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  • Naïveté, ignorance ou mensonge diplomatique ?

    Bernard Plouvier

    On imagine volontiers qu’il existe des musulmans austères, honnêtes et charitables, comme il en existe chez les chrétiens et les bouddhistes. On rencontre même ce genre d’individus chez les athées !

    Le Pape François, grand communicateur, mais aussi bizarre désinformateur, fait la Une des blogs du Net (et des rares journaux-papiers encore diffusés) avec sa casuistique – qui n’a guère de subtilité et moins encore d’originalité : « L’islam n’est pas le terrorisme » !

    On rejoint ainsi le discours mondialiste sur l’amalgame, jugé intolérable par les dévots de l’économie globale et du pétrodollar… cet amalgame estimé, au contraire, nécessaire par tous ceux qui ont lu et médité le coran et quelques volumes de hadîths.

    Certes, on veut bien reconnaître que Mahomet, homme des VIeet VIIe siècles, n’a pas vanté les mérites de la sainte Kalachnikov ou du précieux C4, ni conseillé d’utiliser les avions des lignes commerciales comme des engins de destruction massive, pas plus que les camionnettes-bélier. On imagine que l’archange Gabriel n’avait pas le don de préscience.

    Toutefois, les sourates 2,3, 8, 9, 10, 22, 47, 58, 59, 60 et 61 recommandent le djihâd – la guerre sainte – avec appropriation des biens des infidèles vaincus, qui doivent être exterminés s’ils refusent de se convertir. La sourate 4 exige la mise à mort des apostats de l’islam. Il y a de quoi terroriser des populations d’infidèles, confrontées à un islam sunnite fort et violent (les Arméniens ont éprouvé cette puissance de destruction en 1896-98 puis en 1915-16, comme l’avaient fait, en 1896 et en 1903, les Macédoniens orthodoxes).

    Le pape, jésuite de formation, donc a priori savant, doit avoir appris que le chiite Hassan ibn al-Sabbah (le Vieux de la Montagne) n’eut aucun mal, au XIe siècle, à créer une petite armée de terroristes, déjà gavés de haschich et de promesses d’un paradis fort terre-à-terre. Les Talibans sunnites et successeurs n’ont fait que reprendre une tradition ancestrale.

    En principe, avant de prononcer sa docte ânerie sur l’islam non terroriste, le pape a dû étudier les textes d’un prêtre particulièrement instruit en cette matière, puisqu’il vivait au contact des fanatiques austères du Sahara. Dans une lettre, datée du 29 juillet 1916, Charles de Foucault (béatifié en 2005, ce n’est pas si vieux que notre jésuite ait pu l’oublier) prévoyait une flambée de haine destructrice et meurtrière de l’islam, activée par les marabouts et autres imams, dès que fléchirait la volonté pacificatrice du colonisateur blanc.

    Le premier Guide suprême de la révolution iranienne, le sieur Khomeiny, pour l’élément chiite, le calife de Mossoul, Abou Bakr II, pour l’élément sunnite, ont représenté et représente toujours pour le second, les équivalents de ce qu’est un pape pour les catholiques. Et ces messieurs ont prêché la haine, le second prônant le terrorisme indifférencié, pouvant même toucher des musulmans – victimes innocentes et « dommages collatéraux » qu’allah est censé reconnaître et accueillir en son paradis.

    Tendre la joue gauche après avoir été cogné sur la droite n’est, certes pas, un principe de la boxe. Se défendre lorsqu’on est attaqué est parfaitement légitime. A contrario, nier que le djihâd fasse partie intégrante des commandements fondamentaux de l’islam, c’est du pur délire… que d’aucuns, commentateurs charitables, pourraient faire passer pour une naïveté angélique, digne du proto-christianisme, époque où chaque chrétien attendait soit la parousie, soit le martyre pour rejoindre le père supposé de l’humanité dans son paradis.

    Les Européens de souche, envahis et meurtris par l’islam conquérant, l’islam guerrier, l’islam terroriste, n’ont que faire de la naïveté évangélique. Ils ne doivent pas ignorer les principes de haine de leurs ennemis. La lecture du coran devrait être rendue obligatoire à tout électeur européen. Seule l’ignorance permet de croire en un islam de fantaisie, aimable et tolérant.

    Quant à la diplomatie, elle n’est utile qu’aux sectateurs de l’avatar moderne du veau d’or : le pétrodollar, qui est l’un des piliers de l’économie globale, telle qu’elle est comprise à Wall Street et à Washington, vénérée par les Obama et Clinton, pantins vénaux des vrais maîtres.

