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  • Alep : la guerre de l’information contre la Russie va faire tomber l’ONU et l’OTAN

    Alep libérée, c’est «Alep tombée» dans les médias de la Lügenpresse ! Cette même rhétorique de désinformation se décline à tous les niveaux. Hillary Clinton a perdu, c’est à cause de l’action de Poutine dans les médias et les réseaux sociaux. L’Allemagne s’approche des élections de 2017, Maas, SPD, ministre de la justice, lance un programme, façon Stasi, de nouvelles lois pour effacer, réécrire les informations du Net, qui ne passent pas dans l’agenda de la Lügenpolitik en punissant de prison et de fortes amendes les journalistes ou les citoyens libres. La Lügenpolitik de Berlin craint la liberté de ton des médias russes et la pensée libre des citoyens du Net. La Russie est accusée des déboires politiques de Berlin. Alep libérée, le mensonge de «nos élites» tombent de nouveau. La Lügenpolitik perd son pouvoir. La même action se met en place en France pour censurer avec l’aide des diverses entreprises du Net, Facebook, Google…, l’information libre. Les gouvernements de la Lügenpolitik des pays mis sous tutelle par l’Union Européenne, par l’ONU, l’OTAN, ne peuvent plus lutter contre la capacité des individus à penser librement et donc intensifient les techniques de la répression. L’ONU, censée protégée les peuples en guerre, les enfants, est démasquée avec ses réseaux d’ONG (UNICEF, Amnesty International ou des organisations à la Kiwanis…) comme étant un organisateur des guerres. La libération d’Alep par l’armée russe avec le soutien de l’Irak, de l’Iran et de l’armée arabe syrienne, apporte, en étant un cas d’école, encore la preuve de la dangereuse manipulation onusienne au niveau mondial sur les événements historiques immédiats et politiques.
    Casques blancs, OTAN, EI. La ville d’Alep vient d’être libérée. Les scènes de liesse des habitants d’Alep n’ont, été, seulement, montrées que sur les chaînes russes et sur le Net. L’armée russe apporte l’aide humanitaire, nourrit les civils. Les civils syriens expriment leur joie pour la Russie. A la libération d’Alep 14 officiers de l’OTAN ont été découverts dans un bunker. Des officiers allemands, américains, français, israéliens, turcs ont été capturés avec des djihadistes de l’EI .
    De nombreuses décapitations, les casques blancs, des créations onusiennes. La collaboration de l’OTAN, de l’ONU avec les djihadistes n’est plus à prouver. La décapitation du journaliste James Foley aurait été tournée en studio. Le site russe «Cyber Berkut» dit avoir trouvé la vidéo dans l’ordinateur appartenant à la délégation du sénateur John McCain quand ce dernier se trouvait en voyage en Ukraine en juin 2015. On voit dans cette vidéo la mise en scène de la décapitation du dit journaliste James Foley. L’acteur journaliste avec l’acteur John le Djihadiste sont entourés de projecteurs et de caméras dans un studio.
    Les actes de terreur dits islamistes sont, donc, aussi des actions organisées par l’armée secrète de l’OTAN ? Le massacre de la rédaction de Charlie Hebdo et l’emploi immédiat du slogan «Je suis Charlie» au niveau mondial relayé par la Lügenpresse semble l’attester. La France servant de prostituée aux U.S.A pour son mythe démocratique, a permis de fédérer les alliés dans la guerre construite. En outre, la gouvernance mondiale appelle partout à censurer et à punir ceux qui publient des informations allant contre l’information officielle. Des médias officiels sont associés dans cette réécriture des faits journalistiques. Associated Press (AP), ABC-News, sont, par exemple associés à la justice mondiale et à la politique de répression. Les rédactions des médias officiels sont des bureaux opérationnels du bureau des armées de l’OTAN. L’information, la justice, la politique ont fusionné en une entité ! La justice, la politique, la presse, sont aux ordres de l’armée.
    «Le centre de média d’Alep». A Alep « Le centre de média d’Alep » se révèle comme avoir été un centre de la propagande pro-OTAN avec l’Arabie Saoudite et le Qatar depuis le début de la guerre en Syrie et révèle dans ce microcosme syrien la vaste manipulation planétaire. Le centre de média d’Alep a été fondé par des dits Syriens vivant aux U.S.A, «the Syrian Expatriates Organisation (SEO)» disposant de fonds très importants. L’organisation des casques blancs célébrée comme étant des sauveurs par la Lügenpresse s’avère comme avoir été une organisation de propagande liée aux actes de terreur des dits djihadistes de l’EI, cette organisation de l’EI soutenue par la fondation Clinton, elle même financée par l’Arabie Saoudite, et l’administration Obama. Les contenus par les textes, les vidéos, les images, sont manipulés par Washington et les services secrets par divers relais (médias officiels, attachés de presse des