Quant au vote des Étrangers – par Éric E.G. Nogard (28/02/2013)

Nous sommes le Peuple de France, catholiques romains, et nous sommes Européens. N’est-ce pas beau, n’est-ce pas beaucoup. Or, nous voudrions donner chez-nous le droit de vote aux  Étrangers, en plus de la considération que nous leur portons, et en plus de l’hospitalité que nous leur assurons.
Dans quelle mesure voterions-nous Français si l’Étranger, si redevable que nous puissions être envers lui, glissait son bulletin de vote dans nos Urnes.
Ne connaissons-nous pas assez ce que peut être  la chose frelatée…  le lait, la viande, et pis encore.
Ou alors, pourquoi un tel branlebas quand nous y sommes confrontés, comme nous l’enseigne l’actualité sur le cheval.
Donner chez-nous le droit de vote à qui ne vote pas chez lui, n’est-ce pas pousser loin le bouchon de l’Humanisme, ou alors, est-ce savoir de quoi on parle quand on dit « Humanisme ».¢ 
Et pour répondre sans parti-pris à ce questionnement, ne serait-il pas sage de notre part que nous tentions : 
D’obtenir le droit de vote, chez eux-mêmes et pour eux.
D’obtenir pour nous-mêmes, le droit de vote chez les autres.
D’obtenir un pacte de réciprocité avec les autres Peuples, en matière de droit de vote.
Et pourtant, serions-nous des oisifs chez les autres quand chez eux, pour eux, à leur demande, nous aidons, nous formons, nous montons des usines, nous secourons…
Nous participons à une Société plus ouverte et plus Universelle, comme le font des Peuples « si nombreux » qu’on les compte sur les doigts d’une seule main.
En revanche, quel Peuple a, à ce jour, eu la moindre idée de se préoccuper de nous donner en son sein le droit de vote, quand il y existe.
Sommes-nous conscients, sommes-nous sérieux, sommes-nous sincères quand nous réclamons le droit de vote pour les étrangers.
Met-on à ce point la charrue avant les bœufs. 
Ou alors, par malice, serions-nous assez pervers pour prendre de tels risques dans notre acharnement à détruire notre clocher.
Ou alors, à quoi nous servent nos Universités, nos Universitaires, nos Philosophes, nos Moralistes et nos Leaders pour que nous en arrivions là.
Ou enfin, qui sont les plus dangereux ou les plus fous de ceux qui protègent ou de ceux qui jouent d’un coup de poker, le peu qu’ils ont et qui fait tant d’envieux.

Méfions-nous de nous-mêmes quand nous réclamons chez nous le droit de vote pour les Étrangers.

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