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  • L’ex-patron du Medef renvoyé en procès pour fraude fiscale… Et un de plus !

    Ernest-Antoine Seillère, ex-dirigeant Wendel et ancien patron du Medef a été renvoyé en procès pour fraude fiscale entre 2007 et 2008. Avec lui également quatorze ex-dirigeants et cadres de Wendel. La banque JP Morgan Chase, elle, est accusée de complicité. 
    Un gain net de 315 millions d’euros 
    L’information judiciaire avait été ouverte en juin 2012, à la suite d’une série de plaintes de l’administration fiscale concernant un montage financier baptisé Solfur. Grâce à ce programme d’intéressement, via des prises de participations, trois administrateurs, dont Ernest-Antoine Seillière et Jean Bernard Lafonta ainsi que onze cadres haut placés avaient récupéré fin mai 2007 « un gain net » de 315 millions d’euros pour un investissement de départ de 996.250 euros, « en totale franchise d’imposition », estimait le parquet national financier en novembre 2015 dans ses réquisitions. 
    Cité dans cette affaire, Jean Bernard Lafonta, patron de la société d’investissement au moment des faits a déjà été condamné en 2015 à 1,5 millions d’euros d’amende pour diffusion d’informations trompeuses et délit d’initié en 2009. La banque JP Morgan Chase doit-elle comparaître devant le parquet pour complicité de fraude fiscale ? L’institution financière est soupçonnée d’avoir contribué à l’élaboration du montage financier ayant permis à d’anciens dirigeants et cadres de la société d’investissement Wendel de soustraire des dizaines de millions d’euros à l’impôt. 
    Parmi les différentes réactions, la société financière d’investissement a commenté : « La société Wendel n’est pas concernée par cette procédure ». L’avocat de Jean Bernard Lafonta ainsi que le cabinet de conseils de Ernest-Antoine Seillère n’ont, eux, pas souhaité s’exprimer sur l’affaire. 
    Un ex-patron du Medef, un ex-patron d’une société d’investissement, une banque… Des affaires mettant en cause des personnes riches et influentes, n’avez-vous pas comme une impression de déjà-vu ? La suite ? Nous l’avons déjà vue aussi, un abandon des poursuites ou une condamnation qui sera ensuite contestée en appel… Au milieu de tout ça, une justice lente et à deux vitesses. Lente, car l’affaire date bientôt de dix ans maintenant et qu’elle n’est toujours pas résolue. À deux vitesses car il semble peu probable que ces personnes aillent en prison. Là où certains se font condamner à de la prison ferme pour avoir volé des pâtes et du riz, d’autres engloutissent toutes les parts du gâteau de manière illégale, sans être inquiété une seule fois par un possible séjour en prison. Même dans un pays comme la France, ayant « Égalité » au sein même de sa devise, il semblerait qu’une personne riche et influente ne soit pas jugée à la même échelle qu’une personne lambda.