divers gouvernements pour donner du contenus à des armées de journalistes sous les ordres) qui se trouvent dans les capitales de l’Union Européenne. Les agences politiques « les SARL, Assemblée nationale, Bundestag, ou Parlement européen… », ou les SARL sous la forme des agences de médias et des ONG parlent de la même façon pour désinformer le grand public. Le centre de médias d’Alep a été un centre de coordination pour alimenter tous les médias officiels du monde. Et le centre de médias d’Alep n’est qu’un exemple pour les autres et nombreux centres mis en place pour manipuler le grand public. Du coup les médias occidentaux comme le Zeit titre «Sanktionen gegen Russland, jetzt!» (Des sanctions maintenant contre la Russie) réclame encore des sanctions contre la Russie après la libération d’Alep. Le Zeit, comme les autres Lügenmedien européens, explique que c’est la Russie qui est responsable des crimes de guerre en Syrie !
    Enfant produit marketing. Dans cette guerre de l’information pour gagner les soutiens des peuples du monde, on se souvient de cet enfant couvert de poussière blanche à Alep, placé dans une ambulance, après un dit bombardement «sauvé» par les casques blancs. C’était une mise en scène ! L’enfant a été employé pour apitoyer le grand public, une technique déjà employée de manière marketing par l’ONU dont l’UNICEF pour récupérer des fonds importants et pour orienter la politique internationale. Cette mise en scène rappelle celle de la la petite Syrienne qu’on sauve tout le temps. Par ces images, il fallait donner une occasion pour bombarder les troupes de Assad et dénoncer l’action militaire russe en gagnant le grand public contre la Russie. La Lügenpresse et la Lügenpolitik des pays européens, alliées des djihadistes, inféodées à l’OTAN, ont dénoncé, d’une même voix, le rôle de la Russie en disant que c’est la Russie qui tue et bombarde des hôpitaux. La perversité, le cynisme atteignent des niveaux inimaginables dans notre monde. Les rebelles dits modérés par les divers politiques de France, d’Allemagne, de Bruxelles, ont bombardé des hôpitaux pour accuser la Russie.
    Photographe dit humanitaire un tueur ! Le photographe qui a mis en scène ce petit garçon pour le compte de l’ONU est Mahmoud Raslan un djihadiste et certainement pas un humanitaire. Le même photographe a été découvert sur la scène de crime d’un enfant de 12 ans, Abdullah Issa, qui a été décapité. Les casques blancs et le centre de médias d’Alep, qui a fourni les images de la guerre en Syrie, n’étaient qu’un relais de l’EI en Syrie en étant soutenus par l’ONU et l’OTAN ! De nombreux témoignages de civils d’Alep ont expliqué que ces casques blancs ne sauvaient pas les civils sous les décombres. Les casques blancs n’étaient là que pour les images de propagande et pour relayer l’information à l’OTAN et ses divers groupes terroristes tournant sous l’EI et les divers djihadistes. Les casques blancs d’Alep ou les casques bleus de l’ONU le lien est fait. Il suffit de se souvenir du rôle des casques bleus et des ONG en Serbie pour accuser la Serbie de crimes de guerre pour gagner le soutien du grand public et donner le feu vert à l’OTAN pour bombarder un Etat indépendant. Du temps de la guerre en Ex-Yougoslavie le Net n’existait pas. La seule voix officielle venant des ministères via la Lügenpresse maintenait le grand public dans une désinformation globale. 
    Sous les noms d’organisations humanitaires, ONU, UNICEF, casques blancs, le centre de médias d’Alep, se cachent les réseaux de la propagande pour l’OTAN et l’ONU. DAESH, EI, les casques blancs, sont des agences appartenant à l’ONU et l’OTAN qui utilisent des âmes perdues, des mercenaires et des agents de l’OTAN. L’ONU, Washington et ses alliés usent de la religion musulmane pour provoquer un conflit entre le monde européen et le monde musulman pour contrôler le monde. L’Islam est employé comme une arme pour faire régner la peur parmi les Européens et pour déstabiliser les nations, pour attaquer la Russie et pour augmenter le système policier sur les citoyens. Derrière le drapeau de Daesh et de l’EI se trouvent des officiers de l’OTAN. La guerre en Syrie a commencé avec le slogan des nombreux printemps arabes en 2011. Les révolutions de couleurs sont des concepts de marketing de guerre employés en Ukraine, en Afrique, en Europe, avec des tentatives en Russie, pour détruire les civilisations libres et rééduquer les peuples par la réécriture de l’Histoire. Les organismes d’Etat et la presse officielle sont les relais pour encadrer par la justice et l’information les peuples. La libération d’Alep sonne la chute de l’OTAN et de l’ONU. La guerre de l’information contre la Russie va faire tomber l’ONU et l’OTAN car c’est la vérité qui gagne toujours ! 
  • Le Figaro Magazine titre sur « cette France abandonnée aux islamistes »

