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  • Le règne prodigieux de Bouffon Ier se termine

    Bernard Plouvier

    Tout à l’Ouest de l’Europe se dressait autrefois un beau pays… mais ça, c’était avant ! Avant que la Nation ne soit envahie par des extra-Européens violents, haineux et dépourvus de tout respect pour les institutions et les valeurs de la République. Avant que l’État ne soit mis en coupe réglée par une racaille politicienne et sectaire, manipulée par d’étranges spéculateurs qui ont parié sur le déclin irréversible de la race européenne.

    Effectivement, le règne de Bouffon Premier se termine plus mal encore qu’il n’a débuté… c’était pourtant difficile. Mais, n’écoutant que sa malfaisance et sa jeune maîtresse, il est parvenu à ridiculiser un peu plus encore ses crétins de compatriotes qui l’avaient hissé à un niveau, hélas sans aucune mesure avec ses faibles capacités.  

    Rappelez-vous ! Son règne commence par une rixe provoquée par un groupe de gauchistes s’attaquant à un homme isolé qui a le malheur d’avoir les cheveux courts et d'aimer son pays. Une baffe et l’un des assaillants, un peu trop léger pour jouer au lutteur de foire d’autant qu’il est convalescent d’une maladie gravissime, tombe sur le trottoir et meurt d’hémorragie cérébrale. Il y a légitime défense, mais, voilà, les gauchistes sont les nervis d’un curieux ministre de l’Intérieur et l’assailli, devenu bien malgré lui meurtrier par accident, est enfermé quinze mois en prison.

    La bouffonnerie a dégénéré en drame et un groupe d’innocents est jeté en pâture à l’opinion publique : « pour sauver la Ripoublique », on démantèle plusieurs organisations populistes, qui n’étaient pour rien dans l’affaire. Le règne commence par une énorme supercherie médiatique et la mort absurde d’un jeune étudiant qui avait mieux à faire qu’à singer les gros bras.    

    On vit une ambiance de fin de règne, à la fois désastreux et ridicule. Pour fêter ce non-événement, on ne trouve rien de mieux qu’une série d’émeutes raciales, après qu’un quarteron de policiers, agacés ou abrutis, ait malmené un honorable rejeton de l’immigration africaine… un « Subsaharien », comme l’on dit de nos jours, pour éviter d’annoncer la couleur de peau, comme si elle était une tare.

    On brûle des voitures, on casse des vitrines, on gueule des slogans de haine contre les Blancs et les forces de l’ordre, enfin l’on empêche les enfants et les adolescents d’entrer dans les établissements scolaires. Bouffon Ier peut être fier de lui : même ses plus mauvais prédécesseurs – et il y avait de la concurrence – n’ont pas été aussi ridicules.

    Ni surtout aussi nuls. Car, en cette fin de règne lamentable, la France compte plus de 5 millions de chômeurs des trois catégories A, B et C ; la Dette publique atteint des records, à l’instar de la violence urbaine et du racisme dirigé contre les Blancs, ces autochtones qui sont pourtant encore majoritaires dans ce qui fut un beau pays.

    Mais il n’était beau que parce que l’on y était patriote et travailleur. Ohé, les idiots de Français ! Quand allez-vous cesser de dormir, de rêvasser entre deux tiercés et autant de bières ?

    C’est en 2017 que le changement est possible. Il est même urgent ! Car, au train où vont l’immigration extra-européenne (l’officielle et l’illégale) et la natalité des hôtes non désirés par la Nation – qui n’a jamais été consultée sur l’immigration africaine et proche-orientale -, on ne sait trop ce que sera le rapport démocratique des forces dans cinq ans. La démocratie n’est que la loi du nombre. Pas celle de l’intelligence, du travail, de la valeur, de la qualité. Rien que la toute-puissance de la quantité.  

    Bouffon Ier s’en va ! Évitons d’élire Bouffon II… car, dans les séries à épisodes les remakes sont souvent pires que la première époque. Plus lamentable que Bouffon actuel, on a du mal à le concevoir. Pourtant, au prodige d’inefficacité pourrait succéder un prodige de la super-nuisance ! Il serait judicieux d’y penser et de démontrer aux spéculateurs qu’ils se sont trompés en nous jugeant « finis ».  

