Filip Dewinter, leader du Vlaams Belang, et Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale
Pieter Kerstens
Depuis de très longues années, les humanistes / progressistes de la gauche caviar ne savent plus quelle stratégie appliquer pour combattre l’irrésistible ascension des nationalistes dans les urnes, partout dans le monde. A 6 mois d’un scrutin qui verra les élections dans tous les pays d’Europe et additionnées en Belgique par des législatives et des élections régionales, TOUS les partis de l’establishment y vont de leur prose : « Quelles réponses à la montée du Vlaams Belang à Bruxelles ? »
Cela me rappelle le tract « Achtung ! Vlaams Blok » distribué par le P.S, partout à Bruxelles au printemps 1998. Le constat serait-il donc identique, 25 ans plus tard ?
Il ne faut pas non plus oublier que si un « cordon sanitaire » a été instauré en Belgique, au lendemain du dimanche « noir » (24.11.1991), le fossé entre les électeurs et la classe politique s’est très clairement élargi. Beaucoup d’électeurs en 1999, 2000, 2003, 2007 ou encore en 2019, ont très nettement voté à droite et constatent, après les scrutins, que dans les communes, dans les régions ou au fédéral, la stratégie, la tactique et la gestion de la politique sont exclusivement de gauche !
Si effectivement certains pourriticards posent de bonnes questions, il apparaît à l’usage et dans le temps – cela fait tout de même 32 ans que le Vlaams Blok progresse dans les urnes et dans les esprits – que les partis du Régime n’apportent pas de solutions concrètes aux maux qui gangrènent le quotidien de la population bruxelloise (flamande et francophone). Il en va de même en France pour le FN/RN qui partout marque des points face à une gôche/bobo et une droite de mascarade.
Dans leurs discours, ils parlent d’école, de lieu de travail et de cité, mais oublient la cellule familiale ! C’est le seul et unique creuset permettant à l’enfant de s’épanouir et de recevoir une éducation indispensable et l’acquisition des valeurs inculquées par le père et la mère, garants de la pérennité de notre civilisation européenne.
Les programmes successifs du PS et leurs idées, ainsi que la ritournelle « l"Internationale » (paroles de haine et d’exclusion - hurlées à chaque fête du Travail- qui ont aussi servies d’oraison funèbre à des millions d’innocents, victimes des avancées socialistes et populaires), marquées par la stérilité et le sectarisme, confirment l’ampleur du désastre dont ils portent la responsabilité ces 75 dernières années en France et en Belgique !
Les femmes étaient exemptes du travail de nuit et bénéficiaient de la retraite à 60 ans, tenant compte de leurs charges de famille et d’une capacité de résistance physique moindre, quand ces acquis, obtenus après de longues luttes par des camarades décidés, ont été rayés d’un trait de plume ! Pas un mot dans les publications syndicales.
Quelle réponse les socialistes avaient-ils apporté à cette régression sociale dans l’Hexagone et au plat pays ?
Combien de manifestations publiques organisées par la Gauche ?
AUCUNE ! RIEN ! SI : un silence complice avec leurs camarades de la Commission Européenne, à l’origine de ces recommandations !
Depuis deux décennies, le Parti Socialiste est à court d’idées : dans ses discours, ses publications et ses programmes, je note la répétition à l’envie de : la société « d'humanisme et de tolérance », de valeurs « démocratiques », de société « citoyenne », de « devoir de mémoire », de « multiculturalisme » ou d’une « ouverture vers l’Autre ». Alors, je me demande si effectivement, les électeurs peuvent soutenir des thèses opposées à celles du Pouvoir ?
Acceptent-ils, au P.S, strictu senso, les libertés fondamentales garanties par la Constitution ?
Pour les socialistes, la légitimité du suffrage universel est-elle contestable ?
Par ailleurs, après les innombrables affaires de corruption, prévarication, trafics d’influence et abus de biens sociaux qui occupent le PS depuis de longues années, ainsi que le Modem, les LR ou certains macronistes en France, on peut légitimement se demander si leurs promesses sont crédibles.
Mais quel est donc le bilan du Régime, auquel le PS participe depuis 30 ans, en Belgique et en France, dans les domaines suivants ?
1) LE CHOMAGE.
Depuis 3 décennies, la durée effective du travail a diminué de 25%, alors que le nombre de chômeurs lui a été multiplié par 3 ! Le total des demandeurs d’emplois atteint presque 1 million de personnes en Belgique ! Rien qu’à Bruxelles les chômeurs représentent 22% des actifs !