    A la une du Figaro Magazine de cette fin de semaine : « Cette France abandonnée aux islamistes », à l’occasion de la parution du livre Une France soumise, les voix du refus (Albin Michel), dont il publie les « bonnes feuilles ». Les pages consacrées à ce livre-événement dirigé par Georges Bensoussan, auteur, en 2002, de l’ouvrage Les Territoires perdus de la République, est précédé d’un article d’Alexandre Devecchio, dont nous publions ci-dessous des extraits.

    9782226396068-j-227x350.jpg« C’est un pays qui change de visage. Ici, un essaim de robes noires se forme dans le paysage bariolé d’une cour de récréation. Là, les commerces traditionnels disparaissent un à un au profit des boucheries halal et des magasins ethniques. Ailleurs, les juifs et les Blancs, interdits de séjour, font leurs valises. Ce pays n’est pas l’Algérie de Boualem Sansal dans Gouverner au nom d’Allah. C’est le pays de Voltaire en passe de devenir la France de Houellebecq. Une France soumise. Les voix du refus (Albin Michel), dirigé par Georges Bensoussan avec l’aide de Charlotte Bonnet, Barbara Lefebvre, Laurence Marchand-Taillade et Caroline Valentin, en dresse un tableau saisissant. Un magistral ouvrage d’histoire immédiate qui regroupe les témoignages de plus de 70 acteurs de terrain (enseignants, médecins, infirmières, policiers, maires, hauts fonctionnaires, etc.). Une réalité plus effrayante que la fiction imaginée dans Soumission.

    » En France, la charia s’est invitée au coin de la rue. Les islamistes progressent, non par le sommet, mais par le bas. Ils ne visent pas la conquête du pouvoir institutionnel mais la conquête de la société. Leur stratégie est celle de la contamination lente et oblique. Ils grignotent une cité, un quartier (bientôt une ville ?) et se taillent des enclaves à l’intérieur du territoire où ils imposent leurs marqueurs politico-religieux pour mieux faire régner leurs propres lois et leur vision du monde. Le phénomène n’est plus circonscrit à quelques quartiers, l’islamisme s’est propagé dans toute la France au point que, pour les auteurs, le pronostic vital de notre vieux pays est engagé. Une contre-société salafisée, qui hait ce que nous sommes, a grandi en notre sein. Elle menace désormais de faire exploser notre cohésion nationale, de bouleverser nos modes de vie et d’effacer notre héritage culturel. […]

    « A lire l’essai dirigé par Georges Bensoussan, les territoires perdus de la République sont en passe d’être gagnés par les islamistes. « Ce qui n’était que “vaguelettes” il y a vingt-cinq ans s’est transformé en lames de fond », résume Elisabeth Badinter, qui a préfacé l’ouvrage. Si Les Territoires perdus de la République était un cri d’alarme, Une France soumise est un cri de désespoir. « On sort de ce livre découragé et même accablé », reconnaît Alain Finkielkraut. Impossible de ne pas songer à L’Etrange Défaite, de Marc Bloch.