    SN BP Populisme 2017 01.jpg

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  • La falsification, arme de guerre idéologique du lobby LGBT

    De Ludovine de La Rochère :

    "[...] quand on parle d’homophobie, les Français entendent qu’il y a eu insulte, rejet, haine vis-à-vis d’une personne ou d’un groupe de personnes homosexuelles. Cela n’a jamais été le cas à La Manif Pour Tous Mais, pour disqualifier le mouvement, ses opposants ne cessent pas de parler d’homophobie : c’est en fait, depuis le premier jour, leur seul et unique « argument », tellement pratique pour éviter et fuir toute confrontation d’idées et débat de fond.

    En fait, ils accusent d’homophobie toute personne ou organisme qui n’est pas d’accord avec les associations militantes LGBT, quel que soit le sujet, banal ou grave, qu’il s’agisse de concepts ou de revendications aussi radicales que minoritaires dans la société. J’indique, au passage, que ces associations ont à elles toutes quelques milliers d’adhérents à peine, ce qui signifie qu’elles ne représentent pas l’ensemble des personnes LGBT, loin s’en faut.

    [...] Caroline Mécary avait ainsi qualifié, le 16 octobre dernier sur BFM TV, tous les présidents des partis de droite de « belle brochette d’homophobes » ! Lancer cette accusation à tort et à travers banalise des actes rares, mais parfois réels malheureusement. Quelle erreur !

    [...] Avec les propos d’Emmanuel Macron sur l’humiliation subie par les sympathisants de La Manif Pour Tous, la falsification a franchi un pas supplémentaire, et même un pas de géant :

    D’abord parce qu’Emmanuel Macron, en dépit de tout ce qu’ont subi ces sympathisants – dénis, mépris, insultes – y compris de François Hollande et Manuel Valls –, gaz lacrymogène, interpellations, violences, etc, se voit littéralement interdit de l’évoquer ! Il y a de quoi s’inquiéter de l’état de notre démocratie et de la liberté d’expression. L’ancien ministre de l’économie ne fait d’ailleurs que relayer les avis du Défenseur des droits qui, à plusieurs reprises, a souligné les dérives des forces de l’ordre et l’usage disproportionné de la force face aux manifestants paisibles et aux familles de La Manif Pour Tous.

    Par ailleurs, suite aux propos d’Emmanuel Macron, des déclarations homophobes ont été évoquées ou publiées par quelques personnalités et médias comme étant de La Manif Pour Tous. Certains ont même repris une insulte homophobe originaire d’un fait divers de la fin des années 90 et qui, si elle concernait réellement La Manif Pour Tous, aurait suscité une énorme polémique… Seulement presque 4 ans après le vote de la loi Taubira, il est très facile de réécrire l’histoire, de prétendre tout et n’importe quoi, d’inventer et de fantasmer : le public oublie, confond et ne réalise pas qu’on cherche à le berner !

    [...] Cela n’a rien de nouveau bien-sûr. C’est ainsi, que le 2 février 2014, des militants d’associations LGBT étaient venus manifester avec La Manif Pour Tous avec de faux panneaux, fabriqués par eux-mêmes, portant des slogans homophobes… avec les couleurs et logo de La Manif Pour Tous. Nous les avions pris sur le fait au bout de quelques minutes et ils avaient raconté l’échec de leur manipulation ensuite sur internet, même pas gênés ! Il faut dire que le raconter en ligne a pour avantage d’avoir laissé à disposition des internautes leurs faux panneaux…

    De cette incroyable malhonnêteté, il résulte que ceux qui prétendent défendre les personnes homosexuelles sont eux-mêmes à l’origine de la diffusion de propos ignobles, infâmants, haineux. Et ce sont eux qui, montrant tous ceux qui défilent, disent aux personnes homosexuelles : « vous voyez, ces gens-là vous détestent ! » Ils font eux-mêmes souffrir les personnes concernées. C’est tragique.

    Quant à l’humiliation, quant au mépris des pouvoirs publics, quant aux violences à notre égard, nous n’en parlons quasiment jamais. Nous ne faisons pas de la victimisation notre porte-étendard, contrairement à d’autres. Devrions-nous rappeler les 700.000 pétitions jetées à la poubelle alors qu’elles étaient parfaitement conformes à la loi organique, comme l’a reconnu le tribunal administratif de Paris un an plus tard ? Devrions-nous rappeler les insultes quotidiennes sur les réseaux sociaux et les menaces par téléphone, SMS et lettres anonymes qui ont conduit à mettre les dirigeants de La Manif Pour Tous sous protection policière ? Devrions-nous rappeler les multiples décisions judicaires qui ont été rendues, attestant des injures et violences, parfois graves, subies par des militants de la Manif pour Tous ? Faut-il rappeler tous les jours qu’il n’y en a pas eu une seule condamnation de La Manif pour Tous pour un propos ou un agissement infractionnel ?

