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  • ZOOM - Alexandre Mendel : La France djihadiste, enquête au coeur des Molenbeek français

  • Sourds et aveugles ! par Claude PICARD

    Notre démocratie est comme un ventre mou, encore élastique - pour combien de temps ? - sur lequel le terrorisme islamiste joue au trampoline. Un ventre malade, gangrené de l'intérieur par des apprentis djihadistes issus d'une immigration massive incontrôlée et par des années de laxisme, d'impotence et d'impuissance. Mais aussi et surtout par l'imbécile repentance d'une élite honteuse et incapable d'assumer son passé colonial.
    Repentance ! L'expression est chargée de douleurs et de vains remords ; si l'expiation de fautes passées permet, quelquefois, de pouvoir se regarder plus facilement dans un miroir, la culpabilisation n'a jamais empêché les faits de rester ce qu'ils sont : des faits !

    Évidemment, on peut toujours raconter l'histoire en l'enjolivant pour mieux faire passer la pilule, ou en la noircissant pour une cause idéologique, mais peut-être qu'il serait plus judicieux, en adulte responsable, de regarder la réalité en face, de bien peser le pour et le contre, d'analyser ce qui a éventuellement cloché et de faire en sorte que le passé serve l'avenir.

    C'est en général le travail des historiens. Pour les politiciens, c'est un peu plus compliqué : il ne suffit pas d'analyser le passé, il faut en même temps gérer le présent et très souvent, l'instantané. Pas facile !

    Mais c'est leur boulot ! Normalement, ils sont formés pour ça, et s'ils sont élus, on leur demande d'être opérationnels. Sinon, qu'ils aillent… planter des choux ! C'est bien ce que devraient faire la plupart d'entre eux, tellement ils sont inefficaces, plutôt que de squatter l'Assemblée Nationale ou les fauteuils de l'Élysée pour la seule satisfaction de leur ego. On demande à un responsable politique d'être… responsable, et d'assumer ses responsabilités en s'occupant des doléances de ses administrés. C'est la moindre des choses.

    Aujourd'hui, nous avons un pouvoir qui n'a jamais autant manqué d'autorité et des élus qui n'ont jamais été aussi laxistes. Nous atteignons le summum du laisser-faire et de l'irresponsabilité au plus haut sommet de l'État, avec un président de la République, hors-sol, un Premier ministre, impondérable et un ministre de l'Intérieur, inconséquent. Bref, un trio absolument inadéquat, inopérant et complètement nul ! Alors que la France est en état d'urgence, en guerre contre l'islamisme radical qui sévit, impavide, sur notre sol et jusque dans nos maisons, une loi, édictée par Bruxelles, mais rejetée par l'immense majorité des Français, met le feu aux poudres. Et des casseurs, incontrôlés et incontrôlables, occupent le terrain en détruisant des biens publics et en s'attaquant violemment aux forces de l'ordre. Les désordres, les excès, sont partout et règnent en maîtres. La désorganisation de la société s'accélère et entraîne le pays vers l'anarchie.

    Que font nos « responsables » contre ces exactions ? Ils les condamnent, comme d'habitude, verbalement. Pas plus ! Sans avoir le courage de prendre une seule mesure de bon sens… Sourds et aveugles, ils n'entendent pas la colère qui monte et ne voient pas la désintégration d'un pays au bord du gouffre. Totalement dépassés, ils continuent, comme si rien n'était, leur litanie d'un vivre ensemble fantasmé et ne pensent qu'à la prochaine élection qui va leur permettre de poursuivre leur travail de sape.