    Les temps de Léon XIII (l’homme de l’encyclique Rerum novarum) et de Pie XII (l’homme qui ordonné de sauver tant de proies convoitées par les nazis, dont une multitude de Juifs) sont révolus. Pour n’avoir pas compris cette triste réalité : l’évolution morbide d’un Vatican affairiste, Benoît XVI a été renvoyé comme un domestique trop usé.

    Mais, était-il nécessaire de salir le prénom du saint le plus vénéré, peut-être parce qu’il fut le plus masochiste et le plus naïf de la catholicité, pour se lancer dans la grande politique globalo-mondialiste ? Après tout, si même un athée peut reconnaître la grandeur spirituelle d’un être d’exception, un prélat devrait avoir un minimum de retenue lorsqu’il se lance dans la pire démagogie.    

     
  • Chrétiens d'Orient, musulmans d'Occident : deux poids, deux mesures

    Un tour d'horizon très éclairant pour notre avenir sur le sort des chrétiens d'Orient et le deux poids deux mesures qu'ils subissent, écrit par Patrick Karam, Docteur en Science politique, président de la Coordination des Chrétiens d'Orient en Danger (CHREDO), en collaboration avec Elie Haddad, médecin et vice-président de la CHREDO, pour le FigaroVox :

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    "Si les mouvements islamistes assassinent les Chrétiens en Orient, les convertissent par la force, les chassent de leur terre et les dépossèdent de leur bien, d'autres régimes à l'apparence plus «civilisés» les persécutent au quotidien dans le silence total de la communauté internationale, et singulièrement de l'Europe et de la France.

    Il est temps que l'Occident lève le voile qu'il s'est imposé afin d'affronter la vérité, celle des discriminations institutionnelles normalisées dans les règlementations et les pratiques que font subir aux différentes communautés en Orient, les Chrétiens en particulier, les islamistes en cravate qui dirigent le monde arabe.

    Les pressions exercées contre les chrétiens orientaux en raison de leur religion ont varié suivant les pays, les régimes et les moments. Une lecture historique et linéaire peut conduire à penser que la coexistence avec les populations musulmanes s'est faite de manière plutôt harmonieuse, avec quelques aléas suivant les périodes.

    Avant les crises, en Irak et en Syrie, les chrétiens ne subissaient pas de pressions, ni d'intimidations d'ordre religieux de la part de régimes autoritaires autre que la répression politique commune à tous les nationaux. Ainsi la liberté religieuse qui existait dans ces deux pays permettait aux Chrétiens de pratiquer leur rite en toute liberté, le statut de la femme était évolué, des conversions et des mariages mixtes étaient possibles et chacun pouvait vivre suivant sa religion ou sa culture. Il y a aujourd'hui une régression globale, tant en Irak, que dans une partie de la Syrie mais aussi en Egypte et dans l'ensemble du monde arabe.

    Dans la plupart des pays musulmans, les Chrétiens, pourtant présents depuis deux millénaires, ne peuvent occuper des postes de premier rang dans l'administration, l'armée ou la politique. En outre, différents métiers leur sont interdits et ils sont systématiquement écartés de toute prise de fonction qui leur donnerait une visibilité ou un pouvoir quelconque sur des musulmans. Parfois, ils ne bénéficient pas des avantages sociaux ou de l'accès à certaines universités. Ils sont les invisibles de la société et malheur à ceux qui voudraient contester les règles du jeu établies car la prison ou la mort sanctionneraient l'imprudent. D'ailleurs, même dans le cas où le délit n'existe pas, le blasphème, c'est à dire une critique de l'islam, réelle ou imaginaire, punit de mort le chrétien qui, sur simple dénonciation, sera lynché par des voisins. Dans certains pays, comme l'Egypte, la pratique de l'enlèvement, de la conversion et du mariage forcés de chrétiennes mineures étaient devenus monnaie courante.

    En Occident, les musulmans issus de l'immigration ont les mêmes droits et bénéficient de tous les avantages économiques et sociaux des pays d'accueil. En France, le RSA, les logements sociaux, les minimas sociaux, les différentes allocations, notamment familiale, la gratuité de l'enseignement de l'école à l'université ou de l'accès aux soins, les mêmes règles s'appliquent à tous. Même si la discrimination peut subsister dans les faits, les lois qui l'interdisent sont renforcées et l'Etat ou des autorités indépendantes veillent à leur application. Ils peuvent briguer tous les postes et parfois des campagnes de recrutements les visent particulièrement comme par exemple à la RATP. Ils peuvent manifester sur la voie publique leurs désaccords avec le pays d'accueil en toute liberté et leur liberté d'expression n'est pas bridée par des lois spécifiques.[...]"

