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  • LES GRAINS DE SABLE DANS LE MONDIALISME

    Décidément, les chastes cerveaux du mondialisme n’en reviennent pas : le 45e président des États-Unis ne respecte pas les us et coutumes du nouvel ordre mondial qu’ils s’appliquent à édifier depuis des décennies. En moins de deux semaines de présidence, cet homme qui a été élu pour l’essentiel sur ses fonds propres contre l’oligarchie en place depuis un siècle et n’est tenu par personne, a multiplié des décrets qui sont autant de grains de sable jetés dans une mécanique bien réglée pour la mise en place d’une gouvernance mondiale aux ordres des forces de l’anti humanité que sont les cercles mondialistes et leur bras armé financier.  

    Et ils s’effraient : voilà que Trump interdit l’accès des États-Unis aux ressortissants de sept États, tous musulmans, la plupart étant des territoires en guerre. A entendre nos rosières médiatiques, c’est presque la fin du monde – entendez, de la déesse démocratie. Les Chinois, les Séoudiens peuvent bien filtrer les étrangers, interdire les églises, cela ne les gêne pas. Mais que les États-Unis, autrement dit un État blanc, veuille prendre des mesures protectrices, cela relève du crime de lèse droit de l’hommisme. Il en est de même pour la fermeture de la frontière avec le Mexique. Certes, les murailles sont des signes de faiblesse de ceux qui les construisent ; elles n’ont jamais arrêté les invasions si les peuples ainsi menacés ne savent pas prendre les mesures de redressement moral et spirituel qui s’imposent. Mais, surtout, les actes de Trump sonnent comme un coup d’arrêt à la submersion ethnique, raciale et civilisationnelle que les sicaires de la superclasse mondiale veulent faire subir au Monde Blanc, ainsi que nous le voyons en Europe avec la révolution migratoire dont Merkel s’est faite la cheville ouvrière.

    Ce n’est pas tout : Trump menace la mondialisation libérale, celle visant à créer un marché planétaire unique dans lequel les biens matériels s’échangent sans entrave, de même que les êtres humains, considérés comme des unités marchandes interchangeables et échangeables selon le prix du marché quasi divinisé. Trump a déchiré le traité transpacifique et le traité transatlantique subira le même sort s’il peut mener à bien ses vastes projets. En réalité, ce qui est en cause, c’est le multilatéralisme économique. Trump a compris qu’il était contraire au bien être des peuples, à commencer par celui des États-Unis. Son objectif est d’établir un bilatéralisme économique, la conclusion d’accords d’État à État, comme cela existait auparavant.

    Les économistes patentés et autorisés nous expliquent que Trump menace ainsi le développement de l’humanité, en remettant en cause le libre-échange présenté comme la clef du développement de la planète. Pourtant, ne nous laissons pas leurrer. Le libre-échange, est moins une théorie économique qu’une théorie politique, soutenue d’abord par Adam Smith parce qu’il favorisait l’économie britannique en plein développement. 

    La mondialisation a été soutenue par les Américains parce qu’ils pensaient en être les principaux bénéficiaires. En réalité ce sont des firmes transnationales, des financiers apatrides qui en retirent les plus grands profits tandis que les peuples Blancs en sont les victimes. A partir du moment où cela dessert le peuple états-unien, il est normal, inévitable que cette forme de mondialisation soit remise en cause par un puissant courant populaire. Et, dans le même temps, c’est sans surprise que l’on voit la Chine, État pas vraiment démocratique selon les critères occidentaux, se faire le chantre du libéralisme économique planétaire à Davos car elle doit écouler ses produits. 

    Mais, si la Chine est dans cette situation, c’est justement à cause de cette mondialisation fondée sur la théorie des avantages comparatifs, à savoir qu’il vaut mieux que chaque pays produise ce dont il est le plus capable, le commerce international permettant de procéder alors aux échanges de biens dans des conditions optimales. Or cela n’est valable qu’à la condition que les niveaux de salaires soit comparables, ce qui n’est pas le cas avec l’actuelle mondialisation où les écarts inter salariaux vont de 1 à 10, voire bien plus. Si la Chine doit exporter ce qu’elle produit, c’est que son marché intérieur n’est pas assez solvable, assez développé pour absorber cette production.

