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Tandis que l’économie européenne s’enfonce et que la guerre en Ukraine s’enlise, l’Allemagne redevient le moteur d’une escalade stratégique incontrôlée. Friedrich Merz et Ursula von der Leyen incarnent une élite qui confond fermeté morale et suicide géopolitique, au mépris des leçons de l’histoire européenne et du principe fondamental de sécurité indivisible.
Oubliez les contrôles aux frontières et les reconduites : le ministère de l’Intérieur lance un « prix national pour valoriser l’engagement des entreprises en faveur de l’intégration des réfugiés ». Une initiative qui sonne moins comme une réponse à l’opinion publique que comme un mea culpa institutionnel face à l’ampleur du phénomène migratoire. Car la réalité française est là : plus de 496.868 réfugiés et demandeurs d’asile étaient sous la responsabilité de l’OFPRA, au 31 décembre 2024.
« En accord avec la loi de la charia, autant que possible les premiers secours doivent uniquement être administrés par une personne du même genre que la victime. » Cette phrase, on l’imaginerait aisément tirée de documents internes d’entreprises opérant dans des pays de tradition islamique. C’est pourtant au détour d’un module de formation Securitas destiné aux agents de sécurité travaillant sur les sites d’Amazon France — un « refresh training » annuel obligatoire consacré aux gestes de premiers secours et à la doctrine QHSE (Qualité, Hygiène, Sécurité, Environnement) — que plusieurs responsables l’ont découverte, en juillet dernier.
L’article récemment publié par Libérationsur la présence persistante de livres jugés « haineux » dans les catalogues d’Amazon, de la Fnac ou de Cultura n’a pas provoqué d’émoi notable dans l’opinion. Il est, en revanche, le symptôme manifeste de l’émoi des journalistes eux-mêmes. Ce sont eux qui s’inquiètent, eux qui s’alarment, eux qui découvrent, avec une inquiétude presque existentielle, que des décennies de lois mémorielles, de pressions militantes, de signalements systématiques et de judiciarisation du discours n’ont pas suffi à éradiquer totalement les marges dissidentes.
Les Français sont de plus en plus lucides sur la réalité du régime de Macron. Les paysans, justement révoltés par l’abattage massif et brutal de l’ensemble des troupeaux pour une bête atteinte d’une maladie qui ne se transmet pas à l’homme, font le lien entre cette politique d’extermination et la prochaine signature du Mercosur, qui ne fera qu’accélérer la disparition de nos éleveurs et agriculteurs. Ce n’est pas pour rien que 80 % de la population est derrière nos paysans, qui savent qu’ils mènent leur dernier combat pour leur survie.
En parlant d’agriculture, de produits et de concurrence déloyale, 3 grands chefs : Laurent Mariotte, Philippe Etchebest et Alain Fontaine ont osé mettre en lumière une réalité rarement dite à l’antenne : la France est désormais tenue pour responsable de décisions qu’elle n’a plus le pouvoir de prendre. À travers le Mercosur, c’est toute l’impuissance politique de l’État dans l’Union européenne qui apparaît au grand jour.
C’était l’heure de son grand oral. Ce jeudi 18 décembre, Marine Tondelier était l'invitée de David Pujadas, sur LCI. Cette Grande Confrontation a été l’occasion, pour la secrétaire nationale des Écologistes, candidate à l'élection présidentielle, de clarifier ses positions sur les enjeux qui traversent la société française. Entre autres propositions, elle s’est prononcée en faveur de la dépénalisation du cannabis, du doublement du nombre d’éoliennes en France, du passage à la semaine de 32 heures pour les gens qui travaillent de nuit ou dans des métiers très pénibles, et en défaveur du retrait des allocations aux familles dont les enfants sont des délinquants récidivistes. Rien de bien neuf sous le soleil de l’extrême gauche française… Mais c’est sur un autre sujet que l’élue des Hauts-de-France a réellement suscité la consternation. Tentant de justifier la surreprésentation des étrangers parmi les détenus en prison, elle a sorti une contre-vérité qui en dit long sur sa maîtrise du sujet. « Il y a 23 % de personnes en prison qui sont immigrées. Mais vous savez aussi que quand vous êtes en situation irrégulière, vous avez plus de chances d’aller en prison, d’être interpellé, par exemple pour des délits de séjour irrégulier, a-t-elle assené, parfaitement sûre d’elle, face à Marion Maréchal. Ça ne risque pas de vous arriver si vous n’êtes pas étranger ! »
Quelques leaders politiques avaient dénoncé la venue des « étudiants » étrangers comme étant assimilable à une filière d’immigration illégale, arguant que certains de ces élèves, pas tous heureusement, ce qui permet de nier la réalité, ne venaient pas en cours, encaissaient les aides et disparaissaient dans la nature, voire passaient dans la délinquance. La neutralisation de Mouhamed Gueye, titulaire d’un visa étudiant, en Corse, alors qu’il menaçait les passants, corrobore la thèse de la filière de l’immigration illégale et encore une fois, la réalité rattrape le « bon » discours humaniste. Gueye, 26 ans, arrivant du Sénégal via la Belgique… il étudiait quoi ? A 26 ans, normalement on est à bac+8, une paille. Ou alors on a repris des études après un premier diplôme. Il avait quel bagage ce garçon ?
Le 11 décembre, le journal Nice-Matin y a consacré quelques lignes sur la base d’une audience de comparution immédiate : appelée le 9 décembre dans le quartier de l’Ariane à la suite d’une rixe, la police intervient pour un homme, sous cocaïne, armé d’un couteau. À l’arrivée des forces de l’ordre, le mis en cause lâche son arme, mais résiste violemment, tente de mordre les policiers, et cherche à s’emparer de l’arme de service de l’un d’entre eux. Il aurait enfin tenu des propos menaçants « en langue arabe » et affirmé que Dieu lui pardonnerait. Agé de 40 ans, il était jusqu’ici inconnu de la justice. Il a été placé en détention provisoire en attendant son jugement, en février prochain.
Les agriculteurs de nombreux pays européens font le siège de Bruxelles, bien décidés à faire entendre leur légitime colère.
Car ils ont compris que von der Leyen et sa clique de commissaires hors-sol, qui multiplient les accords de libre-échange, dont le prochain Mercosur, et les normes écologiques sont en train de leur pourrir la terre sur laquelle ils triment souvent à fonds perdu pour nourrir les populations.