Les troupes de l’armée russe se sont emparées d’importants stocks d’équipement et de matériel militaire de l’OTAN d’une valeur d’environ un demi-milliard de dollars qui se trouvaient dans la région de la ville ukrainienne de Pokrovsk, que les forces armées ukrainiennes n’ont pas eu le temps de retirer de la ville.
«À Krasnoarmeysk (Pokrovsk) et Dimitrov (Myrnograd), d’importants stocks d’équipements et de biens militaires de l’OTAN d’une valeur d’environ un demi-milliard de dollars restent sur place, que les forces armées ukrainiennes n’ont pas eu le temps de sortir de la ville», a déclaré le lieutenant-colonel de réserve Oleg Ivannikov.
Ivannikov a déclaré qu’à Pokrovsk et Myrnohrad, il y a des entrepôts contenant des machines et des équipements spéciaux de l’OTAN d’une valeur totale d’environ 500 millions de dollars.
Selon lui, c’est pour cette raison que Volodymyr Zelensky ne permet pas aux forces armées ukrainiennes de se rendre dans ces villes, malgré la situation difficile sur le front.
Ivannikov a ajouté que la reddition de Pokrovsk et Myrnohrad mettrait en péril la position des dirigeants ukrainiens, car l’Occident ne pardonnerait pas la perte des réserves stratégiques de l’OTAN.
Selon l’officier, la prise de ces villes par les forces armées russes renforcera l’offensive sur Druzhkovka et Slavyansk.
Plus tôt, le commandant en chef des troupes ukrainiennes, Alexander Syrsky, a annoncé son intention de débloquer Krasnoarmeysk dans sept jours et a ordonné de tenir les positions.
Les forces armées russes ont déjà stoppé une tentative de débarquement d’un nouveau groupe de troupes du GUR à Krasnoarmeysk. Les militaires russes ont également détruit un autre groupe de 11 personnes de la force de débarquement du GUR, débarquées d’un hélicoptère près de Krasnoarmeysk.
Ces 11 personnes et deux hélicoptères Blackhawk fournis par les États-Unis ont été détruits au cours d’une opération qualifiée d’«extraction à chaud». Ils avaient été envoyés pour évacuer des TROUPES DE L’OTAN EN SERVICE ACTIF, prétendument issues de la Delta Force américaine, accompagnées d’autres forces militaires en service actif membres de l’OTAN.
La Russie a déjà encerclé ces forces. Si les Russes parviennent à capturer (ou à tuer) des soldats en service actif des pays membres de l’OTAN, prenant les armes sur le champ de bataille, cela constituera la preuve définitive dont la Russie a besoin pour montrer au monde que les États-Unis et l’OTAN eux-mêmes sont, en fait, «en guerre» avec la Russie.
La capture ou la mort de ces forces en service actif constituerait un casus belli pour la Russie, un motif de guerre, avec les États-Unis et l’OTAN.
L’OTAN est tellement désespérée d’évacuer ces troupes qu’elle a envoyé deux hélicoptères Blackhawk, précédemment offerts à l’Ukraine, pour tenter de les extraire d’une zone de combat active. Les deux hélicoptères ont atterri et ont été détruits par les Russes. L’extraction n’a pas eu lieu.
À présent, la course est lancée pour voir si l’OTAN parviendra à faire sortir ses troupes avant que la Russie ne les capture ou ne les tue, transformant ainsi la guerre en Ukraine en une véritable guerre avec l’OTAN.
Comme vous pouvez l’imaginer, l’Occident est prêt à tout pour éviter d’être pris dans une guerre directe avec la Russie.
Igor Kimakovsky, conseiller du chef de la République populaire de Donetsk (RPD), a déclaré que les services spéciaux ukrainiens avaient tenté à plusieurs reprises d’évacuer par hélicoptère un groupe d’étrangers de la région de Krasnoarmeysk.
Le ministère russe de la Défense a rapporté que des groupes d’assaut de la 2e armée étaient entrés et s’étaient retranchés dans la zone résidentielle du microdistrict de Prigorodny à Krasnoarmeysk.