    « Barbara Lefebvre, qui a codirigé le livre avec Georges Bensoussan, l’affirme : « Un monde est peut-être en train de se terminer, celui d’une France laïque, républicaine et libre, et il y a une incertitude angoissante et, pour certains, désespérante quant au monde qui est en train de naître », analyse-t-elle. « L’espérance, c’est le désespoir surmonté », disait Bernanos et ce livre peut être lu comme un manuel de résistance. « Notre sous-titre, Les Voix du refus, dit aussi ce qui nous a frappés chez nombre d’interlocuteurs : la volonté de combattre en dépit de ce que beaucoup ressentent comme le “terrorisme intellectuel” venu d’une coterie parisienne restreinte et socialement privilégiée, analyse Bensoussan. Chez plusieurs interlocuteurs, on sent émerger l’esprit d’une résistance clandestine, comme réprouvée et qui se sait telle. »

    « La force d’Une France soumise, au-delà de son implacable constat, est de faire entendre la voix des sans-voix. Ceux qu’on n’entend jamais, abandonnés par une hiérarchie professionnelle qui ne veut pas de vagues, lâchés par des politiques clientélistes prêts à tous les accommodements déraisonnables pour gagner une élection, accusés d’être des menteurs ou des salauds par des commentateurs hors-sol. Comme Héloïse et Marcel, ces infirmiers en région parisienne qui, dans un hôpital gangrené par le communautarisme, lutte au quotidien pour soigner tous les patients sans distinction d’origine et de religion. « Rester travailler à l’hôpital est pour nous un acte de résistance. Nous ne savons pas encore combien de temps nous tiendrons car l’un comme l’autre nous habitons aussi dans des quartiers où la religiosité ostentatoire progresse à grande vitesse. Dans les deux situations, professionnelle et personnelle, nous ne voulons pas céder notre place, parce que rien ne justifie que nous désertions. » « La France m’a accueillie, m’a aidée à donner un avenir à mes enfants », poursuit Héloïse avant de conclure par ce qui devrait être le slogan de tous nos politiques : « Je ne me résigne pas à voir cela disparaître. »

    http://fr.novopress.info/

  • Immigration, terrorisme, sécurité : Bruxelles veut lever directement de nouveaux impôts

    Bruxelles demande davantage d’argent à cause de tâches supplémentaires, en ce qui concerne les réfugiés par exemple. À cela s’ajoute qu’avec la perspective de la sortie de l’UE de la Grande-Bretagne, le troisième plus gros contributeur net va disparaître.

    Le nouveau commissaire au budget Günther Oettinger avait récemment annoncé vouloir rendre plus autonome le budget de l’UE. Il s’était référé au travail d’un groupe d’experts réunis autour de l’ancien Premier ministre italien Mario Monti [...]

    Épais de 100 pages, le dossier Monti servirait selon le journal « Handelsblatt » de base pour sept ans à la prochaine période budgétaire de l’UE qui commence en 2021. On prévoit que ce dossier sera rendu public le 17 janvier.

    Actuellement les 28 États membres financent pour l’essentiel le budget de l’UE par des contributions prises sur leur budget national [...]. Une part plus petite du budget de Bruxelles provient en outre des droits de douane et de la TVA. Monti veut inverser le rapport et financer l’UE en grande partie directement par des impôts et des taxes. [...]

    Die Welt
    _______________________________________

    Günther Oettinger, qui est depuis le début de l’année commissaire au budget de l’UE, a des plans ambitieux : Il veut « modifier de fond en comble » le financement de l’Union européenne. Le moment choisi est maintenant « idéal », a déclaré Oettinger mardi soir au Parlement européen, et il a ajouté : « Nous avons besoin de nouvelles ressources. » De fortes dépenses supplémentaires inattendues justifient son initiative.

    La crise des réfugiés engloutit des milliards, par exemple pour la Turquie ou pour l’Afrique. Le terrorisme et les guerres à proximité immédiate de l’UE gonflent les coûts de la sécurité intérieure et extérieure. Selon Oettinger, on ne pourra relever les défis que si l’UE a ses propres sources de financement. Il va déposer prochainement un projet de loi. [...]

