Inès assassinée à coups de couteau. Une de plus, par un immigré
Un réfugié afghan qui « ne voulait pas s’intégrer » et « avait l’intention de retourner en Afghanistan », a dit la mère de la victime.
Pour lui, les talibans étaient des héros. Comme si exercer sa violence envers des femmes en Afghanistan était du courage. L’islam, comme d’habitude, place le courage au niveau des caniveaux.
Inès travaillait pour une association qui aide les migrants pour les démarches administratives. Pourquoi n’ai-je aucune compassion ? C’est violent ce que je dis, mais comment des femmes peuvent-elles êtres aussi idiotes pour s’amouracher d’un homme qui est à des milliers de kilomètres de leur culture ? Comment peuvent-elles s’imaginer qu’elles pourront modifier son substrat culturel et religieux, en lui faisant de grands sourires et du charme ?
Comme disait ma mère, la femme peut avoir le beau cul du monde, elle n’a que celui-ci !
Voilà un homme à qui, dès sa naissance, il aura été enseigné que la femme est une moins que rien, un vagin sur pattes qui doit être caché sous une bâche. La femme est un champ de labour qu’il peut violer quand il veut et où il veut. (sourate 2, verset 223)
Cet homme ne peut pas comprendre comment les femmes vivent en Occident sans devenir schizophrène.
C’est impossible qu’il puisse ne serait-ce que supporter qu’une femme puisse circuler sans le contrôle d’un homme (mahram), puisse s’habiller comme bon lui semble, sortir dans la rue sans autorisation, rire et parler à des hommes qui ne sont pas des membres de sa famille.
La femme est un bien, une propriété, un objet qui lui appartient selon son Allah, en tant qu’homme (sourate 4, verset 34) et qu’il peut frapper si elle est désobéissante.
Cet homme vivait dans une société où la femme n’est rien, ou pas grand-chose. Une société qui pratique l’esclavage, le mariage des petites filles (sourate 65, verset 4) y compris non pubères. En islam, il n’y a pas d’âge pour copuler avec une petite fille, il faut juste qu’elle en soit capable physiquement. Les pédophiles sont les rois en islam. Ils paient une dot, ont un toit, et c’est bon pour le viol.
Je reste écœuré par cet islam et interloqué qu’une femme de France, instruite puisque ex-professeur, ne sache pas quel genre d’hommes sont les croyants en islam.
Certes, tous les musulmans ne sont pas des tueurs, à ce jour, mais il faut avoir en tête en permanence que si l’islam devenait majoritaire, grâce aux islamo-gauchistes, les femmes n’auraient plus le loisir de s’assumer en femme libres.
La mère de la victime, qui était professeur de français dans une association d’aide aux réfugiés de Poitiers, le décrit comme un gros macho qui avait « le mental de son pays ». Sa fille Inès pensait qu’elle allait le changer, le faire évoluer.
Quelle foutaise ! Quelle idiote !
De grâce, mesdames, cessez de croire que vous pouvez faire évoluer des hommes qui viennent des cavernes de l’islam…
À moins d’être masochiste, d’aimer être frappée, violée, maltraitée, fuyez ! N’imaginez pas, si vous êtes saine d’esprit, que vous allez en faire un Voltaire, un agneau ! Chez eux, ils les égorgent.
Gérard Brazon