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culture et histoire

  • Ce ne sont que des mots !

    Par Morgan Cordier

    Voilà une expression bien méprisante envers cette petite chose qu’est le « mot », qui est pourtant au cœur de notre être et de notre pouvoir. Le « mot » veut, car il décrit la réalité et nos pensées, il a le pouvoir d’exprimer notre rationalité et notre perception. Son utilité est indiscutable, l’humanité en son absence serait bâillonnée. Cet être inestimable vaut bien l’atome dans la matière, une brique tirée du réel pour l’édification de notre pensée. L’antithèse philosophique rattrapera inévitablement mon propos en posant comme axiome que la pensée préexiste au verbe. Mais que le mot soit une origine ou une fin, il est au cœur de l’échange humain, cette tour de Babel qui a besoin de définitions communes pour contrer son émiettement. Or, la diversité devient enrichissante à condition d’évoluer dans un langage régulé, au risque de n’être qu’un principe errant.

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  • Découverte ADN en Allemagne : quand « être de souche » n’est pas qu’une expression

    généalogie ADN famille
    Photo de Thérèse Photo sur Unsplash
    Dans le petit village de Förste, niché dans la région allemande de Harz, en Basse-Saxe, une découverte archéologique vient nous montrer qu’« être de souche » est loin d’être une simple expression. En effet, l’histoire de la famille de Manfred Huchthausen nous révèle, grâce à des analyses ADN sur des ossements humains vieux de 3.000 ans retrouvés dans une grotte à quelques kilomètres de sa maison, que cette dernière est établie dans cette région depuis au moins 120 générations.

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  • Ni joie, ni larmes… nulle émotion. De nos jours, machinale est la commémoration !

    Par Adègne Nova

    À 11h, lundi 11 novembre 1918, les cloches sonnent partout, les salves d’artillerie annoncent que l’armistice est signé. Allégresse de la population ! Les mots manquent pour exprimer les sentiments qui font tressaillir les cœurs. Les hommes sont comme étourdis, éprouvant une sorte de vertige. Dans les rues, les gens s’interpellent : « Ça y est ! C’est fait ! » Des guirlandes, des fleurs, des tentures, des drapeaux, des rubans pavoisent les maisons, les fenêtres, les réverbères… joie immense, indicible en cette matinée belle et lumineuse.

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  • 1914-1918 : comprendre la Première Guerre mondiale, la guerre qui a bouleversé le monde (et suicidé l’Europe)

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    Source Breizh Info cliquez ici

    Il y a plus d’un siècle, l’Europe plongeait, à cause de la querelle d’une grande famille d’aristocrates européens, dans une guerre que personne ne croyait possible : un conflit mondial, industriel, et d’une violence sans précédent. Entre 1914 et 1918, plus de 70 millions d’hommes furent mobilisés, dont près de 8 millions de Français. À la fin, le monde ancien — celui des empires, des rois et des certitudes — avait disparu.

    Mais que s’est-il vraiment passé ? Pourquoi cette guerre ? Et pourquoi, encore aujourd’hui, le 11 novembre reste-t-il une date de mémoire nationale ?

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  • Banquet du Canon français : Ouest-France est venu, a vu et… le réel a vaincu !

    @Yves-Marie Sévillia
    @Yves-Marie Sévillia
    Ouest-France s’est invité, samedi, au banquet du Canon français. Après avoir, à longueur de colonne, expliqué « pourquoi le banquet du Canon français fait polémique », avec les précautions oratoires qu’il convient pour décrire un événement « accusé d’être proche de l’extrême droite », et en donnant la parole à cette gauche qui fustige « une tentation fasciste », après avoir relaté les inquiétudes de la municipalité, qui « n’est pas contre, mais s’inquiète de la sécurité », après avoir relayé le communiqué de ce collectif qui demandait l’annulation du banquet - « Ces rassemblements développent une idéologie extrêmement réactionnaire […] Malgré son application à proclamer sa neutralité, le Canon français bénéficie du soutien de Pierre-Édouard Stérin, qui finance des initiatives économiques et culturelles diffusant une vision de la société ultraconservatrice et très proche de l’extrême droite » -, Ouest-France a donc dépêché un journaliste sur place, ce week-end.

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  • [VOS COMMENTAIRES] « La gauche commence à paniquer tous azimuts ! »

    Jordan Bardella en dédicace à Marseille
    Jordan Bardella en dédicace à Marseille © Gabriel Bendayan
    Qu’il s’agisse de Villiers, Zemmour ou Bardella, les patriotes ont la cote, en librairie, alors Di Cluz se demande : « Quand nos "bien-pensants" de gauche, détenant ce qui est bien ou mal pour le peuple ignare, vont-ils faire interdire ces livres ? » C’est vrai qu’un tel succès ne laisse pas insensible. Pour GerardJB, « c’est [même] incroyable, pas un best-seller de gauche ? Mais où va-t-on ? Mélenchon, Rousseau, Faure, Tondelier, Roussel, Soudais, secouez-vous un peu, faites nous rêver de Grand Soir ! » Ma doue beniguet ironise, elle aussi : « Que voulez-vous, je suis triste de constater que les Français sont actuellement insensibles aux grandes "valeurs" de la gauche qui nous ont apporté tant de bonheur et de prospérité depuis plus de 40 ans. »

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  • La science explique l’hécatombe de l’armée de Napoléon en Russie en 1812

    Napoleons_retreat_from_Moscow_by_Adolph_Northen
    La retraite de Russie en 1812 demeure l’un des épisodes les plus tragiques et déterminants de l’épopée napoléonienne. Au-delà du froid et de la faim qui ont brisé les corps et les esprits de tant de valeureux soldats, une menace invisible a également aggravé le terrible calvaire de milliers d’âmes. En effet, des maladies meurtrières se sont propagées au sein des rangs de la Grande Armée, laissant sur les plaines gelées des centaines de milliers de victimes, et précipitant sans le savoir la chute de l’Empire.

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  • Algérie : les archives s’ouvrent, exigeons la vérité sur les crimes du FLN

    Puisque les archives d’une certaine période de la guerre d’Algérie s’ouvrent actuellement aux « spécialistes », mais sur une certaine période seulement (1954/1957), celle concernant plus particulièrement « La bataille d’Alger », dans l’objectif, bien entendu, de signaler uniquement les « tortures » et les « exécutions » subies par les valeureux combattants du FLN et les traîtres français qui leur ont prêté aide et assistance, physique et financière, par les « paras » du général Massu, sur ordre du gouvernement de l’époque, et que les soi-disant historiens, à l’exemple d’un Benjamin Stora, puisse poursuivre leur désinformation en toute liberté, nous exigeons que toutes les archives soient, enfin, portées à la connaissance de toute la population française afin qu’elle prenne conscience de la lâcheté et du déshonneur d’un chef de l’État, d’un gouvernement et d’une armée qui n’était plus française, puisqu’aux ordres d’un gouvernement et non plus de la République.

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