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  • Libéralisme, qu’allons-nous faire de toi ?

    Philosophie protéiforme à l’origine de nombreux malentendus et incompréhensions, le libéralisme est une notion sur laquelle les souverainistes butent dans la perspective de 2017. En nous appuyant sur la pensée féconde de Guillaume Bernard, les notions viennent naturellement éclairer le flou obscur qui entoure cette question.

    Né à la suite du grand chamboulement dans l’histoire des idées politiques que constituent la Renaissance et les notions d’humanisme, le libéralisme apparaît dans l’esprit de philosophes anglais au XVIe siècle — Hobbes, Locke, Burke. Il vient en opposition avec les idées dites classiques qui prévalaient jusqu’ici dans le monde antique puis dans la société chrétienne : ainsi, les corps sociaux comme la société, la famille, la nation sont des manifestations d’un ordre naturel des choses supérieur à l’Homme. Le libéralisme s’inscrit, en effet, dans la vision moderne d’une construction contractualiste de l’ordre social : tous ces corps sociaux cités plus haut ne sont que des abstractions décidées par l’Homme, dont la volonté guide tout, faisant ainsi le lit au développement de l’individualisme.

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  • Gilles Lebreton dénonce la contre-attaque de l'UE contre le référendum hongrois

  • Ces « jeunes » de Sarcelles qui préfèrent nourrir des migrants plutôt que des SDF

    Les « jeunes » du quartier des Sablons, à Sarcelles, ont choisi des relever le défi que leur avait lancé ceux du quartier des Vignes blanches sur Facebook. La semaine dernière, ces derniers ont préparé des repas qu’il sont ensuite allés distribuer aux migrants qui dorment dehors à Paris.

    Ils ont filmé le tout et lancé leur proposition. Les « jeunes » des Sablons ont relevé le défi ce mercredi soir. Après avoir préparé des sandwichs, qu’ils ont financés, il sont allés à Stalingrad pour les distribuer. Là aussi, une vidéo de l’évènement a été tournée pour pouvoir lancer le même défi à un autre quartier de Sarcelles.

    On aurait bien aimé voir une telle solidarité se mettre en place pour aider les SDF qui crèvent depuis des années dans la rue…

    http://fr.novopress.info/200916/ces-jeunes-de-sarcelles-qui-preferent-nourrir-des-migrants-plutot-que-des-sdf/

  • Le roman national est une invention républicaine née de l’absence du roi

    De Stéphane Blanchonnet, Président du Comité directeur de l’Action française :

    6a00d83451619c69e201b7c89c225d970b-250wi.png"Le roman national est une invention républicaine née de l’absence du roi. Il a fallu substituer à l’incarnation vivante de notre histoire qu’était le monarque un récit mobilisateur censé donner des couleurs et de la chair au contrat social.Cette nécessité était d’autant plus grande que s’ajoutait à l’absence du roi la destruction des corps intermédiaires (provinces, corporations), éléments également fondamentaux de l’identité française sous l’Ancien Régime. Aujourd’hui, après l’accélération du déracinement entraîné par l’exode rural, la fin des terroirs et l’américanisation, après des décennies d’immigration de masse qui disloquent d’une autre manière le corps de la nation, le roman national serait plus nécessaire que jamais. Mais c’est justement le moment choisi par la République pour l’abandonner ou plutôt pour le remplacer par un roman noir, repentant, où la France n’est plus exaltée mais rabaissée. 

    Si l’Action française reconnaît la nécessité du roman national, qui apparaît, au même titre que le nationalisme, comme une sorte de régence en attendant le retour de la monarchie, elle en voit aussi les failles et les limites. Le récit proposé par la défunte IIIe République n’était syncrétiste que pour une part et tendait aussi à relativiser l’action déterminante des Capétiens dans la constitution de la France, notamment à travers la formule « nos ancêtres les Gaulois ». La France est en réalité le résultat de l’action de la dynastie nationale sur une matière première gauloise ou plutôt gallo-romaine pré-existante, mais dont la destinée aurait pu être tout autre, aucune frontière n’étant absolument naturelle comme le rappelait Jacques Bainville. Pour les maurrassiens, l’identité française se présente comme un composé dont chaque élément (le celtique, l’helleno-latin, le chrétien) compte, mais qui tire son unité et sa vitalité du mouvement organisateur initié par les Capétiens, qui ne pourra être repris durablement que par eux"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • EUROPA - Robert Steuckers

    EUROPA - Robert Steuckers
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  • Le FMI redoute une montée du protectionnisme

    Le FMI prévoit une croissance mondiale de 3,1% cette année, de 1,7% dans la zone euro et de 1,3% en France, une croissance trop lente qui pourrait alimenter le protectionnisme. Les perspectives des pays émergents s’améliorent légèrement alors qu’elles tendent à s’essouffler dans les économies avancées.

