Vous connaissiez le Mozart de la finance et ses 3 400 milliards de dettes.
Vous connaissiez le Mozart de la stratégie et son envie de rentrer en guerre contre la Russie et les Etats-Unis en même temps, ce qui constitue une approche “brillante” !
Voici maintenant qu’il endosse le rôle de Mozart de l’industrie, et comme tout ce qu’il touche, évidemment nous allons à la catastrophe.