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Europe et Union européenne

  • Ukraine, et si c’était plutôt la guerre jusqu’au dernier Européen ?

    par Francis Goumain

    Selon un message posté sur Telegram :

    L’apparition en urgence d’une rafale de traités de sécurité bilatéraux entre Kiev et plusieurs membres de l’OTAN, démontre ce que certains annonçaient, qu’il s’agit de manœuvres destinées :

    – À contourner par des «initiatives nationales» la lourdeur d’un vote collectif,

    – À déresponsabiliser «officiellement» Washington qui a le commandement de l’OTAN.

    Dans la foulée des propos de Macron, le porte-parole du Conseil National de Sécurité états-unien, John Kirby, vient de déclarer : «Washington n’empêchera pas la France et d’autres pays d’envoyer des troupes en Ukraine».

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  • Adriano Romualdi et le nationalisme européen

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    Par Chiara (Blocco Studentesco)

    Source: https://www.bloccostudentesco.org/2024/03/01/bs-adriano-romualdi-crisi-nazionalismo/ 

    "L'infériorité de la droite européenne par rapport aux autres forces politiques s'explique notamment par son incapacité à proposer une alternative en phase avec son temps. Il faut se rendre à l'évidence: les discours, les slogans, les symboles et les leitmotivs de cette droite ont aujourd'hui quelque chose de désuet, de souvent pathétique et parfois de ridicule". Tels sont les premiers mots utilisés par Adriano Romualdi dans son essai "La droite et la crise du nationalisme", des mots qui restent d'actualité 50 ans plus tard. Considéré comme l'un des intellectuels les plus doués de la droite radicale, Romualdi n'hésite pas à critiquer le milieu politique dont il fait partie depuis son plus jeune âge ; dans son essai d'un peu plus de 32 pages, il réussit le tour de force d'analyser les causes de la crise de la droite et du nationalisme italien et, surtout, européen. 

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  • L’Europe d’une guerre à l’autre (VIII-4) – L’étrange Grande Guerre

    Par Nikolay STARIKOV  ORIENTAL REVIEW

    Partie I

    Partie II

    Partie III

    Au moment où le commandement russe avait commencé à se heurter à des difficultés pendant l’offensive allemande de 1915, ils avaient vainement essayé d’obtenir au moins une aide réelle de la part des Alliés. Cependant, à la différence de leurs adversaires, les actions des pays de l’Entente continuaient à manquer de coordination, ce qui explique la passivité et la répugnance des Anglais et des Français à attirer une partie des forces allemandes sur eux. Mais ne recevant absolument aucun soutien, la Russie insista pour résoudre les problèmes de coordination des actions. Sous la pression de Saint-Pétersbourg, une conférence militaire interalliée eut lieu à Chantilly le 7 juillet 1915. Après presque une année d’actions militaires des pays de l’Entente, c’était la première fois (!) qu’ils tentaient de coordonner plus étroitement les plans stratégiques pour obtenir la victoire finale dans la guerre. Lors de la toute première session, le général français Joffre déclara que «le manque de coordination des actions des alliés» pourrait conduire les «Austro-Allemands» à concentrer leurs principales attaques sur chacune des armées alliées et à les retirer de la bataille l’une après l’autre”. La solution qui s’offrait à elle était simple et logique: l’armée alliée à laquelle l’attaque principale de l’ennemi était dirigée devait recevoir l’aide des autres membres de l’Entente. Le chef virtuel du renseignement militaire russe, le colonel Ignatiev, dont le frère représentait la Russie à la conférence, a écrit: “Malgré les belles déclarations, il n’a pas été possible de créer un organe central interallié de coordination, en grande partie par la faute de l’Angleterre, les contradictions entre les participants s’étant avérées trop grandes”.

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  • Quel pays de l’OTAN n’a pas de troupes en Ukraine ? Les États-Unis, le Royaume-Uni, la France, le Canada et la Pologne en ont déjà

    Les discussions européennes sur l’envoi de troupes occultent le fait que plusieurs pays de l’OTAN ont déjà des troupes sur le terrain.

    SLT

    par Ted Snider

    La guerre en Ukraine a atteint la croisée des chemins tant redoutée. L’Ukraine est en train de perdre la guerre, et aucune quantité d’armes ou d’aide ne changera cela. L’Occident doit soit accepter cette évaluation et pousser l’Ukraine à la table des négociations, soit envoyer plus que des armes et de l’aide. Il va devoir intensifier son soutien et envoyer des troupes, au risque d’une confrontation directe avec la Russie et du scénario catastrophe qu’il tente d’éviter depuis les premiers jours de la guerre.

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  • L'UE débloque plus de 7 milliards de dollars pour financer l'achat d'armes pour l'Ukraine

    L'UE débloque plus de 7 milliards de dollars pour financer l'achat d'armes pour l'Ukraine

    Les 27 pays membres de l'Union européenne ont convenu mercredi d'ajouter 5 milliards d'euros (environ 7,37 milliards de dollars) à un fonds destiné à financer l'achat d'armes pour l'Ukraine, qui demande depuis longtemps un renforcement de ses munitions face aux forces russes. Cette décision intervient après des semaines de négociations, notamment en raison des préoccupations de la France et de l'Allemagne concernant la provenance des armes financées par les fonds européens. L'Allemagne a réussi à faire compter une partie de son aide directe à l'Ukraine dans sa contribution au fonds européen, tandis que la France a obtenu la priorité pour l'industrie de défense européenne dans les commandes d'armes des États membres.