    En attendant, la France va à vau-l'eau et l'inénarrable « ça va mieux » prend du plomb dans l'aile.

    http://www.francepresseinfos.com/2016/06/sourds-et-aveugles-par-claude-picard.html#more

  • Alain Juppé : "Je suis favorable à l'adoption par les couples de même sexe"

    Alain Juppé a présenté aujourd'hui ses propositions pour la famille :

    "Pour la gauche, la politique familiale est une variable d'ajustement. J'entends lui redonner toute sa place pour au moins deux raisons: la cohésion sociale, car la famille reste un repère central dans une société en quête de sens; la démographie, puisqu'il existe une étroite corrélation entre dynamisme démographique et dynamisme économique. Relever dès 2017 le plafond du quotient familial de 1.500 à 2.500 euros par demi-part pour toutes les familles, rétablir le versement de la prime à la naissance dès le 7e mois de grossesse, augmenter le plafond des donations des grands-parents pour leurs petits-enfants (...)

    Après avoir bien entendu vérifié que les conditions d'épanouissement de l'enfant sont réunies, je suis favorable à l'adoption par les couples de même sexe (...)"

    Il n'est bien évidemment pas question d'abroger la loi Taubira...

    Philippe Carhon

  • Le Hezbollah assène un coup dur à Daech au Liban

    Après l'attentat terroriste contre le village frontalier d'al-Qaa à l'Est du Liban, la riposte du Hezbollah ne s'est pas fait attendre.
    Ce samedi, un groupe de combattants de la résistance islamique a réussi à s'infiltrer dans la région de Mira-Faykha, sous le contrôle du groupe terroriste dans le jurd d'al-Qaa proche d'Aarsal.
    Une fois arrivés à proximité du siège du commandement militaire de Daech, les combattants ont lancé une roquette téléguidée à courte distance. S'en est suivi une autre roquette qui a frappé de plein fouet une deuxième maison proche.
    Parmi les morts dans cette opération figure le commandant militaire de Daech, Abou Khattab, chargé des attaques à Mira-Faykha, et du groupe des kamikazes dans la région de Mira-Martbiya.
    Abou Khattab a pris part à plusieurs attaques contre l'armée syrienne à Qousseir, Joussieh, et au Qalamoun de l'Est, et aux attentats contre les positions de l'armée libanaise dans le jurd de Ras-Baalback-alQaa-Aarsal. Parmi ces attaques, on rappelle celle lors de laquelle des militaires libanais ont été enlevés et tués.
    Dans son dernier discours vendredi, le secrétaire général du Hezbollah Sayed Hassan Nasrallah a promis de protéger les habitants d'al-Qaa ainsi que toute la région au Nord-Est du Liban.

    al manar :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuyZyEpEpZtGTHSijI.shtml

  • Fédération d'Europe occidentale

    Nous y voilà ! Non pas au début de la rupture anglo-européenne mais au jour de l'analyse de ce séisme et de ses conséquences. Sombre lundi ! Tout blogue se flattant de faire un peu de politique y est contraint forcé. Royal-Artillerie ne déroge pas à la règle mais prend le parti de ne pas remâcher les causes qu'un milliard d'internautes connaissent depuis ce matin sur le bout des doigts. Tabula Rasa. L'Europe est continentale désormais mais accepte l'Eire, Malte et Chypre quand même. Comment faire marcher ce grand corps malade qui va de l'Ile de Fer (Hierro) jusqu'à Kirkenes, cet empire impuissant, ce patchwork de nations antagonistes depuis la fin de la pax romana ? Et pourquoi d'abord le maintenir, voire le créer ?
    L'autonomie des nations gît aujourd'hui dans le rapport de forces. Exit le concept d'indépendance au XXI°siècle, la globalisation en a eu raison, la tectonique des empires mondiaux ne laisse aucune chance aux petits et moyens pays sauf à être aussi insignifiants que la Papouasie-Nouvelle Guinée, et on peut le regretter. La France en fait la douloureuse expérience en maintenant une gabegie éhontée envers et contre tous les signaux de danger : elle ne gouverne plus sur sa zone d'influence - nous sommes les supplétifs du Pentagone - et dans les positions historiquement consenties tels le Conseil de Sécurité, le Fonds monétaire international, nous sommes en mode mineur même si les reliquats sont moins insignifiants que ne le pensent les Français de France, comme l'affirme Hubert Védrine. Mais bon, difficile aussi de résister au passage de la tornade des nains par l'Elysée.
    L'exemple de proximité sur la difficile autonomie des petits pays est la Suisse. En dépit des lois internationales protégeant la souveraineté des nations constituées en Etat, l'ingérence du Fisc américain relayé par le Fisc allemand a pulvérisé le secret bancaire qui faisait la fortune de la Confédération, et les chicayas bruxellois incessants sur la circulation des marchandises ont amené le Conseil fédéral de Berne à entrer dans le traité de Schengen dans le cadre d'une européisation progressivement imposée de l'extérieur. L'union fait donc bien la force si elle aboutit à créer une masse spécifique qui impressionne l'adversaire. A cet égard, une union des républiques alpines (Suisse, Autriche, Liechtenstein, Slovénie) n'aurait pas donné grand chose de plus dans la dispute fiscale internationale.
    Faire le poids était bien l'intention des fondateurs de la Communauté européenne, mais il ne s'agit pas que d'agréger des peuples et des PIB. Un milliard de bœufs chinois ne pèse pas si lourd contre la coalition de tous les contempteurs de l'hégémonie céleste : ils ont retourné contre eux tous les riverains de la Mer de Chine méridionale qui sont passés à l'ennemi héréditaire américain et le Japon en prime. Il faut que la masse acquise dans l'union soit actionnée, en un sens gouvernée.


