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  • Les gueux et le milliardaire

    On sait ce qu’il en coûte en Europe de proposer des référendums ou de laisser des partis populistes se présenter aux élections : du récent Brexit d’Outre-manche à l’élection présidentielle autrichienne qui se rejouera en automne… en passant par la France où le Front national caracole en tête des urnes, les médias ont beau médire, les politiciens ont beau affoler, les candidats « hors Système » ou plutôt « anti-Système » sont là et bien là !

    L’exemple de Donald Trump dans l’actuel course présidentielle aux USA le confirme. Pas un jour sans que les médias (surtout français, mais pas que !) ne s’affolent d’un de ses bons mots ou d’une de ses tirades sacrilèges, annonçant aussitôt soit sa dégringolade dans les sondages, soit qu’il est lâché par des ténors du  GOP (en anglais : Grand Old Party). Seulement… rien n’y fait, il est toujours dans la course et plus que jamais.

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  • Il n’y a pas de « vivre-ensemble » possible avec l’islam

    « Vivre ensemble » : telle est l’ardente obligation que la propagande officielle veut imposer aux Français ! Discours politiques et associatifs, chartes d’entreprise, (dés)informations médiatiques, séries télévisées, films, publicités : tout doit y concourir, tout y concourt !

    « Vivre ensemble », c’est l’injonction politiquement correcte pour faire accepter aux Français de vivre dans une société multiraciale et multiculturelle.

    Seulement voilà : le « vivre-ensemble » avec l’islam est impossible. Pour une raison simple : le « vivre-ensemble » exige la réciprocité dans les relations (le don/le contre-don) et l’islam ignore la réciprocité.

    Ainsi, si vous invitez un pieux musulman chez vous il sera courtois de ne pas lui proposer du cochon et de l’alcool. Mais si vous êtes invité chez lui vous n’aurez pas d’autre solution que de manger halal.

    Lorsqu’une union rapproche un homme et une femme de confessions différentes, chacun peut garder sa religion ou l’un ou l’une adopter la religion de l’autre. Mais un non-musulman qui veut épouser une musulmane doit se convertir au préalable, tout comme la non-musulmane qui voudrait épouser un musulman. Avec l’islam la conversion est toujours à sens unique. Tout comme l’instruction religieuse des enfants. C’est l’islam qui impose sa loi !

    Il en va de même pour la vêture des femmes : l’Européen individualiste et tolérant sera tenté d’accepter, au nom des libertés individuelles, le voile islamique, la burka et le burkini, sans voir que le voile islamique rabaisse au statut de proies les femmes habillées plus légèrement. Le voile et la minijupe ne sont pas compatibles, comme on le voit dans les quartiers islamisés. Le burkini et le bikini ne sont pas davantage compatibles, comme on l’a vu sur les plages corses. Tolérer l’expansion des mœurs musulmanes c’est, à terme, renoncer à notre mode de vie. L’Orient musulman et l’univers européen s’opposent radicalement sur la conception des rapports hommes/femmes comme sur la représentation de la figure ou du corps humain.

    Dans une société urbaine policée chacun se préoccupe du bien-être de son environnement. Il est d’usage, quand on organise une fête amicale ou familiale, de prévenir son voisinage et de limiter le bruit produit tant dans l’intensité que dans la durée. Mais un maire qui a voulu rappeler ces règles de bon sens (et de droit sur le tapage nocturne) lors du ramadan s’est vu accusé d’ « islamophobie ». Le carême catholique est un choix individuel qui ne s’impose pas aux autres ; le ramadan est une fête collective que chacun doit pratiquer ou subir pendant un long mois lunaire.

    Le crime de Saint-Etienne-du-Rouvray est emblématique des relations entre l’islam et le catholicisme. Dans un esprit œcuménique le bon curé avait proposé un terrain à côté de l’église pour construire une mosquée. Démographie et ardeur militante ont fait le reste : Saint-Etienne-du-Rouvray est devenue une commune à majorité musulmane, terre d’islam, en quelque sorte, d’où il est logique, comme en Orient musulman, d’évincer les catholiques : l’égorgement du prêtre par des terroristes de l’Etat Islamique n’est rien d’autre que la traduction symbolique de ce constat.

    Encore une fois l’islam ignore la réciprocité : le Coran reconnaît la terre d’islam où la loi islamique (la charia) doit d’appliquer, et la terre de la guerre où le « djihad », sous une forme ou sous une autre, doit être mis en œuvre. Le Coran enseigne le combat contre les autres religions, non le respect mutuel.