    [Lire l'article entier ici]

    Marie Bethanie

  • Après « FORTIS m’a tuer ! », « DEUTSCHE BANK, le plongeon » ?

    Pieter Kerstens

    Petit devoir de mémoire : Les multiples mensonges, tergiversations, magouilles et autres prévarications entourant cette « affaire » ont finalement contribué à la chute du gouvernement Leterme le 19 décembre 2008 en Belgique.

    Comment cette saga ubuesque, concernant le premier groupe privé de bancassurance belge, a-t-elle bien pu aboutir à une crise politique majeure dont le plat pays se serait bien passé ?

    A première vue, RIEN de catastrophique ne devait arriver à FORTIS au début de l’automne 2007 -où personne en Belgique ne souhaitait évoquer la crise américaine des « subprimes »- alors même que les dirigeants de cette holding venaient de racheter le géant financier hollandais ABN-AMRO (précédemment convoité par BNP-PARIBAS).

    A cette époque, les politiciens se chamaillaient toujours pour se partager les ors du Pouvoir, après les résultats des élections de juin 2007 ! Il faut savoir que la formation d’un gouvernement en Belgique relève de la gageure, car les résultats électoraux étant à la proportionnelle, les choix pour les portefeuilles en jeu se font autour d’un « consensus » et le résultat se trouve souvent à l’encontre des souhaits des électeurs. C’est ce qui c’est passé pour le gouvernement d’Yves Leterme, lequel a été obligé de nommer des ministres socialistes (alors que le PS avait perdu beaucoup de suffrages) pour bénéficier d’une majorité à la Chambre, indispensable à la pérennité de l’Exécutif. Ceci n’a pu être réalisé qu’au début de 2008 !

    Pendant ces 9 mois consacrés à des palabres et des « négociations » partisanes pour se partager le gâteau, la tempête financière et bancaire dévastait les USA et les premières bourrasques soufflaient sur l’Europe. Ici et là, aux travers des médias, un articulet avertissait quand même les décideurs que l’horizon des plantureux bénéfices et dividendes astronomiques risquait de se boucher. Croyez-vous alors que les décideurs et nos gouvernements s’en seraient souciés ? Nenni braves gens !

    De leur côté, le comte Maurice LIPPENS et ses fidèles lieutenants (Votron, Verwilts, Mitler, Dierckx et consorts) aux manœuvres de la banque FORTIS avaient déjà procédé à une première dilution de capital et en préparaient une seconde pour trouver les deniers indispensables à régler la note de l’achat d’ABN-AMRO. Et là, la pilule passait déjà mal auprès de certains gros actionnaires, qui l’avaient fait savoir précédemment, en arguant que « la grenouille voulait se faire aussi grosse que le bœuf » ! Plusieurs s’en sont donc dégagés, anticipant une catastrophe qui se dessinait. Leurs témoignages ont été diffusés dans les médias, après le 6 octobre 2008.

    Par contre, pour les centaines de milliers d’actionnaires crédules, les millions de clients et les dizaines de milliers d’employés « tout allait bien Madame la Marquise », selon le refrain diffusé en boucle par les médias « aux ordres ».

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  • Alain Escada présente Civitas au micro de Radio Courtoisie