    Les nouvelles prévisions de croissance économique pour l’ensemble des 191 pays membres du Fonds monétaire international ne sont guère enthousiasmantes. «Prise comme un tout, l’économie mondiale avance comme un crabe», estime Maurice Obstfeld qui a présenté ce mardi à Washington sa copie. Par cette expression imagée, l’économiste en chef du FMI exprime les déceptions à répétition de l’organisation financière internationale qui passe au peigne chaque semestre, au printemps et à l’automne, les perspectives économiques de la planète.

    Cette année le PIB mondial devrait progresser globalement de 3,1% , et de 3,4% en 2017. De tels rythmes peuvent sembler certes fort satisfaisants à l’aune des taux de croissance que connaît par exemple l’Europe depuis une dizaine d’années. Sauf qu’ils se rapportent à l’économie mondiale dans son ensemble. Or compte tenu du rattrapage des pays émergents et des besoins des économies en développement, les experts considèrent qu’en deçà d’un taux de 2,5%, l’économie mondiale est quasiment en récession.

    Il est donc essentiel de bien distinguer les 39 pays avancés (États-Unis, Europe, Japon, etc) qui devraient pour leur part progresser de 1,6% en 2016 (et de 1,8% en 2017), alors que les 151 autres économies, de la Chine à l’Afrique, afficheront cette année une augmentation globale de leur PIB de 4,2%. Le FMI rappelle par ailleurs que ce second groupe – les émergents ou «en développement» – pèse désormais 57,6% de l’économie mondiale, contre 42,4% seulement pour les pays avancés.

    Croissance du PIB américain revue à la baisse

    Or c’est principalement pour ces derniers que les perspectives ne cessent de décevoir, non seulement les experts, ce qui n’a guère importance en soi, mais surtout leurs populations. «Le spectre d’une stagnation persistante, particulièrement dans les économies avancées, pourrait nourrir les appels populistes et les restrictions des échanges sur le commerce et l’immigration», reconnaît Maurice Obstfeld.

    Le FMI a ainsi été amené à revoir en forte baisse, à 1,6%, la croissance du PIB américain en 2016, au lieu des 2,4% envisagés en avril dernier. La raison tient semble-t-il à la faiblesse des investissements des entreprises. Pour l’Europe la situation n’est guère plus souriante. La reprise qui avait atteint 2% dans la zone euro en 2015 tend à s’essouffler, retombant à 1,7% cette année et 1,5% l’an prochain. Au passage on remarque que la France se situe en deçà de la moyenne européenne, avec un taux de croissance d’à peine 1,3% pour les trois années 2015-2016 et 2017. Quant au Royaume-Uni, plutôt bien loti ces dernières années (2,2% de croissance en 2015), le FMI prévoit que le Brexit commencera réellement à mordre l’an prochain, ce qui l’a amené à diviser par deux sa prévision de croissance pour l’économie britannique en 2017 (1,1%).

    Pour les pays émergents ou en développement, l’horizon tend en revanche à s’éclaircir. «La croissance va s’accélérer pour la première fois depuis six ans, à 4,2% en 2016, et l’an prochain elle est attendue à 4,6%». La Chine continue d’enregistrer une légère baisse de régime du fait de son évolution délibérée d’une économie hyperindustrielle vers une société mieux orientée sur les services. Le PIB chinois qui avait progressé de 6,9% en 2015, devrait croître de 6,6% cette année et de 6,2% en 2017. L’Inde continue de caracoler en tête de tous les «grands pays» (terme du FMI) avec un taux de croissance de 7,6% pour les trois années sous revue.

    Le tableau reste fort contrasté sur les autres continents. La Russie sort péniblement de la récession (1,1% de croissance 2017), tout comme le Brésil (0,5%) . Mais le Nigeria voit son économie se contracter de 1,7% cette année , l’Afrique du Sud stagner (+0,1%), et le Venezuela s’enfonce dans la dépression , son PIB aura plongé de 10% en 2016 .

    Les pays pétroliers continuent de souffrir (1,1% de croissance à peine en Arabie Saoudite), même si la stabilisation des prix du pétrole laisse entrevoir des jours un peu meilleurs. De même le paysage est disparate dans l’Afrique saharienne pénalisée par la chute des matières premières. Quelques pays s’en tirent toutefois plutôt bien, l’Éthiopie, le Kenya et le Sénégal parvenant à croître de plus de 5% l’an.