    La mondialisation est inévitable, celle des communications étant irréversible à vue d’homme et les caravaniers de la Route de la Soie en étaient les premiers acteurs. Mais elle peut et doit connaître une autre forme : elle doit être au service des peuples et non pas à celui de quelques acteurs privés, notamment financiers et apatrides. Elle consiste à permettre aux peuples de produire chez eux l’essentiel de leurs biens, créant ainsi la demande solvable indispensable à leur écoulement, le commerce international ne servant qu’aux échanges indispensables, ce qui constituera une activité considérable. Cette « mondialisation involutive » peut même être mise en œuvre par les firmes trans nationales elles-mêmes si elles s’aperçoivent que l’allongement des chaînes logistiques, la qualité défectueuse des produits fabriqués dessert leurs intérêts. Pour les peuples européens et assimilés, la robotisation à venir peut leur permettre de retrouver une compétitivité inattendue par la baisse considérable des coûts de production. En outre, les relations économiques doivent être pensées en termes de blocs de civilisation.

    Bien sûr, ce détricotage de l’actuelle mondialisation n’ira pas sans heurts, sans à coup sociaux. Mais le choix est simple : assurer l’avenir des peuples et des nations, à commencer par les peuples Blancs ou les laisser périr, asphyxiés, envahis, suicidés par l’avortement subventionné. Évidemment, un sursaut spirituel doit aller de pair.

    Nous n’attendons rien de Trump mais son élection est une bonne chose. Elle peut aider au démantèlement de l’U.E., amorcé avec le Brexit et offrir la possibilité d’abattre les obstacles que les mondialistes installent entre les Europes carolingienne et centrale et la Russie. Au sein de l’Europe, les relations économiques bilatérales sont depuis toujours préconisées par les nationalistes, avec des ententes industrielles dirigées par les États qui, dans un secteur donné, ont le savoir-faire qui les place comme des chefs de file naturels et efficaces. Dans le même temps, la France, aujourd’hui enchaînée par l’U.E. et par l’euro qui est de fait la monnaie de l’Allemagne et donc au service de cette dernière, retrouvera une féconde liberté d’action, pour peu que les Français révoquent la classe politique actuelle, faillie, inculte, nuisible et engluée en permanence dans ses affaires sordides.

    Nous ne pouvons préjuger de ce que va faire et pourra faire Trump, étant donné les résistances qu’il va rencontrer. Néanmoins, une faille s’est ouverte dans le glacis du mondialisme. D’autres suivront tant celui-ci est fragile, parce que fondé sur de fausses abstractions philosophiques, parce contraire à l’ordre naturel, parce que fondé sur l’amoralité, la spéculation, la spoliation des peuples. Le travail des nationalistes consiste à se préparer pour l’échéance décisive qui ne manquera pas de se produire, peut-être plus vite que nous le pensons.

    MILITANT

    5€ le n°  à : Militant –  BP  154  –  75463 Paris cedex 10

    ou bien abonnement en ligne ici

    http://www.jeune-nation.com/natio-france/les-grains-de-sable-dans-le-mondialisme.html

  • Près de 40 000 immigrés dorment toutes les nuits à l’hôtel

    Lu dans Minute :

    6a00d83451619c69e201b8d2658676970c-800wi.jpgDans le gros millefeuille que représente le rapport annuel de la Cour des comptes, rendu public le 17 février dernier, il y a, au chapitre concernant « l’hébergement des personnes sans domicile », une facture salée et difficile à avaler : une note d’hôtel présentée comme celle des « sans domicile fixe », les SDF, nos bons vieux clochards d’autrefois. En 2015, elle s’est élevée à 234 millions d’euros, alors que, dans le même temps, on nous expliquait qu’il n’y avait jamais eu tant de SDF à la rue – et tant de morts parmi les SDF. Le collectif « Morts de la rue » assure par exemple que, en 2015, 498 « sans domicile fixe », d’une moyenne d’âge de 49 ans, sont décédés faute d’avoir eu un toit. […] 

    En 2014, on recensait quotidiennement au plan national 32 300 nuitées d’hôtel affectées à des personnes sans domicile fixe. En 2015, ce chiffre est passé à 37 950, soit 16,5 % de plus ! Au prix moyen de 16,9 euros la nuitée, la facture annuelle a donc atteint, pour la seule année 2015, 234 millions d’euros (16,9 euros x 37 950 nuitées x par les 365 jours de l’année). […]

    La Cour des comptes écrit qu’en janvier 2016, 40 % des demandeurs d’asile étaient hébergés en dehors des structures pérennes du ministère de l’Intérieur, soit par leurs propres moyens, soit dans les dispositifs d’urgence généralistes, dont les hôtels représentent près de 40 % de l’offre ! Dans sa circulaire de février 2015, Bernard Cazeneuve ne cachait d’ailleurs pas que les migrants représentaient une importante partie de cette nouvelle et abondante clientèle. […]