    Handelsblatt

    Source : 

    http://www.citoyens-et-francais.fr/2017/01/immigration-terrorisme-securite-bruxelles-veut-lever-directement-de-nouveaux-impots.html?utm_source=_ob_share&utm_medium=_ob_facebook&utm_campaign=_ob_sharebar

  • Frau Frauke Petry (AfD) dit « NEIN » à la police de la pensée

    Le mot du général de division de la Garde Impériale, le comte Pierre Cambronne, comptait 5 lettres. Celui de Frauke Petry en compte 4 : « NEIN ! ». Le 21 janvier, le parti patriote allemand AfD (Alternative für Deutschland) organise un meeting à Coblence  avec plusieurs de ses alliés au Parlement Européen, notamment le parti patriote français Front National et le parti patriote néerlandais Partij voor de Vrijheid, Parti de la Liberté, tous membre du groupe Europe des Nations et des Libertés rassemblant 40 députés de 10 nations (Allemagne, Autriche, Belgique, France, Italie, Lituanie, Pays-Bas, Pologne, Roumanie et Royaume-Uni).

    Plusieurs officines de propagande du régime de collaboration avec l’occupant américain se sont vu refuser une accréditation pour assister à ce meeting, notamment les quotidiens Handelsblatt et Frankfurter Allgemeine Zeitung, les magazines Spiegel et Compact,  et la totalité des chaînes de télévision. Cette interdiction ne couvre que la rencontre, l’accès à la conférence de presse leur étant ouvert. Les points ont été mis sur les i et même les Umlauts sur les a, e, o et u par le mari de Frauke Petry, le député européen Marcus Pretzell ayant accusé ces médias d’avoir une « couverture si orientée » de son parti qu’ils pourront « peaufiner leurs scénarios » sans accès direct à l’événement.

    Du côté des réseaux de propagande, l’heure est aux glapissements hystériques. Le rédacteur en chef de la chaîne publique ARD, Kai Gniffke,  a déploré « une atteinte massive à la liberté de la presse », rappelant que cette convergence des populistes européens était « d’une grande importance » pour les prochaines échéances électorales, et se réservant la possibilité d’un recours en justice. Rappelons que c’est le même Gniffke qui avait refusé de mentionner que l’assassin de la jeune Maria Ladenburger était un colon afghan. Le président de l’Association allemande des journalistes, Frank Überall, a lui aussi estimé que « les partis qui entendent forger l’opinion publique ne peuvent laisser les journalistes à la porte de leurs manifestations ».

    Aux journalistes oui, mais aux agents de propagande et aux stasistes des temps modernes ? L’AfD est un parti légal, mais un parti ouvertement persécuté et les médias allemands jouent un rôle très important dans la mise au ban sociale des membres de l’AfD. Exactement comme jadis avec le Front National en France. Ces journalistes ne sont pas là pour faire un reportage honnête. Ils sont là pour recueillir des éléments à charges lors des procès médiatiques. Ils sont là pour ficher les gens en vue de dénonciation, et l’Allemagne a une grande tradition dans ce domaine. De deux choses l’une. Soit on est dans le Système, soit on n’y est pas. Et si on refuse d’y être,  ce n’est pas pour faciliter la tache des officines du régime.

    On ne peut qu’approuver la décision de Frauke Petry, dans la droite ligne de ceux, et ils sont de plis en plus nombreux, qui refusent de collaborer avec la propagande du système.  A votre avis, les informations données par des nationaux trop naïfs à des Lebourg, des Doucet, des Baltier et autres, que vont-elles devenir ? Rester dans des disques durs ? Non. Elles vont gentiment faire leur chemin jusqu’au Ministère de l’Intérieur et autres officines de la police politique pour pouvoir être utilisée le jour J. Il suffit de lire l’ouvrage de délation La Fachosphère et comparer la façon dont les Dupont-Dupond de la police politique traitent respectivement Vincent Reynouard et Boris Le Lay. La même campagne de dénigrement, sauf que le second a refusé d’y collaborer, ne donnant donc aucun élément exploitable. Chaque élément inconnu de l’ennemi peut l’amener à compenser par une supputation erronée amenant au discrédit de ses écrits. La vie montre souvent qu’un gain infinitésimal peut changer la donne. J’ai souvenir d’un match de rugby perdu parce que le ballon a touché la zone d’essai deux secondes trop tard. L’attaquant aurait gagné trois secondes, le score du match basculait…

    Les medias considèrent les nationaux comme des ennemis ? Prenons-les au mot et pourrissons-leur la vie et comme le disait Jacques Tricatel (joué par Julien Guiomar) dans L’Aile ou la cuisse : « C’est de la part de tous les coups sont permis ». Et comme disait le regretté Serge de Beketch : « Quand les moutons se changent en lions, les loups se changent en descente de lit »…

    Hristo XIEP

    http://www.medias-presse.info/frau-frauke-petry-afd-dit-nein-a-la-police-de-la-pensee/67750/

  • Economie oui, mais pas celle de la réflexion

    Pour ses adversaires, la cause est entendue : le programme politique du Front national est « une arnaque », comme dit Manuel Valls. Mais l’argument d’autorité est un peu trop commode.

