Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Marine Le Pen remporterait la Présidence au second tour selon un dernier sondage – Les VRAIS chiffres dévoilés

    Si les élections présidentielles du second tour avaient lieu aujourd’hui, Marine Le Pen serait élue Présidente de la République! Le sondage Kantar Sofres Onepoint, en dépit de l’habile manipulation des chiffres du Figaro aujourd’hui lundi, révèle donc une montée fulgurante de Marine Le Pen au second tour de la présidentielle, qui lui ouvre tous les espoirs à deux mois du scrutin définitif. Et cela en dépit d’une campagne médiatico-judiciaire hystérique! Mais examinons les chiffres du sondeur, habillement maquillés dans l’article du Figaro publié ce jour:

    Le Figaro, entièrement gagné à la gauche caviar et immigrationniste en faveur de Macron, titre pompeusement aujourd’hui: « Sondage : Le Pen et Macron en tête au premier tour de la présidentielle, Fillon distancé ». De la pure manipulation de chiffres!

    Examinons LES RÉSULTATS RÉELS de ce sondage, publiés par l’institut de sondage lui-même:

    Premier schéma: quelque soit le cas de figure: Macron ou Fillon, la candidate souverainiste augmente spectaculairement son score au deuxième tour :

    Ainsi que le montre ce schéma du sondeur, Marine atteindrait 45% des voix (+ 7 points) contre 55% à Fillon (-5%), se rapprochant encore un peu plus de la barre des 50%. Et elle atteindrait le score de 42% (+ 7 points) face à Macron 58% (-7 points). Mais ces chiffres sont encore sous-estimés pour Marine Le Pen, ainsi que le révèle plus bas le deuxième schéma.

    Parce que, d’une part, Macron n’a que peu de chances d’être au second tour face à Marine

    Le Figaro, comme tous les médias mainstream sous influence, aimerait bien que Marine se retrouve face à Macron parce que celui-ci, au second tour, serait, selon eux, davantage susceptible de lui faire barrage! ILLUSION! En réalité suivant ce sondage, Macron n’a que peu de chances de se retrouver au second tour face à Marine Le Pen. 

    Second schéma: Les chiffres réels de ce schéma du sondeur augmentent, en réalité, considérablement le score de Marine Le Pen. En effet 78% des sondés en faveur de Marine sont sûrs de leur choix, alors que seulement 58% des sondés en faveur de Fillon sont sûrs de leur choix et SEULEMENT 54% des sondés en faveur de Macron sont sûrs de leur choix.

    Observez bien le schéma du sondeur qui révèle la réalité des chiffres!

    La Baudruche Macron se dégonfle 

    Mais où les magouilles du Figaro sont les plus criantes c’est sur la baudruche Macron: SEULEMENT 54% des sondés sont sûr de leur choix en sa faveur, ce qui réduit considérablement le score de Macron au premier comme au second tour qu’en l’état actuel de ce sondage il a peu de chance d’atteindre. Et ce qui fait de François Fillon avec ses 58% de votes sûrs en sa faveur, le probable adversaire perdant de Marine Le Pen au second tour. Mais Fillon ou Macron, ce serait Marine qui l’emporterait selon ce sondage.

    Manifestement plus personne ne croit les Journaux télévisés, ni la presse de la haute finance!

    Les chiffres du sondage donnés par Le Figaro qui l’a commandé, ne précisent pas le taux de votes sûrs pour chaque candidat au second tour. Un « oubli » qui manifeste probablement de mauvais taux pour Emmanuel Macron et un bon taux pour Marine Le Pen. La sûreté des votes qui sont régulièrement autour de 80% en faveur de Marine Le Pen au second tour à travers tous les sondages, sont au contraire beaucoup plus volatiles au second tour pour Emmanuel Macron, ce qui ne ferait que renforcer encore le socle positif des électeurs en faveur de la candidate frontiste. Mais en ne nous en tenant qu’aux chiffres du premier tour, les seuls publiés par le Figaro qui se trouvent dans le schéma ci-dessus, avec 20% d’électeurs sûrs en plus, Marine Le Pen devrait aisément flirter avec les 50% nécessaires pour être élue, d’autant plus qu’un certain nombre d’électeurs volatiles de François Fillon et même d’électeurs égarés de Macron, devraient venir consolider l’électorat de Marine Le Pen. 