  • RENONCIATION DE HOLLANDE : LE CREPUSCULE DE L’ODIEUX

    Le bloc notes de Jean-Claude Rolinat

    Six mois, il va falloir encore tenir six mois jusqu’à l’expiration du mandat d’un Président contesté sinon détesté, sans aucune garantie de vivre, au bout, l’ivresse d’une véritable libération nationale. Jamais dans l’histoire de la République française, Chef de l’Etat n’avait été autant rejeté par une majorité de citoyens. De sondages en sondages – même si, parfois, il faut les prendre avec des pincettes – la côte de popularité de François Hollande s’effondrait, à un point tel que ses «  amis » ont exercé les pressions suffisantes pour l’amener à renoncer à se porter candidat à un deuxième mandat. D’ailleurs, pouvait-il prendre le risque d’une course dans des primaires où il risquait d’être devancé par l’un de ses anciens ministres, suprême humiliation avant une défaite inéluctable au soir du dimanche 23 avril 2017 ? Le 7ème Président de la Vème République s’est flingué lui-même. Le personnage, apparemment, n’était pas taillé pour la fonction, même si l’allure physique, critiquable, ne constitue pas le reproche principal. (Encore que, souvenons-nous de l’attitude grotesque du personnage le jour de sa première visite à la Chancelière allemande, lorsqu’il passait en revue la garde d’honneur de la Bundeswehr, ou de son discours prononcé sous la pluie, à l’ile de Sein ! Ce n’était pas là l’attitude d’un VRAI Chef de l’Etat …). Odieux le personnage ? Nous savons depuis le discours d’un  certain Maréchal de France, que les Français « ont la mémoire courte ». Rappelons-nous alors le message peu galant mais public de François Hollande lorsqu’il « répudia » la favorite qui se vengea ,d’ailleurs, avec férocité ou encore de sa décision de se joindre à l’embargo « punissant » la Russie pour l’annexion de la Crimée qui n’eut pour effet que de priver nos chantiers navals de nouveaux marchés militaires crédibles, et nos agriculteurs de juteuses exportations. Odieuse la décision de ne pas sanctionner Dame Ségolène pour ses inqualifiables propos sur le tyrannique régime cubain, odieux aussi le mépris affiché d’une majorité de Français excédés par « l’affaire Léonarda ». Et que dire du feu vert donné à une proposition de loi liberticide livrant aux juges les opposants à l’avortement ? (On aurait pu supposer, dans un geste d’équité, pareille mesure pour ses partisans, non ?). Oui, odieuses toutes ces attitudes auxquelles il faudrait ajouter des manquements graves ou des erreurs de jugement dans la gestion des crises, comme celle de la lutte anti-terroriste : le 14 juillet de cette année, la compagnie de CRS qui manquait sur la promenade des Anglais était à Avignon où, parait-il, François festoyait avec la nouvelle favorite en compagnie du directeur d’un festival réputé…Et, autre polémique, nous pourrions ajouter la question de savoir pourquoi les militaires affectés à la protection de la capitale dont une petite escouade patrouillait à proximité du Bataclan, ont refusé leur coopération à la police au prétexte que les soldats ne pouvaient intervenir sans ordres ou se départir de leurs armes automatiques dont les « bleus » sont chichement dotés ? (Enquête parlementaire). Les assassinats ciblés commis au siège de Charlie Hebdo n’auraient donc finalement servi qu’à faire mousser l’Elysée sur le plan international, avec son défilé parisien de chefs d’Etats ou de gouvernements ? Des mesures avaient été prises, certes, comme l’application de l’état d’urgence, mais pas à la hauteur des menaces comme nous le constaterons en novembre 2015. Le ministre de l’intérieur au sérieux et sévère look d’un notaire de province, devenu depuis quelques heures le nouveau Chef du gouvernement, aurait-il mal apprécié la menace en ne faisant pas appel à son collègue de la défense pour coordonner l’usage de l’ouverture du feu avec leurs troupes respectives ? Toujours est-il que celui qui nomme les hommes, les évalue et les jauge, est le responsable suprême. Pas les exécutants.