    Le programme économique frontiste peut être critiqué, mais pas caricaturé, surtout au regard des résultats économiques que nous vaut plus d'un quart de siècle de gestion libéralo-socialiste placée sous tutelle bruxelloise. Après tout, de quelle réussite les donneurs de leçons de l'UMP et du PS peuvent-ils se prévaloir ? D'un chômage de masse frappant au moins 10 % de la population active ? De la disparition de notre tissu de PMI et de PME ? De la crise de notre agriculture ? De budgets déficitaires depuis plus de 40 ans ? D'une dette publique qui dépasse 2 000 milliards d'euros ? De la perte de notre souveraineté économique et du contrôle de notre propre monnaie ? Ceux qui balaient d'un revers de main le programme économique du FN ne sont pas les mieux placés pour le faire.

    Ledit programme est bâti sur les concepts de « patriotisme économique » et de « protectionnisme intelligent ». Comme l'explique Jean-Yves Le Gallou sur le site de Polémia, il est possible d'y distinguer trois axes « la remise en cause du libre-échangisme mondial, la sortie de l'euro, la lutte contre "l'austérité" ».

    Concernant le premier axe - la remise en cause du libre-échangisme mondial -, les rédacteurs du programme opposent à l’ « ultra-libéralisme » mondialisé le recours au « protectionnisme intelligent », dont les prémices figurent dans la Charte de La Havane, signée en 1948 par une cinquantaine d'Etats. Cette Charte visait à développer la coopération entre les États membres, les engageait à ne pas se trouver en situation d'excédent ou de déficit de leur balancé commerciale sur le moyen-long terme, interdisait le dumping, autorisait le contrôle des mouvements de capitaux par les États, favorisait l'adoption par les pays signataires de normes de travail équitables. En somme, elle voulait établir les conditions d'un commerce extérieur pacifié en évitant l'hégémonie d'une puissance sur les autres. Les États-Unis firent obstacle à sa ratification pour conforter la prépondérance du dollar acquise à Bretton Woods - outil de leur propre hégémonie.

    Par ailleurs, le Front national fut le premier grand parti à dénoncer le Tafta, désastreux traité transatlantique que Sarkozy, puis Hollande, avaient donné mandat aux eurocrates bruxellois de négocier pour la France (après avoir poussé en 2014 à accélérer les négociations, le président socialiste en demanda l'arrêt en 2016...).

    Quant au deuxième axe - la sortie de l'euro monnaie unique -, il conditionne la réalisation de l'ensemble du programme, puisqu'il doit permettre à la France de retrouver sa souveraineté monétaire, et la possibilité de dévaluer pour relancer la croissance et réindustrialiser. Dans le même but, serait abolie la loi du 3 janvier 1973, qui a interdit à l'État d'emprunter sans intérêt auprès de la Banque de France (par exemple pour financer de grands travaux), pour le plus grand bénéfice des marchés financiers et des banques qui, eux, perçoivent des intérêts - ce qui alimente la dette publique.

    Le troisième axe concerne la lutte contre l'austérité et paraît relever d'une certaine utopie lorsque Marine Le Pen envisage, par exemple, de revenir à la retraite à 60 ans. Toutefois, le recours aux politiques d'austérité appliquées dans certains pays européens sous les pressions de Bruxelles et de la BCE n'a guère été probant.

    Au bout du compte, ces propositions sont-elles absurdes ? « En vérité, la crédibilité et le réalisme d'un programme sont jaugés au regard de la doxa dominante. S'éloigner du politiquement correct et de l'économiquement correct passe forcément pour "peu crédible" », observe Jean-Yves Le Gallou sur Polémia. Pourtant, en 2011, Alain Cotta et Christian Saint-Etienne, économistes qui n'appartiennent pas au Front national, s'accordaient à reconnaître, dans Monde&Vie (1) qu' « une monnaie est toujours le reflet d'un État et d'une souveraineté », qu'aujourd'hui, « le vrai conflit idéologique oppose les tenants de la poursuite d'un néo-libéralisme mondialisé et financiarisé, à ceux du retour au capitalisme d'État » ; et qu'avant même la politique de l'euro fort, celle du franc fort, voulue en 1993 par le directeur du Trésor Jean-Claude Trichet (appelé plus tard à diriger la Banque centrale européenne…)fut « à l'origine de toutes nos difficultés actuelles ».