    Huit ans après la grande récession de 2008-2009, «la reprise mondiale reste faible et précaire», estime le FMI. Il en appelle les gouvernements à mener «des politiques coordonnées», et surtout à ne pas fermer leurs frontières. «Il est vital de défendre les perspectives d’intégration dans le commerce mondial», recommande Maurice Obstfeld, l’économiste du FMI dont les bureaux se situent à quatre blocs de la Maison Blanche à Washington.

    Le Figaro

    http://www.voxnr.com/4163/fmi-redoute-montee-protectionnisme

  • La commune d’Amilly accueillera-t-elle des migrants ?

    La réponse est tombée mardi dernier par voie de presse, mettant les loiretain(e)s devant le fait accompli, sans aucunes consultations, montrant ainsi  l’état d’urgence et de submersion que produit ces afflux de clandestins.
    Voici la Tribune Libre de vos élus FN, parue ces jours ci dans le bimensuel  « Espace Amilly » n°192 de Novembre-Décembre 2015, avant l’arrivé « surprise » des illégaux:
    La commune d’Amilly accueillera-t-elle des migrants ?
    Nous l’ignorons, mais c’est une éventualité, car le déferlement des clandestins et l’incurie du pouvoir sont tels que tout doit être envisagé.
    De toute façon, officieusement, nous serons touchés puisque l’immigration clandestine est insidieuse et de surcroît rien n’est fait pour la combattre. Dans le montargois, nous savons…Les contribuables assumeront !!
    Le Front National n’est pas une ONG, une organisation caritative. Non ! Le FN est appelé à diriger la France et à ce titre, il doit la gérer en bon père de famille : ne pas dépenser plus que nous avons, c’est élémentaire. Mais depuis des décennies, il semble que nos dirigeants n’ont pas bien compris le système.
    Les premiers clandestins sont arrivés en France et sont déjà installés : les français peuvent attendre des mois pour un logement, eux, ils l’ont immédiatement ! Nos petits vieux, qui ont cotisé durant des lustres ne mangent pas de viande tous les jours ? Qu’importe, les immigrés récents touchent tout de suite le RSA ! Même le patron du secours catholique proteste !
    Il faut être sérieux ! Les nôtres avant les autres ! Et puis, si les donneurs de leçon veulent aller jusqu’au bout de leurs idées, qu’ils hébergent ces sans-papiers chez eux et à leurs frais !
    Le Front National refuse d’accueillir quiconque à Amilly. D’ailleurs nous n’en avons pas les moyens. Monsieur le Maire n’a-t-il pas dit qu’il ne pouvait pas baisser les impôts car il avait des investissements importants à réaliser !
    L’équipe Amilly Bleu Marine.

  • 16 octobre : Manif Pour Tous de Porte Dauphine au Trocadéro

    6a00d83451619c69e201bb093ff67e970d-800wi.jpgRDV le 16 octobre à 13h à la Porte Dauphine ! 

    Nous rejoindrons le Trocadéro où un podium sera installé. Des écrans géants et une sonorisation permettront à chacun de suivre l'ensemble de l'animation. Pour des raisons de sécurité, pour favoriser la bonne gestion des flux et réduire le temps d'attente (nous serons nombreux !), l'accès à la manifestation se fera depuis la Porte Dauphine.

     

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    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/10/16-octobre-manif-pour-tous-de-porte-dauphine-au-trocad%C3%A9ro.html

  • François et la théorie du genre : surprise, le pape est... catholique !

    Le pape François a estimé que la théorie du genre était une « colonisation idéologique ». Gérard Leclerc expose comment la gauche s'est trompée en croyant que l'évêque de Rome obéissait aux canons du progressisme. [Figarovox - 4.10]

    Le pape François a vivement critiqué les manuels scolaires qu'il juge imprégnés par la théorie du genre. Il a employé des termes forts, notamment celui de « colonisation idéologique ». Cela vous étonne-t-il ?

    Ce n'est pas la première fois qu'il emploie le terme de colonisation. J'ai le sentiment que, comme Argentin, le pape a une sensibilité à vif sur ces phénomènes d'intoxication idéologique à grande échelle que le continent sud-américain a historiquement bien connus. On importe sur certains continents des idéologies venues d'ailleurs.

    Par ailleurs, on sait que le Vatican est un lieu de réception tout à fait exceptionnel de l'information à l'échelle planétaire car Rome est au centre de réseaux divers, diplomatiques mais pas seulement, qui couvrent le monde entier. Je ne pense pas que ce soit sans biscuit que le pape s'est embarqué ainsi. Il y a un tas d'informations qui lui remontent du monde entier sur cette idéologie du genre qui fait partout des ravages.