En France, il y a plus de 6 millions de demandeurs d’emploi et le Président Micron veut légaliser les immigrés clandestins pour qu’ils puissent travailler dans les « secteurs sous tension » ! Auparavant, ces hors-la-loi étaient employés en « black » par des patrons fraudeurs…
Les remèdes du PS : la semaine de 32 hrs (payée 3ç), les petits boulots, les aides, les subventions, les allocations diverses, les chèques pour les aides médicales des vieux, les ALE et plans multiples sont plus inutiles les uns que les autres.
Le coût réel du travail plombe la compétitivité des entreprises dans tous les domaines.
Notre agriculture a été détruite, nos mines ont été murées, nos chantiers navals ont sombré, notre sidérurgie est sinistrée, notre textile est moribond, notre métallurgie et nos constructeurs automobiles connaissent les pires difficultés ; des dizaines de milliers d’entreprises ont disparu depuis 2003, condamnant une foule de travailleurs à l’inactivité forcée.
Il faut impérativement assurer la protection de nos outils de travail. Car en ayant délocalisé massivement toutes les fabrications à l’étranger où la main-d’œuvre coûte 20 fois moins chère que chez nous, les partis au Pouvoir ont été complices d’une crise sociale et économique qui gonfle depuis plusieurs années. Ce boomerang nous revient maintenant avec les « Gilets Jaunes » historiques et les émeutes/guérillas en France.
Nous pouvons produire mieux chez nous que pire ailleurs ! Il suffit d’y mettre le prix !
Mais en participant à un gouvernement qui gère l’une des dettes publiques les plus élevées du monde, il n’est plus temps de faire la fine bouche.
Chaque Belge est endetté de 40.000 euros et chaque Français de 45.000 euros à qui la faute ?
2) LA DROGUE.
Il existe des textes que le législateur dans sa grande sagesse avait adopté depuis de longues années. Malheureusement, les camarades de MAI 68 ont banalisé la fumette et, de HASH en COCAINE, de HEROINE en LSD, les ravages parmi notre jeunesse sont effrayants.
Qui nous dira que la drogue est bonne pour la santé ?
Que la toxicomanie est une mode comme le string ?
Ici aussi la charge financière pèse lourdement dans le budget social. Et combien de parents pleurent-ils leurs enfants disparus ou « accros » à ce poison qui est importé de l’étranger, par des étrangers.
« Dans ce plat pays qui est le mien » on ne voit pousser ni le pavot, ni le cannabis, ni la coca.
En France, la moitié des accidents de circulation implique des conducteurs drogués.
3) L’INSECURITE.
Dans ce domaine, le PS n’abuse plus personne, à Bruxelles, en Belgique, en Europe et dans le monde, grâce aux pitreries de Marc MOBOUTROUX. Même les diplomates en poste dans la capitale savent qu’ils sont en danger dans certains quartiers où la crapule tient le haut du pavé.
Ces Belges de papier interdisent la présence des forces de l’ordre qui, seules, pourraient mettre fin aux trafics divers et à la délinquance dans ces zones, bien connues des camarades bourgmestres qui, JAMAIS, n’ont voulu crever l’abcès.
Dans un ouvrage paru fin mars 2004, « Histoire du terrorisme… » Gérard CHALIAND écrit :
« Dans certains pays comme la Belgique et la Grande-Bretagne, il existe une sorte de pacte de non-agression entre les réseaux islamistes et le gouvernement. C'est une façon d'éviter des attentats. Mais en cas d'attentats en Grande-Bretagne, cette dernière répondra en frappant avec une redoutable efficacité. En Belgique, ce ne serait pas possible, car le pays n'a pas les effectifs nécessaires pour frapper et sa classe politique ne prend pas ce problème au sérieux. Pourtant, le pays abrite d’importants réseaux dormants, disposants d’un terreau de circonstances et permet à ses écoles coraniques de diffuser des messages fondamentalistes. »
On en a vu le résultat en janvier et novembre 2015 à Paris et en mars 2016 à Bruxelles.
Et en France, on risque de se faire poignarder de jour comme de nuit, en ville comme à la campagne, dans les transports publics comme à la maison …
4) QUAND CE N’EST PLUS SUPPORTABLE ON NE SUPPORTE PLUS !
Et on en est là aujourd’hui avec l’immigration – invasion.