    En conflit partout dans le monde – contre les chrétiens, les bouddhistes, les hindouistes, les païens, les animistes – l’islam ignore l’œcuménisme, la tolérance et le dialogue avec les autres.

    Il n’y a pas de « vivre-ensemble » possible avec l’islam. La résistance est la seule alternative à la soumission.

    Vivent les Corses !

    Jean-Yves Le Gallou, 18/08/2016

    Nota bene :
    Il est possible que certains organismes parasitaires subventionnés ou financés par Soros trouvent matière à poursuivre cet article. Il est possible que des parquetiers serviles les suivent. Qu’ils sachent qu’ils ne seraient pas déçus du voyage !

    http://www.polemia.com/il-ny-a-pas-de-vivre-ensemble-possible-avec-lislam/

  • D’Atlanta à Rio, la face cachée des médailles olympiques

    Alors que les jeux de Rio se sont clôturés ce dimanche et que notre très cher président recevait mardi nos médaillés à l’Élysée, nous avons souhaité revenir sur les résultats de cette 33ème olympiade de l’ère moderne.

    Nous avons pour cela replacé ces Jeux dans le contexte de ces vingt dernières années. Vingt années et six olympiades qui révèlent bien des surprises sur la nature exacte des Jeux olympiques. Car bien au-delà du côté sportif, c’est en effet sur un tout autre plan que les nations du monde s’affrontent.

    Explications.

    Petit rappel historique des jeux olympiques

    Les jeux olympiques antiques

    Les Jeux olympiques tirent naturellement leur origine des jeux olympiques antiques, qui se sont étendus sur près de mille ans, du VIIIème siècle avant J.C. au Vème siècle après J.C. Courses hippiques, lancer de javelot, saut en longueur, course à pied et lutte constituaient l’essentiel des épreuves de ces jeux. Limités géographiquement au monde hellénique, ils voyaient s’affronter entre-elles, non pas des nations bien sûr, mais les cités grecques. Déjà à l’époque il s’agissait pour chaque cité de faire valoir sa suprématie sur les cités voisines.

    Les jeux se sont peu à peu perdus au cours des années, jusqu’à tomber dans l’oubli. Il faudra attendre la fin du XIXème siècle pour voir les jeux renaître de leurs cendres.

    Pierre de Coubertin

    De son vrai nom, Charles Pierre Fredy de Coubertin, le baron de Coubertin était à la fois historien et pédagogue. Passionné de sport, il s’est très tôt consacré à sa promotion. La vision de Coubertin était de favoriser l’activité sportive scolaire. Et c’est pour rendre sa pratique plus populaire qu’il eut l’idée de l’internationaliser. Cet élan de mondialisation avant l’heure allait donner naissance à la grande œuvre du Baron, les « Jeux olympiques modernes ».

    Très productif, Pierre de Coubertin est aussi le dessinateur du drapeau olympique. Constitué de cinq cercles (symboles d’union), pour chacun des cinq continents réunis lors des Jeux, il sera hissé pour la première fois en 1920, aux Jeux d’Anvers, en Belgique. Chose étonnamment méconnue, c’est également à lui que l’on doit le dessin du fameux «bouclier de Brennus », le trophée encore décerné aujourd’hui au vainqueur du championnat de France de rugby.

    Si Pierre de Coubertin a un temps soutenu le choix de Paris comme première ville hôte, la valeur symbolique de la ville d’Athènes finira par emporter les suffrages. Et c’est ainsi que le  le roi Georges Ier de Grèce ouvrait officiellement les premiers Jeux olympiques de l’ère moderne. S’en suivront 30 olympiades (1), jusqu’au Jeux de Rio.

    De la première pierre à Athènes, à la chute du mur de Berlin

    Il est étonnant de constater qu’un grand nombre de disciplines, telles que le water-polo, le tennis, le golf, le cyclisme sur piste ou encore le football, étaient déjà présentes dès la seconde édition des jeux en 1900. Le nombre d’épreuves lui, par contre, est progressivement passé d’une centaine environ lors des premières olympiades, à plus de 300 aujourd’hui. Ce nombre croissant de médailles n’est pas anodin, car il a permis, au fil des années, de pondérer les résultats. C’est ce qui nous permet aujourd’hui d’en avoir une analyse statistique, comme nous allons le voir plus bas.