    À gauche, Najat Vallaud-Belkacem a rapidement réagi, expliquant que le pape avait été victime d'une campagne de désinformation. Cela vous paraît-il crédible ?

    Non, pas du tout. Il y a deux choses néanmoins. Il y a le fait que le pape se réfère à un témoignage personnel venu de France : un papa qui a été très étonné de la réaction de son fils quand celui-ci lui a dit qu'il voulait devenir une fille. D'après le père en question, cela venait de l'école. Mais au-delà de ce témoignage personnel, n'oublions pas que c'est en 2011 sous le ministère Chatel que les manuels scolaires de Sciences & Vie de la Terre ont introduit en classes de Première quelques éléments de la théorie du genre. Il ne faut pas non plus sous-estimer l'enseignement direct. Souvent, les professeurs eux-mêmes transmettent ces idées-là à leurs élèves. Ce n'est d'ailleurs pas étonnant car ce sont des idées qui courent le monde.

    Le ministre de l'Éducation nationale a ajouté que la théorie du genre n'existait pas. Ces idées qui courent le monde et que vous venez d'évoquer sont-elles assumées ouvertement ?

    Certains journaux de gauche sont quand même gonflés ! Ils nous ont vanté depuis le début de notre jeune siècle les mérites de Judith Butler, intellectuel génial et qui aurait renouvelé le champ de la philosophie et des sciences humaines. Ils nous l'ont vendue comme une révélation bouleversante qui dynamitait la culture ancienne. Pensons aux débats au moment du Mariage pour tous: Christiane Taubira parlait alors d'un véritable changement de civilisation. Alors, il faudrait savoir ! S'est-il vraiment produit une révolution dans le champ culturel et anthropologique ? Avec le Mariage pour tous, a-t-on vraiment assisté à une rupture de civilisation ? Il faudrait qu'ils se mettent d'accord avec eux-mêmes car aujourd'hui les mêmes journaux et les mêmes réseaux nous serinent qu'il n'y a pas de théorie du genre, mais qu'il n'y a en fait que des « études de genre » (gender studies) qui ne seraient structurées par aucune philosophie, mais qui reposeraient uniquement sur des méthodes d'observation. On serait dans le domaine de la pure scientificité. Évidemment, c'est se moquer du monde car il est bien certain que tout ce secteur des sciences humaines qui s'est développé d'une façon absolument démesurée est structuré par des courants philosophiques, ne serait-ce que par la fameuse French Theory qui eut des conséquences considérables dans le monde universitaire américain en important la pensée de philosophes français comme Louis Althusser, Gilles Deleuze, Jacques Derrida, Michel Foucault et bien d'autres.

    Que pensez-vous des personnes qui, à gauche, s'étonnent des propos du pape François ? Ces derniers expliquent en substance que les mots du pape sur la théorie du genre sont en inadéquation avec ses propos progressistes sur les questions économiques, sociales, écologiques et migratoires. Qu'en est-il ?

    Ces personnes ont fabriqué une image stéréotypée du pape François sur un modèle préfabriqué de type progressiste qui ne correspond pas du tout à la réalité. Ils ont retenu un certain nombre de choses : son discours écologique, ses sorties contre l'argent, sa défense des migrants, mais ça ne veut pas dire pour autant que le pape est un parfait progressiste selon leurs canons à eux. Ils choisissent dans les propos du pape ce qui les arrange. Car s'ils étaient un peu sérieux, ils s'apercevraient que ce pape aurait de quoi leur faire peur ! Par exemple, c'est le premier pape que je vois citer avec autant de force un auteur comme le terrible Léon Bloy. Dans sa première homélie de pape, François a cité l'écrivain en disant : « qui n'adore pas le Christ adore le diable ». D'ailleurs, parmi les papes modernes, François est sans doute celui qui ose le plus parler du satanique et du diabolique. C'est un jésuite formé aux disciplines de la spiritualité de saint Ignace. C'est quelqu'un d'extrêmement rigoureux, qu'on ne prendra pas en défaut sur la doctrine catholique. On objectera tout ce qui a eu lieu et ce qu'il a dit à propos de la famille, notamment de l'ouverture de l'eucharistie aux personnes divorcées. Mais, à mon sens, on a surévalué cet aspect-là car le pape, même quand il veut opérer une ouverture sur ce côté, se montre très prudent avec des conditions qui font que l'exercice de cette ouverture eucharistique est quand même soumise à des canons en définitive très limités. À mon sens, il y a un mythe qui s'est constitué autour d'un François progressiste. On est très loin du personnage réel. 

    Gérard Leclerc est un journaliste, philosophe et essayiste. Il est éditorialiste à France catholique et à Radio Notre-Dame.

    Alexis Feertchak   

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