  • Hollande, le candidat qui piaffe d'entrer en campagne

    Dans des confidences à la presse, le chef de l'État a critiqué ses adversaires de droite, avec une évidente volonté d'en découdre.
    Nicolas Sarkozy pouvait souvent se lire à livre ouvert. C'est moins le cas avec François Hollande, plus pudique et corseté. Pourtant, mardi soir, dans les salons de la Maison des centraliens où il rencontrait la presse présidentielle, le «body language», le langage du corps, en a dit plus long que bien des discours: des demi-sourires pleins de sous-entendus, les yeux qui s'allument soudain, une gourmandise évidente dès que des sujets politiques ou ayant trait à la campagne présidentielle étaient abordés. «On sent qu'il trépigne, qu'il a envie de se jeter dans la bataille», observe l'un de ses proches.
    Lors de son propos liminaire, François Hollande s'est d'ailleurs livré à une véritable déclaration d'amour à la politique. S'adressant aux journalistes qui couvrent l'actualité de l'Élysée, il a appelé à traiter la politique et les responsables avec «égard». «La politique, il faut l'aimer, pour la faire et la traiter, a-t-il ajouté. Ce qui me surprend, c'est qu'il y a des politiques, des journalistes, qui n'aiment pas la politique, qui la voudraient différente. Personne n'oblige à en faire (ou à la couvrir, NDLR). La politique, il faut l'aimer. Même avec ses médiocrités. Car s'il n'y a pas de politique, il n'y a pas de démocratie.»
    Le chef de l'État en a profité pour envoyer une pique déguisée à son ambitieux ministre de l'Économie qui rêve de concourir à sa place en 2017. Il a fustigé ainsi ceux qui assurent pouvoir «faire de la politique autrement». «Comme si ça existait…», a-t-il soupiré. Pressé de questions, François Hollande a toutefois admis qu'il ne pouvait pas empêcher Emmanuel Macron de vouloir «faire de la politique». Mais il a rappelé les règles qu'il avait édictées le 14 juillet, sommant le ministre de défendre l'action du gouvernement et respecter le collectif.
    Au lendemain du meeting de Macron, à la Mutualité le 12 juillet, le chef de l'État avait sérieusement envisagé de le faire sortir du gouvernement. Hollande a hésité longtemps, jusqu'au matin du 14 juillet, soit quelques heures à peine avant son intervention télévisée. Mais, jugeant que Macron serait plus dangereux à l'extérieur qu'à l'intérieur de l'équipe ministérielle, il avait finalement renoncé. Mardi soir, le président a laissé entendre qu'il n'hésiterait plus: «Ça dépendra de ce qu'il dit», a-t-il mis en garde, en évoquant d'éventuels nouveaux meetings. «Si son agenda personnel est en contradiction avec l'agenda gouvernemental, il y aura un problème», a-t-il encore menacé.
    Sous les habits régaliens d'un président qui se veut garant de la sécurité des Français et de l'unité nationale, l'éventuel candidat n'était jamais loin, même si le chef de l'État a - sans surprise - refusé de se dévoiler. Hollande - dont la courbe de popularité a stagné en juillet, alors qu'elle avait fait un bond après les attentats de janvier et du 13 novembre 2015 - veut croire que cette séquence «historique» est en passe de changer la donne présidentielle.
    «Un candidat de gauche a plus de chances de gagner en disant ce qui est possible et ce qui ne l'est pas qu'en allant dans la fuite en avant», a-t-il ainsi observé, en répétant que la sécurité doit être assurée dans le respect de l'État de droit. «La question qui sera posée, c'est dans quel pays voulons vivre? (...) La limite, c'est la Constitution. Ce n'est pas une argutie», a-t-il lancé en réponse à Nicolas Sarkozy qui appelait à dépasser les «arguties juridiques» pour lutter plus efficacement contre le terrorisme. «Si, à chaque attentat, on dit “il faut une loi”, mais jusqu'où va-t-on aller?», a-t-il poursuivi, en mettant en garde contre toute «dérive autoritaire».
    En aparté, le chef de l'État a décoché quelques flèches contre ses adversaires de droite. Il a jugé que Nicolas Sarkozy avait été «trop vite et trop loin» dans ses critiques de l'exécutif après Nice. Il a également critiqué la position d'Alain Juppé, qui a semblé chercher le bon positionnement - sans jamais le trouver - au lendemain des deux attentats de juillet. «Quand vous êtes sur le ni-ni, c'est que vous n'êtes pas toujours très au clair», a estimé François Hollande. «C'est toujours mieux quand il y a une équipe de France capable de se retrouver sur l'essentiel et de ne pas faire des sujets de polémiques», a-t-il résumé.
    Pendant toute la rencontre, Hollande a joué au chat et à la souris avec la presse dès qu'il s'agissait de ses intentions présidentielles, qu'il dévoilera avant la fin de l'année. Quoi qu'il en soit avant le 15 décembre, date de clôture des candidatures à la primaire de la gauche. Évoquant son déplacement à Rio jeudi et vendredi pour défendre la candidature de Paris aux JO de 2024, il a expliqué que le CIO l'interrogeait sur la sécurité, notamment. «C'est dire la confiance qu'on me porte, a-t-il souri. C'est loin 2024…»

    Solenn de Royer Le Figaro :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuZpFpkZZAVAvZXFNr.shtml

  • La justice en France est-elle vraiment indépendante et impartiale ?

    "Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir", Jean de La Fontaine, Les animaux malades de la peste. Toujours d'actualité en France :

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    Philippe Carhon

  • Circus parade franchouillard et bourrage de crânes

    Bernard Plouvier

    Il faut s’y habituer : la France aura du mal à se remettre de la bêtise hollando-vallso-cazeneuvienne. Certes, le ridicule n’a jamais tué personne – en dépit d’un proverbe laissant croire le contraire -, mais les actuels clowns qui se pavanent dans les palais de la Ripoublique poussent fort loin la plaisanterie.

