des pays, sinon celui, qui se porte le mieux
    [...]  Alors tout ça pour dire, j’espère que le Brexit…, il ne va pas y avoir…, je serais un des plus ardents partisans du camp du Oui au Royaume-Uni, je prendrais des gardes du corps. Parce que vous comprenez, si évidemment il y avait un attentat ou s'il y avait quelque chose comme ça qui se passait au Royaume-Uni, les médias vous expliqueraient aussitôt : « vous voyez, si on sort de l’Union européenne » ; ils feront un amalgame qui n’a aucun rapport entre, par exemple, le terrorisme, le risque d’attentat et puis la sortie de l’UE (...) Si le Royaume-Uni sort de l’Union européenne, ça va inéluctablement avoir un effet de domino parce que tout simplement les peuples d’Europe vont regarder ce qui va se passer et puis ils constateront que ce n’est pas l’Apocalypse promise par les européistes. »

    Ce 16 juin, mes propos tenus il y a 8 jours viennent de se révéler tragiquement justes et prémonitoires. On a appris en effet, ce 16 juin 2016 après-midi, que la séduisante députée britannique pro-UE, très en pointe dans la campagne en faveur du maintien du Royaume-Uni dans l'UE, a été blessée par balles et poignardée à mort par un mystérieux assassin.

    Les dépêches de presse précisent obligeamment - alors même que l'enquête n'a pas démarré - que l'assassin aurait crié « Britain First ! » (« La Grande-Bretagne d'abord ! »), jeudi, au moment d'accomplir son geste....

    Le mystérieux assassinat d'Ana Lindh - porte-parole du Oui à l'euro - était survenu en Suède le 11 janvier 2003, 3 jours avant le référendum pour ou contre l'euro, et alors que tous les sondages donnaient le Non à l'euro gagnant.

    Le mystérieux assassinat de Jo Cox - l'une des porte-parole du maintien dans l'UE - survient le 16 juin 2016, 6 jours avant le référendum pour ou contre la sortie de l'UE, et alors que tous les sondages donnaient le Brexit gagnant.

    Comme en Suède il y a 13 ans, cet assassinat est aussitôt médiatisé et vient bouleverser les derniers jours du référendum, au moment où tous les sondages donnent le référendum perdu pour le camp européiste. On notera que l'une des premières personnalités à réagir à l'assassinat de Jo Cox a été John Kerry, secrétaire d’État américain, qui s’est inquiété d’une « attaque contre tous ceux qui croient à la démocratie »....

    Comme en Suède il y a 13 ans, il est probable que, dans les prochains jours, des sondages miraculeux fassent état d'un soudain renversement de tendance et d'une victoire possible des européistes « par respect pour la défunte »...

    Je présente toutes mes condoléances les plus attristées aux proches de la député Jo Cox, et je conjure le grand peuple britannique de faire comme les Suédois il y a 13 ans, c'est-à-dire de ne pas céder à l'émotion provoqué par cet assassinat aussi effroyable que mystérieux."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/06/comme-en-su%C3%A8de-il-y-a-13-ans-cet-assassinat-est-aussit%C3%B4t-m%C3%A9diatis%C3%A9-et-vient-bouleverser-les-derniers.html

  • Violences : c’est la CGT qu’il faut dissoudre !, par Franck Deletraz

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    Après des semaines et des semaines de violences perpétrées par la CGT et ses camarades d’ultra-gauche, des dizaines de policiers blessés, dont certains grièvement, des centres-villes entièrement saccagés et les provocations insupportables de Martinez, c’est maintenant, et seulement maintenant, alors que nous vivons depuis des mois sous l’état d’urgence, que le gouvernement se pose la question d’interdire ces manifestations.

    Invité mercredi matin sur France Inter, le Premier ministre, après avoir souligné « l’attitude ambiguë du service d’ordre de la CGT », a en effet déclaré que « ces manifestations ne peuvent plus durer ainsi » et brandi la menace d’une interdiction.

    A l’origine de cette déclaration, les nouvelles dégradations et agressions commises la veille à Paris lors des manifestations contre la loi travail, qui ont fait au moins 40 blessés. Et notamment l’attaque intolérable de l’hôpital Necker par les militants de la CGT et leurs camarades.

    Des images ahurissantes, sur lesquelles on aperçoit ces « braves gens » caillasser allègrement les vitres de ce célèbre hôpital où sont soignés des enfants malades. Et notamment, ce jour-là, le petit garçon du couple de policiers massacré lundi par un djihadiste à Magnanville. Certains, selon les témoins, s’en sont même pris à la façade de l’hôpital à « coups de masse », brisant une quinzaine de baies vitrées. Et ce, comme l’expliquait un professeur exerçant à Necker, juste au niveau du bloc opératoire où des enfants subissaient au même moment une intervention chirurgicale.