    Conclusion: Marine a toutes les chances de rentrer à l’Elysée en mai prochain!

    Ainsi, n’en déplaise au Figaro, aux hyènes de l’information, et aux manigances de François Hollande avec le Syndicat de la Magistrature, si les élections présidentielles du second tour avaient lieu aujourd’hui, Marine Le Pen serait élue Présidente de la République! Ce sondage en pleine tempête judiciaro-médiatique contre Marine Le Pen révèle donc une montée fulgurante de Marine  au second tour de la présidentielle qui lui ouvre tous les espoirs à deux mois du scrutin définitif.

    emiliedefresne@medias-presse.info

    http://www.medias-presse.info/marine-le-pen-remporterait-la-presidence-au-second-tour-selon-un-dernier-sondage-les-vrais-chiffres-devoiles/70165/

  • En France, le retour du peuple

    PAR CHRISTIAN TARENTE

    Les événements extérieurs survenus en 2016 - succès international de Poutine, Brexit, élection de Trump -, tout à fait inattendus, ont heureusement surpris ceux qui aspirent à secouer le cocotier mondialiste. En réalité, ils n'ont pas de quoi nous réjouir : alors que le monde se réveille, nous, Français, continuons à nous repaître de combats de coqs dans des fonds de basse-cour... Comment voir autrement ces fameuses « primaires », qui étaient censées apporter une modernisation décisive à notre vie démocratique ? Le pays légal reste fidèle à son refus de prendre en compte le bien commun. Pourtant, le peuple de France multiplie les signes de son réveil. Longtemps leurré par le rêve mondialiste - horizon irremplaçable des élites, de la classe politique et des médias -, il a eu peu à peu les yeux dessillés par le réel. Sur au moins trois plans : les conséquences de l'immigration exorbitante ; les résultats d'une économie livrée aux seules forces du marché planétaire ; enfin, les perspectives menaçantes ouvertes par le rejet de toute éthique naturelle. Dans ces trois cas, on a pu voir des révoltes gronder. Le jour où elles sauront comprendre ce qui les relie et se coordonner, les Français seront mûrs pour passer de la simple révolte à la révolution culturelle globale que la situation exige.

    LE PEUPLE NOUS DEÇOIT : CHANGEONS LE PEUPLE !

    On a vu comment l'immigration, répondant initialement à des besoins purement économiques, a progressivement engendré un monstre idéologique où les fantasmes d'un nomadisme généralisé ont rejoint les vieilles haines contre le passé de la France, et d'abord son patrimoine chrétien. Des populations assimilablestant qu'elles étaient peu nombreuses et qu'il y avait volonté de les intégrer, se sont retrouvées trop importantes pour pouvoir éviter plus longtemps un clivage culturel dommageable à tous. On se rappelle les « odeurs » dénoncées par Chirac, en dépit de son « progressisme » revendiqué. L'Islam lui-même, dans ses aspects socio-politiques comme sur le plan des moeurs (voile, hallal, etc.), a fini par apparaître comme destructeur du mode de vie français. Les élites, au lieu de prendre le problème à bras le corps, se sont abritées derrière une ligne de défense : la dénonciation de l'islamophobie. Une digue qui s'est révélée de plus en plus fragile.

    Confronté à ces nouvelles réalités, le peuple les a d'abord subies passivement comme on subit les intempéries. Puis il a réagi, avec ses seuls moyens : le racisme, c'est-à-dire le rejet global de l'autre, ou, lorsque des élections lui en donnait l'occasion, le vote Front national. Il est indéniable que, sur ce sujet, le peuple attend désormais du pouvoir, quel qu'il soit, une politique forte. Mis à part les discours électoraux, qui n'engagent « que ceux qui y croient », rien n'indique encore que les élites en aient pris conscience : en 2016, la seule immigration « légale » est en nette croissance par rapport à 2015, et représente l'équivalent de villes comme Bordeaux, Rennes ou Le Havre. « Grand remplacement » ? « Changement de peuple » ? En tout cas, on voit bien qu'il y a là un facteur déterminant de ce qu'il est convenu d'appeler la « droi-tisation » de la société.