    Reagan savait choisir ses hommes, lui

    Si le Président américain Reagan, excellent communiquant, qui ne passait pas pour un gestionnaire affairé, a si bien réussi dans ses deux mandats, c’est qu’il avait su bien s’entourer. Et puis, est-ce bien le rôle d’un homme d’Etat de s’épancher dans la presse, de livrer ses états d’âme, de porter des jugements cruels sur ses subordonnés ou, pire, de révéler quelques petits secrets sur la gravité de certains choix ? Est-il bon pour l’image de marque du locataire provisoire du Faubourg Saint-Honoré, de se faire photographier nuitamment, sur un scooter, se rendant chez sa maitresse à deux pas du Palais de l’Elysée ? Grotesque encore ! Grotesque restera dans l’histoire, hélas pour lui, l’image de cet homme, pourtant très intelligent, brillamment diplômé, plus à l’aise pour naviguer entre les courants parsemés d’écueils du Parti Socialiste qu’à la barre du navire de l’Etat. Le suffrage universel est redoutable. Il nous donne la possibilité, apparente, de choisir celui qui sera couronné roi, sans que nous sachions à l’avance la solidité de ses convictions, la maitrise de ses nerfs, la hauteur et la profondeur de sa vision de l’avenir. Nous ne jugeons que des bateleurs d’estrades Cette élection présidentielle a tout d’une sorte de concours de «  Miss France » qui serait politique, un épuisant show médiatique étalé sur plusieurs mois à l’issue duquel le « bon » numéro serait tiré…Enfin consolons-nous, en l’espace de deux ou trois semaines un trio négatif d’hommes publics a été dégagé : Sarkozy va pouvoir retourner à ses conférences, Juppé se consacrer à sa belle ville de Bordeaux et Hollande jouir des ors de la République pendant, environ, 200 jours, une interminable agonie. Se parant des vertus et des avantages de la constitution, Il peut dire encore comme Madame Du Barry qui s’adressait sur l’échafaud à son exécuteur, « encore un instant Monsieur le bourreau ». Et Madame Trierweiler en sonnant le glas de son quinquennat pourrait lui prêter le titre de son ouvrage, « merci pour ce moment »….

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  • Comment Gramsci décrit la dégénérescence socialiste

    On nous casse tout le temps les pieds à droite ou à gauche avec le néo-libéralisme – ou l’ultra-libéralisme. En réalité ce sont les libertariens qui ont raison et on est plutôt victimes de l’ultra-socialisme et de l’ultra-parasitisme en ces temps de la fin si digne de la Rome ancienne et assistée, qui désespérait tant notre camarade Juvénal et quelques dizaines d’autres. Nos dettes et nos prélèvements montrent que l’on est tout sauf libéraux. On est dans le sozial qui exaspérait Céline, et dans rien d’autre. Sauf que certains (les banquiers ou les fonctionnaires) en profitent mieux que d’autres (les salariés ou la jeunesse calcinée de Todd). Et ce n’est pas nouveau.

    Pour me consoler, j’ai relu les œuvres de Gramsci, fameux théoricien marxiste ; lui aussi envoie promener les fadaises sur le libéralisme et voici ce qu’il dit et écrit en 1920 (découvrez le très bon site universitaire québécois uqac.ca) :

    « Le capitaine d’industrie est devenu chevalier d’industrie, il se niche dans les banques, dans les salons, dans les couloirs des ministères et des parlements, dans les bourses. Le propriétaire du capital est devenu une branche morte de la production. »

    Comme on était lucide à gauche.

    Gramsci voit donc le problème de la désindustrialisation apparaître, le règne de la finance arriver avec les coups en bourse. Un siècle plus tard, il n’y a plus d’usines en Amérique mais Wall Street n’a jamais été si élevé, avec un Dow Jones à 19.000, cherchez pourquoi ! Et Bonner et Pat Buchanan expliquent pourquoi : on a siphonné via les taux abaissés la richesse américaine comme la richesse européenne, sauf peut-être l’allemande plus maligne et surtout familiale. A Londres et Bruxelles, la politique et la finance se disputent comme à New York le cadavre de l’industrie. Et on demande aux banques centrales de continuer de faire « bonne impression » pour continuer de soutenir les marchés.

    Et Gramsci voit en bon romain l’intrusion de l’Etat produire une dégénérescence anthropologique (découvrez le libertarien allemand Hoppe qui parle lui de dé-civilisation). La part de prélèvement est passée de 8 à 2O% en France entre 1914 et 1920. Aujourd’hui on est à 60. Le social et la guerre, le beurre et les canons. L’Etat et son éducation tarée créent des générations perdues de gens oisifs.