    Des images, tout de même, qui auront scandalisé un foule d’internautes, nombres de politiques, et même quelques-uns de ces médias qui versent pourtant des larmes de crocodiles lorsque un casseur d’ultra-gauche a le malheur de prendre une gifle d’un CRS. Mais apparemment pas Philippe Martinez, qui a expliqué mercredi que « menacer d’interdire les manifestations est le signe d’un gouvernement aux abois » et que « la CGT ira jusqu’au bout ».

    Franck Deletraz

    Article paru dans Présent daté du 17 juin 2016

    http://fr.novopress.info/201836/violences-cest-cgt-quil-faut-dissoudre/

  • Par ici la sortie

    Incapable de faire respecter l’ordre public, le gouvernement rejette la faute des débordements dans les manifs contre la loi el Khomri  sur la CGT. Il ne s’agit certes pas d’exonérer la centrale syndicale d’obédience communiste de ses fautes lourdes, voire de ses éventuelles complicités, plus ou moins implicites,  avec les casseurs antifas. Une engeance que le FN subit depuis des années aux abords de ses réunions comme le rappelait  Bruno Gollnisch dans sa toute récente vidéo mise en ligne  sur notre blogue. Pour autant il est piquant  de voir qu’il n’a fallu que quelques jours à l’Etat pour repérer et expulser des hooligans russes reconnus coupables d’affrontements  avec  des supporters anglais à Marseille notamment. Nos lecteurs ne seront pas non plus étonnés de constater que les « grands » médias taisent pudiquement la part prise  dans ses violences dans la cité phocéenne,  commises au même moment et au même endroit,   par « nos »   racailles autochtones. Or, l’exécutif serait  pourtant  incapable de mettre  hors d’état de nuire  quelques centaines d‘antifas.

    Casseurs  Français, mais aussi Belges, Néerlandais, Anglais,   Allemands  qui se livrent depuis maintenant  plusieurs  mois à un tour de France du saccage des biens publics (payés par nos impôts),  privés ( les commerçants, les automobilistes concernés  seront-ils vraiment indemnisés à la hauteur des préjudices dont ils sont victimes?) et aux  violences contre les forces de l’ordre (plusieurs centaines de blessés).

    Quel message est-il donc  ainsi envoyé aux ennemis de la France, puissance nucléaire, seconde économie de l’UE, qui constatent qu’une poignée de nervis encapuchonnés, pour ne rien dire des  quelques milliers de fous d’Allah fichés S , font plier  le gouvernement,  régner la terreur et crachent sur   notre dignité, notre sécurité, notre souveraineté?

    De souveraineté, mais aussi d’identité, il est encore question, ô combien,  à une semaine du référendum sur éventuelle sortie du Royaume-Uni de l’Union Européenne .  Nicolas Bay l’a rappelé,  même si  cette consultation débouchait sur le maintien des Britanniques  dans l’UE, « le message sera passé que l’Europe est un échec et qu’elle n’est pas démocratique  (…). Ce qui est intéressant, c’est que cela montre qu’une telle consultation est possible alors même que le Royaume-Uni, qui n’est ni dans la zone euro ni dans l’espace Schengen, subit moins d’inconvénients que (la France) ». Le député européen et secrétaire général du FN a pointé ce   « printemps du souverainisme » qui s’étend  sur l’Europe comme le prouve les récents résultats élctoraux en Autriche, en Hongrie, en Pologne, en Slovaquie

    Le meurtre sauvage   hier de Jo Cox députée travailliste  pro UE dans sa circonscription à Birstall (par un homme qui se serait déclaré opposé à Bruxelles), qui a soulevé l’émotion que l’on imagine,  peut-il  influer sur le cours du scrutin? Ce qui est en tout cas  certain, et de nombreux médias l’on souligné, c’est que la question de l’immigration est au cœur du débat outre-Manche.