    LA CASSE ÉCONOMIQUE

    Un nom marque l'origine du grand dérapage économique que nous continuons de vivre, même s'il a du plomb dans l'aile : Jean Monnet. Après la Libération, Monnet s'est habilement allié à la démocratie chrétienne alors au pouvoir, imperméable aux arguments gaulliens, et qui, naïve, n'a pas vu où il voulait l'emmener, et la France avec elle. Monnet, c'était le libre-échange généralisé, européen et transatlantique pour commencer, et c'était le triomphe des puissances d'argent. C'est son programme qui a été réalisé, non sans certains succès économiques, mais avec des effets pervers, destructeurs en profondeur de la société, tant sur les plans politique, social et humain que du point de vue économique lui-même.

    FRANCE PÉRIPHÉRIQUE ET HORREUR ANTHROPOLOGIQUE

    On lui doit notamment la dislocation méthodique du tissu industriel français, et le chômage qui lui est lié. Le résultat, consternant, est surtout humainement dramatique. La description clinique du stade actuel en a été faite par le géographe Christophe Guilluy, notamment dans son livre La France périphérique (Flammarion). Encore n'est-ce qu'un des aspects d'une dérive progressive, une véritable fuite en avant : elle a conduit à construire l'Europe contre les nations, alors qu'il fallait au contraire, pour qu'elle soit durable, bâtir la solidarité européenne sur la reconnaissance des réalités nationales, bref, faire l'Europe des nations. La prise de conscience de cette réalité par le peuple de France est sans doute longue et difficile, tant la propagande « pro-européenne » est omniprésente, mais le rejet progressif de l'oligarchie encore dominante prélude à une remise en cause de tous ses dogmes. Le Brexit en a été un signal retentissant.

    Simone Veil, auteur de la loi autorisant l'avortement, ne semble pas en considérer les suites sans quelque désarroi. Sur le mode de Guillaume II disant de la guerre mondiale qu'il avait provoquée : « Je n'ai pas voulu cela. » Les suites de la loi Veil, c'est l'application systématique d'un « effet cliquet » conduisant à avancer sans cesse vers une destruction croissante de la nature humaine. Selon la formule d'Alphonse Allais, « quand on a passé les bornes, il n'y a plus de limites... » C'est en effet ce à quoi on assiste, faisant redouter le pire des perspectives annoncées par le « transhumanisme ». À cet égard, l'optimisme invétéré d'un Luc Ferry n'est, hélas, pas de nature à nous convaincre, contrairement aux mises en garde de beaucoup d'autres, comme Jean-Pierre Dickès.

    Cet « effet cliquet » paraissait inéluctable quand la décision d'étendre l'institution du mariage civil aux homosexuels a fait déborder le vase. Et ce fut la grande révolte populaire de la Manif pour tous. Sans effet apparent, puisque l'autisme des parlementaires a imposé le vote de la loi, mais la résonnance en a été profonde : on sait désormais qu'une réaction est possible, le printemps 2013 en constitue une butte-témoin, prélude à l'indispensable révolution culturelle de demain.

    Le retour du peuple fait peur à ceux qui ont tôt fait de le stigmatiser en le qualifiant de « populisme ». Ils se gardent bien de donner la moindre publicité au « Baromètre politique français », le dispositif d'enquête électorale le plus complet jamais réalisé en France, dû au Centre de recherches politiques de Sciences Po, le CEVIPOF. On y constate que, depuis des années, l'institution dont les Français ont la meilleure opinion est... l'armée. Suivie de la police et des PME... Et cette tendance ne cesse de croître. Le retour du peuple ? Ce sont maintenant les statistiques officielles qui l'annoncent..  

