La dissolution de juin 2024 a été catastrophique : que le pays légal se retrouve confronté à ses contradictions n’est pas ce qui peut nous gêner, mais bien plutôt le « désarroi » économique qu’elle a entraîné et ses effets délétères sur l’économie française qui n’avait vraiment pas besoin de cela… Dans le même temps, sur une scène internationale en perpétuel mouvement, assiste-t-on à la fin de la mondialisation ?
(La suite de mon intervention du 22 février à Aix-en-Provence, voir précédente note)