    Mais notre combat est ailleurs, notre priorité est d’une autre nature : ce qui nous importe avant tout, c’est le respect de l’altérité sexuelle, de l’intérêt supérieur de l’enfant, de la société. Sujets dont se fichent manifestement certaines personnalités.

    Cependant, la falsification de l’histoire, arme de guerre psychologique et politique, nous ne pouvons l’accepter non plus. Rien ne nous fera taire, ni les mensonges, ni la malhonnêteté, ni les menaces. Les prochains mois seront décisifs pour l’avenir de notre société et la vie quotidienne des familles de France. Comme nous l’avons toujours dit, « on ne lâche rien ! »"

    Michel Janva

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  • I-Média : Docteur Meklat, Mister Deschamp, la chute d'une icône

  • Macron, Bayrou et l’islam, par Guy Rouvrais

    8808-20170225.jpgParmi les raisons (avouables) de son ralliement à Emmanuel Macron, la principale, dit François Bayrou, est la « situation d’extrême risque » représentée par « une flambée de l’extrême droite ». Comme tous les autres, il désigne par-là, mensongèrement, le Front national. C’est pour cela que ne constatant pas, parallèlement, une flambée de centrisme, il fait de ce dernier une composante de la gauche.

    Un tel jugement montre une fois de plus que Bayrou et Macron sont, comme toute la classe politico-médiatique, complètement coupés du peuple. Car, enfin, si la droite nationale constituait un « extrême risque », se trouverait-il au moins 28 % des électeurs au premier tour et entre 44 % et 48 % (pour l’instant !) au second à se prononcer pour Marine Le Pen ? Seraient-ils à ce point aveugles, sourds ou sots pour mettre le pays en danger et eux-mêmes en péril ? Poser la question, c’est y répondre. Accessoirement, on ne voit pas que l’alliance du jeune loup socialiste et du vieux renard centriste puisse arrêter l’ascension de leur concurrente. Un sondage effectué après l’annonce de leur union l’atteste.

    Ce qui explique le mouvement populaire vers Marine Le Pen, c’est bien « une situation d’extrême risque » mais ce n’est pas celle que dénoncent les deux compères, un risque qui, cette fois, n’est pas imaginaire. C’est l’islamisation du pays, la montée en puissance des exigences communautaires de musulmans, d’une part, le terrorisme islamiste de l’autre, dont nous devons professer qu’ils n’ont aucun rapport sous peine d’être accusés du terrible « péché » d’amalgame.

    Macron, pourtant, a assuré dans une réunion publique qu’en France « aucune religion n’est un problème ». Aucune ! Pas même l’islam ? Il répond : « C’est un sujet. » Pas d’inquiétude, de mécontentement, un simple « sujet » qui se trouve, là, dans l’actualité, on ne sait trop pourquoi. Et à l’égard de cette religion-là, il préconise une « bienveillance exigeante ». On se demande pourquoi elle devrait être exigeante puisqu’elle ne poserait aucun problème.

    Cette bienveillance va très loin puisque, encore ministre à l’époque, il a attribué à la société française, quelques jours après les attentats du 13 novembre, « une part de responsabilité » dans le « terreau » sur lequel le djihadisme a pu prospérer, évoquant une disparition de l’idéal républicain de mobilité sociale. Rappelons aussi qu’il a félicité Angela Merkel d’avoir accueilli un million de « migrants » – la plupart musulmans – y voyant « une fierté et une force pour l’Europe ».

    A l’évidence, Macron drague les voix musulmanes qui s’étaient massivement portées sur Hollande en 2012 avant de l’abandonner pour cause de « mariage gay ». Et Bayrou fait campagne avec lui car il « fera tout » pour que son complice soit élu. Y compris ne pas se formaliser de ce que Macron a, à Alger, parlé de « crime contre l’humanité » à propos de la colonisation, calomniant son pays en terre étrangère, diffamant les colons et l’armée française.

    « Paris vaut bien une messe », aurait dit Henri IV, natif de Pau, pour justifier sa conversion au catholicisme. Son lointain concitoyen pense, lui, qu’exister encore un instant sur la scène politique vaut bien quelques courbettes devant les disciples de Mahomet en duo avec Macron.