    Le Point  donnait cette semaine la parole à Tony Travers, « spécialiste du Grand Londres, » selon lequel , « l’immigration est la vraie thématique de ce référendum, la capitale anglaise, foncièrement anti-Brexit, allie immigration et prospérité » affirme-t-il, « Londres a toutes les caractéristiques du maintien dans l’Union européenne : une population jeune, très éduquée, en majorité aisée. De plus, 40 % de la population est née à l’étranger et 40 % n’est pas blanche. À sa manière, le nouveau maire, Sadiq Khan, illustre par excellence cette ville-monde. »  Bref , bobos+ City+ immigration de peuplement+ idéologie multiculturaliste= adhésion à Bruxelles.  CQFD…

    Philippe Bernard, dans Le Monde,  résume la  campagne autour du Brexit chez nos voisins:  « Economie contre immigration. Du poids relatif de ces deux thématiques dans l’opinion britannique dépend le résultat du référendum du 23 juin sur le maintien (in) ou la sortie (out) de l’Union européenne. Tandis que les pro européens brandissent la menace d’une récession (…),  les partisans du  Brexit répètent que seul un divorce avec l’UE permettra de faire diminuer le flux d’immigration. Ces derniers rêvent de transformer le référendum sur l’Europe en consultation sur l’immigration. S’ils y parviennent, le Royaume-Uni sortira de l’UE tant l’obsession pour les étrangers, martelée depuis des décennies par la presse populaire tabloïd, paraît s’être enkystée  (sic) chez les électeurs britanniques. »

    Plusieurs sondages successifs, réputés, peut être à raison, peu fiables outre-Manche, a notamment expliqué Laurence Parisot, vice-présidente de  l’Ifop), enregistrent désormais une victoire des partisans du Brexit.  Bruno Gollnisch l’évoquait également dans sa vidéo enregistrée au Parlement européen, les européistes multiplient en conséquence  les mises en garde apocalyptiques. Exemples parmi d’autres, le chef du Parti travailliste Jeremy Corbyn, Le ministre libéral des Finances de David Cameron, George Osborne, Nicolas Sarkozy, leurs collègues bruxellois, la direction du PS et du Parti communiste évoquent  une « catastrophe » en cas de sortie de l’UE. Les gardiens du dogme, les commissaires politiques du microcosme invoquent une absence de plan B, promettent un effondrement économique, des impôts en pagaille et un chômage repartant à la hausse pour dissuader les Britanniques de voter pour la sortie de l’UE. Une propagande qui n’est pas sans rappeler celle qui fut mise en oeuvre lors du référendum sur la Constitution européenne de 2005,  qui nous fut certes finalement imposée par les parlementaires de l’UMPS .

    « Au Conseil européen, à la Commission, l’angoisse monte… Et on prend ses dispositions.  La dynamique n’est pas bonne et on approche du point de non-retour, glisse un diplomate européen, mardi 14 juin ». « (Le très atlantiste, NDLR)  président du Conseil européen Donald Tusk – qui a prédit, dans Bild, le début de la destruction de l’UE mais aussi de la civilisation occidentale (sic) en cas de Brexit –, aurait prévu de consulter les dirigeants européens juste avant le vote britannique pour tenter de mettre tout le monde d’accord sur une déclaration commune » rapportait Cécile Ducourtieux  correspondante du Monde à Bruxelles. L’Afp indique que « l’inquiétude continue à gagner les marchés financiers », qu’ « un vent de « panique souffle désormais sur le camp du maintien, ont expliqué au Times et au Guardian des sources au sein de la campagne en faveur de l’UE ».

    Une UE rejetée de plus en plus massivement, au nom de raisons objectives, par un nombre croissant d’Européens, que même ses grands pontes reconnaissent parfois lucidement. Début mai, lors lors d’une réunion publique sur « l’avenir de l’Europe » qui s’est tenue  à Rome, en présence du président du Conseil italien Matteo Renzi, du président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker, du président du Conseil européen Donald Tusk et du président du Parlement européen Martin Schulz, ces derniers ont décrit (une partie) des causes de ce désenchantement.

    L’Afp rapportait les propos suivants: « L’Europe est une promesse, mais une promesse qui n’a pas été tenue. (L’Europe) était une promesse faite tous les jours pour davantage d’emplois, davantage de services et de croissance, et des générations d’Européens ont consenti des sacrifices dans l’attente de cette promesse, au moins pour leurs enfants, a expliqué M. Shultz. Or, a-t-il ajouté, les dirigeants européens continuent à demander des sacrifices, moins de services, plus d’impôts, pour quoi faire ? Pour sauver des banquesIl y a dès lors un sentiment d’injustice. Ce n’est pas l’Europe qu’ils voulaient voir.»