    « L’Etat devient ainsi l’unique propriétaire de l’instrument de travail, il assume toutes les fonctions traditionnelles de l’entrepreneur, il devient la machine impersonnelle qui achète et distribue les matières premières, qui impose un plan de production, qui achète les produits et les distribue : l’Etat bourgeois, celui des bureaucrates incompétents et inamovibles ; l’Etat des politiciens, des aventuriers, des coquins. Conséquences : accroissement de la force armée policière, accroissement chaotique de la bureaucratie incompétente, tentative pour absorber tous les mécontents de la petite-bourgeoisie avide d’oisiveté, et création à cet effet d’organismes parasitaires à l’infini. »

    Ce ne serait pas les bobos, les RTT socialos, cette petite-bourgeoisie avide d’oisiveté ? Sinon ici Gramsci raisonne comme nos frères libertariens et aussi comme le Gustave Le Bon – celui de la Psychologie du socialisme.

    Gramsci décrit la dégénérescence systémique aussi dans les lignes qui suivent. Le nombre de fonctionnaires avait décuplé en France en un siècle (l’observation avait déjà été faite par Marx, très hostile aussi à l’État, dans son « Dix-huit Brumaire de Bonaparte ») :

    « Le nombre des non-producteurs augmente de façon malsaine, dépasse toute limite tolérable pour le potentiel de l’appareil productif. On travaille et on ne produit pas, on travaille durement et la production ne cesse de décroître. C’est qu’il s’est formé un gouffre béant, un gosier immense qui engloutit et anéantit le travail, anéantit la productivité.

    Les heures non payées du travail ouvrier ne servent plus à augmenter la richesse des capitalistes : elles servent à nourrir l’avidité de l’énorme multitude des agents, des fonctionnaires, des oisifs, elles servent à nourrir ceux qui travaillent directement pour cette foule de parasites inutiles. »

    La dette alimente les financiers, les fonctionnaires internationaux, les manipulateurs de symboles (Robert Reich), ces héritiers du Dr Mabuse qui siphonnent la richesse en prétendant la redistribuer. Gramsci encore :

    « Et personne n’est responsable, personne ne peut être frappé : toujours, partout, l’Etat bourgeois avec sa force armée, l’Etat bourgeois qui est devenu le gérant de l’instrument de travail qui se décompose, qui tombe en morceaux, qui est hypothéqué et sera vendu à l’encan sur le marché international des ferrailles dégradées et inutiles… »

    La société moderniste et arrogante n’est donc pas moderne du tout. Elle a multiplié par dix-neuf mille la dette américaine et les autres. Et ce bazar durera tant que les banques centrales pourront se permettre de faire bonne impression.

    Certains disent que ce sera éternel.

    http://www.voxnr.com/6724/comment-gramsci-decrit-la-degenerescence-socialiste

  • ZOOM - Alexandre Devecchio : "De la génération Dieudonné à la génération Zemmour !"

  • Sur le prétendu modèle social français

    L'un des points forts du dernier débat de la primaire de droite, le 24 novembre, fut l'échange pendant 4 minutes à partir de 21 h 28, entre Alain Juppé et François Fillon sur le prétendu modèle social français. Rappelons-en ici la teneur :

    Interrogé sur la rénovation du modèle social français, le futur vainqueur du débat s'en était pris à cette référence que l'on a coutume de situer, faussement mais non innocemment, en l'an 1945. "De quel modèle social parlez-vous ? Vous parlez d'un modèle social qui génère six millions de chômeurs, deux millions de jeunes sans formation, un modèle qui se traduit par le déclassement des classes moyennes, qui n'arrive pas endiguer l'explosion de la pauvreté (...), ce modèle social français n'existe plus dans la manière dont il est décrit".