    Guy Rouvrais

    Article paru dans Présent daté du 25 février 2017

    http://fr.novopress.info/

  • Marine Le Pen présente sa politique étrangère devant les corps diplomatiques de 50 pays dans le silence absolu des gros médias

    Si une preuve était encore nécessaire que l’élection à la présidence de Marine Le Pen est prise très au sérieux dans le monde, la présentation de son programme de politique étrangère le 23 février, l’a apportée. C’est devant un parterre d’une cinquantaine de représentants de pays étrangers et une foule de journalistes du monde entier qu’elle l’a développé durant une heure. Parmi les délégations de nombreux ambassadeurs de pays d’Asie notamment. Une démonstration que la presse française quasi-unanime a tout simplement boycotté, car elle démontre que l’accession à la présidence de la fille de Jean-Marie Le Pen prend de plus en plus de crédit sur la scène internationale, où elle fait naître l’espoir d’un nouvel ordre mondial multipolaire.Le gros médias mainstream aux mains des magnats cosmopolites et apatrides de la presse préfère se focaliser sur les manigances d’une « Justice » aux ordres.

    La candidate à la présidence a fait un discours d’une heure dans lequel elle a fustigé une diplomatie française couchée et soumise à des diktats étrangers, accusant la diplomatie occidentale en générale de se voiler la face face aux réalités, conduite seulement par des idéologie mondialistes.

    Elle a déploré l’invasion de l’Irak et la «dissolution» de son armée comme «une faute» et a pris pour appui le le récent rapport parlementaire britannique consacré aux responsabilités dans l’invasion de ce pays qui «place au premier plan l’ignorance des réalités et la méconnaissance du terrain». De même en ce qui concerne le soutien occidental «aux islamistes supposés modérés en Syrie» qui «a été et demeure une erreur». Faisant le lien avec les mouvements migratoires de masse, elle a jugé«irresponsable de ne pas voir dans ces grands mouvements de populations une problématique géopolitique majeure et même dans certains cas une menace pour la paix et l’équilibre du monde».

    Photo extraite de la vidéo de Russia Today

    «Indépendance et équilibre» et Haute trahison

    Marine Le Pen présidente de la République annonce donc un virage à 180° sur la politique moyen-orientale de la France et fonde son projet international sur deux piliers : «l’indépendance et l’équilibre». Pour donner du poids à cette ambition elle entend que la dissuasion nucléaire «joue tout son rôle» et que le budget de la Défense soit inscrit dans la Constitution et chiffré à 2% du PIB pour atteindre 3% en fin de quinquennat.

    Dans le cadre d’une politique multipolaire, le mot-clef de son orientation, elle veut faire du principe de non-ingérence un des fondements de sa diplomatie. Marine Le Pen a regretté que la France se soit engagée dans «des guerres qui ne sont pas les siennes, pour des intérêts qui ne sont pas les siens et qui sont contraires aux objectifs fixés par les Nations unies». Elle a cité l’exemple de l’agression de la Libye ou de l’agression indirecte de la Syrie. La potentielle présidente s’est montrée très accusatrice envers la diplomatie française du gouvernement de François Hollandepour ses livraisons d’armes aux «rebelles» qui ont bénéficié en partie à l’Etat islamique et qui ont «peut-être tué des Français».

    Celle qui caracole en tête des sondages a trouvé stupide la décision du pouvoir socialiste de couper les relations avec les services de renseignement syriens. «Combien d’attentats auraient pu être évités ?», s’est-elle interrogée. Elle s’est étonnée de l’incompétence des services de renseignement français qui «ont servi des intérêts étrangers ce qui s’appelle de la haute trahison».

    L’Union européenne pointée du doigt

    «En Europe aussi, il est temps d’en finir avec une Union européenne tentée par la fusion qui détruit l’Europe des nations». Elle a jugé que Bruxelles se trouvait «à rebours de l’Histoire, mise en congé du monde» et que «partout la globalisation naïve est battue en brèche, partout c’est le patriotisme économique qui triomphe».  «Il faut en finir avec ce monstre bureaucratique […] L’Union diminue la France, elle la sépare du monde. Je ne me résous pas à voir la France diminuée, dépendante, séparée», ajoutant que l’Union européenne allait rejoindre «le musée des constructions idéologiques sans lendemain». «Que Mme Merkel, M. Schulz ou les autres commissaires le veuillent ou non, nous bâtirons une autre Europe», a-t-elle pronostiqué. La candidate la mieux placée dans les sondages entend «remettre à plat les traités européens et engager résolument la France dans la construction d’une Europe des nations libres».