Comment voulez-vous ramener les brebis égarées au bercail, quand le berger ouvre la porte aux prédateurs ? Le PS n’arrivera pas à interdire à ses électeurs de voter pour le Vlaams Belang ou le RN, si même au sein des directions respectives ils ignorent que la base des adhérents refuse à 80% d’accorder le droit de vote aux étrangers ! !
Le camarade Claude EERDEKENS, qui présidait à la commission des naturalisations, en 2008, a même failli naturaliser un terroriste !
De son côté, la Passionara liégeoise a instauré la « discrimination positive » dans bon nombre d’établissements bruxellois, de manière à ce que les élèves d’origines ethniques diverses puissent se parler et écrire, autrement que par signes !
Dans les écoles la situation est explosive et sur ce terrain là aussi, puisque le Pouvoir abdique et que force ne reste pas à l’Ordre alors nous, parents interviendrons, pour faire respecter les règlements à la lettre, pour rétablir les distinctions entre mauvais et bons élèves et pour renvoyer les perturbateurs, avant de s’intéresser aux enseignants incompétents et lâches.
La responsabilité du Régime et celle des partis est totale en ce qui concerne la rage taxatoire tous azimuts qui traque encore le plus petit des contribuables. Le Parti Socialiste s’est fait une spécialité dans les trafics d’influence, les escroqueries, les fausses factures et les détournements divers et ce au détriment des concitoyens.
Il suffit de feuilleter les rubriques judiciaires des journaux de ces dernières années pour constater que quand on parle de « prévarication », de « concussion », de « corruption » ou d’enrichissement personnel, on ne cite pas le Vlaams Belang, ni le RN, mais surtout le Parti Socialiste ou les princes du LR ou encore les filous du Modem, qui « murmurent à l’oreille des juges » !
A toutes ces crapules adeptes de la démocrassie : « un peu de pudeur et de retenue, vous êtes mal placés pour vous poser en moralisateurs ! Et votre suffisance, qui ne le dispute qu’à votre ton arrogant dans vos interviews, occulte un aspect primordial du problème : depuis 20 ans il n’y a jamais eu autant de pauvres et d’exclus dans nos provinces. Pourquoi ? C’est mathématique : à force de gaspiller des centaines de millions d’euros en dépenses somptuaires pour les immigrés du tiers-monde il ne reste plus un sou pour les défavorisés « pauvres blancs » !
Alors que l’on me comprenne bien. Ce ne sont pas les étrangers en tant qu’individu que je critique, mais bien les hommes politiques (ou les femmes) et les hauts fonctionnaires qui ont permis le déplacement d’allogènes de pays du tiers-monde, pour leur donner des travaux à bas salaires dans nos industries ou notre agriculture durant les décennies 1960-1980.
TOUTE LA CLASSE POLITIQUE A DECLARE QUE DEPUIS 1974 L’IMMIGRATION ECONOMIQUE ETAIT STOPPEE !
Il est clair que la mafia des socialo/libéro/écolo/conservateurs est bien la véritable responsable de l’invasion étrangère dans tous les secteurs : textile, finance, automobiles, alimentaire, industriel, culturel, hôtels & restaurants, bâtiment ou médias.
Ils ont favorisé les faillites de nos entreprises ou le rachat de celles-ci par des concurrents étrangers, en grande partie parce qu’ils ont faussé les conditions de la concurrence : à force de charger le baudet, celui-ci n’avance plus !
5) C’EST LA LUUUTTE FINAAALE !!!
Avant de jeter l’opprobre sur autrui, avant de critiquer les autres, les socialauds seraient bien inspiré de balayer devant leur porte.
Ils sont membres d’un parti et appartiennent à une Internationale, complices de l’élimination de dizaines de millions de victimes au nom de la lutte « finale » !
• Chez eux, au parti, dans les maisons du Peuple durant les fêtes entre camarades, personne n’a jamais été ému par les 6 millions de victimes de la Grande Famine de 1932/33 en Ukraine, organisée par le pouvoir soviétique, comparse de leur sectarisme.
• Peuvent-ils, encore ignorer aujourd’hui, les 20 millions de déportés entre 1937 et 1951 dans les sinistres « goulags » de l’Union des Républiques Socialistes et Soviétiques ?
• Je ne me souviens pas de leurs condamnations ni de celles de leurs amis, quand les chars du Pacte de Varsovie ont écrasé les soulèvements populaires à Berlin en juin 1953, à Poznan en juin 1956, à Budapest en octobre 1956, à Prague en août 1968 ou à Gdansk en décembre 1970 entre autres « excursions ».