    Les media aux ordres nous tympanisent avec la grrrrande manifestation œcuménique de Lyon du samedi 30 juillet 2016, visant à combattre le fanatisme religieux… sans trop préciser que le seul fanatisme religieux que l’on connaisse en France depuis près d’un demi-siècle n’est que celui des hôtes musulmans du pays. De bien curieux hôtes en vérité, dont les « jeunes » tuent, pillent, violent, vandalisent, alors même que la Nation n’a jamais été consultée sur l’intérêt qu’il pouvait y avoir à recueillir de tels individus.

    Or cette manifestation « monstre » de solidarité interraciale (pardon : le terme correct est « interethnique ») et religieuse a regroupé moins de 400 personnes, ce qui fait assez peu pour la troisième ville de France. On y a beuglé quelques slogans fort bénins et juré de ne plus s’entretuer pour des raisons de monothéismes s’excluant mutuellement… un seul dieu, mais pas le même pour tous, c’est vrai que ça peut poser des problèmes, même dans un pays où existe, de façon constitutionnelle, une stricte séparation de l’État et des religions.

    Hélas, la Loi de 1905 n’avait pas prévu qu’un jour l’islam véhiculerait de forts relents de pétrodollars. Car ce bon Vespasien avait tort : l’argent a parfois de l’odeur… celle un peu musquée des roitelets islamo-pétroliers ou celle du haschich, sans compter l’odeur des sueurs froides de nos politiciens quand les maîtres du « lobby qui n’existe pas » menacent de brandir l’accusation rituelle « d’antisémitisme ». Avec ou sans parfum, l’argent et les suffrages sont bons à prendre lorsqu’un parti politique a de forts besoins de l’un et des autres.

    Alors, Loi de 1905 ou pas, on ferme opportunément les yeux, même devant certaines évidences et l’on flatte les super-riches dans le sens du poil, tantôt celui de la synagogue, tantôt celui des mosquées, les cathédrales n’intéressant plus guère les politiciens depuis le suicidaire concile Vatican II qui a vidé les églises de France.

    Pourtant, la manifestation la plus importante du 30 juillet n’était pas la mini-parade lyonnaise, qui a focalisé l’attention des media domestiqués. C’est près d’une gare parisienne (enfin, il paraît qu’elle est « parisienne »… à dire vrai, la dominante de sa fréquentation évoque plutôt un autre continent), qu’avait lieu une véritable manifestation « à la française », dans sa version actuelle, c’est-à-dire mondialiste.

    Là, en effet, un millier d’individus vengeurs ont hurlé leur haine de la police française, parce qu’un Noir était mort quelques heures après avoir été arrêté par des policiers. On sait, grâce à deux autopsies, que ce monsieur est mort d’une maladie non rare chez le Noir africain : une cardiomyopathie hypertrophique (une maladie cardiaque, génétiquement induite, où l’on meurt de troubles du rythme, à l’occasion d’un effort ou d’une forte émotion)… la seule « bavure » dans cette triste histoire est d’ordre médical et non policier. Bien suivi médicalement, cet homme aurait eu sa maladie diagnostiquée à temps et traitée de façon efficace, comme on sait le faire depuis plus de trente ans.

    Il est plus simple de fermer les yeux sur le motif de l’interpellation (car, après tout, la police française n’arrête personne sans une bonne raison) et sur la négligence médicale du patient et de sa famille. Il est évidemment plus facile de beugler une fois de plus au « Racisme » des Français, alors que le seul racisme constaté quotidiennement en France depuis une trentaine d’années est le Racisme Anti-Blancs.

    Le 30 juillet 2016, il y eut en France, deux manifestations : l’une de soi-disant fraternité, l’autre de haine anti-policière. La seule question à laquelle aucun journaliste ne répondra jamais (d’autant plus qu’il ne se la posera même pas) est celle-ci : où était la sincérité ? Celle de musulmans osant dire que l’islam n’est pas une religion de haine dirigée contre les infidèles ou celle des Africains venus crier vengeance ? Les uns jouaient aux bons apôtres ; les autres exigeaient une bizarre conception de la « justice ».

    La seule juste mesure serait de demander aux contribuables français, seuls souverains légitimes de l’État, leur avis sur l’immigration extra-européenne et sur l’opportunité du retour de ces messieurs-dames dans leurs continents d’origine. On en est (hélas !) fort loin.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Expulsion de l'église Sainte Rita de Paris