
À la déchèterie de la Prairie-de-Mauves, à Nantes, une scène inhabituelle se répète chaque fin de journée. Sous l’œil des agents, deux familles de récupérateurs sont autorisées à glaner les derniers métaux laissés dans la benne, quelques minutes après la fermeture au public. Une dérogation rare, née d’une médiation engagée il y a trois ans pour apaiser des conflits récurrents liés à la récupération sauvage.






