
Les macronistes n'ont peur de rien. Accumulant échec sur échec, ils se voient pourtant toujours en haut de l'affiche. Cette pseudo-majorité du « socle commun » qui est censée nous gouverner depuis la dissolution vole en éclats un peu plus chaque jour, mais rien n'y fait : l'avenir leur appartient. Hier, c'était Pannier-Runacher qui traitait son collègue Retailleau de « populiste » pour s'être opposé aux délires des ayatollahs écologistes. Ce samedi 5 juillet, c'est l'ancien Premier ministre Gabriel Attal qui prenait date pour 2027.