    Si l'on peut discuter certains aspects du programme économique du FN, il n'en pose pas moins de vraies questions, auxquelles ses concurrents ne pourront pas se contenter de répondre par le mépris.

    Jean-Pierre Nomen Monde&Vie 12 janvier 2017

    1) Monde&Vie n°851

  • Les forces de l’OTAN menacent la Russie

    Un déploiement massif de troupes américaines et de l’OTAN en Pologne et dans les pays baltes est en cours. Selon une déclaration du Centre de presse et d’information de la Bundeswehr (les forces armées allemandes) le 30 décembre : « dans le cadre de l’opération OTAN “Atlantic Resolve”, trois navires de transport américains sont attendus à Bremerhaven la première semaine de janvier ».

    La déclaration a noté qu’au début de novembre : « les soldats de la 3e Brigade de la 4e Division d’infanterie américaine ont commencé à charger les navires avec des véhicules et des conteneurs ». Dans l’ensemble, « plus de 2500 pièces de cargaison (des camions, des véhicules de combat, remorques, et conteneurs) [ont été] initialement expédiées vers l’Allemagne, puis transportées vers la Pologne et d’autres pays d’Europe centrale et orientale ». Le matériel doit « arriver dans la période du 6 au 8 janvier par transport maritime à Bremerhaven et sera ensuite transporté vers la Pologne par rail et des convois militaires d’ici le 20 janvier ».

    Plus tôt ce mois-ci, le quotidien allemand Kieler Nachrichten a qualifié l’accumulation des armes d’« opération la plus importante de redéploiement de l’armée américaine en Allemagne depuis 1990 ». Plus de 2000 chars, obusiers, jeeps et camions sont déployés dans le cadre des exercices de l’OTAN en Europe de l’Est qui vont continuer pendant neuf mois.

    Selon les déclarations faites par les forces armées américaines en Europe, 4000 soldats supplémentaires et 2000 chars d’assaut vont « contribuer à renforcer la défense et la dissuasion de l’alliance ». Le colonel Todd Bertulis, directeur adjoint de la logistique du Commandement américain en Europe (EUCOM) à Stuttgart, a déclaré que l’opération veillera à ce que « la puissance de combat nécessaire soit apportée au bon endroit en Europe au bon moment ».

    Le lieutenant-général Frédéric « Ben » Hodges, commandant des forces américaines en Europe, a déclaré : « Trois ans après que les derniers chars américains aient quitté le continent, nous devons les y remettre ». Il a fait la déclaration lors d’une visite à l’école de logistique de la Bundeswehr à Garlstedt, en Basse-Saxe. Il a déclaré aux journalistes que ces mesures étaient une « réponse à l’invasion de l’Ukraine par la Russie et à l’annexion illégale de la Crimée ».

    La Russie se prépare à la guerre, a affirmé le général. Tous les ministères russes, a-t-il déclaré : « se prépareront en conséquence, mobilisez-vous, si vous voulez ». Il a continué : « Cela ne signifie pas nécessairement qu’il doit y avoir une guerre, rien de tout cela n’est inévitable, mais Moscou se prépare à cette possibilité ».

    Cette présentation tourne la réalité à l’envers. Le déploiement de troupes de combat américaines fait partie des préparatifs de l’OTAN en vue de la guerre contre la Russie, culminant d’une expansion continue vers l’est de l’OTAN depuis la dissolution de l’Union Soviétique il y a 25 ans.

    En Ukraine, ce n’est pas la Russie qui est l’agresseur, mais les États-Unis et l’OTAN. Washington et Berlin, en étroite collaboration avec les forces fascistes, ont organisé un coup d’État contre le président pro-russe, Viktor Ianoukovitch, au début de 2014, en installant un régime nationaliste et férocement anti-russe à Kiev. Ce mouvement a déclenché une rébellion séparatiste par les régions russophones de l’est du pays, que Moscou a soutenu et que le gouvernement de Kiev, soutenu par les armes et l’argent des occidentaux, a cherché, sans succès, à supprimer violemment.