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  • Immigration. 1,14 million de demandes d’asile dans l’UE en 2023 : un record depuis 2015

    Publié le 28 février dernier, le bilan 2023 présenté par l’Agence de l’Union européenne pour l’asile (AUEA) mérite d’être analysé en détails.  Au cours de l’année dernière, les pays de l’UE ont reçu 1,14 million de demandes d’asile (en ajoutant la Norvège et la Suisse). Ce qui constitue le record des sept dernières années.

    Les Syriens ont continué à soumettre le plus grand nombre de demandes, tandis que les Afghans sont restés le deuxième groupe de demandeurs, bien qu’avec un nombre de demandes nettement inférieur à celui de l’année précédente. Vers la fin de l’année, le nombre de demandes émanant de Palestiniens a également augmenté.

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  • L’Union européenne, c’est l’Empire et l’Empire, c’est la guerre (2013)

    Par Thierry Baudet, juriste et historien néerlandais né en 1983. Docteur à la faculté de droit de Leyde avec une thèse sur la souveraineté nationale, il publie régulièrement des articles dans la presse néerlandophone, en particulier sur la question des droits de l’homme. Il est l’auteur de “Significance of borders” (Importance des frontières).

    On a l’habitude de considérer que l’Union a assuré la paix en Europe. Or lorsque les États-nations cèdent leur souveraineté à des entités supranationales, cela mène au conflit, note de manière provocatrice l’historien Thierry Baudet. Voilà pourquoi il propose de dissoudre l’euro et de rétablir les frontières.

    Les partisans du projet européen soutiennent, imperturbables, que le nationalisme conduit à la guerre et la construction européenne à la paix. Toute perte provoquée par Bruxelles sur les plans de la démocratie, de la souveraineté et de la transparence, serait en définitive compensée par un objectif noble : la paix.

    Or cette supposition repose sur une erreur. Le nationalisme ne conduit pas à la guerre. L’ambition d’instaurer un Empire européen conduit à la guerre. L’ambition de faire entrer de force différents peuples dans un carcan mène à la guerre. En somme, c’est la construction européenne qui conduit à la guerre.

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  • L’ambiguïté menaçante de la construction européenne (article de 2002) 1/4

    Intervention de Philippe Bourcier de Carbon - Forum d’Action pour une Confédération Paneuropéenne.

    Messieurs les Ambassadeurs, mesdames et messieurs, je voudrais remercier les organisateurs de cette conférence de m’avoir invité à intervenir au cours de ce forum pour apporter un bref, mais sans doute important, éclairage complémentaire à ce qui vient d’être dit, ainsi qu’à vos débats de tout à l’heure. Je voudrais en effet vous apporter, en quelques minutes, le regard du démographe pour souligner quelques aspects trop méconnus, en tout cas de nos opinions publiques, des dérives de la construction européenne actuelle, que l’on peut qualifier, selon le titre que je veux donner à mon intervention d’ambiguïtés menaçantes de la construction européenne actuelle.

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  • Allemagne : Le procès de l’AfD à Münster vire à la débandade. Le renseignement intérieur allemand reconnait que deux déclarations supposées prouver la position “extrémiste” de l’AfD ont été faites par ses propres agents (provocateurs) infiltrés

    Le tribunal administratif supérieur de Münster négocie actuellement pour savoir si l’AfD a été à juste titre classée comme affaire présumée d’extrême droite par l’Office fédéral pour la protection de la Constitution. Une grande importance est accordée au processus. Le régime mène une campagne d’anéantissement contre l’opposition bleue. Nous fournissons l’antidote : avec notre nouveau numéro spécial  « AfD – Success story d’un parti ostracisé »

    Si le tribunal annule la classification, tous les débats sur d’éventuelles procédures d’interdiction contre le parti patriote seraient obsolètes. Compte tenu de l’importance de cette procédure, on ne peut que s’étonner que de nombreux médias aient critiqué dans leurs rapports sur la procédure les prétendues « tactiques dilatoires » des représentants de l’AfD au procès. L’accusation semble carrément absurde. Si l’on considère l’importance de ce processus pour l’AfD, il est tout à fait compréhensible que les avocats du parti soumettent de nombreuses preuves prouvant que la nature de l’AfD n’est pas extrémiste.

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  • “Relations sexuelles, défécations, attaque à main armée” : le chantier du tram à Schaerbeek (B) tourne à l’horreur, les ouvriers forcés de se déplacer en groupe

    "Relations sexuelles, défécations, attaque à main armée" : un chantier de Schaerbeek tourne à l’horreur, les ouvriers forcés de se déplacer en groupe

    Dans le quartier Nord, les grands travaux se succèdent. A deux pas de la place Liedts, un chantier en particulier irrite et fait couler de l’encre, par sa durée et ses nuisances : les travaux d’aménagement du tunnel Thomas, lié au réaménagement du tracé du tram à cet endroit. “Le chantier est totalement insalubre et risque de ne pouvoir être terminé dans les temps faute de sécurité suffisante sur les lieux”, s’est indigné au Parlement bruxellois le député Sadik Köksal (MR), “consterné de voir tout un quartier sombrer chaque jour un peu plus dans la délinquance”.

    www.dhnet.be

    https://www.fdesouche.com/2024/03/13/relations-sexuelles-defecations-attaque-a-main-armee-un-chantier-de-schaerbeek-tourne-a-lhorreur-les-ouvriers-forces-de-se-deplacer-en-groupe/