    La chute du mur de Berlin (le 9 novembre 1989) et la dissolution du Pacte de Varsovie (le 1er juillet 1991) ont considérablement modifié la géopolitique du sport. Les Jeux de Barcelone, en 1992, furent les premiers Jeux de l’après guerre froide,  mais la Russie n’y a pourtant pas participé en tant que nation. C’est l’équipe unifiée de l’ex-URSS qui y représenta l’ensemble des pays de l’ex-URSS. Aussi notre étude se base-t-elle sur les six olympiades suivantes, de 1996 à 2016, pour prendre comme cadre une situation géopolitique stable.

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  • Le suicide démographique de l'Europe dénoncé au Medef

    Jean-Michel Boussemart est délégué général de Coe-Rexecode, un institut d'études économiques, et Michel Godet, membre de l'Académie des technologies et vice-président de la Fondation MMA des entrepreneurs du futur. Cet article a été écrit à l'occasion de l'atelier «Démographie: un atout pour la France», dans lequel interviendra Michel Godet le 31 août prochain à l'université d'été du Medef. Ces deux personnes invitent l'Europe à pratiquer une politique de quotas en fonction des besoins du marché du travail et à encourager la relance de la fécondité.

    Quel silence assourdissant face au suicide démographique de l'Europe à l'horizon 2050! Les projections démographiques des grandes régions du monde d'ici là sont connues et réévaluées tous les deux ans par les Nations unies et régulièrement par Eurostat pour les seuls pays de l'UE, mais il faut être un spécialiste des bases de données pour s'en servir. De fait, personne n'en parle, surtout à Bruxelles où l'on préfère produire des rapports sur les révolutions technologiques [...]"

    La table ronde du Medef abordera ces sujets :

    • Force française, faiblesse allemande ?
    • Le taux de natalité idéal existe-il ?
    • L’immigration peut-elle compenser la dénatalité ?
    • Lorsque l’enfant paraît...Quels effets sur la consommation ?
    • Mais comment rester en bonne santé démographique sur fond de croissance en panne et de chômage de masse ?
    • Comment faciliter l’insertion des jeunes sur le marché du travail ?
    • Comment garder nos jeunes talents en France ?
    • Quelle politique familiale ? Quelle politique du logement ?
    • Plus d’enfants et plus de vieux... quelles solutions pour résoudre l’équation et ne pas battre en retraite ?

    Michel Janva

  • Face aux USA, la Turquie se couche et la France aussi !

    Le roi turc est nu.

    Usure du pouvoir, quand tu nous tiens. Louis XIV et Francisco Franco en savaient pourtant un sacré bout de rayon de bicyclette. Ainsi, Recep Tayyip Erdoğan, ancien Premier ministre turc et aujourd’hui président du défunt Empire ottoman, soit l’homme à qui tout réussissait et qui, aujourd’hui, se retrouve coincé en une impasse sans issue.

    Pourtant, tout avait si bien commencé. La fraternité fondée par Fethullah Güllen était la première caution religieuse du régime. Cet imam a toujours pratiqué un islam d’ordre soufi, fortement teinté de syncrétisme islamo-chrétien et sans la moindre ombre de velléité d’ordre politico-religieux ; caution qui lui fut retirée après la très virile répression des émeutes de la place Taksim. À la suite du putsch ayant manqué de peu d’ébranler le régime d’Ankara, 20.000 membres de cette confrérie auraient été emprisonnés ou seraient en passe de l’être… 20.000 ? C’est tout de même beaucoup? pour un putsch étouffé en une seule soirée…

    Et le même président, prenant un journaliste du Monde, ce mois d’août dernier, pour l’andouille de l’année, de mentir au-delà du raisonnable, assurant que la majeure partie des morts civils syriens seraient dus au seul régime en place et que la confrérie Güllen serait d’essence terroriste, alors qu’on ne saurait lui imputer la moindre violence. Qui peut croire à pareille fable ?

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  • La propagande du Monde, un cas d'école

    Le 20 juillet dernier paraissait dans Le Monde un article [1] censé démontrer que la déclaration de Bernard Monot (député européen FN) sur une carte utilisée par des migrants était une "intox".
    Malheureusement pour le journal, cette déclaration était en tout point exacte, ce qui n'a pas empêché Le Monde de produire un article de pure propagande
    La déclaration de Bernard Monot

    « Voici un exemplaire de carte bleue délivrée par le Ministère de l’intérieur aux "demandeurs d’asile". Cette carte permet d’effectuer des retraits pouvant aller, selon les cas, jusqu’à presque 40euros par jour (en fonction de la taille de la famille) !
    Je vous laisse le soin d’apprécier votre générosité à l’égard de vos
    futurs voisins de paliers.
    Avec Marine Le Pen et le Front National ce sont les FRANÇAIS D’ABORD ! » [2]
    Le faux « décodage »
    Le journaliste qui traite cette déclaration du responsable FN est Samuel Laurent. Il travaille pour une section du journal appelée « Les Décodeurs » dont le slogan est « Venons-en aux faits ».
    L'annonce est claire et sans ambiguïté. Pour Le Monde, cette déclaration du député européen du Front National est fausse.