    Politique magazine, février 2017  -  Consulter ... S'abonner ...

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Tous les coups sont permis

    Réalisés après l’annonce du ralliement de François Bayrou à Emmanuel Macron, les nouveaux  sondages Kantar Sofres Onepoint pour LCI et Odoxa-Dentsu Consulting pour France 2 diffusés  hier,  indiqueraient  que si le premier tour de l’élection présidentielle avait lieu ces prochains jours, François Fillon, avec 19 à 20% des voix serait éliminé du second tour au profit  du candidat préféré de Bruxelles, de  la finance internationale et  des cénacles mondialistes, Emmanuel Macron (25%). Ce dernier ne semble pas pâtir, et cela peut tout de même surprendre, de ses bourdes et de la vacuité de plus en plus visible de son discours.  Marine Le Pen maintient sa première place et continue même  à progresser  avec 27% des voix.  Dans ce climat de fin de règne et de dynamique nationale, il n’y a rien d’étonnant à ce que le Système multiplie les attaques, tous azimuts,  contre le camp national et patriotique. On le voit bien sûr avec les persécutions judiciaires orchestrées contre le FN par certaines instances bruxelloises et relayées en France par le pouvoir socialiste. Hier à Nantes, Marine a d’ailleurs appelé solennellement  les magistrats à « ne pas contrecarrer la volonté du peuple ». « L’Etat de droit est le contraire du gouvernement des juges.  Les magistrats sont là pour appliquer la loi, pas pour l’inventer, pas pour contrecarrer la volonté du peuple, pas pour se substituer au législateur ».

    Parallèlement aux attaques contre le FN dans l’affaire dite des assistants parlementaires, une nouvelle offensive a été lancée ces derniers jours avec la mise en examen  du dirigeant de la société Riwal, Frédéric  Châtillon,  prestataire de service du FN.  Certes, ce n’est pas une surprise, le 22 février lors de son passage au JT de TF1, Marine avait prévenu les Français que  les coups bas, les manips médiatiques ne faisaient que commencer… Car il s’agit  de tout faire pour porter au pouvoir  le « candidat des assurances »  ou celui  « des banques et des médias » relevait encore la présidente du FN  hier. «  Voyez avec quel zèle les puissances d’argent prennent ouvertement parti pour Emmanuel Macron, comme Pierre  Bergé  qui met son journal Le Monde à son service… »

    Les supplétifs du Système que sont les milices d’extrême gauche sont également entrées dans la danse, chargées par le pouvoir  de créer un climat anxiogène de violences autour de la campagne du FN et des déplacements de sa candidate. Le but poursuivi est assez limpide:  faire peur aux Français en brodant sur le thème plus ou moins  subliminal  du voyez ce qui vous attend si Marine gagne la présidentielle… ». Ce fut la cas cette fin de semaine avec la mise à sac du centre-ville de Nantes lors de la manifestations organisée notamment à l’appel  de  l’Union démocratique bretonne (UDB) et des zadistes de Notre-Dame des Landes. «11 policiers et gendarmes ont été blessés et contusionnés». Parmi eux, un gendarme a été brûlé au deuxième degré aux jambes. Il a été hospitalisé », a précisé un communiqué de la  gendarmerie.

    Hier, un bus transportant des frontiste a été attaqué par des zadistes sur la RN137,  à proximité de Notre-Dame-des-Landes, la route ayant été coupée pour empêcher l’arrivée au Zénith de Nantes où Marine a tenu une réunion qui a battu tous les records d’audience sur cette terre de l’ouest  réputée rétive au vote FN… Le ministre de l’Intérieur Bruno Le Roux a «condamné avec la plus grande fermeté les violences commises»;  ce qui ne mange pas de pain mais ne lève pas les interrogations légitimes sur le maintien de l’autorisation accordée  à cette manifestation d’extrême gauche, - a fortiori en plein état d’urgence-,  dont il était évident qu’elle serait le théâtre de débordements et d’exactions.