    Les USA de Donald Trump, un espoir

    Qualifiant les Etats-Unis, d’ «allié» qui s’était comporté en «adversaire». Elle a évoqué une «surchauffe stratégique» et des «dérives dans l’expression de la force»notamment au Moyen-Orient: Irak, Libye, et Syrie avec des «jeux dangereux» avec les groupes terroristes.

    Elle attend donc «un changement de logiciel» avec l’arrivée  de Donald Trump au pouvoir. Changement qui sera «positif pour le monde mais également pour les Etats-Unis». «Je salue son réalisme et sa volonté de changement» a déclaré Marine Le Pen. L’OTAN n’en a pas été quitte, avec sa « structure anchronique« . Elle souhaite que la France quitte son commandement intégré afin de «rétablir l’indépendance» de ses forces.

    «Arrimer la Russie au continent européen»

    Pour Marine Le Pen présidente, la Russie est considérée comme un «élément décisif de l’équilibre des forces qui peut pacifier la mondialisation». Ce pays, selon elle, a été«maltraité par l’Union européenne et une France vassalisée» rappelant notamment l’épisode de l’annulation de la vente des Mistral sous pression américaine dans le sillage de la crise ukrainienne. Interpelant la Russie, elle a rappelé que les Russes n’ont pas oublié le pillage des ressources de leur pays par de jeunes consultants frais et moulus de l’école de Chicago qui l’ont organisé dans les années 90 avec leurs complices oligarques russes qui gravitaient dans l’entourage de Boris Eltsine. «La Russie n’est plus l’URSS» a-t-elle lancé,  le pays a «payé le tribut le plus lourd lors du dernier conflit mondial avec 25 millions de morts». La France de Marine Le Pen entend contribuer  à «arrimer la Russie au continent européen» afin de ne pas la pousser vers l’Asie.

    Des liens particuliers avec l’Afrique

    «Non ingérence ne veut pas dire indifférence» a souligné Marine Le Pen qui a assuré que les pays africains proches de la France par leur histoire trouvent en elle un allié naturel prêt à les aider et, si nécessaire, à intervenir militairement comme c’est le cas aujourd’hui au Mali ou en Centrafrique.

    Réitérant son souhait de mettre un terme à l’immigration de masse, elle a affirmé que les étudiants africains seraient les bienvenus en France tant qu’ils accepteraient de retourner dans leurs patries d’origine une fois leurs cursus terminés. Quant aux Français d’origines africaines, Marine Le Pen assure qu’ils jouiront des mêmes droits que tout citoyen français et bénéficieront de «la priorité nationale» en matières d’emploi et de logement. Dans ce cadre elle souhaite le retour d’un «ministère de la Coopération» dédié en partie aux relations avec l’Afrique.

    emiliedefresne@medias-presse.info

    http://www.medias-presse.info/marine-le-pen-presente-sa-politique-internationale-devant-le-corps-diplomatique-de-50-pays/69977/

  • Bayrou se sacrifie pour son prince Macron

    À défaut d’être roi, il se veut faiseur de roi. À défaut de Juppé, il fait de Macron son prince.

    Le 15 janvier, François Bayrou confiait au JDD : « J’ai trois portes devant moi et je n’en ferme aucune : soutenir François Fillon, rejoindre Emmanuel Macron, être candidat. » Depuis, il a fermé la porte Fillon : pas question de soutenir un candidat sali dans le Penelopegate.

    Il ne lui restait donc plus que deux choix : soutenir Macron ou se présenter lui-même pour la quatrième fois. Jean Lassalle, qui le connaît bien, était persuadé qu’il serait candidat : « C’est dans son ADN. Il veut être président de la République, il sera candidat et moi aussi », avait-il déclaré sur i>Télé.

    Ce mercredi, François Bayrou a rompu le suspense. Il a décidé d’offrir une alliance à Emmanuel Macron. Il pose ses conditions : une véritable alternance, une loi de moralisation de la vie publique, une séparation de la politique et de l’argent, une représentation à l’Assemblée de toutes les sensibilités politiques.

    Pourtant, il recevait de nombreuses pressions pour se présenter. Mais devant la gravité de la situation, il estime devoir faire un « geste d’abnégation » qui est aussi « un geste d’espoir ». Il fait passer l’intérêt de la France avant le sien. Il se sacrifie ! Avec Macron, il va pouvoir réaliser par procuration ce dont il rêve depuis tant d’années : « le projet de dépassement des clivages ».