    Il y aurait plusieurs façons de faire mais un problème existe quand à l'étoffe des chefs de gouvernement. On imagine par moment la chancelière prussienne dans l'emploi d'un Adenauer, mais autour d'elle c'est le désert. N'épiloguons pas, c'est facile, tant ils sont "petit jeu". La meilleure stratégie bute toujours sur les capacités de mise en œuvre. Rangées des voitures, il y a bien des personnalités fortes comme Romano Prodi (Siméon de Bulgarie est trop âgé) mais les médiocres en poste actuellement, se revendiquant de leur élection, barreront le passage. Quoiqu'il en soit des acteurs en scène au moment, le dispositif gagnant pourrait être une fédération de type helvétique des fondateurs, dans le cadre d'une confédération englobant les autres, parfois fédérés entre eux comme pourraient le faire les quatre pays scandinaves (DK, SW, SF, ES) ou les pays danubiens.
    A cet égard, nous considérons que l'appartenance à l'eurogroupe est un choix technique financier sans incidence sur la stratégie. Oui, c'est un parti-pris politique...
    Les instruments de pouvoir de l'Union rénovée ne peuvent pas être moins qu'une diplomatie intégrée de la confédération avec un siège au Conseil de Sécurité des Nations Unies - celui de la France -, et au moins une armée intégrée de la Fédération occidentale (la CED). Les autres instruments de pouvoir existent déjà, comme la banque centrale européenne (BERD et BIRD en sus), l'Agence spatiale européenne, EUROPOL (FBI), EUROJUST (parquet commun), ITER (énergie nucléaire) parmi les plus importantes. Reste à créer :
    - un code commun des impôts de base pour en finir avec la concurrence fiscale
    - un code essentiel du travail donnant les limites (terminé les foutaises des emplois détachés au régime social de souche !)
    - un corps confédéral de garde-côtes
    - un corps confédéral de garde-frontières
    - des arsenaux fédéraux pour gagner en volume
    Mais vu où nous sommes rendus ce lundi matin, aucun ou presque des bureaucrates européens en poste n'est destiné à y rester plus longtemps que l'hiver qui vient. Il faut partout du sang neuf et des correspondants de haut niveau dans les capitales.


