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L’homme, fiche S, était poursuivi pour “menaces de mort envers une personne chargée de service public et en raison de sa religion”. Des faits commis depuis Toulouse entre le 11 et le 18 juin 2024.
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L’homme, fiche S, était poursuivi pour “menaces de mort envers une personne chargée de service public et en raison de sa religion”. Des faits commis depuis Toulouse entre le 11 et le 18 juin 2024.
La bataille du Kahlenberg met fin au siège et sauve la ville de Vienne
Le second siège de Vienne par l’Empire ottoman eut lieu du 14 juillet au 12 septembre 1683. Il ne doit pas être confondu avec le premier siège de Vienne de 1529, également par les Ottomans.
La ville, fortifiée par l’ingénieur Georg Rimpler et commandée par le comte Ernst-Rüdiger von Starhemberg, résista à plusieurs semaines de siège, qui fut levé à la suite de la bataille du Kahlenberg alors que la dernière ligne de défense de la ville était déjà directement menacée.
Depuis novembre 2023, Humani’Terre, proche des Frères Musulmans selon les services de renseignement, est ciblée pour association de malfaiteurs terroriste criminelle et blanchiment aggravé. Ses avoirs ont été gelés le 5 juin.
Le 3 novembre 2023, moins d’un mois après les attaques terroristes du 7 octobre, le parquet national antiterroriste (Pnat) a ouvert une enquête préliminaire visant l’association Humani’Terre, héritière du Comité de bienfaisance et de secours aux Palestiniens (CBSP), pour ses liens présumés avec le Hamas. L’an dernier, cette association a été inscrite sur la liste des organisations sous sanctions du trésor américain.
À Saïda, l’antique Sidon, le Hamas est implanté pour former ses troupes et maintenir la lutte contre Israël. La rédaction de Conflits y a rencontré Abu Said, commandant militaire du Hamas pour la région de Saïda au Liban :
Le Liban est une des rares bases arrière où l’on peut rencontrer des cadres du Hamas alors que les combats font rage à Gaza, toujours inaccessible aux journalistes. J’ai réussi à rencontrer « Abu Said », le responsable militaire du Hamas au Sud Liban. Pour Conflits, il a accepté de revenir sur son enfance et son parcours initiatique où dès le plus jeune âge, son mouvement, le Hamas, l’a plongé dans l’apprentissage de la foi islamique et l’a militairement formé.
La campagne vire au théâtre de Guignol. Chez les Macronistes, on va voter pour les gens de LFI, mais pas tous et pas tout le monde chez les Macronistes. Certains appellent au barrage contre le RN dans tous les cas de figures et d’autres renvoient les extrêmes dos à dos : ni l’une, ni l’autre. Macron comme toujours, se fend de la meilleure de l’année en expliquant qu’il veut bien les voix des LFI, pour faire élire Borne, par exemple, mais qu’en aucun cas les LFI n’entreront dans un éventuel gouvernement. En résumé, il a été laminé, les gens ne veulent plus de lui, mais en se servant des voix des LFI, il va remonter un truc qui lui permettra de continuer à ne faire que ce qu’il veut. Il n’a toujours pas compris qu’il est fini et que plus personne ne veut de lui. Il veut perpétuer cette règle tacite selon laquelle, le RN a le droit d’exister, les gens ont le droit de voter pour le RN, mais il est entendu que le RN ne doit jamais arriver au pouvoir et que Macron seul doit décider de qui doit lui succéder. Les dés sont évidemment pipés.
Aujourd’hui âgé de 59 ans, Michael Stürzenberger a étudié les sciences politiques et l’histoire à l’université Ludwig Maximilians de Munich. Après ses études, il entame une carrière de journaliste, notamment dans le sport pour RTL et Sat1. Dans un article pour le média TAZ, Marian Offman explique le parcours de l’homme avant sa radicalisation. “Stürzenberger était autrefois un journaliste sportif, un ardent supporter du Munich 1860, qui se rendait souvent au stade de football pour faire des reportages depuis là-bas.” Un homme sans histoire, donc.
Le 25 mars 1821, en Grèce, l’archevêque Germanos donne le signal de la rébellion contre la tutelle de l’Empire ottoman. Cette insurrection décisive part du Péloponnèse et plus précisément de Patras, un grand port situé à l’ouest de la péninsule, où l’apôtre Saint André aurait été martyrisé. Un congrès national réuni à Épidaure, au cœur du Péloponnèse, proclame l’indépendance unilatérale de la Grèce dès le 12 janvier 1822 et appelle à l’aide les nations chrétiennes.
En moins de 10 ans mais au prix de grandes souffrances et avec le concours précieux des Occidentaux, les Grecs vont obtenir l’indépendance d’une petite partie de leurs terres, incluant l’Attique (Athènes), le Péloponnèse et le sud de l’Épire. Le nouvel État balkanique, pauvre, de tradition byzantine et aux contours indécis, va dès lors se bâtir une identité nationale en cultivant le souvenir de l’Antiquité et en appelant les riches Grecs de la diaspora à le rejoindre.
Plus de 350 ex-musulmans ont été baptisés cette année à Pâques. Le Figaro évoque le chemin de croix qui attend ces nouveaux catholiques.
[…] Dans l’islam, l’apostasie est condamnée par le Coran : le verset 217 de la deuxième sourate promet un châtiment divin à ceux qui quittent la religion. Certains hadiths – propos attribués au prophète Mahomet – vouent même une mort immédiate aux apostats.