    « A trop idéaliser l’Europe, à la considérer comme un projet d’Union avec un seul Etat, une seule nation, c’est non seulement complètement irréaliste, mais aussi dévastateur pour son avenir. Le rêve d’un seul Etat européen, d’une seule nation européenne est une illusion. Nous devons accepter de vivre dans une Europe avec différentes monnaies, avec différentes forces politiques, et la pire chose est de prétendre de ne pas le savoir a indiqué de son côté M. Tusk. »  A eux d’en tirer les conséquences jusqu’au bout (mais ne rêvons pas), le  Front National lui l’a déjà fait.

    http://gollnisch.com/2016/06/17/par-ici-la-sortie/

  • Déréliction occidentale versus islam conquérant

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    Dr Bernard Plouvier

    Certains commentateurs semblent percevoir de-ci de-là un frémissement d’auto-défense des Blancs dans leurs territoires envahis d’allogènes violents, frustes et fanatiques. Ni la situation des USA, ni celle de l’Europe occidentale et scandinave ne paraissent entrer dans ce schéma, qui s’avère exact en Europe danubienne et orientale.

    Ne serait-ce pas du côté de l’intolérance qu’il faudrait chercher la cause de cette différence de comportement ? Une foi - politique ou religieuse, c’est tout un – procure l’impression forte de mener le bon combat, avec son corolaire : une tolérance très faible, voire nulle, pour le déviant social ou l’ennemi idéologique.

    L’angoisse existentielle pousse la plupart des humains à se croire, sinon indispensables, du moins utiles à la marche de l’Univers, à se représenter comme étant un chaînon, minuscule mais nécessaire, entre l’Alpha (l’origine de l’Univers) et l’Oméga (le glorieux finale où triomphe le Bien, ou quelque autre grand principe analogue). C’est la raison d’être de toute religion ; c’est ce qui assure la pitance et l’importance sociale des clergés.

    Mais la grande aventure politique procure exactement la même sensation, amputée de la notion d’éternité, puisque l’espérance de vie de chaque grande civilisation dépasse rarement quelques siècles. À l’échelle humaine, c’est déjà beaucoup, suffisamment pour y engager son existence. Après tout, il est assez peu de grandes causes qui procurent un sens à la vie.

    Beaucoup d’humains revendiquent une récompense surnaturelle, puisqu’il n’y a pas grand-chose à espérer de la reconnaissance de ses congénères et fort peu de la justice immanente. Les religions apportant une espérance eschatologique (un Paradis après la mort du corps) seront toujours achalandées : le triomphe actuel de l’islam, religion médiévale et à très faible valeur intellectuelle ajoutée, prouve à quel point l’obscurantisme n’effraie pas le chaland, si on lui offre en contrepartie la carotte paradisiaque.

    D’autres humains se satisfont de la notion du devoir bien accompli, la difficulté ayant toujours résidé dans l’objet de ce devoir. Le XXe siècle, qui fut celui des grandes expériences politiques, s’est achevé par la ruine des populismes impérialistes, fondés sur la lutte des races et la lutte des classes. On peut biffer ces expériences, sans refuser d’en tenter d’autres : aucun savant digne de ce nom n’a jamais renoncé à poursuivre sa quête parce qu’une hypothèse s’était avérée fausse.

    Le manichéisme des totalitarismes (religieux ou politique, on le répète : le phénomène est de même essence) enchante les esprits primaires : l’antithèse entre les « bons » et les « méchants » a toujours fait recette. C’est comme cela que les Alliés ont axé leur propagande débile durant les deux guerres mondiales du XXe siècle ; ce fut également le credo de la « guerre froide ». C’est comme cela que fonctionne l’actuelle religion de conquête, l’islam. Ce système ami-ennemi, simpliste et rudimentaire puisque faisant appel à l’archéo-cortex, sera toujours d’un excellent rapport sociologique, alimentant la cohésion du groupe et stimulant son ardeur combative.

    Toute civilisation décline quand elle baisse sa garde, tolérant la pensée d’allogènes. Tout ce qui est à la fois mal défendu et raffiné cède devant la force brutale du barbare agressif et avide. Le retour en force de la grande politique doit s’accompagner d’une vigoureuse intolérance envers l’ennemi. Sans objectif et sans ennemi, aucune collectivité n’est dynamique… on n’a pas attendu les théoriciens du XXe siècle pour s’en rendre compte.

    Depuis la plus haute Antiquité, l’alternative est inchangée, parce qu’il s’agit de l’unique vérité historique, universelle et diachronique : ou l’on accroît sa puissance ou l’on périt, la stagnation n’est que le début de la chute.  

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Racket d’État : bientôt une facture de rattrapage pour les usagers d’EDF

    http://www.contre-info.com/

  • Guerre civile en France ! Des membres de la CGT tentent de tuer des policiers