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • 8 mars, journée de la femme : grande veillée des Sentinelles à Paris

    Le 8 mars, les Sentinelles vous invitent à une grande veillée place Vendôme, à l’occasion de la journée internationale de la femme.  (Evènement Facebook) ! 
    Dans notre monde, l’altérité des sexes est contestée avec par exemple la théorie du genre qui n’existe pas, mais qui fait l’objet d’un enseignement sournois. L’indifférenciation est promue comme un style de vie à la mode. Ce refus des déterminismes naturels est une des sapes qui vise à faire s’effondrer le socle anthropologique de notre société. Sentinelles_20170308

    Dans notre monde, des femmes sont réduites en esclavage. Il n’est pas comparable aux traites arabo-musulmane ou transatlantique. Cet asservissement revêt de multiples formes. Combien de jeunes filles issues de familles d’immigration récente sont mariées de force dans leurs pays d’origine ? Combien de femmes subissent un asservissement domestique dont elles ne peuvent échapper, parfois maintenue dans ce carcan par une violence physique et psychique continue ? Combien de prostituées remettent les fruits de leur travail sordide à des proxénètes ?

    Dans notre monde, certes pas à l’intérieur de nos frontières, mais pas si loin que ça, des femmes vendent d’autres services pudiquement désignés comme « reproductifs ». Certaines vendent leurs ovules, d’autres portent l’enfant qu’elle céderont à sa naissance. La marchandisation du corps humain qu’implique la gestation pour autrui est bien là. L’hypocrisie des élites qui nous gouvernent atteint ici son summum : elles maintiennent une interdiction sur le territoire mais facilitent la transgression dans des pays où le prolétariat des gestatrices n’est pas protégé, et elles organisent la promotion de cette pratique à grand coup de sentimentalisme médiatique, afin de la rendre socialement plus acceptable.

    Pour certains, rien ne doit s’intercaler entre l’individu démuni et l’ogre du marché triomphant. Parce que les femmes sont plus fragiles dans notre monde brutal et violent, des Sentinelles choisissent de veiller à cette occasion de la Journée de la Femme. Cette veille des Sentinelles ne sera pas genrée : tous les sexes sans exception sont les bienvenus, avec toujours les mêmes recommandations : respecter le silence, les distances entre chacun de nous, l’absence de signes distinctifs et la bienveillance.

    A bientôt.

    Des Sentinelles

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • Vie et œuvre d’un doctrinaire transeuropéen

    Georges Feltin-Tracol

    849720557.jpgQui connaît Jean Thiriart ? Son ami Yannick Sauveur vient de rédiger une très intéressante biographie aux éditions Pardès dans la collection « Qui suis-je ? » (127 p., 12 €). Optométriste réputé à Bruxelles, Jean Thiriart (1922 – 1992) fut un ardent militant européen ou, plus exactement, « national-européen ».

    Après une jeunesse collaborationniste, Thiriart défend le Congo belge et l’Algérie française qu’il intègre rapidement dans une ambitieuse vision grande-européenne allant de l’Arctique jusqu’au Cap. Il crée dès 1962 Jeune Europe, un mouvement transeuropéen qui entend fondre toutes les nationalités en une seule citoyenneté. Hostile aux deux blocs surgis de Yalta, ce parti s’implante en Belgique, en RFA, en Italie, en France, et publie L’Europe communautaire ou La Nation européenne. Auteur, deux ans plus tard, d’Un Empire de quatre cents millions d’hommes : l’Europe. La naissance d’une nation, au départ d’un parti historique (réédité aux éditions Avatar dans la collection « Heartland » en 2007), Thiriart, en lecteur attentif de Machiavel et de Pareto, conçoit un État-nation européen, centralisé, indivisible, unifié, laïque et républicain. Être européen n’est à ses yeux qu’une question politique et nullement une réalité ethno-linguistique. Il exècre par conséquent tous les « petits nationalismes » qu’ils soient régionalistes, nationaux, ethnistes et religieux. Si, dans les années 1980, il envisageait une solide alliance euro-soviétique tournée contre les États-Unis, après la fin de l’URSS en 1991, il imagine un grand-espace plus qu’européen couvrant à la fois l’Europe de l’Ouest et l’ancien bloc de l’Est ainsi que la Turquie, l’Asie centrale, le Proche-Orient et l’Afrique du Nord.