    La palme de l’hypocrisie pourrait être aussi  attribuée  à François Fillon qui dans un communiqué a accusé  « solennellement le Premier ministre et le gouvernement de ne pas assurer les conditions d’un exercice serein de la démocratie », « ils portent une très lourde responsabilité en laissant se développer dans le pays un climat de quasi-guerre civile qui ne peut que profiter aux extrêmes ».  Mais le candidat de la droite libérale s’est aussi signalé en établissant un parallèle particulièrement malhonnête entre l’action des milices d’extrême gauche et la réunion publique de M Macron à Toulon le 18 février  « perturbé » dit-il  (pacifiquement) par un rassemblement de Pieds Noirs et de militants FN protestant contre les propos scandaleux de l’ex ministre de l’Economie sur la colonisation.

    Si Bernard Cazeneuve fut un ministre très inefficace dans la lutte contre la délinquance et très peu apprécié par les policiers et gendarmes lors de son passage place Beauvau, il entend utiliser son nouveau costume de ministre de l’Intérieur pour lutter lui aussi activement contre le Front National. Le site de BFMTV souligne que M. Cazeneuve  « va mettre à profit ses dernières semaines à Matignon pour enchaîner les déplacements thématiques contre le Front National. » « Ma responsabilité est de tout faire pour démontrer aux Français que les propositions du FN sont des impasses dissimulées derrière des mensonges », affirme-t-il dans le Journal du dimanche.  « Pour moi la priorité c’est le rassemblement pour faire barrage au Front National» précisant qu’il se déplacera en province  (avec l’argent des contribuables ? s’interroge Bruno Gollnisch) pour  «  souligner les dégâts causés par le FN »,  «le « populisme dangereux et mortifère » comme il la affirmé pareillement dans Le Parisien.

    Populisme dont il pourrait après tout aussi faire le reproche  au  Parisien qui a eu le front de faire état que la famille de Théo, ce jeune homme sérieusement blessé après un contrôle de police le 2 février àAulnay-sous-Bois, « est au coeur d’une enquête financière pour abus de confiance et escroquerie. Les interrogations portent sur une somme de 678 000 euros»,  perçue « entre janvier 2014 et juin 2016 par le biais de contrats d’accompagnement à l’emploi, dit contrat aidés» (une usine à gaz socialiste parmi d’autres). «Une affaire qui embarrasse les autorités, et ce jusqu’au plus haut sommet de l’Etat».

    Toutes choses qu’un François Hollande s’est bien gardé de dire aux Français quand, devant les caméras, il tressait des louanges à la famille de Théo  Luhaka ou pire encore peut-être, dont il n’était même pas au courant en allant au chevet du jeune homme, omettant de se rendre à ceux des policiers blessés dans les manifs d’extrême gauche ces derniers mois. Nous l’avons dit, pour fustiger les Français qui entendent rester eux mêmes,  « cette putain de France »  décrite comme  « raciste », dixit Oulaya Amamra sacrée meilleur espoir féminin à la cérémonie des Césars pour  son rôle dans le film Divines (sic), toutes les arnaques et tous  les coups s(er)ont permis.

    https://gollnisch.com/2017/02/27/tous-les-coups-sont-permis/

  • Le nouveau clip de Marine Le Pen : et vous, avez-vous « besoin de Marine » ?

    « J’ai besoin de Marine. » Tel est le leitmotiv du deuxième clip de campagne de Marine Le Pen, dont le nom de famille n’est jamais prononcé. Durant deux minutes et demie défilent à l’écran des Français, qui, tous, répètent : « J’ai besoin de Marine », et expliquent pourquoi.

    Il y a le marin pêcheur, qui « ne veut plus crouler sous les contraintes, les quotas et les normes » ; la retraitée, qui ne veut plus « d’une monnaie qui affaiblit mon pouvoir d’achat » ; la jeune fille qui ne veut plus « avoir peur » quand elle traverse « certaines rues, certains quartiers, ou dans les transports en commun » ; la mère de famille qui veut voir ses enfants grandir dans une France respectée, « sûre de ses valeurs » ; le chef d’entreprise qui ne veut pas « d’un Etat qui m’étouffe sous les impôts » mais d’un Etat qui lui « permet de travailler, d’embaucher », et « qui protège » notre économie, « mon entreprise et mes salariés ».