    L’objectif de François Bayrou est donc clair. N’ayant aucune chance d’être lui-même dans le couplé final, il décide de peser sur l’ordre d’arrivée. Il rejoint donc le camp d’Emmanuel Macron où, pense-t-il, il se trouvera en meilleure compagnie qu’à droite.

    Il se met en marche.

    D’aucuns jugeront que, finalement, il manifeste une certaine cohérence. En 2012, il avait appelé à voter François Hollande. Cette attirance pour Macron est cependant récente. En septembre 2016, il l’avait accusé d’être le candidat de la finance : « Il y a la séparation de l’Église et de l’État. Moi, je suis pour la séparation de l’État et de l’argent », lançait-il.

    Mais c’était avant la primaire de la droite et du centre, quand son ami Alain Juppé était le favori des sondages. Aujourd’hui, il a choisi Emmanuel Macron. Il révèle, ainsi, une facette de sa personnalité qui n’est pas la plus sympathique : son opportunisme dissimulé derrière de bonnes intentions. « Voilà un beau fruit de la direction d’intention », pourrait lui dire Pascal, qu’il a certainement lu.

    À défaut d’être roi, il se veut faiseur de roi. À défaut de Juppé, il fait de Macron son prince.

    Le benjamin des candidats n’a pas mis longtemps à accepter cette alliance. Lui qui veut incarner le renouveau, qui revendiquait hier « l’immaturité et la jeunesse politique », reçoit, en l’occurrence, le soutien d’un vieux cheval de retour.

    http://www.bvoltaire.fr/jeanmichelleost/bayrou-se-sacrifie-prince-macron,315690

  • Un colloque pour « désislamiser l’Europe » le 4 mars chez Robert Ménard

    Un colloque qui a pour thème « Désislamiser l’Europe » se tiendra le 4 mars à Béziers, en présence de Robert Ménard, le maire de la ville. Pourquoi « désislamiser » ? « Parce que, expliquent le collectif Saint-Michel Archange à l’origine de ce symposium, depuis des dizaines d’années, sous couvert d’activités religieuses, des individus et des organisations opérant en Europe, soutenus par des puissances étrangères rassemblées au sein de la première organisation politico-religieuse du monde (l’OCI : Organisation de la Coopération Islamique), ont engagé un processus de subversion visant à transformer l’organisation de nos sociétés selon les règles de la charia. »

    Désislamiser EuropeSont annoncés :

    • Philippe CHANSAY WILMOTTE, avocat au barreau de Bruxelles, président de Valeurs Libérales Citoyennes (VLC), président du Collectif Saint-Michel Archange
    • Odon LAFONTAINE, auteur du Grand secret de l’islam
    • Jean-Yves LE GALLOU, président de la fondation Polémia
    • Général Antoine MARTINEZ, co-fondateur des Volontaires pour la France
    • Jean-Pierre MAUGENDRE, président de Renaissance Catholique
    • Robert MENARD, maire de Béziers
    • Karim OUCHIKH, président de Souveraineté, Identité Et Libertés (SIEL)
    • Alain de PERETTI, président de Vigilance Halal
    • Mireille VALETTE, présidente de l’association suisse Vigilance Islam
    • Alain WAGNER, président de l’UDCC
    • Joachim Veliocas, fondateur de l’Observatoire de l’islamisation, présente cet événement. 

    "Desislamiser l'Europe" les solutions annoncées à le 4 marsPrésentation de l'évènement par Joachim Véliocas https://youtu.be/DlI5hQAtdnE 

  • Patrick Buisson et les derniers Gaulois

    Le nouveau film de Patrick Buisson, Ce Monde ancien. Les derniers Gaulois, réalisé par Guillaume Laidet, avec des images exceptionnelles, sera diffusé sur la chaîne "Histoire" à partir du 1er mars.

    Selon Patrick Buisson, il y a des moments où se modifie radicalement le cours des choses. Ce fut en France dans les années 1950 avec une économie basée sur la production à une économie basée sur la consommation. Il s'agit d'une révolution anthropologique. L'homme ancien était pluridimensionnel. L'homme moderne répudie tout héritage. L'homme ancien gardait la tradition, l'homme moderne suit la mode. La modernité c'est la victoire de la mode sur les moeurs. 

    Ce film parle de ce monde ancien. Il pose la question du progrès. Après le paysan vient le barbare. Après la culture, la destruction. Le génie en politique ce n'est pas de créer mais de conserver.

    En voici un extrait :

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html