divers - Page 90
-
Hommage à Dominique Venner - Une Archive Radio Exceptionnelle - Le Gallou, Lugan, Henry de Lesquen
-
Un ROMANCIER PATRIOTE juge les gauchistes : Quel mot pour Booba ? Gilles Verdez ? (Romain Guérin)
-
Le nouveau numéro (n°190) d'Eléments est paru
En vente en kiosque et dans les Maisons de la Presse : 6,90 €.
-
Point de vue n°15 - l'Etat
-
FÉMINITÉ vs. FÉMINISME ?
-
MERCREDI 26 MAI, L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR TV LIBERTÉS CONSACRÉE AUX HARKIS AVEC PHILIPPE DE PARSEVAL
ACHETER LE LIVRE CLIQUEZ ICI
LES PRÉCÉDENTES ÉMISSIONS CLIQUEZ LÀ
-
La dérive symptomatique du football français
Patrick Parment
J’avoue que je n’aime guère le football en tant que sport, quand bien même déchaîne-t-il les passions, dont la particularité française est qu’il est joué par des individus qui n’ont que peu à voir avec le village gaulois d’Astérix. Qu’on ait gagné deux fois la coupe du monde ne m’impressionne guère étant donné que je ne me sens pas du tout concerné par ces équipes censées nous représenter. Reste que ce sport très populaire, et en raison même de cette popularité, ne pouvait échapper aux visées politiques de ceux qui nous gouvernent.
-
Pierre-Marie Bonneau, avocat nationaliste, invité des entretiens du Parti de la France
-
Un temps pour la nostalgie
Chaque génération peut avoir vécu des phases critiques de l'histoire qui l'ont bouleversée, au risque de paraître incompréhensible aux suivantes.
Ainsi, dans ses très beaux Poèmes de Fresnes, Robert Brasillach, la veille d'être fusillé, rappelle un événement, considérable aux yeux de sa génération, ce 6 février 1934, qui explique tant d'engagements, et parfois d'errements, ultérieurs : "je pense à vous ce soir ô morts de Février"...
Vingt ans plus tard, vint une nouvelle tranche d'âge parmi les jeunes Français qui avaient fait le choix, réprouvé par les bonnes consciences : celui du patriotisme. Nous voulions devenir les soldats, et nous ne nous retrouvâmes plus modestement que les militants de la Classe Soixante. Nous avions été, pour la plupart d'entre nous, déterminés par un autre drame, celui de la guerre d'Indochine.
-
La progression des partis nationalistes et populistes auprès des classes populaires
Voilà une étude qui va réjouir notre ami Guillaume Bernard, qui défend l’idée d’un mouvement dextrogyre. Dans « Clivages politiques et Inégalités sociales », dirigé par Amory Gethin, Clara Martinez-Toledano et Thomas Piketty, une vingtaine de chercheurs se sont penchés sur la progression des partis nationalistes et des leaders populistes auprès des classes populaires. Alors que les partis de gauche prônent plus de redistribution, ils ne profitent-ils pas électoralement de la forte montée des inégalités que connaissent, depuis quarante ans, les pays démocratiques. Cette lecture du vote politique invite à croiser clivages socio-économiques et clivages identitaires pour mieux comprendre l’évolution politique. Alors que, dans les démocraties occidentales, la gauche sociale-démocrate a délaissé le thème de la redistribution au profit de l’émancipation des minorités, la droite s’est engouffrée dans la demande de sécurité.