    Or, chaque point de la prétendue « désintoxication » vient confirmer les propos de Bernard Monot !
    Les deux affirmations de Bernard Monot sont les suivantes :
    - « Carte bleue délivrée par le Ministère de l’intérieur aux "demandeurs d’asile" »
    - « Cette carte permet d’effectuer des retraits pouvant aller, selon les cas, jusqu’à presque 40euros par jour (en fonction de la taille de la famille) »
  • Le gouvernement veut taxer la femme au foyer pour sa protection sociale !

    Ce n’est pas la première attaque – loin s’en faut ! – de ce gouvernement contre la famille, mais c’est en tout cas l’attaque aux répercussions financières les plus importantes dirigée principalement contre les familles dont la femme a décidé de ne pas travailler pour s’occuper de ses enfants. Dorénavant, loin d’être récompensée ou du moins laissée tranquille, la famille va être taxée jusqu’à 8% des revenus non professionnels du foyer. Par exemple, une famille qui a un appartement en location devra payer 8% des revenus locatifs soit disant pour assurer la protection sociale de la mère !

    C’est une nouvelle façon d’obliger les femmes à aller travailler : voici la conception de la liberté de la femme à la sauce maçonnique !

    Le site contribuable.org l’explique très bien :

    En toute discrétion, le gouvernement est en train de supprimer le statut d’ayant droit d’un assuré social pour le remplacer par celui de bénéficiaire de la « protection universelle maladie ».

    Concrètement, cela signifie l’extension du principe de la CMU à tous ceux qui, jusqu’à présent, bénéficiait de la sécurité sociale en tant qu’ayant droit.

    Ainsi, le conjoint qui ne travaille pas et était ayant droit sous le numéro de sécurité sociale de celui qui travaille, sera désormais affilié personnellement à la sécurité sociale, avec son propre numéro, au nom de ladite protection maladie universelle. Outre le fait qu’il s’agit là d’une étape supplémentaire vers l’explosion de la cellule familiale, l’inconvénient de la réforme est qu’elle s’accompagne bien entendu de la création d’une nouvelle cotisation…

    En effet, alors que le conjoint ayant droit bénéficiait jusqu’à présent gratuitement de la sécurité sociale, il sera désormais soumis à une cotisation de 8 % s’il perçoit des revenus non professionnels (loyers, redevances, dividendes…) d’un montant supérieur à environ 9 650 € par an.

    Ainsi, la femme au foyer qui touche des loyers au titre de ses biens propres, mais aussi au titre des biens de son mari s’ils sont sous un régime de communauté, paiera désormais une cotisation de 8 % sur la part des revenus qui excède 9 650 €, soi-disant pour financer sa sécurité sociale.

    Ce qui est pour le moins injuste car, rappelons-le, ces mêmes revenus du patrimoine ont déjà subi 15,5 % de prélèvements sociaux précisément pour financer notre système de protection sociale !

    Il s’agit donc, ni plus ni moins, que de la création d’une nouvelle cotisation de 8 % sans aucun droit supplémentaire et sans aucune contrepartie, qui vise avant tout les familles, spécialement celles qui ont choisi d’avoir des enfants et décidé pour cela de valoriser le rôle de la mère au foyer.

    Et à n’en pas douter, cette barre de 9650 € sera abaissée au fur et à mesure, tandis que le taux de 8% augmentera petit à petit, le tout fonctionnant comme une mâchoire fiscale de destruction familiale invincible. Si aujourd’hui peu sont concernés, beaucoup le deviendront dans les années qui viennent. La bonne vieille technique du voleur chinois adaptée à la politique…

    Pour le moment, une parade pour les mères de famille est de s’inscrire en tant qu’auto-entrepreneur pour réaliser une petite activité rémunérée à domicile et bénéficier ainsi de la protection sociale du RSI. Pour échapper à ce nouveau racket gouvernemental, il faut réaliser par cette activité un chiffre d’affaire de 10% du PASS, soit pour 2016 un CA de 3861 €.

    http://www.medias-presse.info/le-gouvernement-veut-taxer-la-femme-au-foyer-pour-sa-protection-sociale/60118