    "Ce modèle social français n’existe plus. On n’est plus en 1945. On est dans un monde ouvert, et on a besoin de changer ce modèle pour qu’il soit plus juste, qui puisse venir en aide aux plus défavorisés", a-t-il ajouté, observant que ce modèle "prend l'eau de partout".

    "La meilleure politique sociale, c'est l’emploi", a-t-il souligné en conclusion.

    Au contraire, Juppé déclarait souhaiter "consolider" le modèle social français : "La principale menace sur le modèle social français, considérait-il, c'est la politique menée depuis 5 ans et l'incapacité à maîtriser le chômage."

    "Le modèle social français existe, déclarait alors Alain Juppé et j'ai l’intention de le consolider. Il faut le conforter et pas le casser, le consolider en y introduisant un principe de responsabilité".

    L'ex-premier ministre proposait à ce titre de "décaler l'âge de départ à la retraite progressivement à 65 ans", "d'aider tous ceux qui sont dans une situation difficile : veufs, veuves, retraités agricoles" et "d'attacher une importance particulière aux chômeurs de longue durée avec un pacte de retour à l'emploi."

    Une fois déclinée cette liste de cautères sur des jambes de bois, Alain Juppé a tenu à bien marquer son désaccord avec son rival François Fillon. "Je ne toucherai pas au taux de remboursement dont bénéficient les Français", a-t-il ajouté. Le maire de Bordeaux imagine plutôt possible "d'agir sur la gestion des caisses d'assurance-maladie, de lutter contre la fraude et de recadrer l'aide médicale d'État".

    Volant immédiatement au secours de Juppé, une Christiane Taubira n'a pas manqué de qualifier le projet de Fillon comme un "cocktail ultralibéralisme-régression sociale".

    Dans la pratique, les électeurs de droite n'ont pas hésité le 27 novembre en plébiscitant François Fillon et son projet.

    Dès les déclarations du président "normal" dans le cadre de son discours de renoncement du 1er décembre, confirmées par les intox de ses partisans on a pu comprendre la gauche imagine possible de sauver sa propre unité de façade en se battant sur ce terrain.

    1. Juppé est sorti de course. Nous ne le regretterons pas. Ses propositions de nouvelle "consolidation" de la sécurité sociale iront aux poubelles de l'Histoire, du moins sous la forme qu'il suggérait le 24 novembre.

    Dans le contexte actuel la seule "consolidation" qui s'impose sera celle des propositions de la droite, en commençant par une meilleure information sur ce que son candidat désigné par la primaire peut envisager s'il entend vraiment "désétatiser la protection sociale" et "donner la liberté à la liberté". On a entendu ces heureuses formules dans son grand discours du 18 novembre au Palais des Congrès. Il va devenir nécessaire de les préciser, de les documenter et de les confirmer.

    JG Malliarakis http://www.insolent.fr/

  • Lorsqu'un simple citoyen s'exprime pour faire gagner la France

    3478001762.jpgDans cet ouvrage, l'auteur fin observateur de la vie politique et publique fait une analyse de la situation économique et politique de la France et de sa gouvernance. Il démontre avec pertinence l'absence de bon sens des gouvernements qui se sont succédés depuis des décennies. Il ne se contente pas de critiquer, il apporte la preuve que la France peut redevenir une puissance internationale, au sein d'une Europe forte. Il démontre aussi, que les déficits des comptes sociaux et le chômage, ne sont pas une fatalité, et que des solutions existent, pour redresser notre pays à tous les niveaux.

    A ce jour, aucun parti ou homme politique n'a de telle mesures dans son programme et pourtant, vous constaterez, en étant comme l'auteur un simple citoyen, que les idées proposées découlent du bon sens, et pour certaines seraient très facile à mettre en œuvre et rapidement.

    Vous pouvez commander cet ouvrage de Francis Bocquillet (194 pages, 12 €) aux Editions du Bon sens 3, rue Jean Mermoz 02500 Aubenton

    http://synthesenationale.hautetfort.com/