    La pensée géopolitique de ce doctrinaire intransigeant déroute. L’échec de Jeune Europe en 1969 ne l’empêche néanmoins pas de continuer à réfléchir et à persévérer. En août 1992, il séjourne à Moscou et y rencontre les opposants de Boris Eltsine dont le jeune Alexandre Douguine pas encore chantre d’une quatrième théorie politique néo-eurasiste. Toutefois, malgré quelques similitudes, force est de relever que le néo-eurasisme douguinien ne correspond pas au transeuropéisme de Thiriart.

    Certaines des analyses de Jean Thiriart demeurent actuelles et pertinentes, nonobstant un idéal transeuropéen qui continue à susciter réticences, interrogations et polémiques auprès de tous les européistes identitaires convaincus.

    Bonjour chez vous !

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n° 22, diffusée sur Radio-Libertés, le 24 février 2017.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Un député européen ne peut pas dénoncer des horreurs commises par des islamistes

    Le Parlement européen a approuvé jeudi la levée de l'immunité parlementaire de Marine Le Pen, réclamée par la justice française qui lui reproche d'avoir diffusé des images d'exactions de Daesh sur son compte Twitter.

    Cette levée, à effet immédiat, ne concerne que cette enquête. Cette levée était demandée par le parquet de Nanterre, qui a ouvert une information judiciaire à l'encontre de Marine Le Pen pour "diffusion d'images violentes". En décembre 2015, la présidente du FN avait diffusé trois photos sur Twitter avec le texte "Daesh c'est ça!": un homme vêtu d'une combinaison orange sous les chenilles d'un char, un homme vêtu de la même manière enflammé dans une cage et un corps d'homme décapité avec la tête posée sur le dos. Elle protestait contre le "parallèle ignoble" effectué par le journaliste de RMC, Jean-Jacques Bourdin, entre Daesh et le Front national.

    "Je suis députée, je suis dans mon rôle quand je dénonce Daesh", a-t-elle estimé. 

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Marine Le Pen en visite au Salon de l'Agriculture à Paris | Marine 2017

  • Viktor Orban dénonce la complaisance de l'UE envers les crimes du communisme

    Le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, a déclaré lors de la journée de commémoration des victimes du communisme qu’ils sont nombreux, ceux qui en Occident « trouvent encore des excuses aux crimes du communisme ».

    6a00d83451619c69e201bb097ed667970d-800wi.jpg« L’Union européenne elle-même hésite à les condamner sans équivoque ».

    « Tout cela s’explique par le fait qu’alors qu’un tribunal militaire international a jugé les crimes du nazisme, les représentants du monde libre ne sont pas parvenus à un verdict aussi sévère après l’effondrement du communisme, en réponse à ses crimes ».

    « Les Hongrois ont compris qu’ils ne peuvent être libres que s’ils ne renoncent plus jamais à la souveraineté : nous n’aurons d’avenir que s’il est à la fois libre et hongrois – seul un pays de Hongrois libres a un avenir. Pour cette raison, nous devons toujours et tout de suite écraser les œufs de vipère du communisme et du fascisme ».

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • SIA 2017. “Où est passé l’argent de la PAC ?”, cri de la Conf’

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    Pour Stéphane Le Foll, Ministre de l’Agriculture, la question des retards de paiements des aides aides à la conversion en agriculture biologique et au maintien de l’agriculture biologique, c’est comme le scotch du capitaine Haddock.

    Lors de ses déplacement en province, le sujet le poursuit, comme en Seine-Maritime la semaine dernière.  Avec le Ministre très présent au salon de l’agriculture, les interpellations se font quotidiennes lors des rencontres avec les professionnels. Et le ton monte…

    De fait, la totalité des aides à la conversion et à la reconnaissance des services environnementaux (dites “maintien”), ainsi que certaines mesures agro-environnementales (MAEC) dues au titre des années 2015 et 2016, n’ont toujours pas été versées.

    La Confédération Paysanne a même organisé une manifestation dédiée au sujet le 28 février dans les allées du Salon. L’objectif était de se rendre au stand de l’Agence de Service et de Paiement. Et ça a été l’occasion d’interpeller directement Stéphane Le Foll, présent sur le stand voisin du Ministère de l’Agriculture.

    La suite

    https://www.actionfrancaise.net/2017/03/01/2691/

  • Revue de presse Elections / Macron / Trump / Union européenne 3/3