    Les événements en Ukraine ont été saisis par les États-Unis, l’Union européenne et l’OTAN pour imposer des sanctions économiques et diplomatiques et étendre considérablement les forces militaires de l’OTAN le long de la frontière occidentale de la Russie.

    Avant l’inauguration de Donald Trump, le président élu des États-Unis le 20 janvier qui a appelé à une réduction des tensions avec la Russie afin de concentrer plus directement l’agression américaine sur la Chine, les forces opposées au sein de l’establishment militaire-renseignements et politique des États-Unis cherchent à intensifier la confrontation avec Moscou.

    Cette semaine, le sénateur républicain John McCain a visité les États baltes pour leur assurer le soutien continu des États-Unis. Dans une interview diffusée par la radio estonienne, McCain a appelé à un renforcement des forces de l’OTAN contre la Russie et a déclaré que chaque « membre crédible » du Congrès américain voyait le président russe, Vladimir Poutine, « pour ce qu’il est : un voyou et un tyran et un agent du KGB ».

    Dans cette escalade dangereuse contre une Russie dotée d’armes nucléaires, qui fait courir le danger d’une troisième guerre mondiale, la Bundeswehr joue un rôle central. « Sans le soutien de l’armée [allemande], nous ne pouvons aller nulle part », a déclaré le lieutenant général Hodges lors d’une comparution devant le Service commun de soutien de la Bundeswehr.

    Le lieutenant-général Peter Bohrer, chef adjoint du Service interarmées de soutien, marquait son accord : « Dans le passé », a-t-il dit, « l’Allemagne était un État de première ligne. Aujourd’hui, nous sommes une zone de transit, et l’une de nos tâches principales est d’entreprendre un soutien commun […] Nous sommes ouverts à l’exécution de ces tâches avec nos partenaires américains ».

    Après être arrivés en Allemagne, les soldats américains et leurs équipements lourds seront déplacés de Bremerhaven par le rail à travers le nord de l’Allemagne jusqu’à l’Europe de l’Est. Le bureau de presse de la Bundeswehr a annoncé : « Quelques 900 wagons avec du matériel militaire seront transportés en train de Bremerhaven vers la Pologne. Il y a également environ 600 pièces de fret qui seront transportées par train en Pologne à partir du terrain d’entraînement militaire à Bergen-Hohne. Près de 40 véhicules circuleront directement de Bremerhaven vers la Pologne ».

    L’Allemagne, qui a écrasé l’Europe de l’Est dans sa guerre d’extermination il y a 75 ans, se prépare à envoyer des troupes de combat dans les pays baltes. En janvier, 26 chars, 100 autres véhicules et 120 conteneurs seront transportés en train vers la Lituanie.

    Lors d’un entretien accordé au journal militaire allemand « Bundeswehr aktuell », le général Volker Wieker a confirmé que l’Allemagne s’était entendue avec les États-Unis, le Canada et le Royaume-Uni lors du sommet de l’OTAN à Varsovie « pour que chacun prenne la tête d’un groupement tactique ». L’Allemagne enverra son 122e Bataillon d’infanterie. Il a ajouté que d’autres envois suivraient, « afin que nous atteignions une capacité dite opérationnelle complète d’ici le milieu de l’année ».

    Ce que l’on entend par « pleine capacité opérationnelle » a été souligné par un exercice public de la Bundeswehr à Grafenwöhr, où le bataillon allemand s’est préparé au déploiement. Selon un rapport vidéo du Frankfurter Allgemeine Zeitung, les manœuvres impliquaient « une attaque ennemie sur la frontière russo-lituanienne ».

    Le futur commandant du groupement tactique de l’OTAN en Lituanie, le lieutenant-colonel Christoph Huber, a expliqué le « but tactique » des manœuvres comme suit : « Les camarades de la Deuxième Compagnie ont mené avec succès la bataille ici […] gagnant du temps pour leurs camarades et ainsi détruisant les forces ennemies. C’est une formation de combat de haute intensité ».

    Titre et sous-titre originaux : Les forces de l’OTAN menacent la Russie. L’armée américaine et la Bundeswehr allemande envoient des milliers de soldats en Europe de l’Est

    Johannes Stern

    Source

    http://www.voxnr.com/7631/les-forces-de-lotan-menacent-la-russie