    Il y a l’enseignant qui veut « retrouver la fierté » de sa mission et « transmettre le savoir » ; l’agriculteur qui veut pouvoir vivre de son métier « dans la dignité » ; celui qui veut « un gouvernement qui se préoccupe de l’emploi des Français plutôt que des migrants » ; le policier qui réclame « réellement le soutien de l’Etat » ; l’étudiante (ci-dessus) qui ne veut pas avoir le choix, à la fin de ses études, entre « travailler pour un salaire de misère ou partir à l’étranger », etc.

    A la fin, Marine Le Pen, que l’on voit derrière son bureau mais qui s’exprime en voix off, lance : « Pour remettre la France en ordre, j’ai besoin de vous. » Très fort.

  • Ingrid Riocreux : un décryptage acerbe de la presse et de son langage

    Par Nicolas Vidal - Agrégée de lettres et maître de conférences à l’Université, Ingrid Riocreux a jeté un pavé dans la mare médiatique avec cet essai passionnant. Selon elle, les médias décryptent, analysent et orientent l’actualité selon un canevas idéologique. Le propos est dense, corrosif et brillant. Ingrid Riocreux nous explique plus en détails en quoi les enjeux manichéens voulus par une certaine partie de la presse ouvre un débat profond sur la démocratie et le libre arbitre.

    Qu’est-ce qui vous a poussé à écrire ce livre, Ingrid Riocreux? Y-a-t-il un événement en particulier qui a déclenché l’envie de vous exprimer sur ce sujet ?
    J’ai commencé à écrire ce livre quand je donnais des cours de rhétorique à de futurs journalistes, à la Sorbonne. Comme je voulais rendre mon propos le plus concret possible, j’ai décidé de prendre des exemples dans l’actualité et je me suis aperçue qu’il existait une véritable langue des médias, une manière de parler propre aux journalistes, avec ses formules toutes faites, sa syntaxe, et ses mots porteurs d’un pré-pensé qui conditionne notre compréhension du monde. Cela dit, bien avant d’entreprendre l’écriture de ce livre, il y a bien un événement qui a représenté pour moi une prise de conscience de la puissance de conditionnement des médias. J’appartiens à ce qu’on a appelé la « génération 21 avril ». En 2002, j’étais en classe de première. A la maison, nous n’avions pas la télévision et je ne m’intéressais pas du tout à l’actualité. Or, quand Jean-Marie Le Pen s’est retrouvé au second tour, j’ai vu mes camarades devenir dingues ! Ils pleuraient, ils accusaient ceux qui ne venaient pas aux manifs d’être des complices du fascisme. Comme ils savaient que je n’avais pas la télé, ils se sentaient investis d’une mission à mon égard et m’expliquaient « Le Pen, il est comme Hitler ! ». Or, déjà au collège, les copines avaient essayé de m’expliquer la guerre du Kosovo comme ça : « Tu dois comprendre que Milosevic, il est comme Hitler ! ». Le caractère systématique, abusif et abêtissant de la nazification médiatique m’est apparu à travers le discours des autres, bien avant que je me mette à suivre l’actualité. Et cela m’a vaccinée à vie !

    Lire la suite

  • Manifestation de la Dissidence française samedi après-midi à Paris

    16939437_10212651779757366_2494572159640116275_n.jpg

    "Les nôtres avant les autres", tel était le thème de la manifestation organisée samedi après midi place de la Bourse à Paris. L'initiative de celle-ci revenait à La Dissidence française.

    Une centaine de militants du groupe dirigé par Vincent Vauclin s'est donc rassemblée, brandissant leurs drapeaux, pour écouter les orateurs. Après l'intervention de Vincent Vauclin, ce fut les invités qui purent s'exprimer. D'abord Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, puis Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France prirent successivement la parole.

    Les manifestants se dispersèrent peu avant 17 h, après avoir entonné la Marseillaise. Aucun incident à signaler.