    CEE 1957 - De Flensburg à Tamanrasset

    Le reproche fait le plus fréquemment à une fédération des pays fondateurs est qu'elle pousse à une subsidiarité qui jusqu'ici a échoué. Outre le fait qu'elle n'a pas échoué partout - l'aménagement des territoires peut en témoigner - il faut cuire un gâteau avant de l'apprécier. On peut donc rétorquer que les graves insuffisances du dispositif actuel viennent d'abord d'avoir maintenu les moteurs européens au point fixe depuis vingt ans sans faire décoller l'avion parce que justement à 28 il était trop lourd, d'une part ; d'autre part, qu'au pantographe de la mondialisation, la proposition souverainiste du repli sur soi nous précipite dans le destin du Portugal (la formule est du général De Gaulle). Mais la position de la France seulen'est pas méprisable si l'on veut bien accepter que ce pays ait fait son temps dans le grand concert du monde. Nous resterons la terre de la gastronomie, du luxe et des recherches inutiles et dispendieuses, et financièrement, la reine des gitans. Après tout, serons-nous si malheureux ?
    En fait il n'y a pas le choix. Nous ne nous résignerons pas. Alors, organisons à six un avenir puissant, en dehors des coquetteries littéraires du parti des raéliens qui rêvent pour nous d'un XVII°siècle par magie revenu.

    http://royalartillerie.blogspot.fr/2016/06/federation-deurope-occidentale.html

  • Journal du Lundi 04 Juillet 2016 : Politique / Républicains : la foire aux programmes

  • Vous prendrez bien un peu de propagande ?

    La première période, d’une durée de trois mois, interviendrait « à la fin de l’année scolaire des élèves ayant atteint leur dix-huitième anniversaire » et serait baptisée « classe républicaine ». Cette classe républicaine aurait pour vocation de dispenser aux jeunes Français un « apprentissage des fondamentaux de la République ».

    Le service civique va-t-il finalement devenir obligatoire ? Depuis 2012, le président de la République François Hollande a fait du service civique une de ses grandes mesures en faveur de la jeunesse, et ne cesse d’affirmer vouloir l’étendre au plus grand nombre. Son objectif, réaffirmé plusieurs fois depuis les attentats de Paris en novembre dernier, est d’accueillir la moitié d’une classe d’âge en 2018, soit 350.000 jeunes, puis l’ensemble d’une génération au-delà de 2020 en service civique.

    Une nouvelle étape de cette généralisation pourrait être bientôt franchie, puisque l’Assemblée nationale a adopté hier un amendement rendant le service civique « obligatoire et universel », dans le cadre du projet de loi Égalité et citoyenneté actuellement en débat dans l’hémicycle.

    Une « classe républicaine » pour apprendre « les fondamentaux de la République »

    Si le projet de loi est encore loin d’être voté, l’adoption de cet amendement marque une nouvelle étape importante dans le développement du service civique. Présenté par une trentaine de députés socialistes, l’amendement veut créer une « expérimentation » qui veut permettre à tous les jeunes Français de 18 à 25 ans « d’effectuer un service civique universel d’une durée de neuf mois répartie en deux périodes distinctes ». [...]

    La suite sur Le Figaro.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Vous-prendrez-bien-un-peu-de

  • Marine Le Pen fait condamner L’Obs en diffamation

    Source : OJIM

    Pour avoir imputé à Marine Le Pen un enrichissement personnel, L’Obs vient d’être condamné à une amende avec sursis et 2 000 euros de dommages et intérêts.

    Dans un article publiée le 11 décembre 2014, l’hebdomadaire prétendait révéler le « magot caché de Marine Le Pen ». « La justice se demande si la présidente du Front national n’est pas la bénéficiaire d’un système conçu pour détourner de l’argent public », écrivait L’Obs à propos d’une enquête portant sur des soupçons de surfacturation dans le financement des campagnes du FN en 2012, qui a conduit le parti frontiste ainsi que dix personnes (dont deux de ses vices-présidents) à être mis en examen.

    Marine Le Pen avait quant à elle été placée sous le statut de témoin assisté. Après la plainte de la présidente du Front National, le tribunal correctionnel de Paris a estimé que certains passages de l’article de L’Obs incitaient le lecteur à penser que cette dernière avait bénéficié, dans cette affaire, d’un enrichissement personnel. Des conclusions contraires à celles de l’enquête, bouclée depuis janvier 2016.