• Jamais le Parti Socialiste, ni ses syndicats, ni aucune de ses courroies de transmissions ou associations proches, ne se sont manifestés pour condamner les camps de travail et les Laogaïs de la République Démocratique Populaire de Chine où des dizaines de millions de citoyens ont disparu entre 1946 et aujourd’hui.
• Je n’ai jamais entendu, ou lu, un mot de repentance de la part des socialistes, pour leur complicité dans le génocide de 2 millions de cambodgiens entre 1975 et 1979, méticuleusement organisé par l’Angkar et les « frères » Saloth-Sar (Pol Pot), Ieng Sary, Khieu Samphan , Hou Youn ou encore le fameux Son Sen, qui ont tous été applaudis avec frénésie par les partis progressistes du monde entier, lors de la chute de Phnom-Penh le 17 avril 1975, au premier rang desquels les Partis Socialistes en Europe .
• Aucune critique envers Cuba et son régime de plomb.
• Pas un murmure au sujet du génocide de l’armée nigériane envers les 800.000 biafrais exécutés en 1968.
• Mais ce qui est le plus écœurant quand on parcourt leur propagande au fil des années, c’est qu’ils ne reconnaissent jamais leurs erreurs et que toutes les tueries et les massacres commis par leurs camarades tyrans africains et d’ailleurs sont passés sous silence !
Ils ont aidé, armé et soutenu financièrement et politiquement FIDEL CASTRO à Cuba, SEKOU TOURE en Guinée, JULIUS NYERERE en Tanzanie, ROBERT MUGABE au Zimbabwe, MENGISTU HAILE MARIAM en Ethiopie, SAMORA MACHEL au Mozambique, JOMO KENYATTA au Kenya, IDI AMIN DADA en Ouganda, MACIAS NGUEMA en Guinée Equatoriale, CHE GUEVARA en Bolivie, l’Oncle HO au Viet-Nam et bien entendu le duo des bouchers d’Alger en 1954/1962 BEN BELLA et BOUMEDIENNE.
• Lors de leurs prochaines réunions, festivités et autres rencontres publiques, il serait donc judicieux qu’ils ne s’érigent pas trop en censeurs ou moralisateurs et adoptent une certaine retenue et un profil bas dans leurs revendications « progressistes et démocratiques » en songeant par exemple à ceux qui se sont fait découper en rondelles, à coup de faucille dans une rizière au nord de Siem Réap par une belle journée de janvier 1977, alors que leur exécuteur, lui aussi, sifflotait « l’Internationale », tout comme eux, à la place de la Bastille, chaque 1er mai !
Coïncidence quand tu nous tiens …Et cela s’applique aussi à Zean-Luc Méchancon et LFI !
NON, les socialistes n’ont pas le monopole de la Liberté !
Francophone et francophile, de culture gréco-romaine, je suis fier d’être blanc, européen et chrétien, comme d’autres d’ailleurs, qui dans le monde affichent leur identité.
Descendant et héritier de 40 siècles de civilisation européenne, j’estime être aussi en droit de promouvoir les valeurs léguées par mes ancêtres qui ont contribué par leur sacrifice au rayonnement de l’Europe dans le monde entier et au travers des siècles.
Comme citoyen, je n’ai aucune difficulté à m’entendre avec les Flamands qui souvent m’accueillent avec le sourire, ni avec les Bretons, les Basques ou les Andalous ou encore les Serbes.
Je n’ai aucune réticence comme contribuable à évoquer mes soucis avec les Flamands et les Occitans qui sont confrontés aux mêmes problèmes que moi et lorsque, à titre d’électeurs nous discutons volontiers des maux qui gangrènent Bruxelles et Toulouse nous nous découvrons des analyses identiques.
Par delà nos différences, Francophones ou Flamands, nous sommes arrivés à la même conclusion : la suffisance du PS frise l’indécence et sa gestion calamiteuse nous a conduite au fond du gouffre.
En juin 2029, le peuple souverain décidera de son choix et le verdict des urnes obligera le P.S à en tirer les conséquences ! Eliminons les incapables, aussi ceux de droite !!!
NB : depuis que les socialistes sont en charge des ministères de l’Enseignement, ils n’ont jamais voulu, pu ou su réduire le nombre d’analphabètes qui s’élève à 110.000 individus à Bruxelles, soit 10% de la population et ce depuis plus de 30 ans !
En France, le bilan est également calamiteux : plus de 30% des étudiants à l’Université sont incapables de comprendre un texte simple, d’écrire 2 lignes sans fautes et de multiplier 7 x 4…