C’est l’ébullition chez les magistrats français. Sont-ils inquiets, suite à la mort du petit Elias, et du nombre d’agressions, souvent dues à l’immigration, qui explose ? Se disent-ils qu’ils ont peut-être été trop laxistes, et que si les deux racailles qui ont assassiné le malheureux Elias avaient été en prison, cet enfant, qui a refusé de leur donner son téléphone portable, serait encore en vie ?
Ce drame, cette mort insupportable, qui succède à celle de Thomas, de Lola, de Philippine, de Kylian et de tant d’autres jeunes Français ne suscite aucune réaction chez les autorités judiciaires, et encore moins de remise en question. Pour les juges, il y a bien plus grave. Depuis 48 heures, nous assistons à une curieuse médiatisation de quelques menaces de mort, certes malencontreuses, parues sur notre site, et sur lesquelles nous nous sommes expliqués.
Ces commentaires ont été retirés dès qu’ils nous ont été signalés. Pour autant, depuis deux jours, les articles commencent à circuler, notamment sur le service public, et notre site, qualifié bien sûr d’extrême droite, se voit l’objet d’une publicité malveillante dans les médias de gauche et d’extrême gauche.
Étape supplémentaire, le procureur général de Paris, la grande cheftaine du parquet, Marie-Suzanne Le Quéau en personne, qui commande 1500 magistrats, s’est déplacée sur France Info, chaîne publique qui partage la philosophie de nombreux magistrats de gauche. Sonia Devillers, qui l’interroge avec beaucoup de complaisance, n’a pas manqué de rappeler que la parole cette magistrate est rare.
Cette juge s’est déplacée sur la chaîne publique pour surenchérir sur les graves menaces dont seraient victimes ses confrères, s’en indigner, bien sûr, mais surtout les comparer à celles subies par les policiers, gendarmes et enseignants.
Cette comparaison est particulièrement scandaleuse et indécente. Qui insulte quotidiennement nos forces de l’ordre ? Qui refuse d’obtempérer quand elles arrêtent un automobiliste ? Qui leur tend des embuscades en agressant régulièrement les pompiers et la BAC ? Qui parfois les tue ? Qui les agresse alors qu’ils sont en civil ? Dans la très grande majorité des cas, des racailles d’origine étrangères, souvent musulmanes.
Qui agresse nos enseignants ? Qui les insulte ? Qui les menace ? Qui a tué Samuel Paty et Dominique Bernard ? Qui exerce une terreur telle sur les professeurs qu’il est désormais impossible, dans de nombreuses écoles, de parler de la Shoah ? La plupart du temps, là encore des élèves de type racaille, d’origine étrangère.
Qui fait preuve d’une justice à deux vitesses ? Qui s’acharne sur des sites comme le nôtre, sur des patriotes qui font le lien, pourtant indiscutable, entre immigration, islam et délinquance ? Beaucoup trop de magistrats, souvent impitoyables avec les nôtres, et d’un laxisme criminel avec la racaille.
Qui pourrait, sous la contrainte, intimider, menacer, voire soudoyer quelques magistrats, si ce ne sont les narco-trafiquants qui pourrissent nos villes et qui ont corrompu nombre de fonctionnaires pour qu’ils puissent poursuivre en paix leurs lucratives activités ?
Les menaces de mort ne sont jamais une bonne réponse à ces faits, mais si elle peuvent émaner de provocateurs voulant nuire au site qui les publie, elles sont la plupart du temps le fait de Français révoltés par une magistrature qui ne rend plus la justice au nom du peuple français, mais au nom d’une idéologie gauchiste qui fait que nos compatriotes n’ont plus confiance dans la justice de leur pays.
Nous aimerions par exemple que les menaces de mort, bien réelles, formulées par Raphaël Arnault contre la présidente de Némésis, Alice Cordier, de « lui coller une balle dans la tête » révolte autant les magistrats que cinq commentaires parus sur notre site. Or, le président de « La Jeune Garde » est aujourd’hui député LFI, et apparemment, la justice ne paraît pas pressée de lui demander des comptes…
Nous pourrions ajouter que depuis 18 ans bientôt que Riposte Laïque existe et dénonce l’islam comme incompatible avec la France, aucun lecteur de notre site n’a agressé physiquement, et encore moins exécuté un adversaire politique, ce qui est loin d’être le cas des soldats d’Allah, présents sur notre territoire. Et donc, alors que les faits nous donnent raison, nous subissons un harcèlement judiciaire depuis 14 ans, et nous préparons à faire face à 15 procès dans le courant de l’année 2025. Nous appelons cela un véritable djihad judiciaire.
Dans un autre registre, comment ne pas être indigné par le procès subi par Marine Le Pen, et par la demande de 5 ans d’inéligibilité, avec effet immédiat, de la part de deux procureurs politisés et partiaux ? Comment ne pas être scandalisé par le coup d’Etat fomenté par des juges et des journalistes contre François Fillon, favorisant l’élection de Macron en 2017 ? Comment ne pas être dupe devant l’acharnement déployé contre Nicolas Sarkozy, quoi qu’on pense du personnage ? Et comment ne pas en avoir marre de voir des sites comme le nôtre et d’autres victimes de l’acharnement de la section AC2 du parquet, quand dans le même temps les gauchistes bénéficient d’une impunité totale, et que les racailles profitent d’une indulgence criminelle de trop de magistrats influencés par les thèses du Syndicat de la Magistrature ?
Nous rappellerons enfin à Madame Marie-Suzanne Le Quéau que trop de gendarmes et de policiers meurent chaque année, sans parler des milliers de blessés.
Cela n’est absolument pas le cas des magistrats, dont aucun n’a encore subi le sort du juge Pierre Lespinasse, exécuté par la Résistance en 1943 pour sa collaboration zélée avec le régime de Vichy.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Lespinasse
Enfin, quelle différence de traitement entre les policiers et les juges ! Les premiers, en cas de supposée bavure, sont immédiatement traités comme des malfrats, et même mis en garde à vue. On sent même chez de nombreux magistrats un plaisir malsain à les sanctionner lourdement, et à s’acharner contre eux. Les juges, eux, bénéficient d’une impunité totale, n’ont de comptes à rendre à personne, et peuvent multiplier les fautes professionnelles et les verdicts scandaleux, sans risquer la moindre sanction. Pire, ils se permettent parfois de condamner des flics qui ont tiré sur un malfaiteur en leur refusant la légitime défense, et en leur faisant la leçon, eux qui n’ont jamais tenu une arme de leur vie, sur une disproportion supposée entre le risque et la réponse apportée. Comment les forces de l’ordre peuvent-elles supporter cela ?
Donc, quelques commentaires, certes de trop, de patriotes indignés et maladroits, parus sur Riposte Laïque, ne mettent absolument pas les juges en danger. Le quotidien des magistrats français n’a vraiment rien à voir avec celui subi par les policiers, les gendarmes et les enseignants. Comparer le sort des juges et le leur a vraiment quelque chose d’indécent, Madame Le Quéau… à moins qu’il ne s’agisse de profiter de l’aubaine pour se farcir définitivement Riposte Laïque, ce dont rêve toute la gauche, les Macronistes, beaucoup d’associations et trop de magistrats.
Nous en profitons pour rappeler à nos lecteurs qui commentent une certaine prudence, histoire de ne pas exposer davantage notre site à la colère de quelques magistrats susceptibles…