    La directrice de publication de l’hebdomadaire, détenu par le trio Bergé-Niel-Pigasse, a ainsi écopé de 500 euros d’amende avec sursis pour diffamation. Elle devra par ailleurs verser 2000 euros de dommages et intérêts à Marine Le Pen, et 2 000 euros pour les frais de justice.

    http://fr.novopress.info/202266/marine-pen-condamner-lobs-diffamation/#more-202266

  • Pierre Cassen a apprécié "Le Grand rembarquement", le roman-choc d'Emmanuel Albach...

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    Samedi dernier, Pierre Cassen, Président de Riposte laïque, m'a téléphoné pour me faire part de son enthousiasme après avoir lu Le Grand rembarquement, le nouveau roman d'Emmanuel Albach. Ce matin, dans son éditorial de Riposte laïque, il conseille à ses lecteurs de lire ce livre. Qu'il en soit ici remercié et rappelons que ce soir, lundi 4 juillet, nous nous retrouverons aux côtés des patriotes de RL au Trocadéro pour protester contre la célébration du Ramadan à la Mairie de Paris.

    Roland Hélie

    Voici l'édito de RL (cliquez ici) :

    Nous sommes à quelques heures du rassemblement du Trocadero, où Riposte Laïque appelle tous les Parisiens à venir protester contre la scandaleuse commémoration du ramadan, à la Mairie de Paris, commise par l’ineffable maire de Paris, Anne Hidalgo. Parisiens, nous comptons sur vous pour défendre notre laïcité, contre la soumission et la trahison du maire de Paris…

    Nous vous rappelons qu’interviendront, entre autres, Karim Ouchikh, Carl Lang, René Marchand, Pierre Cassen, Jean-Yves Le Gallou et Serge Federbusch, et que le maire de Béziers, Robert Ménard, a envoyé un message de soutien qui sera lu à la tribune.

    Mais dans cet édito, je voulais vous parler d’un livre qu’il vous faut absolument acheter, pour vos vacances. Et je ne fais pas la promotion d’un ouvrage de Riposte Laïque, même si je suis certain que les éditions RL auraient adoré publier cet ouvrage.

    Je voulais vous recommander le livre « Le Grand Rembarquement », d’Emmanuel Albach, paru aux éditions Dualpha.

    L’auteur, sans vouloir dévoiler l’intrigue, répondait à quelques questions dans la revue « Synthèse nationale » (cliquez ici).

    Pour éclairer le lecteur, disons que dans ce roman, il y a un peu de "La Faute du Bobo Jocelyn" , de Christine Tasin et Pierre Cassen, de "2023, Le Mur" , de l’avocat Olivier Arnaubec, de "Opération Pédalo" de Paul Le Poulpe, de "Le Camp des Saints" , du grand Jean Raspail, de "Soumission" de Michel Houellebecq, et de "La guerre civile qui vient" , d’Ivan Rioufol.

    Et bien évidemment, un détournement de la formule de Renaud Camus "Le Grand Remplacement".

    Disons que cet ouvrage contredit totalement la thèse de tous les intervenants du dernier Bistro-Libertés, qui contestaient tous une possible guerre civile en France (que nous nous refusons à appeler ainsi, préférant le terme « Guerre de reconquête »).

    Bistro libertés cliquez ici 

    Ce livre est un roman policier qui se déroule dans les arcanes du pouvoir, de 2017 à 2019, avec en toile de fond une milice islamique qui, avec la complaisance du gouvernement, assure l’ordre républicain dans les zones islamisées, à la place de l’Etat. Avec les conséquences qu’on peut aisément deviner.

    Quand on plonge dans cette fiction, on ne peut plus relever la tête du livre, tant on pris par ce roman captivant, que les anglo-saxons appellent un thriller, de 332 pages, malgré un corps d’écriture assez petit. Il y a donc de la lecture, les amis, et du suspens !

    J’avais commis un jour un édito, qui avait été, de manière cocasse, attribué à un journaliste du Monde, intitulé : « Sans l’islam, la France serait un pays formidable » cliquez ici

    Pensez à cet édito, en lisant les dernières lignes du livre d’Emmanuel Albach "Le Grand Rembarquement".

    De nouveau, dans les campagnes, et en ville aussi, comme jadis, on peut laisser sa maison et sa voiture ouvertes sans risquer le vol ou le pillage. En outre, comme les insurrections locales ont été l’occasion d’arracher et de détruire tous les radars du réseau routier, l’ombre menaçante de la tracasserie étatique a aussi disparu, détendant sérieusement l’atmosphère. Pour tout dire, les Français se retrouvent libres, et savourent pleinement cette liberté retrouvée, bien déterminés par ailleurs à ne plus jamais laisser l’Etat s’ériger en persécuteur permanent, ni en créature « bruxellisée ».

    Dans les bus et les métros, on croise des enfants revenant du foot, de la danse, des cours du soir, dans leurs plus beaux vêtements, arborant leurs marques fétiches et portant des ballons tout neufs, exhibant des smartphones, sans crainte de se les faire « tirer » par des « jeunes » en maraude. Les vieilles dames de Marseille peuvent porter chaînes et colliers d’or sans plus risquer de se les faire arracher. « Ils sont partis, répète-t-on, et bien partis ». Les femmes prennent les transports en commun, vont en tout quartier, en jupe courte et dos nus, portent bagues et bijoux, porte-monnaie en mains, non dissimulés, sacs coûteux à l’épaule. « Exactement comme à Ginza », note un journaliste japonais, et « Comme à Pékin », renchérit un de ses confrères chinois. Le premier écrit dans le Nikkei Shimbun : « Paris est devenu aussi sûr que Tokyo. Les Français sont redevenus élégants et les Parisiennes plus coquettes et sexy que jamais ».

    Dans la semaine qui suit, c’est la ruée des touristes asiatiques, et américains aussi, sur tous les sites de voyage. Les hôtels de la France toute entière se retrouvent soudain « bookés » pour un an. La catastrophe économique annoncée par les experts commence plutôt bien. Du coup, il faut embaucher sur le champ des dizaines de milliers d’employés. Pole Emploi n’ayant plus les moyens de verser la moindre allocation depuis le premier jour de la crise shabeb, tous les anciens ayant-droits se jettent sur ces jobs providentiels. Et en un clin d’oeil, la question du chômage est résolue. Pour aider les professionnels du bâtiment qui entreprennent d’achever de détruire ce qui le méritait depuis longtemps et de réparer les ravages des colonnes infernales, on fait venir, comme jadis, d’habiles ouvriers, Espagnols, Portugais ou Italiens. Mais bientôt, on commence à penser à ceux de la rive opposée de la Méditerranée, aux anciens voisins partis là-bas. On n’a pas vécu ensemble si proches sans qu’il en reste des traces. Et puis démarrent là-bas tous ces grands chantiers destinés à reloger et occuper ces populations à la fois de retour chez elles et en quelque sorte déracinées, un peu comme les Pieds-Noirs en 1962 en métropole.

    Et si l’Histoire était vraiment un éternel recommencement ?

    Ajoutons, pour conclure cet édito, que l’auteur connaît parfaitement l’islam, et la stratégie de conquête, par le mensonge, la ruse ou la force, que ses livres sacrés imposent. Et qu’il a parfaitement compris ce à quoi rêvent des millions de musulmans installés en France, et les méthodes qu’ils utiliseront…

    Sachons savourer cette fiction, que certains trouveront pleine d’optimisme, et rêvons de vivre, un jour, certaines des scènes savoureuses contenues dans le livre d’Emmanuel Albach, et notamment la solution corse…

    Le Grand rembarquement cliquez là